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Traitement neurocognitif des émotions au cours du vieillissement : étude de l'"effet de positivité" et ses conséquences / Neurocognitive processing of emotion during aging : study of "positivity effect" and its consequences : Behavioral and electroencephalographic assessments

Mathieu, Nicolas 09 December 2013 (has links)
Dans le vieillissement « sain », la préférence pour les stimuli positifs augmente par rapport aux stimuli négatifs. Ce phénomène est appelé « effet de positivité » et peut être observé au niveau comportemental et cérébral. L'objectif principal de cette thèse a été de caractériser les effets de l'âge sur les traitements émotionnels afin d'améliorer notre compréhension des effets de positivité. L'objectif sous-jacent a été d'évaluer dans quelles conditions ces effets peuvent conduire à une plus grande vulnérabilité des personnes âgées face à des situations menaçantes. Une première étude en électroencéphalographie a révélé que l'engagement attentionnel pour des scènes naturelles négatives diminue avec l'âge quel que soit leur niveau d'activation dans une tâche de catégorisation affective. A l'inverse, ce dernier reste inchangé pour les situations positives, conduisant à une réduction des biais de négativité. Une deuxième étude en électroencéphalographie, dont le paradigme était similaire à la première étude, a mis en évidence que les biais de négativité restent préservés avec l'âge lorsque l'évaluation des scènes s'effectue sur la dimension de « tendance à l'action ». Une troisième étude révèle que l'attention volontaire sur les situations d'intérêt des personnes âgées (positives) et sur les processus d'évaluation modulés par l'âge est nécessaire à l'émergence des effets de positivité. Parallèlement à ces travaux, une méthodologie innovante est proposée pour la classification d'états émotionnels des personnes jeunes et âgées sur la base de leurs signaux électroencéphalographiques. Nous avons obtenu des résultats encourageants qui suggèrent la possibilité cette méthode pour implémenter des interfaces cerveau-machine pour protéger les personnes âgées d'une éventuelle vulnérabilité en raison des effets de positivité. L'ensemble de ces travaux suggèrent que les effets de positivité sont les conséquences de changements sur le plan motivationnel de l'individu âgé, touchant principalement les processus d'évaluation émotionnel. La personne âgée régulerait ses émotions et diminuerait l'impact des émotions négatives lorsque d'autres motivations plus prioritaires sont absentes. / With aging, the preference for positive stimuli increases compared to negative stimuli. This is called “positivity effect” and it may be observed in both behavior and brain activity. The main goal of this work was to characterized age effects on emotional processing to improve our understood of this positivity effect. The second goal was to evaluate in which conditions these effects could make older people more vulnerable when they are confronted to threatening situations. A first EEG study revealed that the attentional engagement decreased with age for negative stimuli, regardless of their activation level, in an affective categorization task. Conversely, the processing of positive stimuli was preserved with age and, consequently, a reduction of the negativity bias was observed. In a second EEG study, using a similar paradigm to study 1 with the exception of the task which was an “action tendency task”, we observed a preservation of the negativity bias. A third study revealed that the voluntary attention on interest situations for aged adults (positive) and on appraisal process modulated with age was requisite to observe positivity effects. Parallel to this work, a new method was proposed to recognize and classify emotional states based on EEG signals. We obtained encouraging results which suggest the possibility to use this method to elaborate brain-computer interfaces to protect old people against a potential vulnerability due to positivity effect. Taken together, these results demonstrate that positivity effect is due to motivational shifts with age. Older people would be motivated to increase their well-being and would regulate their emotions by reducing the impact of negative stimuli, provided no other more important motivations are absent.
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Le développement de la régulation émotionnelle de l'adolescence au vieillissement : application d'un modèle dynamique des affects en lien avec la personnalité / The development of emotional regulation from adolescence to aging : application of a dynamic model of affects related to the personality

Le Vigouroux, Sarah 20 June 2016 (has links)
Dans la littérature, un effet de positivité, se traduisant par une augmentation des affects positifs et/ou une diminution des affects négatifs lors de la période de l’âge adulte, est identifié. Plusieurs modèles sont proposés pour tenter d’expliquer cet effet de positivité. Ils portent sur différents aspects des individus, du développement cognitif et de la régulation affective. Ce travail de thèse s’appuie sur quatre modèles : les théories de sélectivité socioémotionnelle (Löckenhoff & Carstensen, 2004), de sélection-optimisation-compensation en régulation émotionnelle (Urry & Gross, 2010), de l’intégration dynamique (Labouvie-Vief, 2003) et celle de l’intégration des forces et des vulnérabilités (Charles, 2010). L’évolution de trois processus est ciblée : la sélection, l’efficacité et la temporalité d’utilisation des stratégies de régulation. Deux hypothèses sont prises en compte. L’hypothèse développementale est qu’avec l’avancée en âge les individus acquerraient une expertise dans l’utilisation des stratégies, qui serait visible sur ces trois processus de régulation. L’hypothèse différentielle se centre sur les différences individuelles dans l’effet de positivité et sur le développement de l’expertise dans la régulation affective. Les résultats obtenus mettent en évidence un effet de positivité général. Cet effet de positivité s’explique par le développement d’une expertise, mais qui n’est la même pour tous les individus. En effet certains vont cibler la réduction des affects négatifs pendant que d’autres ciblent l’augmentation des affects positifs. Dans l’ensemble, ces résultats mettent en évidence un basculement hédonique des objectifs de régulation affective. / In literature a positivity effect, can be defined as increased positive affect and / or decrease negative affect in adulthood, is identified. Several models try to explain the positivity effect for different aspects of individuals, the cognitive development and emotional regulation. This work thesis focuses on four models: the socioemotional selectivity theory (Löckenhoff & Carstensen, 2004), selection-optimization-compensation in emotional regulation (Urry & Gross, 2010), the dynamic integration theory (Labouvie-Vief, 2003) or that the integration of strengths and vulnerabilities (Charles, 2010). Especially concerning the development of three processes related to emotional regulation: selection, efficiency and temporally use of regulation strategies. Two hypotheses are considered. The developmental hypothesis is individuals develop expertise with aging in the use of strategies. That would be visible on the emotional regulation processes. The differential hypothesis focuses on individual differences in the positivity effect and the development of expertise in emotional regulation presented by the previous hypothesis. The results reveal one pattern of positivity effect whatever personality characteristics. This positivity effect can be explained by a development of expertise but while is not the same for everyone. Overall, the results show a hedonic shift of emotional regulation aims. The discussion of results highlights the relevance of the differential approach in the study of the developmental phenomenon to positivity effect.
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Effets des émotions sur la mémoire dans la maladie d'Alzheimer et dans le viellissement normal : le lien avec des facteurs cognitifs et anatomiques / Emotional enhancement of memory in Alzheimer’s disease and in healthy aging : the influence of cognitive and anatomical factors

Sava, Alina-Alexandra 27 November 2015 (has links)
L’effet des émotions sur la mémoire (EEM) est un effet largement documenté dans la littérature, en ce qui concerne les participants sains jeunes et âgés. Cette mise en évidence de meilleures performances mnésiques à partir de stimuli émotionnels par rapport à des stimuli neutres semblerait reposer sur l’existence de relations étroites entre les régions cérébrales primordiales dans les processus mnésiques et émotionnels ; soit respectivement l’hippocampe et l’amygdale. Ces deux structures étant parmi les premières touchées au cours de la maladie d’Alzheimer (MA), leur altération pourrait sous-tendre la défaillance de l’EEM chez ces patients. Toutefois, les résultats des études ayant exploré l’EEM chez les patients MA sont assez contradictoires. Cette divergence entre les résultats concernerait notamment les études ayant exploré l’EEM avec des intervalles courts entre l’encodage et la récupération. L’objectif de cette thèse est ainsi d’étudier les facteurs susceptibles d’être responsables de ces résultats hétérogènes. L’analyse de la littérature a suggéré que l’un de ces facteurs pourrait être lié aux conditions très variables d’encodage utilisées dans différentes recherches. Ainsi, notre première étude comportementale a apporté des arguments robustes quant à la dépendance de l’EEM, et en particulier de l’effet de positivité en mémoire, de l’intentionnalité et de la quantité de ressources cognitives allouées à l’encodage ; mais ceci chez les participants âgés sains seulement. En effet, dans cette première étude, l’EEM n’a pas être observé dans le groupe de patients MA étudié. L’analyse détaillée de ces résultats a soulevé diverses interrogations, chacune d’entre elles faisant l’objet d’une nouvelle étude expérimentale. Ainsi, dans les études suivantes, l’influence de quatre facteurs pouvant influer sur l’EEM dans la MA fut au centre de nos recherches; soit respectivement le degré d’atrophie des régions médio-temporales, la profondeur du traitement, la disponibilité des ressources attentionnelles pendant l’encodage, et la familiarité ressentie envers les stimuli. L’ensemble des résultats de ces quatre dernières études convergerait vers l’idée que l’EEM, et notamment l’effet de positivité en mémoire, serait préservé chez les patients MA quand certaines conditions sont remplies. Ainsi, cet effet semble relativement préservé chez les patients MA ne présentant pas de degrés d’atrophie des régions amygdaliennes et hippocampiques trop importants. Par ailleurs, comme chez les participants âgés sains, l’effet de positivité en mémoire semblerait se manifester chez les patients MA en dehors et au-delà du sentiment de familiarité ressenti envers les stimuli positifs, notamment lors de l’utilisation de tâches d’encodage permettant le traitement profond des stimuli, et lors de tâches de mémoire de travail simples. De même, les stimuli émotionnels négatifs très intenses sembleraient moduler les stratégies de réponse employées par les patients MA dans les tâches de reconnaissance, mais aussi les performances mnésiques de ces patients dans des tâches de mémoire de travail. / The emotional enhancement of memory (EEM) – better memory performances for emotional stimuli than for neutral ones – was frequently described in healthy young and older participants. The EEM seems to rely on the relationship between the amygdala and the hippocampus, the central cerebral structures responsible for the emotional and memory processes, respectively. These two cerebral structures are among the first to be affected in Alzheimer’s disease (AD), which might suggest the alteration of the EEM in these patients. Nevertheless, the results of the studies investigating the EEM in these patients are rather debatable. This discrepancy concerns especially the studies investigating the EEM by using short intervals between encoding and retrieval.Thus, the main goal of this doctoral work was to study the factors susceptible to be responsible of these contradictory results. The analysis of the literature suggested that one of these factors might be related to the extremely variable encoding conditions used among different studies. We explored the influence of this factor in our first behavioral study, which provided strong evidence that the EEM, and especially the positivity memory bias, relies on the intention to encode and on the quantity of cognitive resources allocated at encoding only in healthy older participants. Indeed, the EEM was not observed in AD patients participating in our first study. The detailed analysis of these results raised several hypotheses concerning the factors that might be responsible for the absence of the EEM in the AD patients participating in the first study. Each of these hypotheses was tested in a new experimental study. Thus, in the following studies we explored the influence of four factors on the EEM in AD, namely: the degree of atrophy of medial temporal regions, the depth of encoding, the availability of attention resources during encoding, and the sense of familiarity towards emotional stimuli. The results of these four studies seem to converge on the idea that the EEM, especially the positivity memory bias, is preserved in AD when certain conditions are reunited. Thus, the EEM seems to be intact in AD patients in which the degrees of atrophy of the amygdala and of the hippocampus are not too large. Moreover, just like in healthy older participants, the positivity memory bias seems to manifest itself in AD patients beyond and above the feeling of familiarity towards positive stimuli, especially in situations permitting the deep and rich encoding of information and in working memory tasks that are not too difficult. Similarly, the highly arousing negative stimuli seem to modulate the response strategies used by AD patients and healthy older participants in recognition tasks, but also the performance of AD patients in working memory tasks.
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Changes in Frame of Reference After Exposure to Emotional Stimuli

Best, Eva 07 1900 (has links)
No description available.

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