• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 24
  • 2
  • Tagged with
  • 26
  • 26
  • 16
  • 15
  • 15
  • 8
  • 8
  • 7
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Étude de la contribution du niveau de vocabulaire et de l'utilisation du langage en petits groupes à l'ajustement social des enfants en début de scolarisation

Mathieu, Emylie 19 September 2018 (has links)
L’ajustement social est documenté chez les enfants avec un déficit langagier et auprès d’échantillons normatifs, mais l’utilisation du langage en interaction avec les pairs en tant qu’habileté communicationnelle spécifique, ainsi que son influence sur l’ajustement social, le sont très peu. L’objectif général de la thèse était donc d’étudier, à partir d’un devis longitudinal et d’un échantillon normatif issu de l’Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec (ÉJNQ; Boivin, Brendgen, Dionne, et al., 2013), la contribution du niveau de vocabulaire et de l’utilisation du langage en petits groupes à l’ajustement social des enfants en début de scolarisation. Les vocabulaires expressif et réceptif ont été évalués à 5 ans avec l’Échelle de vocabulaire en images de Peabody (Dunn, Thériault-Whalen, Dunn, 1993), l’utilisation du langage au cours d’une tâche de coopération/compétition en petits groupes en maternelle (6 ans) a été codifiée en termes de fonction (directives, affirmation de soi, énoncés prosociaux, commentaires) et de durée des énoncés (durée totale et de chaque fonction) à l’aide d’une grille élaborée à cet effet, et l’ajustement social a été évalué en termes de participation non verbale à cette même tâche et de statut auprès des pairs en maternelle et en 1ère année (6-7 ans). Dans un premier temps, nous avons montré que le vocabulaire sur un continuum à 5 ans permettait de prédire l’ensemble des mesures d’utilisation du langage en petits groupes ainsi que certains comportements de participation non verbale (accès à la ressource et participation secondaire) un an plus tard. Dans un deuxième temps, nous avons montré que le vocabulaire à 5 ans permettait de prédire le statut auprès des pairs à 6-7 ans en partie via l’utilisation du langage en petits groupes à 6 ans. Enfin, nous avons montré que ce processus de médiation reposait entièrement sur des facteurs génétiques communs aux variables impliquées, et nous avons identifié le vocabulaire à 5 ans et l’utilisation du langage à 6 ans en tant que caractéristiques héritables permettant d’expliquer en partie l’héritabilité du statut auprès des pairs en début de scolarisation. Dans l’ensemble, la thèse souligne le caractère distinct des habiletés langagières formelles et communicationnelles et met en lumière le rôle central de ces habiletés dans l’ajustement social en début de scolarisation. Ces résultats invitent les professionnels à travailler en collaboration et de façon précoce si un enfant présente des difficultés sur les plans de la communication ou de l’ajustement social afin d’éviter que ces difficultés s’alimentent mutuellement en cours de développement.
12

Les effets d'une méthode structurée en langage sur la compréhension des directives verbales à la maternelle

Deschênes-Lupien, Louise 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
13

Considérations génétiques et environnementales dans l'association entre le développement du langage et l'agressivité physique à la petite enfance

Dionne, Ginette 13 January 2021 (has links)
L'objectif de cette thèse consiste à étudier l'étiologie spécifique et commune des manifestations précoces d'agressivité physique et de l'acquisition du langage en terme de facteurs génétiques et environnementaux et d'influences phénotypiques mutuelles. Trois objectifs spécifiques en découlent : 1) d'abord étudier Pédologie spécifique du vocabulaire et de la grammaire avant 3 ans, 2) ensuite, étudier le lien entre vocabulaire et agressivité physique à 18 mois en com parant un modèle d'étiologie commune à un modèle d'influences phénotype-à-phénotype et 3) enfin, utiliser de façon novatrice la modélisation génétique pour tester des modèles théoriques rivaux. Deux volets d'étude constituent le corps de cette thèse, l'un sur le lien entre langage et agressivité, et l'autre sur Pédologie du langage. Dans un premier volet de la thèse sur le langage, les résultats démontrent que les différences individuelles quant au vocabulaire et à la grammaire, qui sont fortement liés de 24 à 36 mois, s'expliquent en grande partie par des facteurs d'environnement commun quoique chaque composante démontre une héritabilité modeste mais significative. Des analyses multivariées de ces résultats suggèrent que le lien entre vocabulaire et grammaire s'explique à la fois par une étiologie génétique et environnementale commune et par des influences phénotypiques réciproques entre 24 et 36 mois. Par ailleurs, le vocabulaire et l'agressivité physique à 18 mois apparaissent significativement liés (r = -.20), quoique modestement. Les analyses génétiques révèlent une forte héritabilité pour l'agressivité physique mesurée dès ce jeune âge. Deux modèles ontogéniques ont été testés pour expliquer la corrélation observée. Les résultats démontrent que le lien entre agressivité physique et vocabulaire ne s'explique pas par une étiologie commune aux deux phénotypes mais presque entièrement par une influence phénotypique du vocabulaire sur le recours à l'agressivité physique. Ces études font appel à la modélisation génétique pour tester ces modèles ontogéniques alternatifs.
14

Étude des contributions des verbalisations maternelles à 5 mois sur le développement du vocabulaire à 18 mois dans un contexte de naissances gémellaires

Harvey, Élizabeth. 20 May 2021 (has links)
Ce mémoire examine le lien entre les verbalisations qu’une mère adresse à son nourrisson de 5 mois et le développement du langage à 18 mois en contexte de naissances gémellaires. Les verbalisations des mères (N = 63) au cours d’une interaction de 5 minutes avec chacun de ses deux nourrissons ont été codifiées quant à la quantité et quant aux types de verbalisations, soit référentielles, métalinguistiques ou sociales-régulatives. Le vocabulaire des enfants a été évalué à18 mois à l’aide d’une adaptation du MacArthur Communicative Development Inventory(MCDI). Contrairement aux attentes, les résultats indiquent que plus la mère parle à son enfant, moins le score du vocabulaire à 18 mois est élevé. Par contre, lorsque le nombre de verbalisations maternelles est considéré en interaction avec le temps en attention conjointe, on note une contribution positive des verbalisations de la mère. De plus, les verbalisations maternelles de type sociales-régulatives et référentielles sont corrélées négativement avec le vocabulaire à 18 mois. Il n’y a pas de différence significative quant à la quantité et à la qualité des verbalisations maternelles liée au genre des enfants.
15

Élaboration et validation d'un instrument de classification des jeux et jouets en rapport avec les habilités langagières à l'intérieur du système ESAR

Filion, Rolande 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
16

L'étiologie génétique et environnementale de l'association entre le langage à l'enfance et l'écriture à l'adolescence : une étude de jumeaux

Aubé, Sophie 22 June 2021 (has links)
L’apparition du langage oral précède l’apprentissage du langage écrit. Plusieurs recherches montrent que le premier se développe parallèlement au deuxième et que les habiletés langagières contribuent aux habiletés en écriture à plusieurs stades de développement. Notamment, les habiletés langagières sont relativement stables dans le temps et certaines de leurs composantes sont intrinsèques aux tâches d’écriture. Considérant l’importance de l’écriture pour la réussite académique, ce mémoire vise (1) à déterminer si les habiletés langagières au préscolaire contribuent directement aux habiletés en écriture au secondaire, ou indirectement, par l’entremise des habiletés langagières au primaire et de la composante langagière de l’écriture; (2) à explorer les facteurs génétiques et environnementaux sous-tendant ces associations. L’échantillon (n = 620) est tiré de l’Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec, un suivi longitudinal d’une cohorte de jumeaux, nés dans la grande région de Montréal. Les habiletés langagières ont été mesurées lorsque les jumeaux étaient âgés de 1,5, 2,5, 6, 7, 10 et 12 ans. Les habiletés en écriture ont été mesurées à l’âge de 15 ans. Les participants ayant complété les tâches d’écriture en français ont été inclus dans l’étude. Les résultats montrent que le langage oral est modestement associé à l’écriture sur une période de plus de 12 ans, et que le langage à l’âge scolaire et la composante langagière de l’écriture sont des médiateurs de cette association. De plus, les gènes expliquent 63% de l’association entre le langage au préscolaire et le langage à l’âge scolaire, 64% de l’association ente le langage à l’âge scolaire et la composante langagière de l’écriture, ainsi que 83% de l’association entre la composante langagière de l’écriture et un score résiduel d’écriture au secondaire. Ces résultats démontrent une continuité développementale entre le langage oral et le langage écrit du préscolaire au secondaire, qui découle essentiellement de facteurs génétiques communs. / The onset of oral language precedes that of written language. Many studies show that the former develops concurrently with the latter, and that oral language skills contribute to writing skills at various stages of development, from preschool to high school. Indeed, language skills are relatively stable over time and many components of oral language are intrinsic to writing tasks. Given the importance of writing for academic achievement, this study first aimed to understand if language skills at preschool contribute directly to writing in high school, or indirectly through primary school language and the language component of writing. The second aim of this study was to explore the extent to which genetic and environmental factors explain these potential associations. The sample (n = 620) is drawn from the Quebec Newborn Twin Study, a longitudinal follow-up of a cohort of twins born in the greater Montreal area. Language skills were measured when children were 1.5, 2.5, 6, 7, 10, and 12 years old, and writing skills were measured at 15 years old. Participants who completed the writing task in French were included in the study. Results showed that oral language was modestly associated with writing over a 12-year span, and that primary school language as well as the language component of writing were mediators of this association. Further, genes explained 63% of the association between preschool language and school age language, 64% of the association between school age language and the language component of writing in high school, and 83% of the association between the language component of writing and a residual writing score in high school. These results highlight the developmental continuity from oral to written language from preschool to high school and show that genetic factors largely account for this continuity.
17

Le développement du vocabulaire chez l'enfant : contribution de la mémoire à court terme à l'apprentissage lexical et sémantique

Côté, Isabelle 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise une meilleure identification et une meilleure compréhension des processus mnésiques et linguistiques qui sous-tendent l’apprentissage de nouveaux mots chez des enfants présentant un déficit de la mémoire à court terme (MCT) verbale. Pour ce faire, une étude empirique a été menée auprès d’enfants de niveau primaire, âgés de 7 à 12 ans (n=16), sélectionnés sur la base d’une atteinte au facteur mémoire de travail (MdT) de leur échelle d’intelligence. Leur performance a été comparée à celle d’un groupe témoin apparié (n=32). Cette étude comprend une tâche expérimentale d’apprentissage de nouveaux mots permettant de mesurer respectivement les capacités d’apprentissage lexical, sémantique et lexico-sémantique. À cela s’ajoute une évaluation approfondie du profil cognitif des participants s’appuyant sur les modèles récents de la MCT verbale qui identifient des processus de base impliqués dans la réalisation de tâches de MCT verbale soit : l’activation temporaire de connaissances langagières (phonèmes, mots, sens) en mémoire à long terme (MLT) et l’encodage de l’ordre sériel des items langagiers permettant le maintien des informations à mémoriser. Les résultats révèlent que les enfants du groupe expérimental réussissent moins bien que les enfants du groupe témoin la condition d’apprentissage lexical. Cette difficulté serait attribuable à la capacité de traitement de l’ordre sériel. Cette étude révèle également que pour les deux groupes, la connaissance des aspects sémantiques d’un nouveau mot ne facilite pas l’apprentissage de sa forme lexicale. Cependant, malgré un apprentissage lexical plus faible, les enfants du groupe expérimental présentent une courbe d’apprentissage qualitativement similaire à celle des enfants du groupe témoin. Ce profil d’apprentissage suggère la présence chez ces enfants d’une MCT fonctionnelle, mais moins efficace. Ces données appuient l’hypothèse proposée par Hulme & Snowling (2009) selon laquelle les enfants avec ou sans problème développementaux évoluent sur un même continuum. De manière générale, ce mémoire a permis d’évaluer l’apport d’une nouvelle tâche d’apprentissage au design novateur et celui d’une conceptualisation récente de la MCT verbale dans l’évaluation et la compréhension du profil cognitif des enfants en difficulté d’apprentissage du langage. Ce mémoire démontre aussi l’importance du développement des connaissances relatives à la neuropsychologie du développement cognitif et linguistique de l’enfant. Une meilleure identification des processus cognitifs impliqués dans le développement du langage devrait permettre une meilleure identification et une prise en charge mieux adaptée des problèmes langagiers pouvant survenir durant l’enfance. Mots-clés : Mémoire à court terme verbale, Modèle de MCT, MCT de l’information ordre sériel, MCT de l’information item, apprentissage lexico-sémantique, remédiation de la MdT.
18

Fondements des différences liées au genre dans la prosocialité des enfants en maternelle

Bouchard, Caroline 05 June 2021 (has links)
L’objectif principal de cette thèse vise à étudier les fondements des différences liées au genre dans la prosocialité des enfants en maternelle. Les deux objectifs spécifiques consistent à examiner les différences dans la prosocialité des filles et des garçons, et à rechercher les bases empiriques qui en expliquent l’apparition le cas échéant. L’étude est réalisée auprès de 209 enfants (93 filles et 116 garçons) et leur enseignante à la maternelle(n = 19). À l’appui d’un nombre considérable d’études, les résultats révèlent que les filles sont perçues comme plus prosociales que les garçons par leur enseignante. Pourtant, une seule des sept mesures issues de la prosocialité manifestée par les enfants montre une différence significative selon le genre. Les estimations de l’enseignante soutiennent donc une supériorité prosociale des filles qui n’est pas clairement traduite dans les données obtenues auprès des enfants. A propos de cet écart selon les sources d’évaluation, des résultats indiquent que l’évaluation de la prosocialité perçue est modulée par les problèmes extériorisés des enfants tels qu’évalués par l’enseignante: ceux qui présentent plus de problèmes extériorisés sont perçus comme moins prosociaux. Par ailleurs, les résultats dévoilent peu de différences significatives entre le langage des filles et des garçons. Or, chez les garçons considérés séparément, certains facteurs langagiers sont liés à leur évaluation prosociale par l’enseignante : ceux qui privilégient plus de réactions non verbales (pragmatique) et qui utilisent moins de conjonctions (complexité syntaxique qualitative) dans leur discours sont considérés comme moins prosociaux. Dans la visée de ces observations empiriques, la prosocialité perçue par l’enseignante est tributaire des comportements des enfants et, à quelques égards, du langage des garçons en milieu scolaire
19

Examen de la contribution des habiletés de traitement temporel à la performance en lecture durant l'enfance

Malenfant, Nathalie 13 April 2018 (has links)
L'objectif principal de cette thèse consiste à explorer les mécanismes à la base de l'association entre le traitement temporel et la performance en lecture durant l'enfance. La contribution de la conscience phonologique à cette association est examinée. Le vocabulaire et l'intelligence non-verbale sont également considérés à titre de facteurs explicatifs de l'association entre le traiterpent temporel, la conscience phonologique et la lecture. Les objectifs spécifiques sont de 1) tester l 'hypothèse d'une médiation de l'association entre le traitement temporel et la lecture par la conscience phonologique, 2) investiguer les influences génétiques et environnementales spécifiques et communes aux phénotypes à l'étude et 3) examiner la contribution du vocabulaire et de l'intelligence nonverbale aux associations entre le traitement temporel, la conscience phonologique et la lecture, tant sur le plan phénotypique qu'étiologique. Deux études empiriques constituent le corps de cette thèse. La première vise à tester le modèle médiationnel. Les résultats montrent que 44% de l'association entre le traitement temporel et la performance en lecture passe par la conscience phonologique, indépendamment de l'intelligence non-verbale. Le vocabulaire n'est que faiblement impliqué dans cette médiation partiellè. La seconde étude a pour but de caractériser les étiologies spécifique et commune aux phénotypes ciblés. Les différences individuelles sur le plan du traitement temporel sont, tout comme celles pour la conscience phonologique et la lecture, fortement influencées par des gènes additifs. Qui plus est, les résultats révèlent un facteur génétique commun à ces trois phénotypes. Cette base génétique commune est spécifique à ces phénotypes, puisqu'elle n'influence que faiblement le vocabulaire et l'intelligence non-verbale. L'effet de gènes ayant une portée générale sur la cognition est donc insuffisant pour expliquer leur association.
20

Influence de la classe sociale et du contexte sur la compétence à communiquer

Beaudoin, Pierrette 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015

Page generated in 0.1078 seconds