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La richesse éducative des stages

Bourget, Linda 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Étude des erreurs commises par des élèves thaïlandais du secondaire dans leurs productions écrites en français

Chaimusig, Saowanit 27 November 2019 (has links)
Cette recherche présente une analyse détaillée des difficultés qu’éprouvent 122 élèves thaïlandais du secondaire dans leur apprentissage du français écrit Deux types de rédactions nous ont servi à dresser l’inventaire de ces difficultés : un texte libre et une composition dirigée. Nous avons posé comme hypothèse que les connaissances et les habitudes langagières que les élèves ont des structures du thaï, langue maternelle, et de l'anglais, première langue étrangère apprise à l'école, exerçaient une forte influence sur l'apprentissage de la langue française. Après avoir fait un bref historique de la notion d'erreur en didactique des langues étrangères et après avoir comparé les systèmes morphologique, syntaxique, lexical et graphique du thaï et du français, nous avons analysé : la phrase, le groupe nominal, le groupe verbal, le groupe prépositionnel, le lexique et l'orthographe d'usage. Cet examen nous a permis de constater qu'un grand nombre de difficultés morphosyntaxiques sont attribuables à des caractéristiques structurelles intrinsèques au thaï et que plusieurs erreurs lexicales sont dues à l'interférence de l'anglais. Nous avons aussi étudié le contenu des manuels de la méthode La France en Direct : Adaptation pour la Thaïlande, Enfin, nous avons formulé des propositions didactiques visant à accroître, chez nos élèves, la prise de conscience de certaines particularités du thaï pendant l'apprentissage de leur deuxième langue étrangère. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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Le développement structural et morphosyntaxique du rappel de récit chez l'enfant sourd dans un contexte de lecture interactive

Baron, Marie-Pierre 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Le présent projet de recherche présente comment il est possible de créer un contexte pédagogique autour de la littérature jeunesse, au moyen de la lecture interactive, favorisant le développement de la cohérence macrostructurelle et celui de la cohésion microstructurelle du récit chez l'enfant sourd. Une expérimentation a été faite avec quatre élèves sourds de premier cycle du primaire qui s'expriment à l'oral auprès desquels des interventions dialogiques quotidiennes sur les récits de la littérature jeunesse ont été déployées pendant sept mois. Les résultats indiquent une majoration en ce qui a trait à la structuration des composantes récurrentes du récit ainsi qu'au développement morphosyntaxique du langage oral des élèves.
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L'intégration des sciences humaines et sciences de la nature au primaire : pour une perception globale de l'environnement

Jutras, Lucie 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Étude de la prononciation d'apprenant(e)s du français : que travailler en classe pour améliorer la compréhensibilité ?

Côté, Benjamin 13 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 juin 2023) / Depuis l'étude de Munro et Derwing (1995), qui a mis en lumière les relations qu'entretiennent la compréhensibilité, l'intelligibilité et l'accent perçu entre eux, plusieurs chercheuses et chercheurs se sont intéressé(e)s à découvrir les éléments linguistiques les plus contributoires à une meilleure compréhensibilité dans une langue additionnelle (Lx) afin que l'on accorde plus de temps en classe à ces éléments qu'à ceux n'ayant que peu d'impact. Cependant, peu de recherches se sont réalisées en d'autres langues que l'anglais. La présente recherche s'inspire en partie des travaux de Munro et Derwing (2006) et de Suzukida et Saito (2019), mais aussi de ceux de Brown (1988), afin d'identifier les écarts de prononciation en français Lx qui nuisent le plus à la compréhensibilité et d'établir quelques priorités pour l'enseignement de la prononciation. Le deuxième objectif principal est d'explorer les effets de la fréquence syllabique des syllabes du français sur la production d'erreurs chez des apprenant(e)s du français et aussi sa possible relation avec la compréhensibilité. Pour y arriver, les données de deux corpus ont été utilisées : le corpus d'extraits de parole d'apprenant(e)s du français de Beaulieu et al. (2021) et la banque de données d'unités sublexicales du français québécois SyllabO+ de Bédard et al. (2017). Nos données montrent l'importance de travailler les voyelles antérieures arrondies et les nasales auprès d'apprenant(e)s du français et que la confusion de certaines oppositions phonologiques neutralisables dans d'autres variétés de français n'a pas d'impact sur la compréhensibilité. Nous apportons quelques commentaires critiques sur la façon d'étudier la relation entre le rendement fonctionnel d'une opposition phonologique et l'impact de sa confusion sur la compréhensibilité. Enfin, nos résultats suggèrent que les syllabes dont la fréquence est faible sont plus l'objet d'écarts de prononciation. / Since Munro and Derwing (1995) study, which shed light on the relationships between comprehensibility, intelligibility and accentedness, several researchers have been interested in identifying the linguistic dimensions that contribute the most to better comprehensibility in an additionnal language (Lx) so that more time in class is allocated to these dimensions rather than to those having little impact. However, little research has been done in languages other than English. This research is partly inspired by the work of Munro and Derwing (2006) and Suzukida and Saito (2019), but also by that of Brown (1988), in order to identify the pronunciation mistakes in French as Lx that affect the comprehensibility and to establish some priorities for teaching pronunciation. The second main objective is to explore the effects of the syllabic frequency of French syllables on the production of mistakes in French learners and also its possible relationship with comprehensibility. To achieve this, data from two corpora were used: Beaulieu et al.'s (2021) corpus of speech extracts from French learners and Bédard et al.'s (2017) SyllabO+ database of Québec French sublexical units. Our data shows the importance of working on rounded front vowels and nasals with learners of French and that the confusion of certain phonological contrasts that can be neutralized in other varieties of French has no impact on the comprehensibility. We provide critical comments on how to study the relationship between the functional load of a phonological contrast and the impact of its confusion on comprehensibility. Finally, our results suggest that syllables with a low frequency are more subject to pronunciation mistakes.
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Lire des fables

Pouliot, Suzanne 25 April 2018 (has links)
La compréhension de textes littéraires constitue un des objets de la classe de français. Plus précisément cela signifie que l'élève doit faire montre de ses habiletés langagières, dont celle de se livrer à "un calcul interprétatif”, selon la formule consacrée depuis quelques années, soit "tenir compte de tous les éléments intra et extratextuels, qui concourent à ce calcul, soient-ils linguistiques, pragmatiques ou sémiotiques” (Béland, 1985, p. 96). Pour vérifier ce calcul interprétatif, nous avons observé comment des sujets âgés de 12 et 15 ans anticipaient un dialogue inséré dans une fable et ce, par des traces d'écriture. Pour ce faire, nous avons dépouillé 207 textes, produits dans six situations différentes d'écriture par 43 sujets québécois de Sherbrooke (6e année) et de Granby (Sec. III, Professionnel court). Pour le dépouillement, nous avons adopté le point de vue d'un enseignant préoccupé par le développement des habiletés langagières de ses sujets. C'est ainsi que nous avons relevé diverses manifestations qui rendent compte de ce travail de lecture dont celui du respect des signes de ponctuation, l'identification des tours de parole, la présence ou non d'actes de langage dans le dialogue. Ce dépouillement a révélé que l'habileté à anticiper des réparties dialogiques tend à s'accroître lorsqu'elle s'exerce dans une série composée de discours narratifs, de même nature. Ce qui était notre première hypothèse. De plus, d’un point de vue didactique, il nous a semblé important de localiser l'origine des difficultés en cernant les cheminements adoptés selon deux points de vue: lecturel et discursif. Ceux-ci ont permis de mettre en relief les nombreuses difficultés auxquelles se sont butés les lecteurs scripteurs, mais aussi de distinguer celles qui relèvent d'une habileté réduite à anticiper, faute de pouvoir repérer et mettre en relation divers indices (iconiques, linguistiques et extralinguistiques), en regard du dispositif discursif et celles qui sont dues à une méconnaissance des enjeux discursifs faute d'expériences suffisantes, dans le domaine retenu. Les nombreuses observations nous ont incité à dégager quelques "perspectives didactiques" qui pourront orienter, voire même faciliter le travail d'intervention de l'enseignant en compréhension de texte. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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L'anxiété langagière chez les locuteurs d'anglais de niveau universitaire selon le programme d'apprentissage du français langue seconde préalablement suivi

Wilkinson, Jane 17 April 2018 (has links)
L'anxiété langagière est un obstacle important pour les apprenants de langue seconde ou étrangère. Dans le passé, plusieurs chercheurs se sont penchés sur les sources de l'anxiété ainsi que les effets négatifs engendrés par l'anxiété langagière. Cependant, peu d'études ont examiné l'impact possible de l'éducation préalable en français sur l'anxiété langagière des apprenants de niveau universitaire. Au Canada, il existe deux programmes principaux d'apprentissage du français langue seconde : l'immersion et le « français de base ». Ces deux programmes ont des objectifs différents : le programme d'immersion met l'accent sur l'usage du français oral comme moyen de communication tandis que le « français de base » est davantage orienté sur la lecture et l'écriture. Les chercheurs qui ont comparé les compétences en français chez les élèves qui sont diplômés des deux programmes ont remarqué un écart significatif entre ces deux groupes. Pourtant, une comparaison des deux groupes quant à l'aspect émotif est rarement étudiée. C'est par le biais du Foreign Language Classroom Anxiety Scale (FLCAS) et un questionnaire sur la scolarisation antérieure en français que les données ont été recueillies. Les analyses de la variance ont révélé que les élèves diplômés du « français de base » éprouvaient plus d'anxiété langagière par rapport à ceux qui ont suivi un programme d'immersion précoce. Par contre, les analyses n'ont dévoilées aucune différence significative quand les niveaux d'anxiété langagière ont été mesurés en comparant les étudiants d'immersion précoce et ceux d'immersion tardive. Aucune différence vis-à-vis l'anxiété langagière n'a été trouvée selon l'année universitaire (lre ou 3e année) des élèves. / Language anxiety is a significant obstacle for second/foreign language students. Although many researchers have studied the negative effects caused by language anxiety, few studies have focussed on the influence of students' language background (either French immersion or core French) on their language anxiety at the university level. In Canada, there are two main French programs: French immersion and core French. Although the academic differences between these two groups have been the focus of many studies, the differences, with regards to affective variables, have rarely been examined. The data for this study were collected using the Foreign Language Classroom Anxiety Scale (FLCAS) and a demographic questionnaire which allowed a better understanding of the students' previous education in French. The results of this study supported the first hypothesis: the students who had graduated from a core French program reported having significantly higher levels of language anxiety than those who graduated from an early immersion program. On the other hand, no significant differences were found with regards to the ability level of the students (1st year versus 3rd year).
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Les choix de contenus d'enseignement et d'évaluation de la compétence orale dans les plans de cours de français du collégial : portraits de trois cégeps

Blanchet, Patricia-Anne January 2016 (has links)
Cette recherche pose les premiers échelons de la didactique de l'oral pour l'ordre collégial. Elle fait état de la place qu'occupe l'oral à cet ordre d'enseignement, dans la formation générale en français. Par l'analyse de 36 plans de cours récoltés dans trois cégeps et de six entretiens réalisés auprès d'enseignants de français, ce mémoire propose une description des contenus d'enseignement et d'évaluation de la compétence orale dans le cours de français de la formation générale «propre» au collégial. Les résultats indiquent une disparité de contenus intra et inter-collégiale. L'autonomie professionnelle des enseignants leur permet tout de même de planifier des contenus en accord avec les principaux fondements de la didactique de l'oral. Une formation spécifique à l'oral est néanmoins recommandée. Les questions de l'équité et de l'exhaustivité dans l'évaluation de la compétence orale au collégial demandent également à être éclaircies.
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Les pratiques de socialisation d'une enseignante en classe d'accueil du primaire au Québec

Steichen, Charles January 2014 (has links)
Suite à une recension des politiques québécoises pour une intégration scolaire et sociale, ainsi que d’écrits scientifiques à propos des besoins et interventions pour une intégration d’élèves immigrants, des besoins d’appartenance et de différenciation peuvent être identifiés. Ceux-ci se doivent respectés dans un quotidien scolaire d’apprentissage et d’échange de normes et valeurs, prenant en considération le vécu d’élève. La socialisation, l’une des trois missions de l’école québécoise, devient responsable de telles interventions. Il s’agit ainsi de se questionner sur la place des pratiques de socialisation, notamment dans le contexte québécois d’un enseignement en classe d’accueil, classes spécifiquement organisées pour l’enseignement-apprentissage d’élèves nouvellement arrivés. La composante des pratiques de socialisation demeurant peu étudiée, notre cadre conceptuel distingue entre trois conceptions du construit, s’alignant dans des approches respectives d’une inculcation durkheimienne, d’une intégration piagétienne ou d’une construction sociale de la réalité selon les écrits de Berger et Luckmann. Ces approches peuvent être alignées à des perspectives différentes, pour une intériorisation normative et culturelle, respectivement une distanciation critique. Le concept d’identité nous amène dès lors à nous questionner sur les recours portés à l’élève, admettant un espace de valorisation ou de dévalorisation de l’identité sociale et personnelle de l’individu. Finalement, la définition et l’opérationnalisation du concept d’intervention éducative permet de conclure le deuxième chapitre, et de retenir trois objectifs spécifiques à cette recherche : 1) Décrire les différentes pratiques de socialisation qui se dégagent de l’enseignement en classe; 2) Décrire le recours à l’identité sociale ou personnelle depuis ces pratiques; 3) Situer ces pratiques dans leur cadre d’intervention éducative respective. Pour réaliser ce projet de mémoire, nous avons entrepris une recherche qualitative de type exploratoire. Un regard ethnométhodologique, cherchant à rendre explicite les phénomènes et micro-actions construisant la vie sociale habituelle, a servi à situer les choix de collecte et d’analyse de données. Nous nous sommes servi d’une entrevue préliminaire, de deux entrevues d’explicitation, ainsi que de notes d’observations et de transcriptions de conversations lors de treize journées scolaires, de la rentrée jusqu’en novembre 2013, afin d’analyser les interventions d’une enseignante du primaire en classe d’accueil. Une analyse de contenu des observations et entrevues, combinée à une analyse de conversation des enregistrements a servi à distinguer entre différents types de pratiques de socialisation, d’approches de mise-en-pratique y reliées ainsi que de recours à l’élève et à son identité. Les résultats permettent de distinguer entre différents types de pratiques reliées à un comportement scolaire, des modalités d’organisation du travail scolaire, un rapport à soi et à l’autre et une utilisation et un apprentissage du code linguistique. Ces pratiques proposent des rapports diversifiés de l’individu en société : dépendamment du regard et de la nécessité perçue par l’enseignante pour une prescription normative, des pratiques et conversations dirigées vers un succès instrumental, stratégique ou communicationnel peuvent être observées. Dépendamment des types de pratiques et des volontés y associées, des approches d’enseignement-apprentissage tendent alors à concevoir la socialisation comme un processus d’inculcation, d’intégration ou de construction sociale. Des volontés de prise en compte des réalités d’élèves admettent en même temps une tentative de l’enseignante de superposer certaines conceptions hiérarchisées, pour proposer un rapport se voulant valorisant et significatif à une identification sociale et personnelle. Les interventions éducatives se conçoivent par un caractère de réflexivité quant aux nécessités d’organisation normative et aux besoins de prendre en compte les réalités propres à l’élève. Dans ce sens, cette étude met de l’avant l’importance d’analyser les pratiques de socialisation par une conceptualisation interdisciplinaire et holistique, afin de situer les dynamiques de flexibilité d’un enseignement-apprentissage de socialisation, se dégageant à la fois de contenus explicités et de relations interpersonnelles y associées.
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Les représentations sociales que partagent les intervenants de l'équipe-école oeuvrant au primaire à la Commission scolaire des Laurentides, au regard des difficultés légères d'apprentissage

Ratté, Sébastien January 2008 (has links)
Les représentations sociales que partagent les intervenants de l'équipe-école de la Commission scolaire des Laurentides, au regard des difficultés légères de l'apprentissage, sont au coeur de cette recherche. Ainsi, nous explorons d'abord l'état de la documentation scientifique sur le concept de difficulté d'apprentissage et mettons en lumière les changements qui sont survenus au cours des dernières années en lien avec ce concept. Nous présentons par la suite les éléments liés à notre cadre conceptuel soit le concept de résilience relié aux facteurs de risque et de protection ainsi que le concept des représentations sociales. Dans un troisième temps, nous faisons état de la méthodologie utilisée pour cette recherche et proposons nos objectifs de recherche. Vient ensuite la présentation et la discussion des résultats de notre recherche. Nous terminons en mettant en perspective les résultats obtenus au regard des objectifs que nous avions fixés pour ce mémoire.

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