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Sous le signe du métissage : l'ethnogenèse intra-amérindienne des Malécites (1600-1750)

Beaudet, Alexis January 2014 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à l’émergence du groupe autochtone Malécite entre 1600 et 1750. L’hypothèse défendue soutient que les Malécites sont apparus suite à des regroupements intertribaux forcés par le choc microbien, les guerres coloniales et les modifications économiques, culturelles et socio-politiques induites par la colonisation. Ce mémoire part d’un « problème d’identité » souvent relevé chez les Malécites et tente d’éclaircir leur provenance réelle, à l’aide d’une relecture des sources sous l’angle du concept d’ethnogenèse intra-amérindienne, ouvrant ainsi la voie à un aspect méconnu et inusité de l’histoire autochtone, à savoir les conséquences internes et identitaires de cette formidable rencontre que fut le contact.
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À un pas de l'ethnogenèse les individus d'ascendance mixte en Basse-Côte-Nord, 1850-1940

Lauzé, Vincent January 2012 (has links)
Ce mémoire aborde la question de l'ethnogenèse et plus particulièrement, il tente de mettre en place une méthodologie efficace pour savoir s'il y a présence ou absence d'ethnogenèse dans une région donnée. Ainsi, dans le cas présent, la région étudiée est le territoire de la Basse-Côte-Nord entre les années 1850 et 1940. Le tout débute par une étude comparative de trois foyers de métissage importants en Amérique de Nord, soit l'Ouest canadien, le pourtour des Grands Lacs et l'Acadie. Grâce à l'étude de ces régions, les facteurs critiques de la présence ou l'absence d'ethnogenèse sont mis au jour. Par la suite, ces facteurs sont confrontés à la réalité de la Basse-Côte-Nord afin de savoir s'il y a eu ethnogenèse au sein de cette région. Finalement, le groupe d'individus d'ascendance mixte est étudié par le biais de la communauté et de leur réseau social pour savoir s'il diffère socialement des autres individus de la région. L'hypothèse de ce mémoire est que les individus d'ascendance mixte de la Basse-Côte-Nord s'identifient à la communauté eurocanadienne. Toutefois, cette communauté se distingue du reste de la population québécoise par sa culture fortement adaptée au milieu dans lequel elle vit, de là la proximité avec la culture esquimaude. Car en plus d'être génétiquement métissée, cette population a subi un métissage culturel relié à une adaptation au territoire. L'étude de la communauté et du réseau social a pu démontrer qu'il n'y avait pas de différence entre les individus d'ascendance mixte et le reste de la population sur le territoire de la Basse-Côte-Nord. De plus, les facteurs clés pour détecter la présence de l'ethnogenèse n'ont pas été observés au sein de ce groupe métissé. En définitive, tous ces éléments réunis amènent donc le lecteur vers la seule conclusion possible, soit l'absence d'un groupe Métis en Basse-Côte-Nord.
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Renaissance des Leco perdus : ethnohistoire du piémont bolivien d’Apolobamba à Larecaja / Fusion or camouflage ? : ethnohistory of two revivals : the Leco of Apolo and Guanay in the Bolivian Pie-de-monte (Northern La Paz)

Ferrié, Francis 29 January 2014 (has links)
Les Leco du nord de La Paz étaient considérés disparus à la fin du XXe siècle, pourtant en 1997, deux groupes resurgissent séparément pour compter au total 9006 Leco en 2013.Si la résurgence ne fut pas conflictuelle à Guanay où se parlait une langue leca il y a 50 ans, elle fut violente à Apolo, où les Leco partagent langue, culture et parenté avec les paysans quechua voisins qui contestent à la fois leur droit à un territoire et leur condition de « vrais » Indiens.Afin de dépasser les essentialismes, la thèse tente de comprendre ces résurgences à partir de l’étude ethnohistorique de la région et de saisir les brassages hétéroclites d’où sont issus les Apoleños (indigènes Leco et paysans).Véritable nœud entre hautes et basses terres, Apolobamba a reçu très tôt des apports andins (puquina, aymara et quechua). Ses habitants, les Chuncho des Incas puis des Espagnols, présentent tous des traits linguistiques et socioculturels hybrides. La diversité ethnique se réduit dans les missions franciscaines du XVIIIe siècle, instaurant la frontière ethnolinguistique du Tuichi entre un sud plus andin et les « sauvages » du nord. Le libéralisme de la période républicaine et la construction identitaire nationale amenuisent encore la diversité régionale et accélèrent l’« andinisation ». De ces brassages émergent les Apolistas puis les Apoleños ; des identités toponymiques plus qu’ethniques. La renaissance des Leco s’inscrit dans un panorama national et international favorable, mais une langue leco se parlait encore il y a deux à trois générations sur les bords du Mapiri. Se pose le problème des transformations des sociétés et de leur continuité : métissages, acculturation, ou bien ethnogenèse, camouflage et résistance ? / The Leco from North of La Paz were considered to have disappeared by the end of the XXth century ; however in 1997, two groups of Leco re-emerged independently from each other, one in Larecaja and one in Apolo. In the former the claim was less violent than in the latter, where Quechua peasants share language, culture and kinship, and refuse to recognize the land rights and the identity of their “Indigenous Leco” neighbours.The thesis aims to understand ethnohistorically both resurgences, and tries to go beyond essentialism to understand the heterogeneous melting pot from where the Apoleños come.Apolobamba, because it connects highlands and lowlands, received Andean influences (puquina, aymara and quechua) early on. Its inhabitants, the Chuncho of the Incas then the Spaniards, show hybrid ethnolinguistic and socio-cultural features. The ethnic diversity was being reduced in the 18th century Franciscan Missions, where the ethnolinguistic border between an Andean South and the “savages” of the North was drawn at the Tuichi river. The liberal Republican period, with the construction of a national identity, once again shrunk regional diversity and increased “andeanization”. Apolistas and then Apoleños emerged from these interethnic mixes defined more geographically than ethnically.The Leco revival happens in an auspicious national and international context, but the Leco language was still spoken two or three generations ago on the Mapiri’s banks. It raises the question of social transformation and continuity: are we dealing with a case of acculturation, ethnogenesis, camouflage or resistance?
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Nationalisme ethnoculturel et rapport à la culture des Roms en Roumanie post-communiste et multiculturaliste / Ethnocultural nationalism and relation to culture of Roma in postcommunist and mulriculturaliste Romania

Lièvre, Marion 07 December 2013 (has links)
Cette recherche analyse les processus d’identifications collectives inhérents à unnationalisme ethnoculturel ainsi que les usages sociaux et politiques de la culture et de la"tradition". Elle porte sur les Roms en Roumanie post-communiste à l'heure de l'intégrationeuropéenne. Privilégiant une étude du nationalisme en deux champs, politique et quotidien,elle procède d'un terrain multi-situé basé sur l'ethnographie de la mobilisation ethnoculturelledes Roms de Roumanie et de familles roms en Roumanie et en France.Cette thèse postule l’émergence de la nation rom sur la scène nationale roumainecomme une construction récente, intrinsèque à la modernité et au nationalisme ethnoculturelrom roumain. En cela, ce dernier est exploré autour de trois axes qui sont les trois parties dethèse. Le premier, politico-historique, interroge la cristallisation du rapport à la culture enmiroir avec l'émergence du nationalisme ethnoculturel et du contexte de changement socialpropice à son avènement (post-communisme, démocratisation et multiculturalisme). Mêlanttrajectoires sociales de militants et analyses discursives, historiques et politiques, il revient surla genèse de l'opposition entre "Roms traditionnels" et "Roms roumanisés". Le second traitedes usages politiques de la "tradition" et de la "modernité" au travers des pratiques militanteset de l’analyse du discours sur la communauté de culture : la nation rom. Il illustre le rapportmoderne à la culture. Le dernier propose une description ethnographique du fonctionnementde l'ethnicité au travers de deux lignes d'analyse. La première appréhende la réception auprèsdes Roms militants et non militants de ce processus d'identification collective à la catégorierom. La seconde rend compte des logiques de l’appartenance ethnique et sociale au quotidien.Ces trois axes visent à interroger le lien entre construction d'une identification collective et etthnogenèse. / This research analyses the collective identification process resulting from anethnocultural nationalism as well as the social and political uses of culture and tradition. Itdeals with the Roma in post-communist Romania in the context of the European integration.Favoring a study of the nationalism in two fields, political and every day life, it proceeds by amulti-sited fieldwork based on the ethnography of the ethnocultural mobilization of Roma inRomania and focuses on roma families in Romania and France.This thesis postulates the emergence of Roma nation on the Romanian national sceneas a recent construction, intrinsic to modernity and to the roma Romanian ethnoculturalnationalism. Three themes make up the three parts of the thesis. The first, political-historical,questions the crystallization of the relation to culture in mirror with the emergence of theethnocultural nationalism and the context of social change favorable to it’s advent(postcomunism, democratization and multiculturalism). Reflecting upon the social trajectoriesof activists and bringing in discursive analysis, historical and political, it retraces the genesesof the opposition between “traditionnal roma” and “romanized roma”. The second deals withpolitical uses of tradition and modernity through militant practices and the analysis of thespeech on “community of culture” : the roma nation. It shows the modern relation to culture.The last suggests an ethnographic description of how ethnicity works through two lines ofanalysis. The first apprehends the reception from the roma militant and non-militant of thiscollective identification process to the roma category. The second reports the logics of socialand ethnic belonging in everyday life. This three themes aim at questioning the link betweenthe construction of collective identification and ethnogenesis.
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Les Frontières d’une ethnie des frontières : Les Thaïs-Ko-Kong / The borderlines of the border ethnic group : The Thais of Ko Kong

Boonwanno, Thanida 04 July 2014 (has links)
Les Thaïs dont il est question dans cette thèse ont été détachés et cédé avec l'ancien territoire siamois de Patchan Khirikhet ou Ko Kong à la colonie française du Cambodge en 1904. En conséquence, des Thaïs sont restés dans le territoire cambodgien de Ko Kong jusqu'à présent. À plusieurs époques, toutefois, les Thaïs-Ko-Kong ont choisi de traverser la frontière afin de rentrer définitivement dans la terre patrie de Thaïlande ; l'époque des Khmers Rouges tout particulièrement a provoqué la plus grande de ces immigrations et une nouvelle dispersion des Thaïs de Ko Kong. La majorité des immigrants thaïs-Ko-Kong a trouvé refuge dans le district de Khlong Yai, dans la province frontalière de Trat. Aujourd'hui, le district thaïlandais de Khlong Yai et la province cambodgienne de Ko Kong sont ainsi l'espace transfrontalier principal des Thaïs-Ko-Kong. Cette recherche a pour le but de répondre à trois questions principales sur l'ethnogenèse des Thaïs-Ko-Kong, les identités dynamiques des Thaïs-Ko-Kong et l'hégémonie des frontières des Thaïs-Ko-Kong. Les Thaïs-Ko-Kong ne sont pas un groupe ethnique, ils sont une « ethnie-frontières », un pseudo groupe ethnique, qui s'est formé par une histoire commune liée à la délimitation des frontières et par l'expérience des immigrations depuis le Cambodge. / The Thai people studied in this research have been separated with the ancient Siamese territory of Patchan Khirikhet or Ko Kong and given to the French colony of Cambodia in 1904. Consequently, they constitute nowadays a Thai ethnic minority in Ko Kong province of Cambodia. From generation to generation, at many occasions the Thais of Ko Kong have decided to cross the borderline to go back to their ancestor's homeland. But the main immigration, the dispersion and the disappearance of many Thais from Ko Kong occurred during the Khmers Rouges period. A majority of the Thai migrants from Ko Kong province have settled down at Khlong Yai district at the extreme East of Trat province, in Thailand. At the present time, Khlong Yai district of Thailand and Ko Kong province of Cambodia are therefore a core trans-boundary area for the Thais of Ko Kong. The aims of this research are at answering three mains questions concerning the ethnogenesis, the dynamic identities of the Thais of Ko Kong and their hegemonic controls of the borderlines and border areas. The Thais of Ko Kong are not an ethnic group. They are an « border ethnic group », a pseudo-ethnic group, who have been formed by their common history of the delimitation of frontiers in 1904 and their migration experiences from Cambodia.
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Descendre de la montagne, traverser la mer : Dynamiques de l'origine, processus d'organisation sociale et ethnogenèse chez les Riung de Florès / Descending from the Mountain, Crossing the Sea : Dynamics of Origin, Processes of Social Organization, and Ethnogenesis among the Riung of Flores

Rémon, Nao-Cosme 21 December 2012 (has links)
Les villages et les domaines coutumiers de la région de Riung, dans le centre-ouest de l'île de Florès (Indonésie orientale), constituent un ensemble hétérogène marqué par une variabilité culturelle, linguistique, et religieuse. Cette diversité prend place dans un contexte ethno-historique caractéristique du monde austronésien : un paysage traversé par des dynamiques structurantes de mobilité, de dispersion et d'agrégation de groupes humains ; autant de processus qu'accompagne une nécessaire flexibilité sociale et politique. S'éparpillant à partir d'une montagne locale ou débarquant sur la côte, les communautés de Riung s'organisent selon un mode essentiellement dualiste fondé sur un principe de préséance. L'altérité, conçue localement comme un invariant du « vivre ensemble », participe à l'émergence et à l'entretien d'une ethnicité. Cette thèse interroge la construction du paysage social Riung à travers trois axes d'analyse principaux : d'abord les élaborations culturelles et sociales liées à la conception locale de l' « origine », ensuite les processus ethno-historiques d'organisation sociale, enfin les pratiques, notamment matrimoniales, qui articulent et alimentent les espaces d'interrelations. A ces différents niveaux de la vie sociale correspondent par ailleurs des dynamiques identitaires elles-mêmes variées : la continuité d'une identité « ancestrale » de lignage ; la gestion d'une division religieuse de la population entre catholiques et musulmans ; et l'émergence d'une identité « ethnique ». / The villages and traditional domains of the Riung region, in west-central Flores (eastern Indonesia) constitute a heterogeneous assemblage marked by cultural, linguistic, and religious variability. This diversity takes place in a typical Austronesian ethno-historical context: a landscape crossed by structuring dynamics of mobility, dispersion, and aggregation of human groups. Such processes necessarily go with a social and political flexibility. Scattered from a local mountain or landed on the coast, Riung communities are organized according to an essentially dualistic way founded on a principle of precedence. The ‘otherness', locally conceived as an invariant of the ‘togetherness', contributes to the emergence and the sustaining of an ethnicity. This dissertation questions the construction of Riung social landscape through three main analytical axes: the social and cultural elaborations concerned by the local conception of ‘origin', the ethno-historical processes of social organization, and the social practices, notably alliance and marriage, which articulate and maintain spaces of interrelations. To these different levels of social life corresponds a variety of dynamics of identity: the continuity of the lineage ‘ancestral' identity; the management of the religious division between Catholics and Muslims; and the emergence of an ‘ethnic' identity.

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