This essay is a qualitative study where the theory of face and image repair theory evaluate the apologetic strategy of a pudel. The analysed data is from Swedish former Members of Parliament that had to leave their positions due to scandals they were involved in that affected them personally. The analysis shows that the image repair strategy of bolstering is commonly used, that bolstering poses a threat on the speaker’s positive face, and that bolstering is a jeopardising move when attempting to perform a pudel. This study also confirms that when executed successfully, a pudel could restore image and be a successful face-saving strategy. The results also detect the need to further research on how linguistics and rhetoric can cooperate to make more thorough analyses of speech acts. / Denna uppsats är en kvalitativ studie där teorin om face och image repair analyserar och utvärderar den kommunikativa strategin pudeln. Det analyserade datat kommer från pressmeddelanden, presskonferenser och officiella Facebookmeddelanden från svenska riksdagspolitiker som på grund av en skandal behövt lämna sin ledamotsroll i Sveriges Riksdag. Resultatet påvisar att strategin bolstering inom image repair teorin, är vanligt förekommande, att samma strategi utgör ett ansiktshot på den person som använder sig av den strategin och att om man inte lyckas med sin bolstering, riskerar man att inte rädda sitt ansikte eller anseende. Studien visar också på att en lyckad tillämpning av pudeln kan rädda en persons anseende och ansikte. Resultaten i studien öppnar även upp för framtida undersökning, och påvisar att lingvistiska teorier och retoriska teorier kan komplettera varandra vid mer ingående analyser av talakter.

Le sujet de cette thèse porte sur la demande de pardon adressée officiellement par des gouvernements à des peuples ou à des groupes - souvent à une minorité de leur propre nation - victimes un jour de crimes, d'injustices ou d'atrocités. Il pose au départ plusieurs questions: d'où provient cette vague de demandes de pardon publiques et politiques, qui semble s'amplifier avec les années, et qui se répand aujourd'hui dans le monde entier? Quel crédit lui apporter? Quelle valeur peut avoir une demande de pardon venue du pouvoir, surtout quand elle est le résultat d'une exigence d'un peuple ou d'une collectivité? Peut-on réellement pardonner l'impardonnable, peut-on pardonner au nom des morts? Assiste-t-on à une simple mode, ou bien à un phénomène de réappropriation du politique par l'éthique? Pour répondre à ces questions, j'ai choisi de travailler sur le cas des Unangan (Aléoutes) de l'Alaska, qui, en 1988, reçurent du Congrès américain une demande de pardon officielle assortie de réparations financières, pour leur déportation et leur internement au cours de la Deuxième Guerre mondiale dans des conditions inhumaines. J'ai donc travaillé pendant six mois, au cours de l'année 2004, avec trois générations d'Unangan urbanisés à Anchorage, survivants de la déportation, enfants et petits-enfants. L'analyse de mes données montre d'abord que ces demandes de pardon officielles correspondent à la fois à une exigence des peuples en mal de reconnaissance, et à la fois à un nouveau courant de pensée morale qui traverse aujourd'hui nos sociétés. Elle montre d'autre part que, si elle veut passer le cap de la crédibilité, cette repentance politique suppose un certain nombre de conditions, qui caractérisent d'ordinaire le pardon interpersonnel: face à face, coeur à coeur, repentir, justice, réparations, engagement à se transformer et à ne plus répéter le même crime, etc. Elle montre enfin que la double aporie, représentée par le pardon de l'impardonnable et l'introduction d'une valeur pure dans le domaine du politique, auquel elle est a priori hétérogène sur tous les plans, peut être renversée, et donc vécue positivement. En conclusion, cette étude avance la théorie que les peuples un jour brisés et traumatisés peuvent à travers le pardon opérer un début de réconciliation, et que les demandes de pardon des États, même incomplètes et même imparfaites, parce qu'elles reconnaissent les crimes du passé et font avancer l'Histoire, apportent leur contribution à une meilleure humanité.

This research sets out to examine the main excuses, often mentioned in connection to the so-called “honour killings” in Pakistan. In this way, the aim is to discuss the idea of “honour killings” by looking at trends and patterns in this kind of homicides in Pakistan. This study also explores what legal and judicial obstacles stand in the way of putting an end to the abuse of killing women in the name of honour.The first part is mainly theoretical and analytical. In this part a set of concepts is theorized as the notion of patriarchy, public/private division and cultural globalization. These theories test the empirical data of “honour killing” in the last decade and try to find their role in the society of Pakistan. This study also analyzes the “honour killing” cases in a different way by telling stories. Second part contributes to the research regarding Islam the official religion of Pakistan. This section mainly concerns the status of women in Islam and their rights of life and free will to choose their spouses. This study also tries to remove the misconception in the minds of the West regarding Islamic teachings towards women.This study proceeds mainly under the qualitative method with the supplementary help of quantitative method. At the end, the thesis bears some finding under the abductive technique. The results show that the tested theories have a significant role in upholding the ancient practice of “honour killings” in Pakistan, and Qur’aanic and Prophetic Islam has no link with the abuse of “honour killing” in general. It is ancient tribal phenomena that have entered in some cultural norms of the society.