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Stabilité du charbon végétal (biochar) dans le sol et impact sur la productivité et les cycles des nutriments des prairies alpines / Charcoal (biochar) impact on soil carbon stocks, productivity and nutrient cycles of alpine grasslands

Criscuoli, Irene 14 December 2016 (has links)
Le charbon de bois (biochar), est un amendement qui améliore les propriétés physico-chimiques du sol, augmente le stockage du carbone et les productions agricoles. Les anciens sites de production de charbon permettent d'évaluer son impact directement sur le terrain et sur le long terme. Dans les Alpes italiennes on a échantillonné une série de charbonnières daté de 1858 ainsi que les sols de prairies adjacents, ne contenant pas de charbon. 80±21% du carbone provenant de la production du charbon est toujours présent dans le sol et a un temps de résidence moyen de 650±139 ans. Le contenu des nutriments et leur biodisponibilité sont plus élevés dans les charbonnières par rapport à la prairie alentour et, sont plus élevés aujourd'hui qu'en 1858. L'ajout de charbon apporte des nutriments au sol, mais à court terme les ions Ca2+, K+, SO42- et Mg2+ sont lixiviés sous forme de cendres. Le charbon s'avère capable de retenir les dépositions atmosphériques de PO43-, NH4+, NO3- et, sur le long terme, de K+. L'augmentation du contenu en nutriments, la diminution de l'hydrophobie et de la densité apparente du sol augmentent la productivité et la valeur nutritionnelle des espèces alpines fourragères (Festuca nugrescens Lam. et Trifolium pratense L.). La croissance des plantes est limitée par l'azote sur les charbonnière et par le phosphore dans les prairies non-amendés ou amendés récemment. Nous concluons que le charbon/biochar peut être une stratégie pour stocker le carbone dans les sols, augmenter la production de biomasse et la qualité du fourrage des prairies Alpines à long terme. Toutefois les opérations d'enfouissement peuvent être complexes à cause de la géomorphologie des Alpes. / Charcoal or biochar is proposed as a soil amendment to improve physio-chemical soil properties, increase soil carbon (C) stocks and agricultural yields. Ancient charcoal hearths provide an opportunity to investigate its impact under field conditions and in the long term. A series of charcoal hearths and adjacent charcoal-free soils under grassland in the Italian Alps abandoned in 1858 was sampled.80±21% of the C originating from ancient charcoal is still present in the soil today and has a Mean Residence Time of 650±139 years. The content of total and available nutrients is higher in the hearths soils compared to the surrounding grasslands and it is higher today compared to 1858. The input of charcoal directly adds nutrients to soils but Ca2+, K+, SO42- and Mg2+ are leached in the short term after application, as they are lost in the form of ashes. Charcoal is able to retain atmospheric depositions of PO43-, NH4+, NO3- and in the long term K+.The increase in soil nutrient content and decreases in hydrophobicity and bulk density translated into higher plant growth and nutritional values of two alpine fodder species (Festuca nigrescens Lam. and Trifolium pratense L.). Plant growth was N-limited in the charcoal hearths soils and P-limited in the surrounding grasslands not amended or recently amended with charcoal/biochar.We can conclude that charcoal/biochar is a long term strategy to store carbon in soils, improve biomass productivity and fodder quality in alpine grasslands. However charcoal/biochar incorporation into soil can be complex because of the geomorphology of the Alps.
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Digestion de l'amidon et des parois végétales du maïs fourrage chez les ruminants : conséquences sur l'évaluation de sa valeur nutritive / Starch and cell wall digestion of maize forage in ruminants : consequences on its nutritive value evaluation

Peyrat, Julie 21 November 2014 (has links)
L’ensilage de maïs, fourrage principal dans les rations hivernales des ruminants à haut niveau de production, est composé de deux fractions énergétiques : l’amidon et les parois végétales. Les proportions relatives de ces deux fractions varient selon le stade de maturité de la plante à la récolte, la variété cultivée et les conditions de culture. Proposé dans les années 1990, le système de prévision de la valeur nutritive de l’ensilage de maïs, basé sur l’estimation de la digestibilité de la matière organique (dMO) dans le tube digestif total, nécessite d’être amélioré pour prendre en compte de façon explicite la contribution respective de l’amidon et des parois végétales à la MO digérée, et permettre d’estimer la part de l’amidon dégradée dans le rumen. Par ailleurs, la validité des équations actuellement utilisées doit être vérifiée sur les nouvelles variétés de maïs et pour des pratiques de récolte qui ont sensiblement évolué par rapport aux années 1980. Les objectifs de la thèse étaient 1) d’acquérir de nouvelles données de référence de la dMO et des fractions amidon et parois végétales de l’ensilage de maïs mesurées in vivo, 2) de préciser la partition de la digestion de l’amidon et des parois végétales entre le rumen et les intestins et 3) de rechercher de nouveaux critères de prévision du devenir de l’amidon et des parois végétales dans le tube digestif. La digestibilité in vivo chez le mouton a été mesurée pour 36 ensilages de maïs résultant pour 32 d’entre eux de la culture 2 années consécutives en un même site de 4 variétés récoltées à 4 stades de maturité ; 4 ensilages supplémentaires ont été réalisées sur un second site de culture avec 2 variétés et 2 stades de maturité. La dégradabilité ruminale in sacco de l’amidon et des parois a également été mesurée chez la vache pour ces 36 maïs avec une méthodologie mise au point pour les fourrages riches en amidon. Pour les 4 ensilages de maïs cultivés sur le second site, un bilan digestif complet au niveau du rumen et des intestins a été réalisé sur vaches. Par rapport aux données des Tables INRA 2007 issues des mesures réalisées sur le maïs en vert à la fin des années 1980, les maïs utilisés dans cette thèse se caractérisent par une teneur en amidon plus élevée, une teneur en parois végétales plus faible, une dMO comparable, mais une digestibilité des parois végétales plus faible. La relative stabilité de la dMO avec le stade de maturité à la récolte s’explique par un phénomène de compensation entre l’augmentation de la quantité d’amidon digestible et la diminution de la quantité de parois digestibles. Le type de variété et le stade de maturité à la récolte influencent la partition de la digestion avec une dégradabilité ruminale de l’amidon plus faible pour les stades de récolte tardifs, ce qui induit des profils fermentaires différents. Bien que la composition chimique des maïs ait évolué, l’équation de prévision de la dMO proposée par l’INRA en 1996, à partir de la digestibilité pepsine-cellulase mesurée au laboratoire, a pu être validée sur les données in vivo et reste pertinente pour prévoir la dMO en pratique. Les nouvelles données de référence acquises sur animaux qui ont été mises en relation avec des critères chimiques et enzymatiques mesurés au laboratoire et avec des critères agronomiques seront utilisées pour mieux caractériser la valeur nutritive des maïs fourrage dans SYSTALI, le nouveau système d’alimentation proposé par l’INRA. / Maize silage, commonly used in the diet of high-yielding ruminants, provides two energetic fractions: starch and cell wall (NDF). The proportion of the two energetic fractions in the whole plant varies with the stage ofmaturity at harvest, type of hybrid and climatic conditions. The prediction system of maize silage’s nutritive value developed in the 1990s, is based on the estimation of in vivo total tract organic matter digestibility (Omd). This system needs to be revised to better take into account the respective contribution of starch and cell wall in the digested organic matter and therefore to allow the prediction of the starch degradation in the rumen. Moreover, validity of prediction equations requires to be tested with current hybrids of maize and harvest practices which changed compared to 1980s. The aims of the thesis were to 1) obtain new references on Omd and on in vivo digestibility of starch and cell wall, 2) specify partition of starch and cell wall digestion between rumen and intestines, 3) investigate new prediction criteria of starch and cell wall digestion. In vivo digestibility in sheep was measured on 36 maize silages. Thirty-two maize silages were obtained from 4 hybrids that were cultivated for 2 consecutive years in the same location and harvested at 4 stages of maturity. Four additional silages (2 hybrids and 2 maturity stages) were produced in different location. In sacco starch and cell wall degradability in the rumen was measured in cows for the 36 maize silages with an adapted methodology developed in this thesis for high starch content forages. For the 4 maize silages harvested in the second location, the digestion in the rumen and in the intestines was quantified in vivo on cows. Maize silages of this thesis were characterized by higher starch content, lower cell wall content, similar OMd but lower in vivo digestibility of cell walls compared to INRA 2007 data, obtained from measures on fresh plant in 1980s. The relative stability of OMd with stage of maturity was explained by the compensation between the increase in the content of digestible starch and the decrease in digestible cell wall content. Type of hybrid and maturity stage at harvest affected digestive partition with lower starch degradability in the rumen for late maturity stages involving differences in fermentation profiles in the rumen. Although chemical composition of maize has changed, the INRA equation used to predict OMd from laboratory pepsin-cellulase digestibility has been validated on the in vivo data of the thesis and, therefore remains relevant for OMd prediction. New in vivo datas, in relation to chemical, enzymatic and agronomy parameters, will allow better evaluation of the nutritive value of maize silage in the future feed evaluation systems developed by INRA.
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Contribution des légumineuses, des champignons endophytes et mycorhiziens dans la nutrition azotée des prairies indigènes semi-arides

Klabi, Rim 08 1900 (has links)
Les prairies indigènes présentent une source importante d'alimentation pour le pâturage du bétail dans les prairies Canadiennes semi-arides. L'addition de légumineuses fixatrices d'azote et de phosphore dans les prairies indigènes peut améliorer la productivité et la valeur nutritive de fourrage. Ces pratiques peuvent induire des modifications de la structure et de la diversité des communautés fongiques du sol, ce qui peut en retour avoir un impact sur la production et le contenu nutritionnel du fourrage. L’objectif de cette étude était de développer un système de pâturage à bas niveau d’intrants, productif, autonome et durable. À court terme, nous voulions 1) déterminer l'effet des légumineuses (Medicago sativa, une légumineuse cultivée ou Dalea purpurea, une légumineuse indigène) et la fertilité en phosphore du sol sur la productivité et la valeur nutritive des graminées indigènes, comparées avec celles de la graminée introduite Bromus biebersteinii en mélange avec le M. sativa, 2) identifier l'effet de ces pratiques sur la diversité et la structure des communautés des champignons mycorhiziens à arbuscules (CMA) et des champignons totaux, 3) identifier l'effet des légumineuses et des CMA sur les interactions compétitives entre les graminées de saison fraîche et les graminées de saison chaude. Les expériences menées au champ ont montré que M. sativa améliorait les teneurs en azote et en phosphore des graminées indigènes au début de l'été, ainsi que la teneur en azote de la graminée de saison chaude Bouteloua gracilis à la fin de l'été de l'année sèche 2009. Par contre, la fertilité en phosphore du sol n'ait pas affecté la productivité des plantes. D'autre part, l'inclusion des légumineuses augmentait la diversité des CMA dans le mélange de graminées indigènes. Cette modification présentait des corrélations positives avec la productivité et la quantité totale d'azote chez le M. sativa et avec la teneur en phosphore des graminées indigènes, au début de l'été. La structure des communautés de champignons totaux était influencée par l'interaction entre le mélange des espèces et la fertilité en phosphore du sol seulement en 2008 (année humide). Cet effet pourrait être lié en partie avec la productivité des plantes et l'humidité du sol. Les expériences menées en chambre de culture ont montré que les CMA peuvent favoriser la productivité des graminées de saison chaude au détriment des graminées de saison fraîche. En effet, Glomus cubense augmentait la productivité de la graminée de saison chaude B. gracilis, en présence de M. sativa. Cet effet pourrait être associé à l’effet négatif du G. cubense sur la fixation de l’azote par le M. sativa et à la diminution de l’efficacité d’utilisation de l'azote de certaines graminées de saison fraîche résultant en une augmentation de la disponibilité de l'azote pour B. gracilis. Par contre, le Glomus sp. augmentait la biomasse de Schizachyrium scoparium, autre graminée de saison chaude, en absence de légumineuse. Ce phénomène pourrait être attribuable à une amélioration de l’efficacité d’utilisation du P de cette graminée. En conclusion, mes travaux de recherche ont montré que la légumineuse cultivée M. sativa peut améliorer la valeur nutritive des graminées indigènes au début de l'été ainsi que celle de la graminée de saison chaude B. gracilis, dans des conditions de sécheresse sévère de la fin de l'été. De plus, l'addition de M. sativa dans le mélange de graminées indigènes peut contribuer à augmenter le nombre des espèces bénéfiques des CMA pour la production et la nutrition du fourrage au début de l'été. / The native grasslands are considered as the main feed source for livestock grazing, in semi-arid regions of the Canadian prairies. The addition of N fixing legumes and phosphorus to semi-arid native grasslands may increase the productivity and nutritive value of forage. However, these practices may also shape the structure and diversity of soil fungal communities which in turn may impact forage production and nutritive value. The global objective of this research was to design productive, self-sustaining, permanent and with low inputs pastures. The specific objectives were 1) to demonstrate the effect of N-fixing legumes (the cultivated legume Medicago sativa or the native legume Dalea purpurea) and soil P fertility on the productivity and nutritive value of native grasses mixes in comparison to the mixture of the introduced grass Bromus biebersteinii and M. sativa, 2) identify the effect of these practices on the diversity and community structure of arbuscular mycorrhizal (AM) fungi and total fungi, and 3) identify the effect of legumes and AM fungi on competitive interactions between native cool-season grasses and native warm-season grasses. The field experiment showed that M. sativa improved the nitrogen and phosphorus concentrations of native grasses mixes early in the summer, as well as the N concentration of the warm-season grass B. gracilis, in late summer of the driest year 2009. In contrast, the soil phosphorus fertility had no effect on plant productivity. On the other hand, the inclusion of legumes to the mix of native grasses generally increased AM fungal diversity. This shift was positively correlated with the productivity and nitrogen uptake by M. sativa and with the phosphorus concentration of native grasses mixes in early summer. The structure of the total fungal community was affected by the interaction between species mixtures and soil P fertility only in the wet year (2008), suggesting that this effect was likely driven in part by plant productivity and soil moisture. The growth chamber experiment showed that the AM fungi may favoured the growth of warm-season grasses under competition with cool-season grasses. However, Glomus cubense increased the productivity of warm-season grass B. gracilis when growing with M. sativa. This effect might be related to a negative impact of G. cubense on the nitrogen-fixing activity of M. sativa and to a lower N-use efficiency of certain cool-season grasses, which resulted in increased soil N availability for B. gracilis. In contrast, Glomus sp. enhanced the growth of S. scoparium, another warm-season grass in the absence of legumes, and this may be related to improved P-use efficiency in this grass. We concluded that the cultivated legume M. sativa can improve the nutritive value of native grasses mixes early in the summer and also of warm season grass under severe drought conditions in late summer. In addition, the inclusion of M. sativa within native grass mixes may contribute to promote beneficial AM fungi taxa that were involved in forage production and nutrition early in the summer.
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Effets du chaulage sur le fontionnement de l'écosystème prairial en moyenne montagne / Effects of liming on the multifunctionality of upland grasslands

Lochon, Iris 19 December 2018 (has links)
La mise en place d’une agriculture plus durable nécessite une compréhension de l’impact des pratiques de gestion sur le fonctionnement des agroécosystèmes et sur la fourniture de services écosystémiques. En représentant près de 68% des terres agricoles mondiales et contribuant à la subsistance de plus de 800 millions de personnes, les prairies sont l’un des agroécosystèmes où l’optimisation des pratiques agricoles apparaît comme cruciale. Ce travail de thèse porte sur le chaulage, une pratique agricole connue pour lutter contre les effets de l’acidification des sols – qu’elle soit naturelle ou induite par la gestion – mais dont l’efficacité est variable en prairie permanente. De fait, la littérature documentant l’impact du chaulage en prairie permanente est limitée et ne prend en compte que rarement la multifonctionnalité de ces agroécosystèmes. Par une approche intégrant différents types d’expérimentations, mon travail de thèse a cherché à répondre à ce besoin et à renforcer les connaissances du chaulage sur le fonctionnement de l’écosystème prairial. Le développement d’expérimentations au champ (in situ), en conditions semi-contrôlées (mésocosmes) et d’incubations de sol au laboratoire (microcosmes) a permis d’explorer les effets du chaulage sur les différents compartiments de l’écosystème prairial (végétation, microorganismes, sol) ainsi que l’influence de facteurs modulant ces effets. Dans l’ensemble des expérimentations, le chaulage a effectivement augmenté le pH des sols. Toutefois, cette amélioration du statut acido-basique du sol ne s’est pas toujours traduite par une augmentation de la productivité du fourrage ou des biomasses microbiennes et racinaires. Mes travaux ont montré que le chaulage contribue aux émissions de gaz à effet de serre par différentes voies (réémission du carbone apporté sous forme de chaulage et stimulation de la minéralisation) et peut potentiellement réduire les émissions de CO2 à l’échelle de la respiration de l’écosystème. Collectivement mes résultats soulignent l’importance du contexte pédoclimatique sur l’impact du chaulage en prairie permanente, et la difficulté d’extrapoler les effets du chaulage, en particulier sur la production de fourrage et les émissions de gaz à effet de serre, d’une échelle d’étude fine à l’échelle de la parcelle en prairie permanente. L’efficacité du chaulage semble dépendre du type d’amendement et de son dosage et peut également interagir avec d’autres pratiques de gestion telles que la fertilisation azotée et le niveau d’intensité de gestion. / The development of sustainable agriculture requires greater understanding of the impact of management practices on agroecosystem functioning, and on the ecosystem services provided by these agroecosystems. Representing nearly 68% of world's agricultural surfaces and contributing to the livelihoods of more than 800 million people, grasslands are one of the major agroecosystems where optimized agricultural practices are of concern. This PhD focuses on liming, a well-known practice for counteracting soil acidification (due to ongoing natural processes or accelerated by management practices), but which has variable efficiency in permanent grasslands. Indeed, liming effects on grassland are poorly documented and existing studies rarely take into account grassland multifunctionality. My thesis uses an integrated approach to improve the knowledge of liming impacts on grassland functioning. Different types of experiments – in the field (in situ), in semi-controlled conditions (mesocosms) and laboratory soil incubations (microcosms) – were used to study liming effects on different grassland compartments (vegetation, microorganisms, soil) along with possible interacting factors. Liming effectively increased soil pH in all the experiments. However, improving pH status did not always lead to greater forage production or increases in microbial and root biomass. My results showed that liming can enhance greenhouse gas emissions through several pathways (reemission of lime-derived carbon or stimulation of carbon mineralization), but may also reduce CO2 emissions from ecosystem respiration. Collectively, my findings emphasize the importance of pedoclimatic conditions for liming impacts on permanent grasslands and highlight the difficulty of upscaling liming effects, particularly on forage production and greenhouse gas emissions. The efficiency of liming appears to depend on the type and dose of soil improvers and can also interact with other management practices such as nitrogen fertilization and management intensification.
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Yield, nutritive value and effects on soil fertility of forage grasses and legumes cultivated as ley pastures in the Borgou region of Benin/Production, valeur alimentaire et effets sur la fertilité des sols de graminées et de légumineuses fourragères cultivées comme jachère fourragère dans la region du Borgou au Bénin

Adjolohoun, Sébastien 26 May 2008 (has links)
Summary In the Sudanian zone of West Africa like in the Borgou region of Benin, agricultural and livestock systems face more and more difficulties linked to climatic changes, the decrease in soil fertility and the degradation of natural grasslands. This leads to a decrease in agricultural yields and feeding resources for livestock. On another hand, the socio-economical conditions of the small-holders dont allow them to invest in mineral fertilisers to remedy to soil fertility decrease. The introduction of ley pastures in crop rotations may be an affordable solution to increase available feeds for livestock and to improve soil fertility. The first part of this work reviews the potentialities of various local and exotic grasses and legumes which could be cultivated in the Borgou region. The choice of these species take into consideration the pedo-climatic conditions of the region, their aptitude for production, their nutritive value and their contribution to soil fertility. In the second and third parts of the thesis, the results of experimental 3-year ley pastures using 4 grasses (Panicum maximum Jacq cv. C1, Andropogon gayanus Kunth with broad leaves, A. gayanus with narrow limbs and Pennisetum purpureum Schumach.) and 6 légumineuses (Aeschynomene histrix Poir, Stylosanthes fruticosa (Retz.) Alson, Centrosema pubescens Benth., Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis Wall. Ex Wight) Baker ex Burck, Cajanus cajan (L.) Millsp. and Leucaena leucocephala (Lam.) De Wit) and exploited without any supply in mineral fertilisers are described concerning their yields and nutritive values. The grasses productions varied between 2 200 and 4 600 forage units (UF, in French unites fourragères)/ha/year and between 170 and 450 kg digestible crude protein/ha/year according to species and years (P<0.05). The forage legumes produced between 1 400 and 4 800 kg dry matter (DM)/ha/year according to species and years (P<0.05) with crude protein contents ranging from 16 to 27 %. Except Na and Zn, the combination of these two forage groups can satisfy the ruminant needs in macro and micro-minerals. The fourth part of the manuscript presents a soil-fertility balance under the different ley pastures after 3 years of exploitation. At the end of this study, it appears that in the experimental conditions (cut-and-carry system without fertilisers) Andropogon gayanus with broad leaves and the ligneous legume species Cajanus cajan and Leucaena leucocephala ensure the highest DM yields and are the less exhausting for soil fertility due to deeper root systems enabling to bring up to the surface mineral elements from deep layers / Résumé Dans la région soudanienne de lAfrique de lOuest comme dans le Borgou au Bénin, les systèmes de production agricole et délevage connaissent de plus en plus de difficultés liées aux aléas climatiques, à lappauvrissement rapide des sols et à la dégradation des végétations naturelles. Il en résulte une baisse des rendements agricoles et des ressources alimentaires pour le bétail. Par ailleurs, les conditions socio-économiques des producteurs limitent leurs possibilités dachat d'engrais en vue de remédier à la baisse de fertilité des sols. Dans ce contexte lintroduction de jachères fourragères dans les rotations culturales constitue une solution pour augmenter les disponibilités alimentaires destinées au bétail et enrichir le sol. La première partie de ce travail présente un inventaire de graminées et de légumineuses locales ou exotiques qui peuvent être implantées dans le Borgou. Le choix de ces espèces tient compte des conditions pédo-climatiques de la région, de leur aptitude à la production, de leur valeur alimentaire et de leur contribution à la fertilité des sols. Dans les deuxième et troisième parties de la thèse, les résultats de jachères expérimentales de trois ans comprenant 4 graminées (Panicum maximum Jacq var. C1, Andropogon gayanus Kunth à larges feuilles, A. gayanus à fines feuilles et Pennisetum purpureum Schumach.) et 6 légumineuses (Aeschynomene histrix Poir, Stylosanthes fruticosa (Retz.) Alson, Centrosema pubescens Benth., Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis Wall. Ex Wight) Baker ex Burck, Cajanus cajan (L.) Millsp. et Leucaena leucocephala (Lam.) De Wit) et exploitées sans apports de fumure minérale sont décrits en ce qui concerne leurs rendements et leurs valeurs alimentaires. Les productions des graminées ont varié entre 2 200 et 4 600 unités fourragères/ha/an et 170 à 450 kg de protéines brutes digestibles/ha/an selon les espèces et les années (P<0,05). Les légumineuses ont produit entre 1 400 et 4 800 kg de matière sèche/ha/an selon les espèces et les années (P<0,05), avec des teneurs en protéines variant entre 16 et 27 %. A lexception du Na et du Zn, lutilisation combinée des fourrages de ces espèces peut satisfaire les besoins en minéraux et oligo-éléments des ruminants. La quatrième partie du manuscrit présente un bilan de fertilité des sols sous ces différentes cultures après 3 années de jachère. Au terme de cette étude, il apparaît que dans les conditions expérimentales (affouragement en vert sans fumure minérale) la graminée Andropogon gayanus à larges feuilles et les légumineuses arbustives Cajanus cajan et Leucaena leucocephala sont les plus productives et les moins épuisantes pour le sol, eu égard à leur enracinement profond, capable de ramener des éléments minéraux en surface.
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Évaluation du potentiel agronomique de fourrages riches en tanins condensés ou en lactones sesquiterpènes dans quatre régions du Québec

Koné, Marihouma 24 September 2019 (has links)
L’objectif était d’évaluer le potentiel agronomique, soit l’établissement, la survie hivernale, la production de biomasse et la valeur nutritive de nouvelles espèces fourragères riches en tanins condensés ou en lactones sesquiterpènes cultivées en semis pur et en association avec deux graminées fourragères, la fléole des prés (Phleum pratense L.) et la fétuque des prés (Festuca pratense Huds.), et ce, en gestion de pâturage dans quatre régions climatiques du Québec. L’expérience au champ s’est déroulée aux stations de recherche de Sainte-Anne-de-Bellevue (Montréal), Saint-Augustin-de-Desmaures (Capitale-Nationale), La Pocatière (Bas-Saint-Laurent) et Normandin (Saguenay-Lac-Saint-Jean), pendant deux années (2016 et 2017). Sur l’ensemble des stations en 2017, la chicorée (Cichorium intybus L.) et le lotier corniculé (Lotus corniculatus L.) ont eu des rendements satisfaisants comparés à celui de la luzerne, et ce, à tous les sites, alors que le sainfoin (Onobrychis viciifolia Scop.) a moins bien performé. Le sainfoin avait des teneurs en tanins condensés (moyenne de 10,7 g kg-1 MS) et en protéines moyennement et lentement dégradables dans le rumen les plus élevées. / The objective was to evaluate the agronomic potential, namely establishment, winter survival, biomass production, and nutritive value of novel forage species with a high content of condensed tanins or sesquiterpene lactones grown in pure stand or in mixture with two forage grasses, timothy (Phleum pratense L.) and meadow fescue (Festuca pratense Huds.), under pasture management in four climatic regions of Quebec. The field experiment took place in Sainte-Anne-de-Bellevue (Montreal region), Saint-Augustin-de- Desmaures (Capitale-Nationale region), La Pocatière (Bas-Saint-Laurent region), and Normandin (Saguenay-Lac-Saint-Jean region), over two years (2016 and 2017). At all study sites in 2017, chicory (Cichorium intybus L.) and birdsfoot trefoil (Lotus corniculatus L.) had satisfactory yields compared to alfalfa at all sites, while sainfoin (Onobrychis vicifolia Scop.) did not perform well. Sainfoin had the highest content of condensed tanins (average of 10.7 g kg-1 dry matter) and moderately and slowly degradable proteins.

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