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L’évolution de la représentation de l’identité collective dans les manuels scolaires d’histoire destinés aux élèves francophones du secondaire en Ontario

Boulay, Hélène 08 September 2021 (has links)
Cette recherche tente de décrire l’évolution de la représentation des Canadiens français, plus spécifiquement les Canadiens français de l’Ontario, dans les manuels scolaires d’histoire utilisés dans les écoles fréquentées par les francophones de l’Ontario entre 1914 et 2010. Le but est d’explorer les disparités et les similarités dans la façon dont les Canadiens français sont représentés dans les six manuels à travers trois thèmes. Ces trois thèmes sont : la francophonie pancanadienne excluant le Québec ; les écoles des minorités francophones et les luttes scolaires ; et, enfin, les événements historiques nationaux qui polarisent l’opinion publique lorsque ces événements sont présentés dans le manuel selon un clivage français-anglais. Ces thèmes ont en commun d’être présents dans les six manuels. Une exploration de l’évolution du discours dans ces manuels a été complétée afin de ressortir des tendances observable.
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Écriture kurde en français: Territoire, identité et discours

Barwari, Dersim 11 1900 (has links)
This thesis, consisting of four chapters, presents an innovative perspective on the strategies used by French-speaking Kurdish authors to convey their claims and aspirations. The first chapter deals directly with the linguistic question, the general objective being to raise the main political and aesthetic issues involved in writing in a dominant language from a minority perspective. The second chapter focuses on the question of identity and illustrates how the experience of French-speaking Kurdish writers can serve as a basis for establishing a minority perspective on society. The third chapter examines the question of the access to speech and identifies the sociopolitical consequences of the voice of the marginalized on the assertion of identity. The aim of this study is to examine in depth the literary and discursive strategies, such as testimony, that are privileged by writers from a dominated culture to get recognition of the subjectivity of these peoples who are excluded from knowledge. The last chapter is an analysis of two other literary and discursive tactics allowing the subjectivity of the marginalized to build, showing how the unsaid or unspoken and irony are tools of an oppositional writing in the invocation of an alternative discourse that destabilizes the discourse of power. The works of the French-speaking Kurdish writers reveal a minority perspective of identity in a context of oppression and domination, and thus produce a “unique” expression of the experience of otherness and power. Keywords: Kurdish writing in French, territory, identity, discourse, testimony, opposition / Thesis / Doctor of Philosophy (PhD) / The main objective of this study is to evaluate the issues related to the use of another language on the assertion of the identity of dominated or oppressed societies. The voice of French-speaking Kurdish writers is of particular interest to this objective. The secondary objective of our research is to highlight the relationships between territory, identity and discourse. This concern is due to the fact that the fate of the Kurdish community, as depicted by the authors of the corpus, is perpetually compromised by Middle Eastern and Western political powers.
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L'emploi de la ponctuation dans des transcriptions de la langue parlée

Drolet, Anne-Claude 11 April 2018 (has links)
"Mémoire présenté comme exigence partielle de la maîtrise en linguistique offerte à l'Université du Québec à Chicoutimi en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université Laval". / Ce mémoire présente une étude de l'emploi de la ponctuation dans des transcriptions orthographiques de discours oral spontané, dont la source est constituée de deux séries radiophoniques et d'un échantillon de huit émissions d'une série télévisée. L'hypothèse de départ était que les transcripteurs feraient un emploi particulier des signes de ponctuation afin de rendre compte de certains phénomènes propres à l'oral. Pour analyser les données du corpus sélectionné, la méthode choisie repose sur la notion d'écart par rapport à la norme régissant l'emploi des signes ponctuation. Plusieurs grammaires usuelles et traités de ponctuation ont été consultés afin d'identifier les règles qui avaient été transgressées dans chacun des trois textes étudiés. Une fois la liste des écarts présents dans les transcriptions établie, une écoute des enregistrements des trois textes sources a permis de noter certains phénomènes prosodiques comme les pauses, l'intonation et les variations de rythme ou de débit des sujets parlants. La dernière étape du processus d'analyse a consisté à tenter de mettre en relation les 365 écarts notés dans l'emploi des signes de ponctuation avec les caractéristiques prosodiques présentes dans les énoncés sources. Si la présence ou l'absence de pause peut notamment expliquer certains écarts, la relation est, dans d'autres cas, beaucoup plus indirecte : un emploi de la ponctuation déviant par rapport aux usages courants de l'écrit pourrait alors contribuer à simuler ou à recréer un effet d'oralité. Certains phénomènes ne constituant pas un écart ont également été étudiés, particulièrement la longueur des phrases et l'emploi des points de suspension. En guise de conclusion, l'étude fait état des différents moyens que les transcripteurs des trois textes étudiés ont privilégiés pour rendre compte de l'oralité du discours de départ.
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Le rôle des constructions détachées participiales dans la cohérence textuelle

Laberge, Annie 23 January 2020 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / L’enseignement de l’écriture est un souci constant dans le milieu académique, de l’école secondaire aux études supérieures, et quand on parle de rédiger un texte, plusieurs questions sont soulevées. Quels outils sont à notre disposition pour réaliser une rédaction? Qu’est-ce qui fait qu’un texte est cohérent? Comment accompagner l’étudiant dans sa démarche? Sur quels critères baser la correction du travail rédactionnel? Dans ce mémoire, afin de mettre en lumière certains aspects délicats du processus d’écriture, nous avons voulu clarifier la fonction d’une structure spécifique : la construction détachée participiale (CD part). Nous pensons en effet que cette construction joue un rôle à trois niveaux de structuration du texte définis par Gagnon (1998, 2003, 2008, 2015), soit au niveau référentiel, informatif et événementiel. Nous étudierons donc les participes présents détachés dans le cadre théorique de Gagnon, soit celui de la cohérence textuelle, à ces trois niveaux d’arrimage. La majorité des études sur les CD ont été faites sur des corpus de scripteurs experts (textes informatifs et littéraires) mais dans ce travail, nous avons choisi de nous intéresser majoritairement aux textes produits par des étudiants, et ce, afin de mieux cerner l’utilisation réelle de cette construction et de proposer des pistes de réflexion pour l’améliorer. Nous verrons qu’utiliser une CD requiert plusieurs connaissances textuelles, liées aux trois arrimages visés : respecter la règle de coréférence, peu présente à l’oral, réaliser un enchaînement pertinent au plan informatif en plaçant, de préférence, l’information de la CD au second plan du texte et enfin, être conscient de la relation établie entre la CD et la proposition principale. Nous espérons que mieux comprendre le rôle des CD participiales permettra de mieux les maîtriser et, par le fait même, de mettre en lumière certains éléments essentiels à connaître dans la démarche rédactionnelle. De ce fait, les enjeux de notre recherche sont doubles : linguistique et didactique.
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Les questions écrites de l'épreuve uniforme de français au collégial

Bérubé, Geneviève January 2009 (has links) (PDF)
La principale raison du taux d'échec à l'épreuve uniforme de français (EUF) au collégial est reliée aux erreurs de langue, alors que le peu de succès relatif au critère de compréhension et de qualité de l'argumentation devrait également retenir l'attention des chercheurs. Cet aspect des résultats est bien connu, mais jusqu'à maintenant, personne n'a approfondi l'aspect de la qualité des questions qui sont posées aux élèves dans le cadre de cette épreuve. Nous avons analysé ce sujet en interrogeant des enseignants de l'ordre collégial (n = 14) à travers le Québec, pour apprendre ce qu'ils pensent de la qualité des questions (Grille1) et si, selon eux, elles permettent aux élèves de répondre aux critères d'évaluation du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) (Grilles 2a : n = 8 et 2b : n = 6). Nous avons utilisé ces grilles afin de dégager les principales faiblesses des questions qui peuvent causer des difficultés aux élèves. Nous avons pu constater que les questions de l'épreuve uniforme de français ne sont pas toutes de bonne qualité, ce qui peut entraver l'atteinte, par les élèves, des objectifs visés par le MELS. Nous avons pu conclure que si les questions n'étaient pas rédigées à partir de critères de qualité, notamment ceux proposés par Morissette, 1984, 1993; Mayer et Ouellet, 1991; CSMO-EAC, 2007 et Arsenault, 2001, les élèves risquent de ne pas répondre de façon adéquate aux critères d'évaluation imposés par le MELS et d'échouer au critère de contenu. Selon nos résultats de recherche, les principales raisons pour lesquelles une question peut être mal rédigée et, par conséquent, nuire à l'atteinte des objectifs d'évaluation du MELS sont les suivantes: le mauvais choix de vocabulaire, le manque de clarté du contenu de la question, l'absence de précision ou d'objectivité du libellé. De plus, nous avons pu constater que, selon la majorité des sujets, les thèmes basés sur des sentiments risquent de faire dévier les élèves vers un texte d'opinion, pouvant entraîner l'absence de la dimension critique de la dissertation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Collégial, Épreuve uniforme de français, Questions, Critères de qualité.
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Le Dictionnaire de l'Académie françoise, dedié au Roy (1694) comme source du Royal Dictionary (1699) d'Abel Boyer

Chrétien, Annie January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le "mime de la compréhension" dans les productions écrites d'étudiants. Analyse linguistique et transdisciplinaire - Approche didactique

Toungouz Névessignsky, Katia 24 June 2011 (has links)
Le mime de la compréhension est-il une erreur didactique ? La question mérite d’être posée car il constitue une pratique très répandue chez les étudiants de première année. Décrit à l’initiale par J. Leenhardt, le mime de la compréhension consiste en l’attitude scripturale du lecteur qui, perdu par rapport au référentiel du texte au sujet duquel il s’exprime, va « produire dans sa lecture ce qui a toutes les apparences d’un savoir, mais qui n’est en réalité n’en est pas » (Leenhardt 1988 : 74). La transposition de ce concept issu de la sociologie de la littérature à la sphère de la didactique du français à l’université (effectuée par F. Boch et C. Frier) rend, en effet, très bien compte de l’étrange mixité des modalités de lecture-écriture descriptive et interprétative rencontrée dans les productions résumantes des étudiants de BA 1. Plus concrètement, cette double modalité se traduit par un usage parcimonieux et souvent erroné des connecteurs logiques ainsi que par des listings de rappels en tous genres (descriptifs, littéraux, explicatifs…) mêlés à des interprétations au caractère amplificateur parfois sévère. Ce dialogisme apparemment aberrant institué par un étudiant novice entre un texte scientifique et lui-même, et n’engendrant que la restitution d’une faible partie du texte source, doit-il être mis sur le compte d’une incompétence à résumer générique ou sur celui de besoins langagiers relatifs à son nouvel environnement discursif? Les piètres résultats des productions résumantes des étudiants en début de module de méthodologie universitaire signent la nécessité d’un enseignement des règles de discursivité universitaire, comme en témoigne ensuite une régression notable du mime de la compréhension au terme des séances. Certes, l’affaire est déjà entendue depuis longtemps chez les didacticiens : l’acculturation aux discours universitaires sert leur compréhension chez les étudiants qui bénéficient d’une telle intervention didactique. Par ailleurs, pour que les étudiants développent une compétence scripturale disciplinaire, d’une part, l’enseignement des spécificités des discours universitaires doit être cumulé à des exercices de production écrite réguliers et, d’autre part, la correction doit, idéalement, être réalisée sous la supervision d’un enseignant invitant l’étudiant à réfléchir à l’erreur, à en trouver les causes et les moyens d’y remédier. Là encore, le consensus est total : pour qu’elle lui soit « fertile », pour qu’elle lui soit « didactique », l’erreur doit être comprise en profondeur par son auteur, et ce, sans qu’elle lui soit présentée comme une « faute ». Toutefois, au vu du caractère apparemment sévère du mime de la compréhension chez les primo-arrivants, il m’a semblé nécessaire de me pencher sur les origines de l’erreur et les bénéfices ultérieurs qu’elle pourrait apporter aux étudiants dans le cadre de leurs apprentissages. S’il ne signe pas une insuffisance linguistique mais une façon « normale » d’appréhender un nouveau genre discursif, le mime de la compréhension constituerait-il un passage obligatoire dans les apprentissages de lecture-écriture d’une majorité d’étudiants ? Poser cette question, c’est corrélativement à cela, poser celle de la requalification ou de la disqualification de l’erreur du mime. L’appréhension de cette problématique relative à la valeur heuristique de l’écrit de l’apprenant, s’inscrit, bien sûr, dans le cadre général de la question de l’articulation de la lecture et de l’écriture et, plus précisément, dans celui de l’analyse des pratiques scripturales des étudiants et de la prise en compte de leur potentiel afin d’élaborer les interventions didactiques adéquates à leur appropriation de la littéracie universitaire. Or, si la didactique du français soutient depuis longtemps pareils questionnements et fournit au chercheur une littérature abondante à ces sujets, le mime de la compréhension ne peut que faire l’objet d’une disqualification chez les enseignants non-linguistes qui, souvent, continuent à y voir les signes d’une formation insuffisante en secondaire. La disqualification de l’erreur a priori fait-elle rapidement se taire la modalité interprétative peut-être « euristique » des étudiants de première année pour que ne soit conservée que la descriptive qui renvoie, à l’extrême, au copier-coller ? Les étudiants, lors de la rédaction de leurs travaux écrits, en seraient-ils, par la suite, dès lors réduits à ne plus pouvoir pratiquer que la compilation d’ « auteurs » reconnus ? La réponse à ces questions est cruciale à l’heure où les institutions universitaires et supérieures non universitaires semblent sur le point de s’engager dans une lutte implacable contre le plagiat dont, selon une minorité peut-être fort voyante d’auto-proclamés « experts » en la matière, la pratique se généraliserait de « façon alarmante » au sein de la communauté étudiante. Pour interroger la didacticité du mime de la compréhension, j’ai été amenée à convoquer un certain nombre de théories appartenant aux disciplines traditionnellement contributoires à la didactique du français. J’ai ainsi pu décrire l’hybridité du phénomène tant au travers des concepts de la « littérature au second degré » que grâce aux éclairages de la biologie (Pasteur), de la psychologie génétique (Baudonnière), des théories de développementalistes comme Piaget et Guillaume ainsi que celles, incontournables, de L.Vygotsky. J’ai pu faire la démonstration de la participation des listings des mimeurs à une opération phylogénétiquement éprouvée grâce aux travaux de J. Goody, de J. Calvet, de J-M. Adam et Ph. Hamont dont la synthèse m’a permis de mettre en évidence le caractère récurrent de la mise en liste aux différentes étapes de l’histoire de l’écriture. Les théories de M. Donald m’ont fourni le cadre théorique « naturaliste » le plus convaincant pour harmoniser l’ensemble des éléments relatifs à la justification phylogénétique de l’erreur. En ce qui concerne les aspects sociolinguistiques et historiques du mime de la compréhension, c’est, entre autres, l’articulation des théories sur la littéracie (E. Bautier, Ch. Barré-de-Miniac, A. Delgéry etc.), de son histoire depuis ses origines et du concept d’ « insécurité scripturale généralisée » de M. Dabène qui m’a fourni les derniers éléments nécessaires à une justification complète et transdisciplinaire de l’erreur. J’ai choisi d’étudier les conséquences de la disqualification du mime de la compréhension des étudiants au travers du repli dans un carcan scriptural qui les ferait pratiquer un copier-coller non référencé dans des proportions effrayantes, aux dires des « spécialistes du plagiat » alors que, dans les faits, les étudiants abusent des rappels littéraux, mais, dans la plupart des cas, dûment référencés.
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Claude Henri Grignon, anarchiste de droite

Hotte, Ghyslain 18 September 2013 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la pensée d’un idéologue relativement méconnu du Canada français, Claude-Henri Grignon. Si son nom évoque son œuvre littéraire, en particulier Un homme et son péché, on connaît moins bien, en revanche, son œuvre intellectuelle. La thèse soutient que Grignon était anarchiste de droite. À partir de la définition de l’anarcho-droitisme, la thèse montre que la pensée de Grignon se caractérisait par le « refus de la démocratie », la « haine des intellectuels », une « révolte constitutive », un «un moi au-dessus de tout », un « aristocratisme » et la « chasse à l’absolu ». Ces caractéristiques composent l’essentiel de la grille de lecture et servent à structurer les chapitres 2 à 4. Le premier chapitre retrace la formation intellectuelle de Grignon. Ainsi, Grignon nous apparaît comme un anarcho-droitiste à la pensée inégalitaire et opposée à toute forme de contrainte à l’expression de l’individualité, qu’elle provienne de la tyrannie des masses ou des dictateurs.
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Les causes de l'abandon de l'étude du français au Kenya : étude didactique et sociolinguistique

Kyuma, Bernard Nzuki 17 December 2015 (has links)
Cette thèse est à la première recherche doctorale menée au Kenya sur les causes de ladiminution des apprenants de français langue étrangère à l‘école secondaire. Elle analyse lecontexte d‘apprentissage des langues au Kenya : leurs origines, leurs usages, leurs usagers et lesrelations didactique, professionnelle, sociétale, économique et culturelle entretenues par leKenya avec les pays voisins. La coexistence des langues au Kenya présente des usages et desimportances variés. La langue française s‘inscrit dans cette société plurilingue et y est enseignéede l‘école primaire au niveau supérieur.Cette étude souligne les liens qui existent entre la situation sociolinguistique etl‘approche didactique du français langue étrangère. Elle présente l‘origine de la langue françaisedans ce pays anglophone, depuis la période de l‘esclavage, ainsi que la politique linguistiquedans le système éducatif du Kenya. Elle essaie de montrer l‘image du français dansl‘enseignement et l‘apprentissage. Les attitudes face au français et son image sont discutées.Sept acteurs responsables du français au Kenya et 64 enseignants de français ont étéinterviewés et 179 apprenants de FLE de l‘école secondaire ont répondu à un questionnaire. Lesquestions portaient sur l‘abandon, le choix et l‘enseignement de l‘étude du français à la fin de ladeuxième année de l‘école secondaire.Les résultats font apparaître que plusieurs facteurs poussent les apprenants à abandonnerou au contraire à poursuivre l'étude de la langue française. D‘une part, ceux qui abandonnent lefont à cause de plusieurs matières enseignées à l‘école secondaire et d‘autre part, ceux quipoursuivent le font grâce à l‘amour de la langue française. L‘étude a également permis d‘établirque la langue française, même si elle n‘est pas la seule langue étrangère présente et enseignée àl‘école secondaire au Kenya, est la langue la plus enseignée et préférée de l‘école primairejusqu'aux études supérieures.À l‘inverse, la diminution du nombre des apprenants de français a été constatée commela plus forte en troisième année dans des écoles secondaires. L‘étude a également montré ladémotivation des apprenants du français en cours dans les écoles secondaires kenyanes, situationqui fait que les effectifs, importants lors de l‘inscription initiale, se dégradent au niveauuniversitaire et dans les Alliances Françaises. / This thesis is the first doctoral research conducted in Kenya on causes of declinein French foreign language learners in high school. It analyzes the context of language learningin Kenya: their origins, their uses, their users and the didactic relations, professional, social,economic and cultural, maintained by Kenya and its neighboring countries. The coexistence oflanguages in Kenya has a variety of uses and importance. French language is part of thismultilingual society and is taught from primary school to higher level of learning.This study highlights the links between the sociolinguistic situation and didactic approachof French language. It shows the origin of French language in this English-speaking country,from the era of slavery and language policy on education in Kenya. It tries to show the image ofFrench in teaching and learning. Attitudes to French language and its image are also discussed.Seven French key officials in Kenya and 64 French teachers were interviewed. 179French learners from high school answered a questionnaire. The questions focused ondiscontinuation of the language and choice to continue the learning of French language at the endof the second year of high school.The results show that several factors are pushing students to drop or otherwise pursue thestudy of French language. First, those who drop out do so because of many subjects taught inhigh school and secondly, those who continue to learn, is because of the love of Frenchlanguage. The study also revealed that although French is not the only foreign language taught inhigh schools in Kenya, it is the most preferred by students from primary school through toinstitutions of higher learning.However, the decrease in the number of French learners was seen to occur a lot in thethird year of high school. The study also showed lack of motivation from French learners insecondary schools, a situation that makes the number decrease from the initial registration; fromform one to form four. The same scenario is noted in regard to French learners in Kenyanuniversities and at Alliances Française in Kenya.
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Zhodnocení významu plemeníků selle français ve šlechtění českého teplokrevníka

Kuřitková, Dana January 2011 (has links)
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