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Schwa initial en français laurentien : distribution et nature

Picard, Marie-Pier 25 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / En français laurentien (FL), il existe un phénomène d’apparente interversion du schwa et de la consonne qui le précède. On le retrouve dans certains clitiques et en syllabe initiale de certains mots. À titre d’exemple, on peut entendre le prononcé [œl], je [œʒ] ou regarde [œʁgard]. L’absence de schwa à l’initiale absolue du mot est une généralisation classique de la distribution du schwa en français de référence (Dell 1973 ; Martinet 1960), mais celle-ci est indéniablement contredite en FL. Si le schwa initial laurentien a été remarqué par les linguistes au moins depuis La Follette (1960), il n’a encore jamais fait l’objet d’études spécifiques, notamment quantitatives. À première vue, le schwa à l’initiale absolue semble provenir d’une métathèse, qui consiste en une interversion de phonèmes, et certains linguistes l’ont déjà expliqué comme telle. Toutefois, d’autres linguistes analysent ce phénomène comme étant l’épenthèse d’un schwa prothétique. Par l’étude des productions de 48 locuteurs québécois, ce travail vise à établir la distribution du SI laurentien au regard de facteurs internes et externes pertinents ainsi qu’à en comprendre la nature phonologique. Nous verrons que le SI apparait principalement dans le pronom je, le pronom le et le préfixe re- et qu’il est sensible à la nature des contextes segmental, lexical et prosodique. Il s’avèrera aussi que le lieu d’origine des locuteurs a une influence considérable sur sa production. Pour ce qui est de la nature phonologique, il apparaitra que certains SI sont prothétiques, alors que d’autres sont lexicalisés.
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Conception d'un répertoire d'expressions conventionnelles du français québécois destiné à l'enseignement du français Lx d'apprenant(e)s adultes

Reid, Florence 17 October 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 12 octobre 2023) / Dans la ville de Québec, la première langue parlée à la maison est le français dans près de 95% des cas (Gouvernement du Québec, 2022). Sachant que chaque année, un nombre important de nouvelles personnes immigrantes sont accueillies au Québec selon le ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI, 2021), la maîtrise de la langue est cruciale pour l'intégration à la société d'accueil (Calinon, 2009). Pour faciliter le développement de la compétence communicative, la connaissance de groupes de mots ritualisés, prévisibles et attendus de la part des membres d'une même communauté linguistique, est importante (Yorio, 1980). Ces combinaisons ritualisées de mots sont nommées expressions conventionnelles dans la littérature en acquisition des langues, et la recherche a relevé l'importance de ces dernières pour la réussite des interactions quotidiennes dans la langue cible (Lx) (Bardovi-Harlig, 2019a). Toutefois, les expressions conventionnelles répertoriées en français (Beaulieu et al., 2022 ; Edmonds, 2010a) ne sont pas entièrement arrimées à des situations de communication vécues par des nouveaux(-velles) arrivant(e)s s'établissant au Québec. Pour combler cette lacune, cette recherche vise à créer un répertoire d'expressions conventionnelles du français québécois (FQ) langue première (L1) qui reflète le contenu du niveau 4 du Programme d'études Francisation du ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEES, 2015) et qui répond aux besoins réels d'apprenant(e)s de français Lx. Pour ce faire, un questionnaire discursif oral, constitué de 31 scénarios du quotidien inspirés du Programme du MEES (2015), a été conçu. Ce sont 79 personnes d'âges et de milieux variés dont le FQ est la L1 qui ont répondu au questionnaire discursif oral. Les données ont été transcrites, puis analysées par actes de parole et par stratégies de conversation, grâce à six méthodes d'analyse de données (dont deux créées), ainsi qu'aux cinq critères d'identification des expressions conventionnelles de Bardovi-Harlig (2009). Les données de notre échantillon ont relevé 28 expressions conventionnelles du FQ L1, ces dernières constituant le répertoire d'expressions conventionnelles. À la lumière des expressions recensées, des pistes méthodologiques et didactiques ont été proposées.
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L'acquisition de la catégorie D et son trait de définitude par les apprenants adultes de langues asiatique et slave en apprentissage du français L2

Bardou Almela, Frédérique 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur l'acquisition de la catégorie D et son trait de définitude sous-jacent par des apprenants adultes en apprentissage du français L2 de niveaux débutant, intermédiaire et avancé. Nous vérifierons l'hypothèse MISH (Prévost et White, 2000) pour rendre compte du processus d'acquisition des apprenants de langue asiatique et slave ne possédant pas d'articles définis et indéfinis dans leur Ll. Trois tests ont été administrés, plus particulièrement un test d'intuition, un test de compréhension, et test de production. Il ressort que les apprenants slaves et asiatiques se comportent sensiblement de la même manière à travers les tâches, ils montrent notamment la connaissance de la catégorie D et son trait lors des phases initiales d'acquisition. Qui plus est, les performances tendent à être meilleures plus le niveau augmente. La représentation sous-jacente des apprenants ne serait pas le résultat de grammaire déficiente ni restreinte aux propriétés de la Ll en raison de la disponibilité de la GU. Toutefois, il est impossible de tirer de conclusion claire quant au possible transfert de la catégorie D de l'anglais L2 vers le français L3 par tous les apprenants de langue asiatique.
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Le français parlé à Jay-Livermore Falls (Maine, É.U.) : étude lexicale

St-Pierre, Adèle 17 April 2018 (has links)
La présente thèse porte sur le français parlé au sein de la communauté franco-américaine des villes voisines de Jay et de Livermore Falls (Maine, É.-U.). Ce projet est né d'un désir de mieux connaître l'histoire, tant sur le plan social que sur le plan linguistique, de cette communauté dont nous sommes issue. Notre but est de faire progresser les connaissances sur le français parlé par les Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre ainsi que sur l'histoire générale de ce peuple. Cette monographie se divise en deux parties. La première (chapitre 1) comporte une étude sociohistorique de la communauté à l'étude depuis sa fondation au début des années 1880 jusqu'aux années 1930, date qui marque la fin de la migration québécoise en Nouvelle-Angleterre. Dans cette partie du travail, nous traçons le portrait de l'immigrant québécois typique de Jay - Livermore Falls et nous dégageons les facteurs sociaux qui auraient eu des incidences sur ses pratiques langagières ainsi que sur celles des générations suivantes. La deuxième partie (chapitres 2 à 4) est consacrée à la description du lexique utilisé actuellement par les Franco-Américains d'ascendance québécoise de Jay - Livermore Falls à partir d'un échantillon de discours oraux de personnes qui ont conservé leur français. En partant des principes de la méthode différentielle, nous faisons l'étude approfondie de tous les emplois lexicaux simples ou composés), locutions et expressions qui s'écartent du modèle du français de référence. Les emplois sont étudiés dans des articles qui contiennent les rubriques suivantes : 1) mot-vedette, suivi de sa transcription phonétique et de sa catégorie grammaticale ; 2) définition, suivie de syntagmes provenant du corpus, le cas échéant ; 3) une ou plusieurs citations du corpus ; 4) nombre d'occurrences de l'emploi à l'étude ; 5) variante(s) paraphrastique(s), le cas échéant ; 6) synonyme(s) et/ou antonyme(s) provenant du corpus, le cas échéant ; 7) renvoi à un composé traité ailleurs dans le lexique, le cas échéant ; 8) explication étymologique ; 9) lien historique avec le français québécois. On constate sans surprise que le lexique du français parlé à Jay - Livermore Falls se distingue du français de référence par ses anciens usages issus de France et hérités du Québec, par ses anglicismes, par ses emplois dont l'origine immédiate est le français québécois et par ses amérindianismes. Par ailleurs, le lecteur pourrait être étonné par le nombre important d'éléments lexicaux propres au parler de Jay - Livermore Falls, qu'il s'agisse d'innovations locales ou de réalisations ponctuelles inexplicables, ou encore d'anglicismes empruntés localement, qui se distinguent de ceux qui ont été empruntés au Québec par le fait qu'ils ne sont pas nécessairement adaptés à la phonétique et à la morphologie françaises. L'explication des écarts que nous observons entre le français parlé à Jay - Livermore Falls et les français de référence et du Québec réside d'une part dans l'histoire, car il s'agit d'un parler qui s'inscrit dans le prolongement de l'histoire du français québécois, et d'autre part dans la situation sociolinguistique actuelle, car il s'agit d'un parler dont le contact avec l'anglais est très intense et dont l'usage est restreint de nos jours au seul domaine du foyer.
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Le français instrumental au Koweït : retour sur l'expérience de la lecture des textes juridiques français et perspectives didactiques pour le français juridique

Abdulredha, Adnan 21 June 2012 (has links) (PDF)
L'enseignement du français est tenu de s'adapter aux contextes et publics. Ainsi, la faculté de droit du Koweït a proposé à ses étudiants, à la fin des années 1980, un enseignement-apprentissage de la lecture des textes juridiques français. Notre travail se propose, dans un premier temps, de passer en perspective le contexte du Koweït dans ses différentes déclinaisons géographique, économique, linguistique, ainsi que la place du français langue étrangère dans cet émirat.Dans un second temps, l'analyse de cette expérience particulière aboutit à une évaluation à la lumière des critères retenus en la matière. Partant de là, nous formulerons quelques propositions d'ordre général sur l'enseignement-apprentissage du français juridique au Koweït.
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Aspects des compétences initiales d'étudiants maîtres en éducation préscolaire et enseignement primaire à l'égard du français oral, de la culture et de leurs interrelations

Mottet, Martine January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La variation terminologique : un modèle à trois composantes

Pelletier, Julie 18 April 2018 (has links)
Lorsque les monstres désignent les « électroménagers », la décharge sauvage un « lieu de déchet illicite », quels sont les mécanismes mis en œuvre dans le processus de métaphorisation terminologique? Le déchet peut désigner à l a fois la « matière valorisable » et la « matière à éliminer ». Le déchet devient au fil du t emps, dans les textes de loi au Québec, la matière résiduelle. Ce changement linguistique est-il attribuable à un s ouhait de déconnotation, de rectitude politique? Les nanosondes et nanomachines passent de la série Star Trek aux nanotechnologies. L’énergie solaire et la voiture hybride sont des néologismes référentiels, l’« identité et la nation québécoises » des néologismes conceptuels. Quelles sont les motivations linguistiques et extralinguistiques derrière les variations dans les terminologies et les néoterminologies? Dans cette thèse, nous examinons ces questions. À partir d’une approche socioterminologique, communicationnelle et diachronique, nous avons développé un modèle de la variation terminologique à trois composantes : la variation dénominative, conceptuelle et polysémique. Nous avons également mis à jour la typologie et les notions des néologismes en créant deux nouvelles catégories de néologismes : référentiels et conceptuels. Puis, nous avons approfondi le critère de néologicité et créé quatre types de domaines néologiques. Nous avons pu é tablir des liens importants entre la néologie, la variation terminologique, la métaphorisation terminologique, la polysémisation et les causes de la variation terminologique. Les matières résiduelles (1998-2011), le développement durable (2010-2011), la question entourant le débat sur les accommodements raisonnables au Canada (2007) ainsi que le 400e anniversaire de la ville de Québec (2008) ont été autant de sujets et d’exemples permettant d’illustrer nos idées théoriques. Nous souhaitons que ces modèles puissent servir dans diverses études néologique, terminologique ou l inguistique mono- ou multilingues. Par ailleurs, la description de ces modèles pourra également servir dans l’enseignement de la terminologie.
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Étude des problèmes de cohérence touchant à l'arrimage des énoncés dans des textes écrits en français langue étrangère par des étudiants universitaires kabyles

Hocine, Siham 24 April 2018 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / Les études menées sur les textes écrits en français langue étrangère (FLÉ) par des étudiants kabyles en Algérie mettent l'accent sur les aspects linguistiques de la rédaction comme l'emploi des auxiliaires et l'usage des prépositions. Elles laissent totalement dans l'ombre l'étude de la cohérence du texte. Il nous parait donc pertinent de nous attarder à la compétence textuelle en FLÉ de ces étudiants. Notre recherche vise principalement l'étude des problèmes de cohérence liés à l'arrimage des énoncés dans les écrits des étudiants. Notre cadre théorique s'appuie essentiellement sur les concepts de cohérence et la taxinomie des ruptures de cohérence proposés par Gagnon (1998, 2003) et Gagnon et Chamberland (2010). Cette taxinomie renvoie aux quatre niveaux de structuration d'un texte, lesquels représentent quatre niveaux d'arrimage des énoncés pouvant donner lieu à des ruptures de cohérence : événementiel, énonciatif, référentiel et informatif. Notre corpus est composé de 14 textes écrits par des étudiants algériens kabyles qui poursuivent leurs études au Québec. La méthode d'analyse des textes, inspirée de celle de l'étude de Gagnon. (2014), comporte les étapes suivantes: les ruptures sont observées dans chaque texte et classées en fonction du classement proposé par Gagnon (1998, 2003) et Gagnon et Chamberland (2010), puis expliquées; des suggestions de correction sont ensuite proposées. L'analyse du corpus montre que la faiblesse des étudiants kabyles en ce qui concerne la rédaction en FLÉ se situe en grande partie au niveau événementiel, plus précisément, au niveau de la pertinence des énoncés ainsi que dans l'établissement des relations logiques (cause, opposition, etc.) entre les informations du texte par l'emploi des connecteurs. Les faiblesses qui ont été soulevées par notre étude pourront inspirer l'élaboration de contenus d'apprentissage pour l'enseignement de la rédaction en FLÉ en Algérie.
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Caractéristiques acoustiques des voyelles fermées tendues, relâchées et allongées en français québécois

Sigouin, Caroline 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / L’objectif de cette contribution est de décrire acoustiquement les variantes tendues, relâchées et allongées des voyelles fermées /i y u/ en français québécois, qui, sous l’accent, se retrouvent respectivement en syllabe ouverte, en syllabe fermée et en syllabe fermée par une consonne allongeante. 1350 occurrences extraites de la parole de 30 locuteurs de Rouyn-Noranda, de Saguenay et de Québec ont été analysées. Leur durée a été relevée, puis la fréquence fondamentale et la fréquence centrale des trois premiers formants (F1, F2, F3) ont été estimées à 25, 50 et 75 % de cette durée. Les variantes tendues présentent le F1 le plus bas et les relâchées, le F1 le plus élevé ; les allongées se situant entre les deux. En cours d’émission, les tendues et les allongées se tendent, mais les relâchées se centralisent. Les allongées sont celles qui présentent les trajectoires les plus importantes dans un diagramme F1 / F2. / This study aims to acoustically describe tense, lax and lengthened variants of close vowels /i y u/ in Quebec French which, under stress, are found in open syllable, closed syllable and syllable closed by a lengthening consonant, respectively. To do so, we analysed the speech of 30 speakers from Rouyn-Noranda, Saguenay and Quebec who produced 1350 tokens of the variants under study. Their duration have been measured then the fundamental frequency and the central frequency of the first three formants (F1, F2, F3) have been estimated at 25, 50 and 75% of this duration. Tense variants exhibit the lowest F1 values while lax variants present the highest ones; the lengthened variants taking place in between. During the emission, lengthened variants show the most important trajectories in an F1 / F2 plane.
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Les représentations sociales des savoirs dans l’enseignement du français chez des futurs enseignants du secondaire.

Hétu, Michael January 2014 (has links)
Depuis de nombreuses années, la piètre qualité des résultats en français des élèves du primaire, du secondaire et du collégial soulève les inquiétudes. Malgré plusieurs constats alarmants, des efforts de sensibilisation, de nombreuses résolutions pour l’amélioration de la langue française, la réforme des programmes de formation et plusieurs recherches portant sur l’amélioration de la langue et sur des méthodes d’enseignement efficaces, les constats restent relativement inchangés. Aujourd’hui, cette difficulté affecterait les enseignants de français eux-mêmes. Afin de mieux comprendre ce phénomène, la présente recherche a voulu jeter un regard inédit sur cette problématique en s’intéressant à ce qui est en amont des pratiques, à ce sur quoi elles s’appuient, c’est-à-dire les savoirs et, plus particulièrement, à comment ils sont reconstruits par les futurs enseignants au terme de leur formation initiale à l’enseignement du français au secondaire. Cette population a retenu notre attention, puisqu’elle se situe dans l’une des zones d’ombres de la recherche. De plus, la formation initiale à l’enseignement devrait être un facteur déterminant pour la qualité de l’enseignement du français subséquent. Par conséquent, nous avons choisi de décrire le contenu et la structure des représentations sociales des savoirs du français chez les futurs enseignants de français au secondaire. Pour y parvenir, nous avons eu recours à l’évocation hiérarchisée de ce que sont les savoirs du français pour les futurs enseignants de français au secondaire, de même qu’à un questionnaire de caractérisation portant sur les dimensions constitutives de ces savoirs, à quelques questions à développement court visant à mesurer de degré de modélisation dont ces savoirs font l’objet et à quelques questions de perception quant à la maîtrise des savoirs du français. En décrivant l’étendue du champ représentationnel des savoirs du français, la forme qui est donnée aux savoirs, leur provenance, leur degré d’appropriation, leur degré de modélisation et le but dans lequel ils sont mobilisés, il a été possible de jeter un regard sur l’impact des orientations professionnalisantes de la formation et des tensions internes propres à la discipline du français. Les résultats obtenus rendent compte de la vaste étendue du champ disciplinaire de la discipline du français et du besoin encore important de l’explorer et de le baliser au-delà de la grammaire. En effet, plus on s’éloigne de la grammaire, moins les savoirs du français sont clairement représentés par les futurs enseignants. Le faible degré de modélisation dont ils font l’objet porte d’ailleurs à croire que les futurs enseignants ne seraient pas capables de décomposer les savoirs en éléments essentiels sensés les constituer, ni d’en expliquer la logique interne, ce qui réduirait l’apprentissage réalisé au sein de la discipline du français à la reproduction et à l’imitation. Selon les représentations obtenues, la maîtrise des savoirs du français ne serait pas prioritaire pour les futurs enseignants de français au secondaire et apprendre à écrire sans erreurs serait un élément contrasté parmi eux.

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