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Arte y espiritualidad franciscana en la Nueva España : siglo XVI : iconología en la provincia del Santo Evangelio /Montes Bardo, Joaquín. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Tesis--Sevilla--Universidad, 1989. / Bibliogr. p. 365-377.
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Profil intellectuel d'un homme de pouvoir : les quodlibets de Matthieu d'Aquasparta disputés à Paris et à la Curie entre 1277 et 1287 / Matthieu d'Aquasparta's quodlibeta between Paris and papal Curia (1277-1287)Postec, Amandine 11 September 2015 (has links)
Matthieu d'Aquasparta (v. 1240-1302) est une figure emblématique de la fin du XIIIe siècle. Maître en théologie de l'Université de Paris, son oeuvre est abondante ; franciscain, il est élu ministre général de l'Ordre ; nommé cardinal par Nicolas IV, il est un des plus fidèles alliés du pape Boniface VIII. Pourtant, malgré ses écrits et son parcours politique, Matthieu d'Aquasparta ne connaîtra aucune postérité avant d'être redécouvert au début du XXe siècle. Son oeuvre de théologien acquiert une place croissante dans les analyses des historiens et des philosophes médiévistes grâce aux éditions de ses Questions disputées, publiées par les frères de Quaracchi ; les interprétations s'affinent progressivement : après l'avoir longtemps considéré comme un « néo-augustinien » convaincu, les historiens s'interrogent sur sa place parmi les franciscains de sa génération, son lien avec Thomas d'Aquin et ses rapports avec la tradition aristotélicienne. L'édition de ses six Quodlibets disputés à Paris et à la Curie pontificale offre de nombreuses perspectives de recherches. Ces textes sont conservés principalement dans deux manuscrits, un autographe et une copie corrigée par l'auteur ; il s'agit par conséquent d'un témoignage exceptionnel pour étudier le travail d'un maître en théologie. L’analyse de ses manuscrits (autographes et manuscrits de travail) complétée par l’étude du contenu des questions éditées permettent d’esquisser une introduction biographique du personnage. La diversité des questions quodlibétiques contribue ainsi à éclairer différents aspects de la pensée du maître sur des sujets aussi divers et précis que la forme substantielle unique ou le métier des avocats et des juges. / Matthew of Aquasparta (v. 1240-1302) could be seen for many reasons as an emblematic figure at the end of the thirteenth century. He was a master of theology at the University of Paris and wrote many works ; as a Franciscan, he was elected as Minister general of the Order ; he was nominated cardinal by Nicolas IV and was one of the most faithful allies of Bonifacius VIII. However, in spite of his position as a master of theology and as a cardinal, Matthew of Aquasparta did not become a famous historical figure and only became acknowledged at the beginning of the twentieth century. His work as a theologian became more and more important in the studies of historians and medievalist philosophers, thanks to the editions of his Disputed questions published by the Quaracchi brothers ; the interpretations became more and more refined : historians considered him as a “neo-Augustinian”, but they recently wondered about his place among the contemporary Franciscans, his links with Thomas Aquinas and his connection with the Aristotelian tradition. This work is based on an edition of his six Quodlibeta. It is completed by some studies and commentaries which throw light on his life and on different sides of his work. The master’s Quodlibeta are kept on an autograph and on a copy corrected by Matthew himself ; his manuscripts are important testimonies to study the process of writing and the work of a theologian master. The variety of sources and the diversity of themes in his Quodlibeta (the unicity of substantial form or the ethics of advocates and juges) enables us to understand his historical importance better and to clarify his part in the intellectual and political context at the end of the thirteenth century.
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Les cycles d'azulejos de l'église du couvent de Louriçal (Portugal) attribués à Valentim de Almeida (1692-1779)Videira Eusébio, Joaquim Vitorino 06 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal / L’église du couvent de Louriçal présente un ensemble de trente-quatre panneaux d’azulejos constituant quatre cycles (la Passion du Christ, la vie de saint François d’Assise, la Vierge Marie et la vie de sainte Claire) attribués à l’atelier de Valentim de Almeida (1692-1779). Ces œuvres n’ont jamais fait objet d’une étude détaillée.
Notre mémoire porte sur les quatre cycles mentionnés et vise à démontrer, dans un premier moment, comment ces cycles s’articulent entre eux. En second lieu, il définira le lien qui existe entre ces panneaux et les traditions iconographiques et historiographiques franciscaines au Portugal. Le point essentiel de notre problématique est de déterminer comment ce revêtement de céramique surpasse les fonctions décoratives et pédagogiques pour s’articuler avec d’autres éléments artistiques (peinture, sculpture et architecture). Le résultat permettra d’interpréter la narration inscrite dans ce monument et de constater sa cohérence avec la sensibilité de l’époque du roi Jean V et son articulation avec l’affirmation de l’ordre franciscain dans la première moitié du 18e siècle.
Cependant, d’autres questions se posent. Généralement le peintre d’azulejos n’est pas un créateur. Alors quelles sources d’inspiration a-t-il utilisées? L’artiste de Louriçal a-t-il utilisé des gravures? Dans ce cas, les gravures ont-elles été source d’inspiration ou seulement des objets de copie?
La glorification de l’Eucharistie est omniprésente. Comment peut-on l’expliquer dans ce monument du 18e siècle, dans un contexte qui semble vivre encore intensément l’esprit de Trente et de la Contre-Réforme?
En complément et de manière non exhaustive, nous présenterons quelques notes sur la vie de la fondatrice de la congrégation, sœur Maria do Lado, et sur l’histoire du couvent de Louriçal. / The convent of Louriçal’s church owns thirty-four panels of ceramic tile works (azulejos) representing four iconographic cycles (the passion of Christ, the Virgin Mary, the lives of Saint Francis of Assisi and Saint Clare). The creation of these panels is attributed to Valentim de Almeida (1692-1779). These art works have never before been studied.
This thesis aims to demonstrate how these four cycles are articulated among themselves. It also defines the link with the iconography and the historiography of Franciscan tradition in Portugal.
Our main purpose is to determine how these azulejos go beyond the decorative and pedagogical functions to link themselves with other artistic elements (painting, sculpture and architecture).
This study will allow us to interpret the sequence of events described in the narratives and to ascertain its coherence to the sensibility of King John V period and as well to the spirit of the Franciscan order during the first half of the 18th Century.
It is known that a ceramic painter is not usually a creator hence, what was his inspiration? Was the artist of Louriçal inspired by engravings? If so, were these engravings source of inspiration or mere models for copying?
How can we explain the ubiquitous glorification of the Eucharist in this 18th Century monument in a context that intensely breathes the Council of Trent spirit and the Catholic Reformation?
A non-exhaustive counterpart presents notes on the life of Sister Maria do Lado the founder of the congregation and on the history of the Louriçal convent.
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Les cycles d'azulejos de l'église du couvent de Louriçal (Portugal) attribués à Valentim de Almeida (1692-1779)Videira Eusébio, Joaquim Vitorino 06 1900 (has links)
L’église du couvent de Louriçal présente un ensemble de trente-quatre panneaux d’azulejos constituant quatre cycles (la Passion du Christ, la vie de saint François d’Assise, la Vierge Marie et la vie de sainte Claire) attribués à l’atelier de Valentim de Almeida (1692-1779). Ces œuvres n’ont jamais fait objet d’une étude détaillée.
Notre mémoire porte sur les quatre cycles mentionnés et vise à démontrer, dans un premier moment, comment ces cycles s’articulent entre eux. En second lieu, il définira le lien qui existe entre ces panneaux et les traditions iconographiques et historiographiques franciscaines au Portugal. Le point essentiel de notre problématique est de déterminer comment ce revêtement de céramique surpasse les fonctions décoratives et pédagogiques pour s’articuler avec d’autres éléments artistiques (peinture, sculpture et architecture). Le résultat permettra d’interpréter la narration inscrite dans ce monument et de constater sa cohérence avec la sensibilité de l’époque du roi Jean V et son articulation avec l’affirmation de l’ordre franciscain dans la première moitié du 18e siècle.
Cependant, d’autres questions se posent. Généralement le peintre d’azulejos n’est pas un créateur. Alors quelles sources d’inspiration a-t-il utilisées? L’artiste de Louriçal a-t-il utilisé des gravures? Dans ce cas, les gravures ont-elles été source d’inspiration ou seulement des objets de copie?
La glorification de l’Eucharistie est omniprésente. Comment peut-on l’expliquer dans ce monument du 18e siècle, dans un contexte qui semble vivre encore intensément l’esprit de Trente et de la Contre-Réforme?
En complément et de manière non exhaustive, nous présenterons quelques notes sur la vie de la fondatrice de la congrégation, sœur Maria do Lado, et sur l’histoire du couvent de Louriçal. / The convent of Louriçal’s church owns thirty-four panels of ceramic tile works (azulejos) representing four iconographic cycles (the passion of Christ, the Virgin Mary, the lives of Saint Francis of Assisi and Saint Clare). The creation of these panels is attributed to Valentim de Almeida (1692-1779). These art works have never before been studied.
This thesis aims to demonstrate how these four cycles are articulated among themselves. It also defines the link with the iconography and the historiography of Franciscan tradition in Portugal.
Our main purpose is to determine how these azulejos go beyond the decorative and pedagogical functions to link themselves with other artistic elements (painting, sculpture and architecture).
This study will allow us to interpret the sequence of events described in the narratives and to ascertain its coherence to the sensibility of King John V period and as well to the spirit of the Franciscan order during the first half of the 18th Century.
It is known that a ceramic painter is not usually a creator hence, what was his inspiration? Was the artist of Louriçal inspired by engravings? If so, were these engravings source of inspiration or mere models for copying?
How can we explain the ubiquitous glorification of the Eucharist in this 18th Century monument in a context that intensely breathes the Council of Trent spirit and the Catholic Reformation?
A non-exhaustive counterpart presents notes on the life of Sister Maria do Lado the founder of the congregation and on the history of the Louriçal convent. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal
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Entre la terreur et l’espoir : la construction de l’image du Mongol aux XIIIe et XIVe siècles / Between Horror and Hope : The construction of Image of the Mongol in Western Medieval ArtZheng, Yikan 29 October 2018 (has links)
L’apparition de l’image du Mongol dans les peintures italiennes est un phénomène particulier et marginal aux XIIIe et XIVe siècles. Notre thèse s’interroge et analyse comment les artistes représentent cette nouvelle image de l’autre, si étrangère et siimpensable, et considère la formation et la transformation des images dans différents contextes. L’image du Mongol s’inscrit dans l’histoire transculturelle qui correspond à la période de la Pax Mongolica s’étendant entre 1250 et 1350. Après la conquête mongole, l’Empire mongol construisit une période de paix dans le vaste territoire de l’Eurasie. L’autorité mongole fit un grand effort pour faciliter les routes commerciales, elle construisit un réseau de routes qui permit aux marchands, ambassadeurs et missionnaires de circuler facilement entre l’Europe et l’Asie. A partir de ce moment, les figures mongoles, comme image d’altérité, pénètrent, d’une manière anachronique, dans les narrations évangéliques, comme l’Adoration des mages, la Crucifixion, la Pentecôte et la Résurrection. Elles ne jouent pas toujours un rôle péjoratif, mais changent leur image selon les contextes et les moments : elles ont été représentées comme Gog et Magog à la fin des temps, soldat partageant la tunique du Christ, spectateur et témoin devant le martyr et la Crucifixion, et rois orientaux adorant l’enfant Jésus. Tout cela constitue, dans une certaine mesure, une image oscillatoire qui crée une tension entre la terreur et l’espoir. Notre thèse tente de penser cette complexité du contexte dans la représentation de la figure mongole et dans ce processus, de démontrer comment l’image donne, à son tour, une visibilité des mentalités de la fin du Moyen Âge. / The appearance of Mongol images in Italian paintings is a particular and marginal phenomenon in the late 13th and 14th centuries. My thesis examines and analyses how artists represent this new image of the Other, so foreign and so unthinkable, and considers the formation and transformation of images in different contexts. The Mongol image inscribed in a transcultural history corresponds to the period of the Pax Mongolica between 1250 and 1350. After the Mongol conquest, the Mongol Empire built a period of peace in the vast territory of the Eurasia. The Mongolian authority made a great effort to facilitate the trade routes, and built a network of roads that allowed merchants, ambassadors and missionaries to circulate easily between Europe and Asia. From this moment, the Mongol image, as an image of otherness, penetrates into evangelical narrations in an anachronistic way, such as the Adoration of the Magi, the Crucifixion, Pentecost and the Resurrection. The role of Mongol is not univocally negative. It changes according to the moments and contexts: they were represented as Gog and Magog at the end of time; as soldier dividing the tunic of Christ; as spectator and witness watching the crucifixion or martyrdom scenes; as oriental kings worshiping the newborn Christ-child. All of this constitute, to some extent, an oscillating image that creates a tension between terror and hope. My thesis aims to consider the complexity of the context in the representation of the Mongol image and to demonstrate how, in this process, the image gives, in turn, a visibility of the mentalities of the end of the Middle Ages.
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La biblioteca francescana medievale di Assisi, lo scriptorium e l'attività dello studium / La bibliothèque franciscaine médiévale d'Assise, le scriptorium et l'activité du studium / The Franciscan Library, the Scriptorium and the Studium of Assisi in the Middle AgeGrauso, Francesca 04 October 2014 (has links)
La bibliothèque du couvent franciscain médiéval d'Assise a été inventorié par frère Jean de Iolo en 1381. Jean a aussi collé des étiquettes dans le plat postérieur de chaque manuscrit, portant l’indication du nom de l'auteur et de l'oeuvre ainsi que l’emplacement dans la bibliothèque. Dans l'inventaire du 1381 il décrit environ 700 livres, dont il s’est avéré l’existant d’environ 540, desquels la majorité est encore conservées dans la bibliothèque d'Assise. Des restants, une centaine, ont migré vers d'autres bibliothèques italiennes et étrangères. L'inventaire montre aussi que la collection de livres avait été divisée en deux bibliothèques, une nommé libraria publica, dans laquelle les livres ont été enchaînés aux bancs, une nommé libraria secreta, dans laquelle les livres étaient enfermés dans un armarium et disponibles au prêt.J'ai essayé d'étudier cette collection de livres d'un point de vue codicologique, que je pense jusqu'iciinexploré. Il n'était pas question d'étudier les manuscrits individuellement, peut-être le plus important pour leurs contenu ou leurs histoire, chose qui avait été faite dans le passé, mais de combiner les données tirées des manuscrits franciscains d'Assise connus, les saisir dans des bases des données et permettre aux données eux-mêmes d’apporter des informations.La première partie de ce travail se concentrera sur l'histoire de la bibliothèque médiévale, mais même dans ces paragraphes je fais souvent référence à des éléments codicologiques. La partie centrale cherche à mettre en évidence le caractère unique de la collection de la bibliothèque d’Assise, tels que Jean de Iolo l’a « photographié » en 1381.La dernière partie est plus spécifiquement de nature codicologique, dans laquelle j’ai mis en évidence les facteurs liés à la fabrication et à l'écriture des manuscrits. / So far, the oldest description that we have of the Franciscan Library of Assisi is an inventory made in 1381 by the friar John of Iolo. Friar John also labelled the manuscripts with strips of paper put on the covers and bearing the name of the author, the title and a call number of the manuscript.The inventory describes about 700 manuscripts; so far 540 have been identified, the majority of which are preserved in the Assisi Library. Among the ones which are not in Assisi, about 100 have been found in libraries either in Italy and in other countries. From the inventory one can infer that the Library was divided in two: the libraria publica, where the books were chained to the benches; and the libraria secreta, where the books were closed in the armarium and the books were available to be borrowed.I aimed to study this book collection from a codicological point of view, which had not had been investigated until now.I preferred not to focus on each manuscript and its content. Rather, I aimed to look at the library as a whole; therefore I gathered the general data by taking them from the descriptions of the manuscripts and then I combined those data within a new database; by doing this I was able to draw out new information about the collection itself.The first section of this work is focused on the history of the library, where I often referred to codicological elements. The central section aims to evidence the wholeness of the Assisi library, the way it was « pictured » by John of Iolo in 1381.Finally, the third section clearly highlights the codicological aspect of this research; here I tried to underline all the factors related to the book making and the writing of the manuscripts. / La biblioteca del convento francescano medievale di Assisi è stata inventariata da fr. Giovanni di Iolo nel 1381. Gianni ha anche preparato le etichette, con l’indicazione dell’autore e del titolo dell’opera e la lettera di collocazione, per il piatto posteriore di ogni manoscritto. Nell’inventario del 1381 descrive circa 700 libri, dei quali ne sono stati identificati circa 540, la maggior parte conservata ancora nella biblioteca di Assisi. Dei restanti, circa un centinaio, è migrato verso altre biblioteche italiane e straniere. L’inventario mostra anche che la collezione dei libri era stata divisa in due biblioteche, una denominata libraria publica, nella quale i libri erano incatenati ai plutei, un’altra denominata libraria secreta, nella quale i libri erano conservati in un armarium e disponibili per il prestito. Ho cercato di studiare questa collezione di libri da un punto di vista codicologico, prospettiva secondo me inesplorata. Non si è trattato di studiare solo alcuni manoscritti, i più importanti per il contenuto o la loro storia, cosa già fatta in passato, ma di raccogliere dati ottenuti da tutti i manoscritti francescani di Assisi identificati, inserirli in banche dati e permettere ai dati stessi di fornire informazioni.La prima parte di questo lavoro si concentrerà sulla storia della biblioteca medievale, ma anche in questi paragrafi si farà spesso riferimento a elementi codicologici. La parte centrale cercherà di mettere in evidenza il carattere unico della collezione della biblioteca di Assisi, come Giovanni di Iolo la “fotografò” nel 1381. L’ultima parte è di natura più specificamente codicologica, in questa io ho messo in evidenza i fattori legati alla fabbricazione e alla scritturare dei manoscritti
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Expresiones del criollismo novohispano en el Teatro Mixicano de fray Agustín de VetancurtOrtíz Ramírez, Ericka Crystal January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Expresiones del criollismo novohispano en el Teatro Mixicano de fray Agustín de VetancurtOrtíz Ramírez, Ericka Crystal January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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