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Las reformas borbónicas y el sistema de intendencias en Nueva España : un estudio político administrativo /Pietschmann, Horst, January 1996 (has links)
Tesis doct.--Universidad de Colonia, 1969. / Publié pour la première fois en allemand en 1972. Notes bibliogr. Bibliogr. p. 309-319.
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"Hispanisierung" in Neu-Spanien 1519-1568 : Transformation kollektiver Identitäten von Mexica, Tlaxkalteken und Spaniern /Hinz, Felix. January 2005 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 2004. / Bibliogr. p. 799-839.
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Le cheval mexicain en Nouvelle Espagne entre 1519 et 1639Du Bron, Marion 26 January 2010 (has links) (PDF)
Traditionnellement, l'histoire du cheval au Mexique a été envisagée à la lumière des vainqueurs. Les chevaux étaient présentés comme des acteurs majeurs de la victoire des conquérants et de leur supériorité sur les vaincus. Les chevaux symbolisaient la Conquête, la domination coloniale et la division entre la République des Espagnols et la République des Indiens. Toutefois, l'histoire du cheval au Mexique doit être élargie à la société coloniale novo-hispanique dans son ensemble, c'est-à-dire dans une période où nous décelons la genèse de la mexicanité moderne, raison pour laquelle nous avons intitulé notre thèse "Le cheval mexicain" dont la naissance et la cristallisation s'étendent entre 1519 et 1639 environ. Les questions qui ont guidé notre étude sont les suivantes : dans quelle mesure les chevaux et les cultures équestres dévoilent-ils les mécanismes à l'oeuvre dans la société de la Nouvelle-Espagne et témoignent-ils de son originalité -au regard de l'Espagne notamment- ? Quelle part donner aux Indiens dans la construction de cette culture chevaline proto-mexicaine ? Quand et comment le cheval mexicain cesse-t-il d'être un cheval espagnol ? De quelle façon prend-il conscience de cette "identité" mexicaine et comment l'appréhende-t-il ? Dans quelle mesure enfin le " cheval mexicain " permet-il de mieux comprendre la complexité, les héritages multiples, les échanges et les tensions qui fondent l'identité mexicaine ? Parmi les manifestations majeures de cette histoire, se trouve en premier lieu " l'équitation reine " qui se présente sous la forme de diverses techniques équestres dont des conceptions, des valeurs idéologiques et esthétiques novo-hispaniques projetées sur l'animal sont indissociables. En second lieu, il convient de poser les bases d'une ethnographie du cheval en Nouvelle-Espagne dans laquelle " les chevaux vécus " évoluent au coeur d'une domestication dont rendent compte notamment l'élevage, les usages, le harnachement et un langage chevalin original. En troisième lieu, les sociétés chevalines novo-hispaniques, à mi chemin entre les sociétés à écuyers et les peuples cavaliers, apparaissent comme un creuset et un laboratoire d'expériences. Enfin, les regards indigènes sur les chevaux, qui interrogent les origines du cheval au Mexique et les associations d'ordre mythologique que les Indiens établirent entre le cheval et le cerf, constituent l'une des expressions primordiales de l'histoire du cheval au Mexique. Au terme de la consultation et de l'analyse d'une documentation abondante et variée dans la forme et dans le fond et souvent inédite, notre travail permet d'enrichir tout d'abord l'histoire du cheval au Mexique. En effet, en abordant le cheval du point de vue de la mexicanité, notre thèse apparaít comme la première tentative d'histoire sociale et culturelle sur la genèse du cheval mexicain, pour l'importance qu'elle accorde aux apports indigènes dans l'équitation et les techniques de la domestication ou encore pour la mise en évidence d'une culture du cheval novo-hispanique métisse. Notre travail enrichit aussi l'histoire coloniale du XVIe siècle, au regard notamment des portraits sociologiques de marchands et de voleurs de chevaux, qui sont les premiers de ce genre à cette époque.
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Les sociétés minières du Centre-Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIième siècle : construction et évolution d'un monde métisCroguennec, Soizic 23 November 2011 (has links) (PDF)
Mon travail porte sur les sociétés minières du centre-nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIè siècle, notamment à Zacatecas, Fresnillo et Sombrerete. Dans ce cadre précis, je m'intéresse aux " plèbes urbaines ", groupe hétérogène dans lequel se retrouvent les castas mais aussi la foule des Indiens ladinos et des Espagnols déclassés qui adoptent des comportements similaires ou qui s'accrochent désespérément à leur " hispanité ". Cette définition mène en premier lieu à l'analyse de la stratification sociale d'un point de vue socio-économique. Toutefois, le comportement de crispation des " petits-blancs " conduit à ne pas évacuer totalement la prégnance d'une stratification socio-raciale dans les mentalités et les représentations. Une telle approche induit non seulement un questionnement sur la constitution de la société coloniale mais introduit aussi la notion du discours sur autrui, autant de problèmes qu'il faut résoudre en confrontant la réalité coloniale, le vécu des " plèbes urbaines " et le discours dont elles font l'objet. C'est donc tout un jeu de va-et-vient entre ces pôles qui doit révéler une société infiniment complexe et mouvante dans laquelle stratifications concrète et mentale se combinent et produisent une véritable mosaïque sociale.
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Savoir et pouvoir : trajectoire, postures et modes d'action des hommes d'Église en Nouvelle-Espagne (1680-1705) / Knowledge and power : trajectories, positions and modes of action of men of the Church in New Spain (1680-1705)Laske, Trilce 07 December 2015 (has links)
Cette thèse étudie les trajectoires distinctes d'une jeune génération d'ecclésiastiques érudits criollos au sein de la capitale de la Nouvelle-Espagne et leurs consécrations. A travers une approche d'ordre micro-historique, l'objectif est de s'interroger sur les conditions et les modalités d'existence des élites lettrées dans une vice-royauté américaine de la monarchie composée des Habsbourg. / This thesis studies the distinct trajectories of a young generation of criollos scholars clergymen in the capital of New Spain and their consecrations. Through a micro-historical approach, the goal is to question the terms and conditions of existence of the literate elites in an American viceroy of monarchy composed of the Habsbourg.
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Les intendants de la vice-royauté de la Nouvelle-Espagne (1764-1821) : origines, carrières et intégration coloniale : essai prosopographique / The intendants of the viceroyalty of New Spain (1764-1821) : origins, careers y colonial integration : prosopographical test / Los intendentes del virreinato de la Nueva España (1764-1821) : orígenes, carreras y integración colonial : ensayo prosopográficoLacoste, Marie-Pierre 20 April 2017 (has links)
Introduit dans la vice-royauté de la Nouvelle-Espagne en 1764, le système de l’intendance s’est progressivement diffusé à l’ensemble des territoires composant cette aire géographique. Mon travail porte sur les intendants de la vice-royauté de la Nouvelle-Espagne de 1764 à 1821 qu’ils aient été nommés en pleine propriété ou à titre provisoire. Nous avons mené une étude prosopographique de ces hommes pour l’ensemble des territoires de la vice-royauté (le royaume de la Nouvelle-Espagne, la capitainerie générale du Guatemala, la Louisiane, les îles de Cuba et de Porto Rico, l’archipel philippin). L’étude des origines géographiques, professionnelles et sociales des intendants nous a permis de déterminer le profil de ces agents envoyés aux Indes de Castille. L’analyse du recrutement a révélé ainsi l’importance du capital relationnel dans l’accès aux charges. Tout un pan de notre travail a été consacré dans un second temps à la notion de « carrière », au parcours professionnel. Faisait-on carrière au sein de l’institution de l’intendance ou cette charge constituait-elle une simple étape dans une carrière au service de l’administration de la monarchie ? Telles sont les deux questions qui ont servi de fil conducteur à cette partie. Nous avons aussi souhaité montrer que la charge d’intendant n’avait pas été seulement réservée aux Péninsulaires contrairement à ce que l’on a longtemps cru. Les Créoles ont bien été présents à la tête de l’institution. Notre dernière partie laisse enfin entrevoir l’intégration de certains de ces hommes à la société coloniale. 1821 n’a pas mis fin à la présence des Espagnols en Amérique. Le processus de créolisation a bien été une réalité historique. / Introduced in the viceroyalty of New Spain in 1764, the intendant system has gradually spread to all the territories of this geographical area. My current doctoral research is about the intendants of the viceroyalty of New Spain, whether they’ve been appointed in full ownership or provisionally. We conducted a prosopographical study of these men for all the territories of the viceroyalty (the kingdom of New Spain, the captaincy of Guatemala, the Louisiana, the islands of Cuba and Puerto Rico, the Philippine archipelago). The study of the geographical, professional and social origins allows us to determinate the profile of these agents sent to the Indies of Castile. The analysis of recruitment revealed so the importance of relational capital in the access of charges. Secondly, a significant part of our work has been dedicated to the concept of career, at the professional life. Was there a career within the institution of intendancy or was this charge, a simple step in a career at the service of the monarchy’s administration? These are the two questions that have served as the connecting thread for this part. We also wanted to show that the office of intendant was not only reserved for the Peninsulars, contrary to what we have long believed. The Creoles were present at the head of the institution. Our last part of my thesis finally reveals the integration of some of these men into the colonial society. 1821 didn’t put an end to the presence of Spaniards in America. The process of creolization has indeed been a historical reality. / Introducido en el virreinato de la Nueva España en 1764, el sistema de la intendencia se extendió gradualmente a todos los territorios de esta área geográfica. El tema de mi investigación doctoral trata de los intendentes del virreinato de la Nueva España durante la segundad mitad del siglo XVIII y a principios del siglo XIX hasta la independencia, ya sean nombrados en plena propiedad o como interinos. Se realizó un estudio prosopográfico de estos hombres para todos los territorios del virreinato (el reino de la Nueva España, la capitanía general de Guatemala, la Luisiana, las islas de Cuba y de Puerto Rico, el archipiélago de Filipinas). El estudio de los orígenes geográficos, profesionales y sociales nos permitió determinar el perfil de estos agentes enviados a las Indias de Castilla. El análisis del reclutamiento ha revelado así la importancia del capital relacional para el acceso a los cargos. En un segundo tiempo, nuestro trabajo se consagró al concepto de “carrera” y a las trayectorias profesionales. ¿Se hacía carrera dentro de la institución de la intendencia o más bien constituía este cargo una etapa de la carrera al servicio de la administración de la monarquía? Estas son las dos preguntas que han servido de hilo conductor para esta parte. También hemos querido mostrar que la intendencia no sólo estaba reservada a los Peninsulares a diferencia de lo que hemos creído durante mucho tiempo. Los Criollos estuvieron bien presentes a la cabeza de la institución. La última parte de mi tesis sugiere por fin la integración de algunos hombres en la sociedad colonial. 1821 no puso fin a la presencia española en América. El proceso de criollización fue efectivamente una realidad histórica.
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Les sociétés minières du Centre-Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIième siècle : construction et évolution d’un monde métis / Mining societies in the Central Northern Area of New Spain in the 18th century : formation and evolution of a "mestizo" word / Las sociedades mineras en el Centro Norte de la Nueva España a lo largo del siglo XVIIICroguennec, Soizic 23 November 2011 (has links)
Mon travail porte sur les sociétés minières du centre-nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIè siècle, notamment à Zacatecas, Fresnillo et Sombrerete. Dans ce cadre précis, je m'intéresse aux « plèbes urbaines », groupe hétérogène dans lequel se retrouvent les castas mais aussi la foule des Indiens ladinos et des Espagnols déclassés qui adoptent des comportements similaires ou qui s'accrochent désespérément à leur « hispanité ». Cette définition mène en premier lieu à l'analyse de la stratification sociale d'un point de vue socio-économique. Toutefois, le comportement de crispation des « petits-blancs » conduit à ne pas évacuer totalement la prégnance d'une stratification socio-raciale dans les mentalités et les représentations. Une telle approche induit non seulement un questionnement sur la constitution de la société coloniale mais introduit aussi la notion du discours sur autrui, autant de problèmes qu'il faut résoudre en confrontant la réalité coloniale, le vécu des « plèbes urbaines » et le discours dont elles font l'objet. C'est donc tout un jeu de va-et-vient entre ces pôles qui doit révéler une société infiniment complexe et mouvante dans laquelle stratifications concrète et mentale se combinent et produisent une véritable mosaïque sociale. / My current doctoral research is about the mining societies in Northern and Central New Spain during the 18th century, and especially the region of Zacatecas, Fresnillo and Sombrerete. Within this particular context, I centred my study on the lower classes, a rather heterogeneous social group composed of castas, ladinos and poor Spaniards. This definition leads the reflection towards the analysis of the social stratification from a socio-economical perspective. However, the case of the poor Spaniards, their behaviour and the way they tend to reject the mestizos and other castas (as potential spouses for instance), stressing on their ties to the more powerful group of the Creoles in the process, indicates that the socio-racial component of the social stratification should not be ignored, at least as far as individual and collective mentalities are concerned. This point of view orientates a questioning about the formation of the colonial society and introduces the notion of the perception of one another as well. The confrontation between the colonial reality and the lower classes‟ perception can be a way of answering this interrogation. The result of this work is the depiction of an extremely complex and fluid society in which several levels of stratification (real / perceived) add up to produce a social mosaic. / El tema de mi investigación doctoral actual trata de las sociedades mineras en el Centro Norte de la Nueva España a lo largo del siglo XVIII, más precisamente en la región de Zacatecas, Fresnillo y Sombrerete. En este contexto, el estudio sigue las “plebes urbanas”, un grupo social muy heterogéneo que integra a las castas pero también a los indios ladinos y a la muchedumbre de los criollos pobres, cuyos comportamientos son muy parecidos a los de las castas, o, al contrario, cuya esperanza es demostrar su legítima pertenencia al grupo superior de los Españoles. Este tipo de definición conduce naturalmente a analizar la cuestión de la estratificación social desde una perspectiva esencialmente socio-económica. Sin embargo, el fenómeno de crispación social que se puede observar entre los criollos pobres que rechazan a las castas (sobre todo al momento de eligir una pareja) conduce también a considerar la importancia de las consideraciones de natura socio-racial en las mentalidades y los discursos del siglo XVIII novohispano. Por estas razones, la problemática de mi trabajo es dual: no sólo se interesa a la formación y la evolución de la sociedad colonial pero no olvida los discursos y las percepciones. Por eso elegí un proceso de confrontación entre la realidad colonial reconstituida gracias a la documentación y los discursos elaborados por y sobre las plebes urbanas. Resulta de este esfuerzo la reconstitución de una sociedad sumamente compleja y fluida en la cual diferentes niveles (concreto / mental) de estratificación se añaden para producir una mosaica social.
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José Antonio de Alzate y Ramírez : una empresa periodística “sabia” en el Nuevo MundoHébert, Sara 04 1900 (has links)
José Antonio de Alzate y Ramírez (1737-1799) est reconnu aujourd’hui, entre autres choses, comme un des premiers journalistes, scientifiques, critiques littéraires et patriotes mexicains. Ce mémoire présente, dans un premier temps, une introduction à la vie et l’œuvre du personnage et rend compte de la réception globale de celle-ci, de 1831 à nos jours. Nous y montrons que les différents journaux d’Alzate, ses Diario literario de México (1768), Asuntos Varios sobre Ciencia y Arte (1772-1773), Observaciones sobre la física (1787-1788), et Gaceta de literatura (1788-1795), ont été étudiés principalement dans le contexte historique de la création de la nation mexicaine et que les intentions patriotiques ou proto-nationales qui lui ont été prêtées méritent d’être nuancées.
Effectivement, bien qu’il ait publié plusieurs textes susceptibles de contribuer à améliorer certains domaines de l’économie américaine, tels que les activités minières, l’agriculture et les arts manuels, l’auteur révèle à travers son discours un désir de participer, au moyen de ses journaux, au mouvement scientifique européen. En ce sens, nous défendons l’hypothèse qu’Alzate ait choisi de pratiquer un type de journalisme spécifique, inspiré notamment du Journal des Sçavans (1665) et du Journal de Physique (1771-1773), qui lui permettrait de s’adresser autant à ses compatriotes, qu’aux membres de la République des Lettres. Nous présentons une étude comparative des similarités qui existent entre les publications d’Alzate et les deux journaux français ci-haut mentionnés, notamment en ce qui concerne les buts énoncés par leurs éditeurs ainsi que les modalités discursives et les thèmes qui les caractérisent. Dans le même ordre d’idée, nous soutenons que les publications d’Alzate présentent plusieurs des éléments clés qui définissent les journaux savants produits en Europe durant le dix-huitième siècle selon les études réalisées par Jean-Pierre Vittu.
Enfin, nous expliquons comment le modèle du «journal savant» a été adapté par Alzate aux particularités de la Nouvelle-Espagne. Nous abordons, entre autres, les questions de la censure, de la critique et du manque de ressources financières dont il a souffert, facteurs qui, selon nos études, ont façonné l’entreprise du personnage. D’autre part, nous analysons les attitudes scientifiques adoptées par Alzate en tant que membre de la République des Lettres. Nous examinons aussi les principales sources de savoir qu’il a préconisées en tant qu’auteur afin d’accomplir certains devoirs propres aux membres de cette communauté. / José Antonio de Alzate y Ramírez is known for being one of the first Mexican journalists, scientists, literary critics and insurgents. The first chapter of this thesis offers a concise presentation of the author’s life and work and an overall review of the studies that were made of his Diario literario de México (1768), Asuntos varios sobre ciencias y artes (1772-1773), Observaciones sobre la física, historia natural y artes útiles (1787-1788) and Gaceta de literatura de México (1788-1795), from the year 1831 until this day. This work shows that his four newspapers have been studied mainly within the historical context of the creation of the Mexican nation and it demonstrates that the patriotic or proto-national intentions that were attributed to him deserve to be reconsidered.
This thesis demonstrates that Alzate chose to produce a particular type of journalism somewhat similar to the French Journal des Sçavans (1665-1683) and Journal de Physique (1771-1773) that would allow him to contribute personally to the progress of science. Up to this day, no important study has been made comparing the prestigious French journals and Alzate’s publications. We are taking a first step in this direction as we highlight how his project appears to have been directly inspired by the two French periodicals, comparing the goals their editors shared and the subjects they explored. It will also be shown that Alzate’s periodicals present the essential elements that define most of the learned journals (“journaux savants”) published in Europe during the eighteenth century, as defined by Jean-Pierre Vittu.
Finally, this thesis illustrates how Alzate adapted the model of the “journal savant” to the particularities of the society of New Spain. It focuses on the subjects of censorship, criticism and the lack of financial or institutional support that the Mexican journalist had to deal with. It also clarifies Alzate’s scientific attitudes as an author by examining his objective of belonging to the universal Republic of Letters and the specific purposes that its members were trying to achieve. It also presents a new definition of Alzate’s global scientific vision and explores the sources of knowledge he considered to be valuable in order to accomplish his goals as a “savant”. / José Antonio de Alzate y Ramírez es reconocido hoy como uno de los primeros periodistas, científicos, críticos literarios y hasta “insurgentes” mexicanos. En primer lugar, ofrecemos una breve presentación de la vida y obra del autor y damos cuenta de la recepción general que tuvieron sus Diario literario de México (1768), Asuntos varios sobre ciencias y artes (1772-1773), Observaciones sobre la física, historia natural y artes útiles (1787-1788) y Gaceta de literatura de México (1788-1795), desde 1831 hasta nuestros días. Damos a entender, entre otras cosas, que la obra de nuestro personaje ha sido estudiada principalmente dentro del contexto histórico nacional mexicano y que las intenciones patrióticas que se le han prestado merecen ser matizadas. Por nuestra parte, preferimos analizar sus publicaciones e intenciones en relación con su sentimiento de pertenencia a la República de las Letras.
En este sentido, en el segundo apartado de nuestra memoria, demostramos que Alzate eligió practicar un tipo de periodismo, inspirado principalmente en el Journal des Sçavans (1665-1683) y el Journal de Physique (1771-1773), que le permitiera participar personalmente en el progreso de la Ciencia. Hasta el momento, no se había hecho ningún trabajo comparativo entre las principales publicaciones sabias francesas y los papeles que produjo Alzate. Damos, pues, un primer paso en esta dirección y señalamos en qué manera se asemejan dichas publicaciones, sobre todo en cuanto a propósitos, contenido y modalidades discursivas. Mostramos, pues, que los papeles periódicos publicados por el novohispano presentan muchos de los elementos fundamentales que caracterizan, según Jean-Pierre Vittu, al “papel periódico sabio” europeo.
Luego, ilustramos cómo dicho género de periodismo fue adaptado por Alzate a las particularidades de la sociedad colonial novohispana. Abordamos los temas de la censura, de la crítica y de la falta de recursos económicos que constituyeron los principales obstáculos que nuestro publicista enfrentó a lo largo de su carrera. Volvemos también a definir las actitudes científicas manifestadas por Alzate como productor de saber en función de su sentimiento de pertenencia a la República de las Letras y de los deberes que buscaron cumplir sus miembros. Redefinimos, pues, la visión científica global que adoptó y las fuentes de saber que consideró válidas.
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José Antonio de Alzate y Ramírez : una empresa periodística “sabia” en el Nuevo MundoHébert, Sara 04 1900 (has links)
José Antonio de Alzate y Ramírez (1737-1799) est reconnu aujourd’hui, entre autres choses, comme un des premiers journalistes, scientifiques, critiques littéraires et patriotes mexicains. Ce mémoire présente, dans un premier temps, une introduction à la vie et l’œuvre du personnage et rend compte de la réception globale de celle-ci, de 1831 à nos jours. Nous y montrons que les différents journaux d’Alzate, ses Diario literario de México (1768), Asuntos Varios sobre Ciencia y Arte (1772-1773), Observaciones sobre la física (1787-1788), et Gaceta de literatura (1788-1795), ont été étudiés principalement dans le contexte historique de la création de la nation mexicaine et que les intentions patriotiques ou proto-nationales qui lui ont été prêtées méritent d’être nuancées.
Effectivement, bien qu’il ait publié plusieurs textes susceptibles de contribuer à améliorer certains domaines de l’économie américaine, tels que les activités minières, l’agriculture et les arts manuels, l’auteur révèle à travers son discours un désir de participer, au moyen de ses journaux, au mouvement scientifique européen. En ce sens, nous défendons l’hypothèse qu’Alzate ait choisi de pratiquer un type de journalisme spécifique, inspiré notamment du Journal des Sçavans (1665) et du Journal de Physique (1771-1773), qui lui permettrait de s’adresser autant à ses compatriotes, qu’aux membres de la République des Lettres. Nous présentons une étude comparative des similarités qui existent entre les publications d’Alzate et les deux journaux français ci-haut mentionnés, notamment en ce qui concerne les buts énoncés par leurs éditeurs ainsi que les modalités discursives et les thèmes qui les caractérisent. Dans le même ordre d’idée, nous soutenons que les publications d’Alzate présentent plusieurs des éléments clés qui définissent les journaux savants produits en Europe durant le dix-huitième siècle selon les études réalisées par Jean-Pierre Vittu.
Enfin, nous expliquons comment le modèle du «journal savant» a été adapté par Alzate aux particularités de la Nouvelle-Espagne. Nous abordons, entre autres, les questions de la censure, de la critique et du manque de ressources financières dont il a souffert, facteurs qui, selon nos études, ont façonné l’entreprise du personnage. D’autre part, nous analysons les attitudes scientifiques adoptées par Alzate en tant que membre de la République des Lettres. Nous examinons aussi les principales sources de savoir qu’il a préconisées en tant qu’auteur afin d’accomplir certains devoirs propres aux membres de cette communauté. / José Antonio de Alzate y Ramírez is known for being one of the first Mexican journalists, scientists, literary critics and insurgents. The first chapter of this thesis offers a concise presentation of the author’s life and work and an overall review of the studies that were made of his Diario literario de México (1768), Asuntos varios sobre ciencias y artes (1772-1773), Observaciones sobre la física, historia natural y artes útiles (1787-1788) and Gaceta de literatura de México (1788-1795), from the year 1831 until this day. This work shows that his four newspapers have been studied mainly within the historical context of the creation of the Mexican nation and it demonstrates that the patriotic or proto-national intentions that were attributed to him deserve to be reconsidered.
This thesis demonstrates that Alzate chose to produce a particular type of journalism somewhat similar to the French Journal des Sçavans (1665-1683) and Journal de Physique (1771-1773) that would allow him to contribute personally to the progress of science. Up to this day, no important study has been made comparing the prestigious French journals and Alzate’s publications. We are taking a first step in this direction as we highlight how his project appears to have been directly inspired by the two French periodicals, comparing the goals their editors shared and the subjects they explored. It will also be shown that Alzate’s periodicals present the essential elements that define most of the learned journals (“journaux savants”) published in Europe during the eighteenth century, as defined by Jean-Pierre Vittu.
Finally, this thesis illustrates how Alzate adapted the model of the “journal savant” to the particularities of the society of New Spain. It focuses on the subjects of censorship, criticism and the lack of financial or institutional support that the Mexican journalist had to deal with. It also clarifies Alzate’s scientific attitudes as an author by examining his objective of belonging to the universal Republic of Letters and the specific purposes that its members were trying to achieve. It also presents a new definition of Alzate’s global scientific vision and explores the sources of knowledge he considered to be valuable in order to accomplish his goals as a “savant”. / José Antonio de Alzate y Ramírez es reconocido hoy como uno de los primeros periodistas, científicos, críticos literarios y hasta “insurgentes” mexicanos. En primer lugar, ofrecemos una breve presentación de la vida y obra del autor y damos cuenta de la recepción general que tuvieron sus Diario literario de México (1768), Asuntos varios sobre ciencias y artes (1772-1773), Observaciones sobre la física, historia natural y artes útiles (1787-1788) y Gaceta de literatura de México (1788-1795), desde 1831 hasta nuestros días. Damos a entender, entre otras cosas, que la obra de nuestro personaje ha sido estudiada principalmente dentro del contexto histórico nacional mexicano y que las intenciones patrióticas que se le han prestado merecen ser matizadas. Por nuestra parte, preferimos analizar sus publicaciones e intenciones en relación con su sentimiento de pertenencia a la República de las Letras.
En este sentido, en el segundo apartado de nuestra memoria, demostramos que Alzate eligió practicar un tipo de periodismo, inspirado principalmente en el Journal des Sçavans (1665-1683) y el Journal de Physique (1771-1773), que le permitiera participar personalmente en el progreso de la Ciencia. Hasta el momento, no se había hecho ningún trabajo comparativo entre las principales publicaciones sabias francesas y los papeles que produjo Alzate. Damos, pues, un primer paso en esta dirección y señalamos en qué manera se asemejan dichas publicaciones, sobre todo en cuanto a propósitos, contenido y modalidades discursivas. Mostramos, pues, que los papeles periódicos publicados por el novohispano presentan muchos de los elementos fundamentales que caracterizan, según Jean-Pierre Vittu, al “papel periódico sabio” europeo.
Luego, ilustramos cómo dicho género de periodismo fue adaptado por Alzate a las particularidades de la sociedad colonial novohispana. Abordamos los temas de la censura, de la crítica y de la falta de recursos económicos que constituyeron los principales obstáculos que nuestro publicista enfrentó a lo largo de su carrera. Volvemos también a definir las actitudes científicas manifestadas por Alzate como productor de saber en función de su sentimiento de pertenencia a la República de las Letras y de los deberes que buscaron cumplir sus miembros. Redefinimos, pues, la visión científica global que adoptó y las fuentes de saber que consideró válidas.
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Expresiones del criollismo novohispano en el Teatro Mixicano de fray Agustín de VetancurtOrtíz Ramírez, Ericka Crystal January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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