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La religion comme clé pour penser le politique chez Marcel Gauchet

Jean, Marco, January 2005 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2005. / In ProQuest dissertations and theses. Titre de l'écran-titre (visionné le 17 oct. 2007). Publié aussi en version papier.
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La thèse de la sortie de la religion chez Marcel Gauchet en perspective : Feuerbach, Freud, Nietzsche /

Pépin, Marie-Claude, January 2007 (has links) (PDF)
Mémoire (M.A.)--Université du Québec à Trois-Rivières, 2007. / Comprend des réf. bibliogr. (f.137-138).
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Universal human rights : philosophy of the person and social vision in the work of two contemporary French intellectuals /

Souillac, Geneviève. January 2000 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Hong Kong, 2000. / Includes bibliographical references (leaves 366-412).
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Analyse des théories sociologiques de Louis Dumont et de Marcel Gauchet : contribution à une sociologie de la modernité

Blackburn, Philippe January 1995 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet : les apports théoriques de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique

Morisset, Charles January 2009 (has links) (PDF)
Le pari que nous avons pris ici, consiste à éclairer la question de la philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet à l'aide d'une analyse des apports de trois sources théoriques qui déterminent l'anthroposociologie transcendantale soit la phénoménologie, le structuralisme et l'herméneutique. Notre hypothèse se situe dans le désir de vérifier la justesse des thèses qui imputent une philosophie de l'histoire déterministe et téléologique à la pensée historique de Marcel Gauchet. Si tel était le cas, l'histoire serait alors réduite à être celle d'un processus structural qui, en dernière analyse, déterminerait de manière absolue les possibles des phénomènes politiques aussi différents que la religion chez les peuples primitifs et la modernité politique. Notre intuition fut que braquer l'analyse sur la question de l'origine abolirait la thèse selon laquelle, au terme d'une succession progressiste de l'histoire, l'hétéronomie mènerait nécessairement à l'autonomie. Ainsi, une analyse de la philosophie de l'histoire chez Gauchet demande de s'interroger sur la condition de possibilité de l'histoire, soit l'ontologie du social historique qui sous tend, chez Gauchet, le devenir historique du politique au sein du monde social-humain. Pour y arriver, nous avons pris une distance par rapport aux interprétations qui étaient faites jusqu'alors de la pensée de Marcel Gauchet. En effet, celles-ci se limitaient principalement à deux types d'analyses, soit son approche politique du fait religieux, soit son interprétation de l'histoire comme avènement progressif des sociétés de l'autonomie. Nous avons plutôt décidé de replacer la pensée gauchetienne au coeur des débats théoriques et épistémologique plus fondamentaux qui touchaient la philosophie et les sciences humaines françaises de la deuxième moitié du XXe siècle. L'oeuvre de Gauchet est donc replacée d'emblée au sein des débats qui touchent la pensée française des années 1960-70 -débats qui avaient pour enjeux principal le statut de l'hégélano-marxisme. Au delà d'une ressaisie détaillée du devenir historique et de sa mécanique, la philosophie de l'histoire est à comprendre chez Gauchet en fonction des apports théoriques et des débats entourant l'influence de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique au sein des sciences humaines. Comprendre ces apports théoriques s'avère nécessaire afin de ressaisir le sens originaire, ontologique et historique que prend le fait social et politique chez Gauchet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gauchet, Structuralisme, Phénoménologie, Herméneutique, Origine.
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La laïcité, état des lieux

Rioux, Alain January 2009 (has links) (PDF)
Loin de se cantonner à la notion triviale de simple séparation Église/État, la laïcité classique, selon Marcel Gauchet, est plutôt le mouvement propre de l'autonomie participative du corps politique. Ce mouvement, se dédoublant en État et société, autorise tant l'autonomie de l'État, face à toute idéologie (laïcité), que celle des individus de la société civile (libertés politiques et civiques.). Or, un avatar de cette laïcité, la laïcité sociale, tentant de repenser l'autonomie politique, selon un rapport de proportionnalité, entre l'État et les individus, exige, sur le modèle de la négociation marchande, comme l'illustre, avec beaucoup d'à-propos la réflexion éthique de David Gauthier, que l'autonomie de tout un chacun émane non plus de la généralité de la participation politique mais, plutôt, de la reconnaissance juridique de chaque singularité. La question s'est alors posée de savoir, si le modèle prévalent de la laïcité devrait désormais se penser comme forme politique ou réalité sociale. Autrement dit, la laïcité classique, structure politique de la cité, doit-elle céder le pas à cette matière sociale, en constante renégociation, selon la transposition des principes de la société de marché, qu'est la laïcité sociale? On a bien tenté de concilier ces deux formes de laïcité, sous le concept de citoyenneté différenciée, comme s'y est ingénié Will Kymlicka, mais l'autonomie, étant un concept exclusif, les deux formes de laïcité, politique et sociale, parce que régies par deux ordres différents de rapports à l'autonomie, relation participative, pour la laïcité classique, analogie de proportionnalité, pour la laïcité sociale, s'avèrent incompatibles. De plus, nous rappelant que toute société est immédiatement politique, Julien Freund nous apparaît faire cause commune avec Gauchet et répudier toute admission de quelque version sociale de la laïcité. Car, la laïcité, étant forme politique d'une matière sociale, qu'elle unifie et clôture, ne peut tolérer, sans se nier, le fractionnement ou la démultiplication de cette matière, comme la reconnaissance juridique des singularités individuelles nous y conduit, ainsi qu'y aspire la laïcité sociale, sans compromettre la stabilité et l'existence même du corps politique. Ainsi, le plaidoyer de Gauchet pour la laïcité classique, forme politique de la cité, est-il conforté dans ses droits. La laïcité est, donc, l'expression unique du dédoublement autonome du corps politique, en État et en société. En outre, l'autonomie politique, consacrée par ce dédoublement, s'offre à elle-même son propre a-venir, en tant qu'auto-nome ou pro-jet. De sorte que, loin de se pétrifier en forme politique abstraite, la laïcité classique est bien plutôt le gage dynamique de la survie et de la stabilité de toute cité démocratique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gauchet, Laïcité, Freund, Multiculturalisme, Kymlicka.
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La pertinence publique de la théologie chrétienne après le désenchantement du monde : une lecture de Marcel Gauchet

Bergeron, Patrice 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Cette recherche traite de la pertinence publique de la théologie chrétienne. La question est abordée à partir des travaux de Marcel Gauchet sur la modernité dans sa genèse et dans ses récents développements. C'est la sortie de la religion qui, pour Gauchet, caractérise les sociétés modernes. Dans un premier temps, j'aborde la pensée du christianisme et la pensée du religieux en modernité que Gauchet développe dans ses analyses de l'histoire politique de la religion et de la sortie de la religion. Dans un second temps, j e me penche sur les transformations récentes des sociétés modernes, notamment sur celles qui touchent de près ou de loin à la théologie chrétienne, à savoir la recomposition du privé et du public et ses incidences sur le statut des religions, la crise de la culture et la crise de la figure de l'intellectuel. Dans un troisième temps, j e traite de la théologie chrétienne, des rôles qu'elle peut jouer et des défis qu'elle doit relever. La recherche conduit non seulement à statuer sur la pertinence publique de la théologie chrétienne, mais elle permet aussi de préciser dans quel type de théologie il est de mise d'investir.
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Catholicisme et néolibéralisme : analyse des trois encycliques sociales de Jean-Paul II à partir de la théorie de la modernité de Marcel Gauchet

Roussel, Danny 25 May 2021 (has links)
Le pape Jean-Paul II a écrit trois encycliques sociales : Laborem exercens (1981),Sollicitudo rei socialis (1987) et Centesimus annus (1991). Nous analyserons la critique que Jean-Paul II y fait du néolibéralisme. Pour y arriver, la théorie de la modernité de Marcel Gauchet servira de cadre théorique. Son histoire politique de la religion permettra de situer trois moments importants : la religion première, la modernité accomplie (ou société sortie de la religion) et, entre les deux, la période des compromis entre le monde de l’hétéronomie et le monde de l’autonomie, compromis ayant pris la forme de l’idéologie aux XIXe et XXe siècles. Nous analyserons le discours de Jean-Paul II pour le situer dans ce cadre théorique. Les concepts utilisés par le pape se révéleront faire partie du schème de pensée idéologique, au sens entendu par Gauchet.

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