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Recherche-action dans l'industrie de l'ingénierie : analyse des facteurs critiques à l'implantation d'un système de gestion des connaissances visant à renouveler et adapter un modèle théorique

Morin, Isabelle January 2009 (has links) (PDF)
Pour voir à l'adaptation aux contextes variables que nous connaissons, les gestionnaires doivent penser et adopter des pratiques de gestion qui permettent d'ajuster plus facilement l'organisation aux perpétuels changements, et ce, dans le but d'assurer la pérennité de l'entreprise et répondre aux nouvelles contraintes des marchés. Pour répondre à ceci, confronter plus habilement cette réalité et parvenir à une meilleure adéquation entre l'organisation et son environnement variable, voire incertain par moment, la gestion des connaissances s'avère une pratique qui a su faire ses preuves et intéressante à intégrer dans la planification stratégique d'entreprise. Dans le cadre de ce travail de recherche et par le biais d'une étude exploratoire réalisée de manière empirique dans l'industrie québécoise de l'ingénierie, nous proposons de faire l'analyse des facteurs critiques à l'implantation d'un système de gestion des connaissances, et ce, dans l'optique de renouveler et d'adapter un modèle théorique reconnu. La pertinence théorique et pratique de ce travail permet diverses possibilités. D'abord, sur le plan théorique, ce travail permet d'élargir le champ des travaux disponibles et de nuancer les textes conceptuels existants. Les grandes lignes théoriques tirées de ce travail permettent aussi d'ajuster un modèle à une industrie et à une entreprise spécifique. Ensuite, sur le plan pratique, les conclusions soulevées augmentent les probabilités de parvenir à implanter un système de gestion des connaissances répondant plus clairement aux besoins des acteurs. Si les personnes responsables de l'implantation d'un système de gestion des connaissances arrivent à l'ajuster à leur réalité, les chances de réussites sont augmentées. Par ricochet, c'est la pérennité de l'entreprise qui en sera favorisée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Connaissances, Gestion des connaissances, Compétences, Apprentissages, Capacités organisationnelles.
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Analyse et évaluation de l'efficacité des transferts de connaissances technologiques et organisationnelles dans le cadre d'un projet de partenariat : le cas des aéroports de Paris et de l'aéroport Houari Bourmédiène d'Alger

Kouicem, Nadjia January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire de recherche s'inscrit dans le cadre d'un projet de management et de transfert de connaissances liant l'aéroport d'Alger « Houari Boumédiène » aux Aéroports de Paris, et présente l'intérêt d'examiner spécifiquement une problématique managériale qui préoccupe les gestionnaires algériens: comment s'assurer de l'efficacité de transfert de connaissances dans le cadre de ce partenariat? Sur quels critères se baser pour l'évaluer? Dans cette perspective, nous avons mobilisé la littérature sur le sujet afin d'extraire les principaux concepts qui sous tendent à l'efficacité du transfert de connaissances. Ce faisant, il apparaît qu'il y a transfert de connaissances dès lors que l'émetteur manifeste sa volonté de dispenser ses connaissances et que le récepteur dispose des capacités d'absorption nécessitées. De plus, le savoir étant bidimensionnel (explicite et tacite), le transfert ne peut s'effectuer que si les moyens mis en place permettent à ces deux types de connaissances de s'articuler. Cela requiert un contexte relationnel, structurel et culturel qui soutient le dialogue et les interactions essentielles au transfert des connaissances. Nous avons privilégié, comme cadre d'analyse, le modèle de Szulanski (1996) fondé sur la spirale de création de connaissances de Nonaka et Takeuchi (1997). Ainsi, la problématique a été abordée selon deux approches. La première consiste à identifier si les conditions de succès sont réunies, la seconde à vérifier si les moyens mis en place favorisent la conversion des connaissances. Les données ont été recueillies par l'entremise d'entrevues semi dirigées auprès de 8 responsables, dont 3 expatriés français. Le transfert de connaissances est un processus social qui ne peut pas être appréhendé en dehors de la perspective des acteurs. Les résultats d'analyses ont permis, entre autres, d'identifier les facteurs inhibant le transfert de connaissances, et d'évaluer le niveau de transfert de connaissances selon le modèle de Rouach (1999). Sur la base de ces résultats, nous avons formulé quelques recommandations pour les managers algériens et souligné l'importance d'explorer certaines avenues de recherche. Ce mémoire a généré des contributions pratiques intéressantes dans la mesure où il permet aux gestionnaires algériens d'appréhender le phénomène du transfert de connaissances, ses obstacles et les facteurs qui sous-tendent à son efficacité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Transfert des connaissances tacites, Explicites, Culture organisationnelle, Outils et moyen de transfert, Partenariat.
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Création de connaissances dans le logiciel libre : une analyse de la communauté Ubuntu

Blum, Guillaume January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente les résultats et l'analyse d'une recherche effectuée dans la communauté Ubuntu, menée entre octobre 2005 et août 2006, dans le domaine de la gestion des connaissances, visant à comprendre comment se crée la connaissance dans la communauté, dans un contexte d'écosystème en mutation. Il ressort de cette recherche que la grande diversité des contributeurs est maintenue sous une forme communautaire par le lien des valeurs qu'ils partagent (humanisme, bidouille, liberté, partage, autodérision, démocratisation) engendrant une vision de l'informatique. Le fonctionnement interne s'effectue sur un mode mérito-démocratique, où tous ont droit à la parole, mais où ce sont les experts et les membres les plus engagés qui ont le plus grand rôle décisionnel. La communauté est composée de nombreuses équipes autogérées, disposant d'une grande autonomie et travaillant en interaction avec d'autres équipes de la communauté Ubuntu ou d'autres communautés du logiciel libre. Cela mène à des cycles et des métacycles de création de connaissances, permettant de choisir une trajectoire technologique puis de s'en écarter par la suite. Tout ceci permet de créer un modèle de création de connaissance, basé sur les modèles de Nonaka et Takeuchi (1995) et Nonaka et Toyama (2005). Nous avons aussi été amenés à valider les activateurs de connaissances de Nonaka (intention, variété, chaos créatif, redondance, autonomie), et à déterminer d'autres activateurs de création de connaissances propres au logiciel libre : liberté de parole, troll, outils d'extériorisation (type wiki, bugzilla, etc.), diversité des moyens de communication et des contributeurs et action même de coder. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gestion des connaissances, Création de connaissance, Ba, Activateurs de connaissance, Innovation, Logiciel libre, Logiciel à code source ouvert, Communauté, Communauté de pratique, Ubuntu.
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Le rôle de la gestion des connaissances dans un projet d'e-gouvernance : cas de la stratégie e-Maroc 2010

Sari, Abdelhaq January 2006 (has links) (PDF)
Cette recherche s'inscrit dans une démarche de compréhension de l'application d'une stratégie de gestion des connaissances appliquée à un projet de gouvernance électronique, visant par ailleurs la gestion des processus de l'état. Partant des études développées dans les secteurs technologiques, managériaux et sociopolitiques, cette recherche vise à instrumenter l'évaluation des processus de gestion des connaissances dans une stratégie d'e-gouvernance au royaume du Maroc. Ce faisant, elle répond à des questions pratiques, sources d'enjeux majeurs dans la stratégie e-Maroc 2010. En effet, la stratégie étudiée constitue un des moteurs importants du développement de la société du savoir, de l'amélioration de la performance économique et du développement des nouvelles formes de démocratie et ceci en visant la réduction de la fracture numérique et un meilleur positionnement du Maroc à l'échelle internationale. Dans ce contexte de changement permanent, où le rythme de substitution des technologies et le rythme d'évolution des connaissances s'accélèrent, la recherche vise à cibler les conditions de réussite d'une stratégie permettant au gouvernement d'instaurer l'innovation continue. La présente recherche traite principalement de la question suivante: « Dans un pays qualifié par la BIRD de pays en voie de développement, tout en analysant les aspects managériaux, économiques, technologiques et sociopolitiques, quelles sont les conditions nécessaires pour que le gouvernement marocain soit capable d'intégrer l'innovation continue? » Les éléments de modélisation qualitative révélés dans la recherche sont issus d'une analyse thématique de contenu des discours issus des verbatims d'une vingtaine d'entretiens semi-dirigés, menés au royaume du Maroc auprès de hauts et moyens dirigeants, responsables politiques et administratifs. (Ministres, secrétaires d'état, cadres supérieurs, directeurs généraux, directeurs, parlementaires...) parmi les personnes interviewées on retrouve aussi des experts du métier notamment des professeurs universitaires et des chercheurs, enfin les entrevues incluent également des observateurs internationaux. du PNUD, CRDI et autres...etc.). La recherche traite aussi des données récoltées pour les analyser et en tirer des conclusions. Ces conclusions englobent un topo de la situation actuelle et un ensemble d'observations basées sur une revue de littérature traitant du sujet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : E-gouvernance, E-gouvernement, Administration électronique, gouvernement électronique, E-Maroc 2010, E-administration, Gestion des connaissances, NONAKA et Takeuchi, KM, Knowledge Management et E-Gov, Apprentissage organisationnel, Gouvernance.
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Étude exploratoire au sein de quatre institutions financières au Canada sur les bureaux de projet et le management du savoir : une perspective intégrative

Ben Mansour, Jamal 12 1900 (has links) (PDF)
L'enjeu de la maîtrise du savoir ne cesse de croître pour les entreprises qui se trouvent confrontées à un environnement dynamique et changeant qui leur impose un nouveau mode de management axé sur le concept de «projet». L'émergence de ce concept a été accompagnée par une évolution structurelle de la gestion de projets où l'unité organisationnelle «bureau de projet» (BdP) prend de plus en plus de place dans la hiérarchie organisationnelle. Comme structure permanente, les bureaux de projet ont en plus de la responsabilité de contrôler et de suivre les projets, le souci de: (i) développer les compétences individuelles et organisationnelles en terme de gestion de projets; (ii) élaborer un capital de connaissances basé sur les expériences et les réalisations passées. Conséquemment, les objectifs de cette recherche sont: explorer les mécanismes d'intégration du savoir soutenus par les bureaux de projet; mieux comprendre le contexte d'adoption ainsi que les bénéfices perçus imputables à ces mécanismes. Pour répondre à ces objectifs, une approche exploratoire de type qualitative a été conduite au sein des bureaux des projets de quatre institutions financières au Canada. La recherche est réalisée sur la base de 15 entrevues impliquant les membres clés des bureaux de projet représentant différents profils types. La recherche a permis d'identifier plusieurs mécanismes d'intégration du savoir répartis sur quatre catégories: l'apprentissage, la socialisation, la codification et la rétention. Les résultats de la recherche mettent également en évidence quatre facteurs dits «d’adhésion» qui supportent ces mécanismes. Ces facteurs sont axés sur: (i) le contexte et font valoir le rôle de l'organisation tel que la culture et la structure propice à l'apprentissage, ainsi que le rôle des individus dans le développement d'attitudes de partage et de valorisation de leurs compétences; (ii) le contenu et font valoir les domaines de savoirs cibles et les outils de diffusion et d'externalisation du savoir ainsi que les outils de socialisation et d'échange entre individus. Nous avons aussi noté que pour réussir l'implantation des mécanismes d'intégration, une attention particulière doit être portée sur la réduction des impacts des barrières tant organisationnelles, individuelles, qu'informationnelles. Les bénéfices identifiés touchent principalement la performance des bureaux de projet, la satisfaction de leurs clients ainsi que la stimulation des apprentissages. Les apports de ce mémoire sont de plusieurs ordres. En effet, à partir de ces résultats, il est proposé plusieurs éléments de théorisation nouveaux dans le champ de l'intégration du savoir en contexte multi-projets. Les apports portent aussi sur le rôle des bureaux de projet, l'importance des facteurs d'adhésion, les barrières ainsi que les bénéfices perçus. Il est aussi proposé pour les praticiens sept jalons qui représentent une ligne directrice leur permettant d'implanter ou de mettre à niveau les mécanismes d'intégration du savoir en contexte multi-projets. Il s'agit de profiter des expériences des entreprises participantes ainsi que des travaux de recherches antérieures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bureau, projet, savoir, mécanisme, intégration, gestion, institution, finance.
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Adaptation des approches en gestion des connaissances au secteur de l'aéronautique : défi des pays en voie de développement : le cas du Maroc

Abbadi, Zineb 04 1900 (has links) (PDF)
L'économie de la connaissance désigne une forme de gestion du savoir, cette ressource humaine stratégique transformée, selon les critères de la nouvelle économie, en nouveau facteur déterminant de la production. La connaissance est devenue également un élément de renforcement de la compétitivité des entreprises, jugée aujourd'hui plus importante que les matières premières ou les ressources naturelles. Selon ses défenseurs, lorsqu'elle est assise sur les attributs stimulants du capital humain et sur ses capacités de mémorisation, d'analyse et d'innovation, la nouvelle économie s'insèrerait logiquement dans le cadre de la libéralisation des échanges de capitaux, de biens et services et des idées. Pour ses détracteurs, la nouvelle économie serait source de tensions entre, d'une part, les intérêts financiers des grandes firmes multinationales dans leur recherche des plus meilleurs profits spéculatifs et, d'autre part, le besoin de reconnaissance de la valeur humaine dans le processus de création des connaissances. Utilisé harmonieusement, le package de la nouvelle économie tel qu'il est proposé aux économies émergentes peut générer les innovations technologiques et les découvertes scientifiques nécessaires à leur décollage économique. Mais lorsqu'il est mal dosé, ce choix peut être source de catastrophes économiques, financières et, par conséquent, sociales. L'idée que le savoir, l'apprentissage et l'innovation sont les nouvelles voies obligées vers la production, le maintien de la richesse et le développement de l'avantage concurrentiel présuppose l'existence d'une collaboration permanente des entreprises industrielles avec les universités et les laboratoires de recherche. Parallèlement, comme conséquences de la mondialisation, ce sont des millions d'emplois du secteur des services qui sont en cours de délocalisation vers les économies émergentes à bas salaires. Parmi les pays bénéficiaires de ces transferts, sont cités des pays d'Afrique du Nord comme la Tunisie et Maroc qui espèrent, en échange des bas salaires offerts, bénéficier d'avantages substantiels en matière de formation et de transfert de technologie. Leurs besoins sont énormes en matière d'innovations, de recherche universitaire, de brevets, ce qui nécessite des efforts très importants en termes de formation. La démarche méthodologique retenue pour notre étude part de l'idée que la recherche, l'innovation et le développement humain sont liés et qu'ils devraient servir de base commune à la croissance des entreprises. Cette hypothèse doit néanmoins être vérifiée. Il s'agit d'en mesurer la pertinence vis-à-vis des modèles théoriques appropriés avant de la confronter aux réalités du terrain. Néanmoins, en privilégiant une démarche proche de la « grounded theory », nous avons établi un constat édifiant qui porte autant sur les besoins des entreprises locales en matière de diffusion des connaissances organisationnelles que sur l'intérêt porté par les décideurs publics et privés à l'économie de la connaissance. Les résultats de notre étude ont à la fois confirmé notre appréhension de départ concernant un intérêt moyen des responsables du secteur aéronautique au Maroc et infirmé plusieurs hypothèses des modèles théoriques mis en avant dans le cadre de la recherche documentaire. Les résultats sont donc mitigés, eu égard en particulier à la tendance des prospects à répondre souvent en termes de formation au moment où la question posée a trait à la création et à la diffusion des connaissances organisationnelles. Au moment où l'étude était censée faciliter l'évaluation du secteur ciblé par rapport aux délocalisations d'entreprises, à la sous-traitance de produits et aux offres d'offshoring, certains résultats nous interpellent sur les gains réciproques d'une coopération Nord-Sud en termes de transfert de connaissances. En effet, au moment où l'économie marocaine est confrontée à un sous-emploi endémique, celui des jeunes cadres et techniciens, et dans un contexte concurrentiel international où la protection des innovations de produits et de services est cruciale pour les firmes, les schémas théoriques des avantages à l'échange international dans le cadre de la nouvelle économie semblent peu adaptés au cadre précis du secteur et du pays étudiés. Néanmoins, l'optimisme est de rigueur avec une prise de conscience du besoin de relèvement qualitatif des niveaux d'éducation et de formation et des conditions de la recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : gestion des connaissances, capital humain, délocalisation, sous-traitance, innovation.
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La gestion de la connaissance dans l'agro-industrie : l'industrie vinicole en Argentine, au Canada et au Chili

Coydan Tapia, Ivan Rodolfo 01 1900 (has links) (PDF)
Au cours des vingt dernières années, l'industrie vitivinicole mondiale a connu certains changements en ce qui concerne les divers agents économiques qui la composent. Ainsi le marché international du vin a été témoin de l'émergence d'entreprises productrices localisées dans les vallées vitivinicoles de l'Afrique du Sud, de l'Argentine, de l'Australie, du Chili et des États-Unis. Cette situation n'est pas étonnante, étant donné que ces pays avaient déjà une certaine expérience dans la production de vin pour le marché local. Cependant, en observant la présence de vins fins d'exportation en provenance de ces pays, dans divers concours œnologiques et dans des revues spécialisées, une question se pose quant aux facteurs qui ont permis à ces pays de se positionner sur des marchés internationaux exigeants. Dans ce contexte, la présente recherche essaie de comprendre les facteurs (économiques, institutionnels et technologiques) qui ont permis une amélioration dans la qualité des moûts et par conséquent, leur acceptation sur les marchés internationaux exigeants en qualité. De manière plus précise, nous nous demandons : De quelle manière, des facteurs comme les sources, les types et les canaux de transfert de la connaissance technique utilisée dans les secteurs du vin et œnologiques, ont-ils influencé la croissance de l'industrie du vin de l'Argentine, du Canada et du Chili? La réponse à cette question a été structurée en considérant des éléments théoriques de la perspective évolutionniste, perspective qui considère le changement et la dynamique comme des éléments centraux de son analyse et qui intègre des variables économiques comme des phénomènes institutionnels. Ainsi, les concepts théoriques associés aux formes d'apprentissage, à la connaissance et aux canaux de transfert technologique ont été fondamentaux lors de la structuration d'un cadre conceptuel qui permet de déterminer l'influence de l'origine de la connaissance et d'autres facteurs administratifs dans la qualité vitivinicole ainsi que les formes de transfert de connaissances les plus utilisées par l'industrie dans ces pays. Le travail empirique s'est concentré sur les vallées de Mendoza (Argentine), Colchagua, Curicó et Maule (Chili) et Okanagan (Canada). À l'aide de données d'enquête sur le terrain (sources primaires) et de données secondaires (Organisation Internationale du Vin, Scopus), nous avons constitué une base de données. Ces informations ont été analysées à travers différentes tests statistiques paramétriques et non paramétriques. Les résultats obtenus permettent de conclure que l'origine de la connaissance n'est pas un facteur décisif, lorsque vient le moment d'augmenter ou de diminuer la qualité des vins. Il y aurait ainsi d'autres mécanismes qui permettraient d'obtenir de meilleures qualités de vins, par exemple le développement d'un processus d'imitation. Toutefois, le développement d'un processus d'imitation implique qu'il soit aussi nécessaire de développer en même temps la recherche et le développement (R-D). Cette activité entraîne, non seulement de nouvelles découvertes ou des améliorations de croissance, mais permet aussi de développer des capacités techniques dans la ressource humaine, et permet de développer les capacités pour adopter ou imiter une nouvelle technologie. Aussi, à la différence de plusieurs autres industries, dans le secteur du vin la taille de l'entreprise est liée aux volumes produits et pas nécessairement avec la qualité produite. Finalement, les résultats ont montré que les entreprises situées dans des pays qui présentent un écosystème d'institutions de science et de technologie bien formé et consolidé, utilisent des canaux plus formels et directs de transfert technologique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : perspective évolutionniste, formes d'apprentissage, connaissance technologique, canaux de transfert technologique et processus d'imitation.
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SYSTÈMES D'INFORMATION ET GESTION DES ORGANISATIONS : APPORT DE LA CONNAISSANCE-CLIENT DANS LA GRANDE DISTRIBUTION, ÉTUDES DE CAS.

Van Berten, Philippe 22 May 2007 (has links) (PDF)
Les Systèmes d'Information apportent aux organisations des outils de gestion des connaissances dans un environnement de plus en plus complexe. Le paradigme de complexité sert de cadre épistémologique à la systémique pour construire un modèle de valorisation des flux informationnels circulant entre le Système d'Information, l'Organisation et son environnement.<br />Appliqué à la grande distribution, ce modèle propose de transformer les informations issues des programmes de fidélisation pour produire de la connaissance client.<br />Une étude de cas, menées auprès des deux principales enseignes de ce secteur en Europe, valide le modèle issu de cette recherche; il modifie déjà chez l'une d'elles le modèle d'entreprise en usage dans ce secteur depuis quarante ans.
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INDUSTRIALISATION DES CONNAISSANCES : APPROCHES D'INTEGRATION POUR UNE UTILISATION OPTIMALE EN INGENIERIE (CAS DE L'EVALUATION ECONOMIQUE)

Perry, Nicolas 08 November 2007 (has links) (PDF)
L'objectif du Génie Industriel est d'améliorer les performances industrielles. Ce champ très large est abordé dans notre équipe par le développement d'outils et de méthodes basés sur l'utilisation d'environnements d'ingénierie virtuelle. Ces derniers sont conçus pour assister, accélérer et donc améliorer les démarches d'ingénierie liées à la conception et la réalisation de produits, mais aussi la gestion des projets associés.<br />Nous développons ainsi des environnements que nous voulons interactifs, pour l'aide à la prise de décision (SIAD).<br />Dès lors, et indépendamment du domaine abordé, la connaissance des experts d'un métier devient une ressource que l'on voudrait partager au maximum, voir faire fonctionner de manières semi-automatiques. Or ces connaissances sont immatérielles, souvent non formalisées et échangées au travers de flux d'informations dont la quantité, la qualité et la véracité ne sont pas toujours assurées ou certifiées. <br />Il importe donc de s'intéresser aux approches de gestion des connaissances ou Knowledge Management, pour spécifier des environnements virtuels les plus riches possibles (sémantiquement parlant) dans lesquels on peut espérer intégrer une partie des connaissances d'experts. Certaines actions d'ingénierie, dont les processus et les règles ont été formalisés puis modélisés, sont alors partiellement automatisables, laissant la place à l'utilisateur pour décider dans des situations non gérées par l'expertise automatique, de critiquer, révoquer ou faire évoluer les choix et alternatives proposées.<br />Un pan important des études et recherches faites dans les domaines des sciences de l'information et de la communication font la part belle à l'intelligence artificielle. Mais les domaines d'application restent souvent très loin des cas d'utilisation ou d'application d'ingénierie (ingénierie mécanique en particulier).<br />Il nous importe donc de nous imprégner des approches, méthodes et outils existants pour nous les approprier tout en les faisant évoluer pour les adapter à nos besoins. Il faut donc pouvoir maîtriser ces méthodes et leurs solutions techniques pour pouvoir être porteur d'évolutions et requêtes et attirer ces thématiques de recherches vers nos problématiques.<br />En conséquences, mes travaux se sont inscrits dans cette démarche d'appropriation des approches de gestion et d'automatisation des connaissances qui relève d'une thématique d'ingénierie des connaissances. Nous avons donc cherché à développer des environnements à base de connaissances supportant les démarches d'ingénierie.<br />Cette position (ingénieur des connaissances) se place en interface entre l'expert (réceptacle et source des connaissances à partager), l'informaticien (qui va développer l'environnement virtuel à base de connaissances) et l'utilisateur (qui va utiliser et faire vivre l'outil).<br />Dès lors différents points de vue se confrontent, et il devient tout aussi important de maîtriser les aspects techniques (méthodes et solutions existantes pour formaliser et modéliser des connaissances, développer les applications, valider l'intégrité et la cohérence des éléments intégrés et à intégrer, faire vivre les bases de connaissances, etc...) que les aspects de gestion de projet, puisqu'il reste très difficile d'évaluer le retour sur investissement direct de tels projets. Un échec conduisant généralement à l'abandon de ce type d'approches, longues, lourdes et souvent opaques pour l'expert ou l'utilisateur.<br />Cette première partie de mes activités de recherches a donc participé à l'enrichissement d'aspects de modélisation (d'objets d'entreprise : information, connaissances ...), de structuration de ces modèles (méthode de modélisation) et d'intégration dans le cycle de développement d'applications informatiques.<br />En analysant les démarches d'ingénierie en mécanique (au sens large), il est ressorti que nous continuons à approfondir et affiner des modèles et calculs sur les solutions techniques qui répondent à des fonctions et des besoins clients. Cependant, le critère de coût ou de valeur reste très peu évalué ou abordé. Or, dans le contexte mondial et concurrentiel actuel il importe d'assurer l'équilibre entre les fonctions techniques et économiques des produits qui sont devenus de plus en plus complexes.<br />Ainsi nous essayons d'aborder la performance au travers des aspects économiques le long du cycle de vie du produit. Ceci nous donne un domaine d'application de nos travaux sur l'intégration et la mise à disposition d'expertise(s) issue(s) des sciences économiques et de gestion dans les démarches d'ingénierie.<br />Ces travaux ont initialement abordé l'adéquation entre les outils et méthodes d'évaluation économique au regard du cycle de vie produit. Les problèmes d'information partielle ou de passage de modèles se posent alors à chaque étape charnière.<br />De plus, nos réflexions et échanges avec les chercheurs en sciences de gestion nous ont porté vers la prise en compte du concept de valeur englobant le coût. Il est ainsi possible d'évaluer les alternatives de chaînes de valeurs et d'envisager d'aborder la conception conjointe de produits et de processus à valeur ajoutée maîtrisée. Ainsi l'environnement d'aide à la décision complète les contextes de décisions en intégrant les différents points de vus d'acteurs et leurs visions sur la valeur à prendre en compte.<br />L'ensemble de ces travaux et réflexions m'ont conduit au néologisme d'Industrialisation des Connaissances, au sens de la mise à disposition fiable, évolutive et objectivée, des connaissances d'experts d'entreprise. Ces travaux ont été alimentés par 4 thèses soutenues (une en cours), 7 DEA et Masters, des implications dans un Réseau Thématique du FP5 et deux Réseaux d'Excellence du FP6, ainsi qu'une collaboration soutenue depuis 2003 avec une équipe de recherche Sud Africaine.
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Annotations et gestion des connaissances en environnement virtuel collaboratif

Aubry, Stéphane 28 May 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite de la question des annotations en environnement virtuel pour aider à la conception collaborative de produit. Pour ceci, nous nous inspirons de deux approches : d'une part l'utilisation de la réalité virtuelle pour la conception collaborative, et d'autre part la gestion des connaissances.<br />Notre premier apport est la définition d'un modèle de l'annotation 3D, qui comporte trois parties : la forme, la spatialisation et les méta-données. Nous présentons en particulier les supports spécifiques de l'annotation 3D, l'ancre et le point de vue géométrique.<br />Nous proposons, afin de gérer le grand nombre d'annotations et l'absence d'ordre canonique de lecture d'un objet 3D, l'introduction d'une ontologie indexant les annotations.<br />A l'aide de notre environnement prototype, nous avons évalué l'influence de l'utilisation de l'ontologie sur la lecture des annotations 3D. Les résultats indiquent un apport de l'ontologie, les utilisateurs trouvant plus facilement l'information pertinente.

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