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Satzstruktur und Verbbewegung : eine minimalistische Analyse zur internen Syntax der IP (Inflection-Phrase) im Deutschen /

Schmidt, Claudia Maria. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Köln--Universität, 1994.
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Dependenzgrammatik Tesnières Modell d. Sprachbeschreibung in wiss.-geschichtl. u. krit. Sicht /

Baum, Richard. January 1976 (has links)
Habilitationsschrift--Universität des Saarlandes, Saarbrücken. / Includes indexes. Includes bibliographical references (p. 144-162).
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Une saison dans l'épistémologie de la linguistique : les implications philosophiques de la grammaire générative chomskyenne /

Frenette, Éric. January 2003 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 239-249. Publ. aussi en version électronique.
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Entre grammaire et lexicographie. Le cas des verbes dans des ouvrages lexicographiques français (1789-1914) / Between grammar and lexicography. Verbs in some French dictionaries (1789-1914)

Pelizzoni, Fabio 02 May 2016 (has links)
Notre thèse se veut une étude du rapport entre la grammaire et la lexicographie généraliste française, de 1789 à 1914. Le choix de cette période s’explique par certains aspects novateurs de la lexicographie de l’époque : entre autres, « démocratisation » du rôle du dictionnaire, approbation de la Loi Guizot en 1833 (enseignement primaire gratuit), publication de grands ouvrages (Littré, Grand Larousse). Sans avoir la prétention de retrouver une grammaire complète à l’intérieur d’un dictionnaire, nous nous sommes proposé de vérifier s’il est possible d’élaborer une « grammaire du verbe » (hypothèse initiale). Nous avons donc mené une recherche globale et systématique de tous les mots qui, directement ou indirectement, pouvaient se rapporter au sujet de notre étude ; nous avons analysé les dictionnaires en accordant une attention particulière à la microstructure, mais sans oublier d’étudier soigneusement les annexes grammaticales (avec ou sans tables verbales), qui ne sont présentes que dans les premiers dictionnaires analysés. Par le biais de tableaux comparatifs, nous avons considéré tout aspect concernant le verbe (typologies, modifications, formations des temps, etc.), en soulignant à chaque fois les analogies et les différences entre les dictionnaires eux-mêmes et les grammaires de référence (Port-Royal, Beauzée e Lhomond). La nouveauté de ce travail consiste en une recherche sur le verbe menée à partir d’ouvrages lexicographiques, et non de grammaires. Les dictionnaires du corpus nous ont permis de vérifier l’hypothèse initiale, en particulier le Bescherelle, le La Châtre et le Grand Larousse. Nous avons cité à plusieurs reprises ces trois ouvrages en les regroupant comme un « trio » présentant une microstructure très riche. Il suffit de consulter les articles consacrés à « verbe », « conjugaison », « mode », etc., pour se rendre compte que nous y retrouvons, de façon plus ou moins « cachée », des extraits de grammaire : les articles foisonnent en exemples, mais aussi en précis didactiques. / Our thesis aims to investigate the relationship between grammar and French general lexicography between 1789 and 1914. The choice of this period is related to some innovative lexicographical aspects, such as the "democratization" of the dictionary’s role, the approval of the Guizot Law in 1833 (focusing on free primary school) and the publication of major works such as the Littré and the Grand Larousse. Without claiming to find a full grammar in a dictionary, we wanted to see if we could elaborate a "grammar of the verb" (starting hypothesis). Therefore, we conducted a comprehensive and systematic research for all words which, directly or indirectly, could relate to the subject matter; we analyzed the dictionaries, with a main focus on microstructure, but without forgetting to study the grammatical attachments (with or without verbal tables), which are included only in the first dictionaries of our corpus. By comparative tables, we took into account all aspects that affect the verb (types, modifications, tense formations, etc.), focusing on similarities and differences between the dictionaries themselves and the reference grammars (Port-Royal, Beauzée and Lhomond). The innovation of this work lies in a research on the verb starting from lexicographical works, not grammars. All the corpus’ dictionaries allowed us to verify the starting hypothesis; in particular, the most complete were the Bescherelle, the La Châtre and the Grand Larousse. We have mentioned these three works several times by grouping them as a "trio" with a very rich microstructure. In fact, by examining the articles dedicated to "verbe", "conjugaison" or "mode", we will find, in a more or less hidden way, true grammar extracts: articles contain many examples, but also educational recommendations.
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La première phrase de roman est-elle une phrase comme les autres ? La spécificité ressentie de l'initiale romanesque, caractérisations linguistiques à l'aide d'un corpus en langue anglaise / What Makes a Novel's First Sentence Special? How the reader feels its specificity, how linguistics can account for it. A study upon English-written material

Passot, Virginie 10 November 2012 (has links)
Délaissée par les théoriciens pour la notion plus large d'incipit, il semble pourtant acquis que la première phrase d'un roman est spécifique. À l'aide des outils de la linguistique et dans une approche centrée sur le lecteur, on a voulu caractériser cette spécificité ressentie, identifier ses causes et ses effets. Le matériel est un corpus de 402 premières phrases tirées de romans publiés de 1980 à 2011, rédigés en langue anglaise. Penser le commencement est un défi pour la cognition. Le début de roman rejoue ses problématiques et met face à l'arbitraire indépassable de toute création. Le passage du discours ordinaire au discours fictionnel pose la question du statut logique de la fiction et fait apparaître la première phrase comme le seuil critique où s'articule un dialogue entre réalité et fiction. La théorie littéraire et le structuralisme attribuent des fonctions (programmation, codification) au commencement. La première phrase inaugure un espace énonciatif ludique et est le lieu d'un transfert d'autorité énonciative de l'auteur au narrateur. Elle construit le cadre énonciatif et narratif du récit, mais aussi ses premiers contenus, dont le lecteur élabore des représentations mentales. L'étude de l'anatomie du corpus révèle un manque de spécificité grammaticale, le jeu consistant à faire comme si la phrase n'était pas la première. En résulte une énigme, dont la résolution détourne à des fins ludiques les fonctions cognitives habituellement dévolues aux problèmes sérieux. Ce piège séductif explique le phénomène d'immersion fictionnelle, dont on explore également le versant esthétique. La spécificité de la première phrase de roman est avant tout cognitive et affective. / Despite being neglected by theorists for the larger notion of incipit, it is generally accepted that the first sentence of a novel is special. Taking the point of view of the reader, this dissertation aims at characterizing this specificity and identifying its causes and effects, using the tools and concepts of linguistics. 402 first sentences were studied, taken from novels published from 1980 to 2011 and written in English. Beginnings are cognitive non-sense. The opening sentence inherits this specificity and places the reader in front of the arbitrariness inherent to creation. The emerging fictional discourse also raises the question of its logical status and makes the opening sentence appear as a hinge between reality and fiction. For literature theorists and structuralists, beginnings have functions (programmatic, codifying). Also, the first sentence is often seen as a crucial brick in the fictional apparatus. It is the opening fringe of a new speech territory, ie a game one, and the edge where enunciative authority is being transferred from the author onto the narrator. It sets the enunciative and narrative frame-work of the story, as well as its first contents, of which readers elaborate mental representations. A study of the anatomy of the corpus reveals its lack of grammatical specificity, part of the game being for the opening sentence not to appear as such. The result is an enigmatic sentence which, for the purpose of the game, hijacks cognitive functions meant for serious matters. This cognitive hijacking is a seduction, it facilitates fictional immersion, which also is an aesthetic experience. The specificity of the first sentence is cognitive and affective.
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Description syntaxique de la langue tetela

Omatete, Alonge-Dikonda January 1985 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'accadien des contrats de Suse

De Meyer, Léon January 1961 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essai de grammaire pove, langue bantoue du groupe B.30

Mickala-Manfoumbi, Roger January 1994 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Regard socioconstructiviste sur le développement de la compétence lexicomorphogrammique qui permet l’accord du verbe en nombre chez des élèves de la fin de l’ordre élémentaire dans le Sud-Ouest ontarien

Thibeault, Joël January 2017 (has links)
Se réclamant d’un cadre de réflexion socioconstructiviste, cette recherche explore le développement de la compétence lexicomorphogrammique qui sous-tend la mise en œuvre de l’accord du verbe en nombre chez huit élèves scolarisés à la fin du cours élémentaire dans le sud-ouest de l’Ontario, un contexte francophone minoritaire. Pour décrire le développement de la compétence ciblée, nous avons mobilisé un cadre théorique qui se base sur les travaux abordant l’apprentissage du français en langues première et seconde, et nous avons recouru à trois instruments, l’activité de complètement, la production écrite et l’entretien métagraphique, que nous avons utilisés à trois reprises, sur une période de 13 mois. Puis, pour mieux le comprendre, nous avons mis en relation le développement de ladite compétence avec un ensemble de facteurs qui sont susceptibles de l’influencer : des facteurs cognitivolangagiers (les capacités métasyntaxiques et métamorphologiques), socioaffectifs (la motivation en grammaire, les représentations sociales des langues) et socioéducatifs (les pratiques enseignantes). Les résultats relatifs à la description de la compétence lexicomorphogrammique des élèves ont permis de mettre au jour une difficulté généralisée : le choix du radical pour les verbes irréguliers à haute fréquence. Qui plus est, nous avons pu faire émerger trois modalités développementales, celles-ci reposant sur la dimension morphogrammique de la compétence retenue. Le premier groupe de scripteurs, en début d’étude, présente une compétence opérationnelle, en ce sens qu’ils peuvent résoudre plusieurs des problèmes orthographiques grammaticaux que nous leur avons soumis, qu’ils s’investissent fréquemment dans une réflexion grammaticale féconde et qu’ils commettent des erreurs reflétant une certaine expertise orthographique. Au gré de l’étude, le profil de ces élèves n’évolue que peu. Le deuxième groupe de scripteurs fait montre, tout au long de la recherche, d’une compétence qui ne permet pas l’accord du verbe en nombre au pluriel, et ce, même lorsque l’environnement syntaxique dans lequel il apparait est relativement simple. La réflexion linguistique dans laquelle ils s’engagent montre d’ailleurs qu’ils ne se soucient pas de la quête d’un donneur d’accord et que, au début de l’étude, ils ne connaissent pas le graphème prototypique de la pluralité verbale. Le troisième groupe, quant à lui, présente une compétence lexicomorphogrammique similaire à celle des élèves du groupe 2 au commencement de la recherche, mais cette compétence, entre les deux dernières passations, affiche un développement tout à fait remarquable. En décrivant certains des facteurs qui peuvent influer sur le développement de la compétence ciblée, nous avons également pu observer certaines tendances. Tout d’abord, les élèves détiendraient tous les capacités métasyntaxiques qui leur permettraient le repérage du donneur d’accord, bien que certains d’entre eux ne l’opèrent pas lors des entretiens métagraphiques. La motivation en grammaire, par ailleurs, semblerait étroitement associée à la compétence lexicomophogrammique sous-tendant l’accord verbal en nombre, alors que, pour ce qui est des représentations sociales des langues, un tel lien n’a pu se dégager, car tous nos participants ont construit des représentations positives vis-à-vis de la diversité linguistique et de l’apprentissage des langues. Enfin, notre étude montre que les pratiques enseignantes peuvent être particulièrement influentes dans le développement d’une compétence linguistique et que, pour cette raison, il est important d’encourager et de parfaire la formation, initiale et continue, en didactique de la grammaire.
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Didactique de la grammaire dans l'enseignement du français langue étrangère en Chine. Vers un éclectisme méthodologique : L'exemple de l'Université de l'Anhui / Didactics of grammar in teaching French as a foreign language in China. Towards a methodological eclecticism : The example of the University of Anhui

Zhao, Jipeng 25 May 2018 (has links)
En Chine, la recherche sur la didactique de la grammaire française est en retard et sur ce thème il n’existe pas un seul ouvrage de référence rédigé par des Chinois ; nous manquons de méthodes efficaces ; nous manquons de professeurs expérimentés. D’où l’idée de notre thèse et la question qui nous intéresse spécifiquement : « Comment enseigner la grammaire française aux étudiants chinois ? ». Pour répondre à cette question, nous avons fait des recherches dans le département de français de la faculté des langues étrangères de l’Université de l’Anhui. Nous proposons trois hypothèses :1. Dans l’enseignement de la grammaire française, il faut selon les objectifs de chaque cours varier les méthodes en appliquant une méthodologie éclectique. 2. À l’Université de l’Anhui il est impossible d’introduire dans l’enseignement de la grammaire du français l’intégralité des concepts d’enseignement du CECR. 3. Pour les étudiants chinois en Langue et littérature françaises de l’Université de l’Anhui, la grammaire déductive est plus efficace que la grammaire inductive.Tout d’abord, il faut signaler que les deux programmes nationaux chinois sont des documents officiels qui donnent des directives sur l’enseignement de la grammaire française. Mais, souples comme le CECR, ils ne préconisent pas l’utilisation d’une méthode précise et conseillent en revanche aux professeurs de tenir compte avant tout des besoins de l’enseignement pour faire leur choix parmi toutes les méthodes existantes. Par ailleurs, nous avons remarqué que, dans les parties grammaticales des deux tests nationaux chinois (le TFS4 et le TFS8), les questions portent plutôt sur les connaissances grammaticales mémorisées au détriment de la compétence grammaticale. Cette manière d’évaluation influence fortement le mode d’enseignement des professeurs et les amène inévitablement sur le chemin de la méthodologie traditionnelle.Nous analysons ensuite un certain nombre de travaux scientifiques traitant de l’enseignement de la grammaire. Dans ce cadre, il s’agit de comparer la grammaire linguistique à la grammaire pédagogique, la grammaire explicite à la grammaire implicite, la grammaire déductive à la grammaire inductive, d’analyser la place de la grammaire dans les différentes méthodologies, d’interpréter l’enseignement de la grammaire française dans la perspective psycholinguistique et neurolinguistique.De plus l’analyse des interviews et des questionnaires que nous avons effectués auprès des étudiants et des professeurs de l’Université de l’Anhui ainsi que l’observation de six cours de grammaire donnés par différents professeurs nous amène à faire les observations suivantes : en milieu universitaire chinois les grammaires explicite et déductive sont dominantes dans l’enseignement du FLE ; la compétence communicative des étudiants chinois est faible ; les connaissances grammaticales qu’ils apprennent en classe ne peuvent pas se transformer en compétence grammaticale leur permettant de parler et d’écrire correctement. Quant aux méthodes de français ou manuels de grammaire utilisés dans les universités chinoises, nous avons constaté que les manuels bilingues rédigés par des Chinois insistent sur l’exhaustivité, les explications grammaticales sont en général détaillées et précises, tandis que dans les manuels monolingues rédigés par des Français, le métalangage utilisé est généralement simple pour faciliter la compréhension des apprenants.Il est à noter enfin qu’en Chine les cultures d’enseignement des professeurs et les cultures d’apprentissage des étudiants sont particulières, chaque professeur enseigne différemment et chaque étudiant apprend différemment. Nous pensons donc qu’il est raisonnable de combiner plusieurs méthodes - en s’inspirant de leurs avantages respectifs et en dépassant leurs inconvénients - et d’appliquer dans l’enseignement de la grammaire française à l’Université de l’Anhui une méthodologie éclectique. / In China, the research on the didactics of French grammar is lagging. There exist such problems as the lack of experienced teachers, effective teaching methods, and lack of reference materials written by the Chinese on this subject. Hence, the idea of this thesis specifically tackles the following question “how should Chinese students be taught French grammar?”To answer this question, research has been carried out in the French Department of the School of Foreign Languages of Anhui University. Through this research, three hypotheses are proposed as follows. 1. It is necessary to apply eclectic methodology when teaching French grammar. Methods must be changed timely and appropriately according to different objectives of courses. 2. It is impossible to fully introduce the CECR teaching concepts into the teaching of French grammar in Anhui University.3. For Chinese students majoring French Language and Literature in Anhui University, deductive grammar is more effective than inductive grammar.After having presented our field of research and analyzed practical needs, objectives and particularities of our students majoring French Language and Literature, we enter into the theoretical framework of our work. First of all, it should be noted that two Chinese national programs are designated as official documents and give instructions on the teaching of French grammar. But like the CECR, both of them are quite flexible. They don’t designate teachers to apply certain teaching approaches; instead, teachers are advised to choose freely among all the existing methods according to the practical teaching need.Secondly, results showed that, in the grammatical parts of two Chinese national tests (TFS4 and TFS8), questions are designed to evaluate students’ grammatical knowledge rather than grammatical competence. Such evaluation approach greatly affected teachers’ teaching methods, and inevitably makes them adopt traditional teaching methodology. Thirdly, analysis on a number of scientific works on French grammar teaching was carried out. In this context, several questions merit attention and further analysis, such as comparing linguistic grammar with pedagogical grammar, explicit grammar with implicit grammar, deductive grammar with inductive grammar; analyzing the role of grammar in different methodologies, interpreting the grammar teaching from psycholinguistic and neurolinguistic perspectives.Fourthly, after the detailed analysis of interviews and questionnaires towards students and professors of Anhui University and the observation of six grammar lessons taught by different teachers, we found that the explanatory and deductive methods dominate the teaching of FLE in Chinese universities. Concerning Chinese students, their communicative competence is rather poor, and the grammatical knowledge they learn in class can not be transformed into grammatical competence, allowing them to speak and write correctly.Fifthly, as for French methods or grammar books used in Chinese universities, we found that bilingual textbooks, written by Chinese, focus on completeness and include detailed and precise grammatical explanations, while in monolingual textbooks written by French, the metalanguage used is generally simple to facilitate the comprehension of the learners.Finally, it should be noted that compared with their counterparts in European countries, the teaching culture of Chinese teachers and the learning culture of Chinese students are quite different. Each teacher teaches differently and each student learns differently. We therefore argue that it is reasonable to combine several teaching methods (such as, traditional methodology, communicative approach, action-oriented approach and so forth) with several grammars by making best of their advantages and overcoming their disadvantages, and applying an eclectic methodology in the teaching of French grammar in Anhui University.

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