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Provincia Viennensis. Recherches sur la province ecclésiastique de Vienne et ses évêques au haut Moyen âge (IVe - XIe siècles) / Provincia Viennensis. Research on the ecclesiastical province of Vienne and its bishops in the Early Middle Ages (IV- XI centuries)

Nimmegeers, Nathanaël 02 December 2011 (has links)
L’évolution et la cohérence de la province de Vienne, qui compte cinq diocèses en 450, six vers 580 et quatre vers 800, dépendent de l'histoire politique car les changements de souveraineté et les décisions royales et impériales peuvent aussi bien permettre aux métropolitains d'accroître leur influence que contrarier leurs desseins viennois. Cela n'empêche pas la constitution d'un cœur provincial formé des cités de Vienne, Genève, Grenoble et Valence. La métropole accueille des administrations et des sépultures royales, bénéficie d'évêques actifs et impliqués à la fois dans les affaires de l'Église et du siècle et possède une topographie religieuse très complète qui la différencie de ses suffragantes. Cette hyperconcentration viennoise semble à la fois la cause et la conséquence de l'élaboration d’une province ecclésiastique où les évêques jouent un rôle fondamental.Souvent issus des vieilles familles sénatoriales gallo-romaines, les prélats exercent jusqu’au début du VIIIe siècle de nombreuses prérogatives au nom des souverains et occupent dans leurs cités une place considérable, aussi bien de leur vivant qu'après leur mort. Avec l'arrivée au pouvoir des Carolingiens, le milieu épiscopal s'ouvre socialement et géographiquement, ce qui se traduit par une modification des traditions funéraires. Les évêques, qui profitent de la politique culturelle engagée sous les Pippinides, comme le montre l'œuvre originale d'Adon de Vienne, restent attachés à une conception carolingienne de la chose publique. À partir de la fin du IXe siècle, les évêques de Genève cherchent à s’éloigner de leurs archevêques, fervents soutiens des Bosonides, en se rapprochant des Rodolpohiens puis de l’empereur.L’Église de Vienne possède rapidement un chapitre cathédral, abrite des grands monastères, des reliques vétérotestamentaires, un somptueux chef-reliquaire et l’une des rares imitations du Saint-Sépulcre attestée avant le XIe siècle. Les autres Églises paraissent moins originales et moins structurées. Les institutions ecclésiastiques, le recrutement du clergé et dans une certaine mesure le culte des saints révèlent cependant la survivance d’une certaine romanité à l’échelle provinciale. De même, les évêques gardent partout la main sur la vie régulière, la gestion des reliques et des saints, la création des paroisses et probablement la construction des églises rurales. Les moines, les aristocrates et les chanoines disposent en conséquence d’une marge de manœuvre très souvent limitée. Ce trait est particulièrement marqué à Vienne où les archevêques tiennent seuls ou presque leur diocèse. / The evolution and the consistency of the province of Vienne, which counts five dioceses in 450, six by 580 and four by 800, depend on the political history because the changes of sovereignty and the royal and imperial decisions could as well make it possible for the bishops to increase their influence as to hinder their Viennese intentions. That does not prevent the formation of a heart of the province made up of the cities of Vienne, Geneva, Grenoble and Valence. The metropolis hosts administrations and royal sepulchers, enjoys active bishops devoted both in the Church and the century activities, and possesses a very complete religious topography which differentiates it from its suffragans. This hyper concentration of Vienne seems at the same time the cause and the consequence of the development of an ecclesiastical province where the bishops play a fundamental role.The prelates, often coming from the old Gallo-Roman senatorial families, carry out until the beginning of the VIII century many prerogatives on behalf of the sovereigns and occupy in their cities a considerable place, as well during their lifetime as after their death. When the Carolingians came to power, the bishops’ circle opens socially and geographically, which results in a modification of the funerary traditions. The bishops, who benefit from the cultural policy undertaken under the Pippinides, as the genuine work of Adon of Vienne points it out, remain attached to a Carolingian outlook of the common weal. From the end of the IX century onwards, the bishops of Geneva seek to move away from their archbishops, fervent supporters of the Bosonides, while getting closer to the Rodolpohiens and then to the emperor.The Church of Vienne obtains rapidly a chapter cathedral, houses big monasteries, Old Testament relics, a sumptuous chief-reliquary and one of the rare imitations of the Holy Sepulchre attested before the XI century. The other Churches appear less original and less structured. The ecclesiastical institutions, the recruitment of the clergy and to a certain extent the worship of the saints reveal however the survival of a certain Roman tradition on a provincial scale. Thus, the bishops keep full control of the regular life, the handling of the relics and the saints, the creation of the parishes and probably the construction of the rural churches. The monks, the aristocrats and the canons have consequently very often a limited room for maneuver. This feature is particularly evident in Vienne where the archbishops hold personally or almost entirely their diocese.
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Deux études de transport urbain : ordonnancement des phases d'un carrefour, modèles désagrégés de déplacements dans l'agglomération grenobloise

Chevrolet, Dominique 28 February 1986 (has links) (PDF)
La première partie de la thèse est consacrée au problème de la gestion des feux tricolore d'un carrefour, et la deuxième partie s'inscrit dans le cadre plus général de la modélisation des déplacements urbains
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Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau : le cas de l’agglomération grenobloise / Territorial resistance to change in drinking water politics. Case study on Grenoble's urban area. : the case of the urban area of Grenoble

Brochet, Antoine 10 November 2017 (has links)
La question des résistances à la mise en œuvre des programmes d’action publique de l’État fait partie des questions de recherche peu étudiées. L’idée défendue tout au long de la thèse est que la notion de résistance territorialisée permet d’expliciter les logiques qui guident la mise en œuvre des programmes d’action publique. Notre analyse prend pour étude l’appropriation locale des réformes de modernisation des services d’eau potable. Ces réformes d’inspiration néolibérale apparues dans les années 1980 font l’objet de bilans intermédiaires mitigés et de critiques concernant leur efficacité. Le cas d’étude retenu est celui de l’agglomération grenobloise. Notre travail repose sur une enquête de terrain menée pendant cinq ans dans le cadre de notre activité salariée auprès d’une cinquantaine de services d’eau potable. Notre thèse s’articule en deux parties et quatre chapitres. La première partie s’intéresse au contenu des réformes de modernisation et aux résistances territorialisées qu’elles engendrent. La seconde partie propose d’approfondir la compréhension des résistances territorialisées en appréhendant le service d’eau comme un système territorial complexe qui s’oppose à la logique des réformes. Le premier chapitre de la thèse analyse les réformes de modernisation. D’une part, nous expliquons l’origine et le contenu des réformes et, d’autre part, nous proposons une méthode prospective d’aide à la décision permettant d’évaluer leurs effets économiques et sociaux sur les services d’eau. Le deuxième chapitre rend compte de l’application de deux réformes, mesure l’ampleur des résistances et les qualifie. La première réforme étudiée concerne la création d’indicateurs de performance des services d’eau potable. La seconde consiste en la transformation de l’usager du service d’eau en consommateur. Notre étude montre que les résistances sont nombreuses et variées et produisent des défaillances dans la gouvernance du secteur. Le troisième chapitre présente une analyse historique qui restitue le processus de construction territorialisée des services d’eau potable dans l’agglomération grenobloise. Nous mettons en lumière le rôle déterminant des facteurs territoriaux et nous montrons qu’historiquement, pour ce qui est de la régulation, l’Etat n’a été qu’un acteur parmi d’autres peu capable de contraindre formellement l’action des services d’eau. Enfin, la solution proposée par l’État pour répondre aux problèmes de modernisation est analysée et critiquée dans le quatrième chapitre. Cette solution consiste à transférer la compétence eau potable aux Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. La thèse met en évidence que cette solution peut aboutir à des résistances territoriales fortes au sein des services d’eau pouvant faire échec à la mise en place d’une gestion unifiée de l’eau à l’échelon intercommunal. Cependant, nous montrons que paradoxalement les résistances territoriales peuvent être génératrices de processus d’innovation sociale sans être nécessairement incompatibles avec certains objectifs des réformes de modernisation. Dans ces cas, des modèles de gestion de l’eau ad hoc peuvent émerger et se révéler particulièrement adaptés aux enjeux contemporains. Ces résultats de recherche nous conduisent à défendre l’intérêt d’une évolution de l’action publique hydrique vers des politiques territoriales pluralistes. / The subject of resistances to the implementation of State public action programs is a topic that has been seldom studied. The idea defended throughout this thesis is that the notion of territorialized resistance makes it possible to clarify the logic guiding the implementation of programs of public action. Our analysis examines the local appropriation of reforms of modernization in drinking water services. These reforms, influenced by neo-liberalism, appeared in the 1980s and have been met with mixed reviews and criticisms as to their effectiveness. The case study we have chosen here is the Grenoble agglomeration. Our work is based on field surveys carried out during five years of salaried activity around roughly fifty drinking water services. Our thesis is divided into two parts and four chapters. The first part focuses on the content of modernization reforms and the territorialized resistances that they create. The second part aims to deepen the understanding of territorialized resistances by perceiving the service of water as a complex territorial system that resists the logic of reforms.Our first chapter analyzes the modernization reforms. We explain the origin and the content of the reforms and also propose a method of informing decisions that would enable assessment of their economic and social effects on water services. The second chapter focuses on the application of two reforms, measuring the scope of resistances to them and examining their character. The first reform studied concerns the creation of performance indicators for drinking water services. The second reform consists of the transformation of water users into consumers. Our study demonstrates that the resistances are multiple and varied, and that they produce lapses in the governance of the sector. The third chapter presents a historical analysis that retraces the process of territorialized construction of drinking water services in the Greater Grenoble area. We highlight the determinative role of territorial factors. We also show that, historically, in terms of regulation, the state has only been one actor among others and that it has little capacity to formally constrain the action of water services. Finally, the fourth chapter analyzes and criticizes the solution that the State has proposed to respond to problems of modernization. That solution involves transferring the obligation to provide potable water to the Public Institutions of Inter-municipal Cooperation (EPCI). The thesis demonstrates that this solution may lead to strong territorial resistances within water services, with the potential to cause a failure to establish unified management of water at the supra-municipal level. However, we show that paradoxically, territorial resistances can also generate processes of social innovation that are not necessarily incompatible with the objectives of modernization reforms. In these cases, ad hoc models for the management of water can emerge that are particularly suited to contemporary challenges.The results of this research lead us to advocate the evolution of public water action towards pluralist territorial policies.

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