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Prvotrimestrální skrínink těhotenských komplikací s využitím plazmatických exozomálních C19MC microRNA / First-trimester screening of pregnancy-related complications using plasma exosomal C19MC microRNAsŠpačková, Kamila January 2019 (has links)
Pregnancy-related complications such as gestational hypertension, preeclampsia, fetal growth restriction, gestational diabetes mellitus, spontaneous preterm birth, and preterm premature rupture of membranes may have severe consequences for both the mother and the child. The development of reliable early screening methods for pregnancy-related complications has therefore been a long-term goal of obstetrics. New possibilities for prenatal diagnostics have opened with the discovery of circulating microRNAs in maternal plasma. MicroRNAs are short, noncoding, 21 to 23 nucleotides long, single-strand RNAs whose main function is to regulate gene expression. During pregnancy, both common and unique miRNAs are expressed by the placenta, amongst them the miRNAs of the C19MC cluster. Several C19MC miRNAs have been shown to display a different expression profile associated with certain pregnancy-related complications. This thesis identifies the plasma exosomal profiles of six C19MC miRNAs (miR-516-5p, miR-517-5p, miR-518b, miR-520a-5p, miR-520h, and miR-525-5p) in patients in their first trimester of gestation who later developed pregnancy-related complications, and compares them with profiles in patients with normal pregnancies.
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Conséquences d’une restriction de croissance intra-utérine sur la réactivité aortique chez le rat en fonction de l’âge et du sexe biologiqueEnnehas, Yasmine 12 1900 (has links)
No description available.
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Effects of exercise training on intrauterine growth restriction in an animal modelKasaei Roodsari, Aida 09 1900 (has links)
No description available.
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Inflammation d’origine non-pathogénique durant la gestation, implication dans les complications de la grossesse et impact sur le développement cérébralBrien, Marie-Ève 03 1900 (has links)
INTRODUCTION : Le retard de croissance intra-utérin (RCIU), la prééclampsie (PE) et l’accouchement prématuré (AP) sont d’importantes pathologies de la grossesse fortement associées à un mauvais fonctionnement du placenta, organe central au développement du fœtus. Environ 5-12% de toutes les grossesses sont pathologiques et ces dernières sont associées avec un risque accru de désordres neurodéveloppementaux chez l’enfant. L'inflammation est un point central à toutes les complications de la grossesse et le lien causal entre l’inflammation et ces pathologies a été démontré à l’aide de plusieurs modèles animaux d’inflammation prénatale, menant à des dommages cérébraux chez les nouveau-nés. Cependant, la majorité des modèles utilisent des stimuli infectieux, bien que des pathogènes soient rarement détectés en clinique. Malgré l'absence d'infection détectable, des évidences d'inflammation, telles que des niveaux élevés de cytokines pro-inflammatoires et d’alarmines, sont présentes. Les alarmines sont des médiateurs endogènes et une autre cause d'inflammation de plus en plus associée aux pathologies de la grossesse. L’acide urique est une des alarmines les plus étudiées comme médiateur endogène d’inflammation, mais son effet sur la grossesse est peu connu. Ainsi, mon hypothèse était que l’exposition prénatale particulièrement à l’acide urique serait associée aux complications de la grossesse, serait une cause de dommage placentaire et subséquemment altèrerait le neurodéveloppement fœtal, menant à des dommages cérébraux à long terme chez l’enfant.
Mon OBJECTIF général était de comprendre le lien entre inflammation prénatale non-pathogénique, les complications de la grossesse et les effets sur le placenta et le cerveau en développement. Spécifiquement, j’ai déterminé la présence d’inflammation dans les complications majeures de la grossesse puis je me suis concentré sur la PE et l’implication de l’activation immunitaire dans cette pathologie. En parallèle, j’ai établi le lien entre l’inflammation non-pathogénique, les dommages placentaires et le RCIU. Finalement, j’ai évalué le neurodéveloppement après l’exposition in-utero à une inflammation non-pathogénique et j’ai investigué le potentiel d’un nouveau traitement dans mon modèle préclinique.
MÉTHODOLOGIES ET RÉSULTATS: J’ai analysé le profil inflammatoire de 200 femmes avec ou sans complications de la grossesse (Ctrl, PE, AP, RCIU) et j’ai démontré que chaque complication présente un profil inflammatoire circulant distinct, particulièrement présent chez les femmes avec PE. De plus, j’ai analysé plus en profondeur les femmes avec PE et observé une augmentation d’acide urique dans la circulation maternelle, en lien avec un profil immunitaire qui était altéré et des changements structuraux au niveau du placenta. Pour déterminer les effets directs de l'acide urique, nous avons utilisé des cultures de trophoblastes primaires, cellule principale du placenta, et des explants placentaires humains. Nous avons démontré que l’acide urique induisait un profil pro-inflammatoire augmentant particulièrement la sécrétion d’IL-1β et d’IL-6 et induisait aussi l'apoptose des trophoblastes. En parallèle, j’ai développé un nouveau modèle préclinique de rates gestantes qui ont été injectées par voie intrapéritonéale avec l’acide urique du temps de gestation 18 (G18) à G21. L’injection d'acide urique in vivo à la fin de la gestation chez le rat a entrainé l’augmentation de cytokines (IL-1β, TNF-α et IL-6) et l’infiltration de cellules immunitaires dans le placenta ainsi qu’un RCIU chez le fœtus qui persistait dans la période postnatale. De plus, les bébés exposés in-utero à l’acide urique avaient une altération neurodéveloppementale caractérisée par l’activation microgliale et astrogliale en plus d’une diminution des capacités motrices. Ces effets de l’acide urique étaient dépendants de l'IL-1β et bloqués par l’antagoniste spécifique du récepteur de l’IL-1 (IL-1Ra).
CONCLUSIONS: L’inflammation est associée à toutes les complications de la grossesse, mais les profils diffèrent selon la pathologie étudiée. La PE est associée à des changements immunitaires importants. L'acide urique à l'interface materno-fœtale induit inflammation et altère les fonctions placentaires de façon IL-1-dépendante. Finalement, l’exposition à l’acide urique en fin de gestation chez le rat induit l’inflammation placentaire, le RCIU et altère le développement cérébral des bébés. Un traitement prénatal anti-inflammatoire permet de minimiser l’inflammation et ses effets négatifs sur le cerveau. / INTRODUCTION: Intra-uterine growth restriction (IUGR), preeclampsia (PE) and preterm birth (PTB) are important pathologies of pregnancy strongly associated with poor placental function, a central organ for fetal development. About 5-12% of all pregnancies are pathological and this increases the risk of neurodevelopmental disorders. Inflammation is central to all pregnancy complications and the causal link has been demonstrated with several animal models of prenatal inflammation leading to brain damage in newborns. However, these models use infectious stimuli although pathogens are rarely detected clinically. Despite the absence of detectable infection, evidence of inflammation, such as elevated levels of pro-inflammatory cytokines and alarmins, is observed. Alarmins are endogenous mediators, another cause of inflammation increasingly associated with pathological pregnancies. Uric acid is one of the most studied alarmins, however its effect on pregnancy is mostly unknown. Thus, my hypothesis was that prenatal exposure particularly to uric acid is associated with pregnancy complications and is a cause of placental damage which subsequently impairs fetal neurodevelopment, leading to long-term brain damage in the child.
My general OBJECTIVE was to understand the link between non-pathogenic prenatal inflammation, pregnancy complications and its effect on the placenta and the developing brain. Specifically, I detected the presence of inflammation in major pregnancy complications and subsequently focused on PE and its immune activation. In parallel, I established the causal link between non-infectious inflammation, placental damage and IUGR. Finally, I evaluated brain development following in utero inflammation and investigated a therapeutic target in my preclinical model.
METHODS AND RESULTS: I analyzed the inflammatory profile of 200 women with or without pregnancy complications (Ctrl, IUGR, PE, PTB) and demonstrated that each complication has a distinct circulating inflammatory profile, particularly in women with PE. In addition, I further analyzed women with PE and observed a uric acid increase in the maternal circulation, related to an altered immune profile and structural changes in the placenta. To determine the direct effects of uric acid, we used cultures of primary trophoblasts, the main cell of the placenta, and human placental explants. We have shown that uric acid induces a pro-inflammatory profile, particularly increasing the secretion of IL-1β and IL-6 and induces apoptosis of trophoblasts. In parallel, I developed a new preclinical model of pregnant rats that were injected intraperitoneally with uric acid from gestation time 18 (G18) to G21. The injection of uric acid at the end of gestation in the rat caused increase cytokines (IL-1β, TNF-α and IL-6), the infiltration of immune cells in the placenta as well as an IUGR in the fetus that persisted into the postnatal period. Additionally, babies exposed to uric acid in utero have neurodevelopmental impairment characterized by microglial and astroglial activation in addition to decreased motor function. These effects of uric acid was dependent on IL-1β and was blocked by the IL-1 receptor antagonist (IL-1Ra).
CONCLUSIONS: Inflammation is associated with all pregnancy complications, however, with different profiles depending on the pathology studied. PE is associated with significant immune changes. Uric acid at the maternal-fetal interface induced inflammation and altered placental functions in an IL-1-dependent manner. Ultimately, exposure to uric acid in late rat pregnancy induced placental inflammation, IUGR, and impaired brain development. Prenatal anti-inflammatory treatment helped minimize inflammation and these negative effects on the brain.
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<b>Ontological changes in the swine fetus and placenta from mid- to late-gestation</b>Kaylyn G Rudy (19832829) 11 October 2024 (has links)
<p dir="ltr">Porcine reproductive and respiratory syndrome virus (PRRSV) is a devastating virus that is endemic to the swine industry. This virus has little direct effect on the dam but results in abortions, stillborn, and delivery of viremic piglets. PRRSV is unable to cross the swine placenta in early gestation but as gestation progresses, the placenta becomes permissible during late gestation. The mechanisms that allow the virus to cross the late gestation placenta are not well understood, but several theories have been presented regarding changes in placental morphology or enzymatic changes. Additionally, piglets who experience IUGR due to uterine crowding have been found to be more resistant to PRRSV infection, having lower viral levels than their normal litter mates. When vertical transmission from the dam to fetus occurs not only can the effects previously mentioned occur, but PRRSV is also known to cause suppression of maternal and fetal thyroid hormone. Thyroid hormone plays numerous roles in fetal development such as accretion of fetal mass, appetite regulation, and coincidently follows a similar increase trajectory to that of fetal growth during mid- to late-gestation. Consequently, any dysregulation of thyroid hormone has the potential to cause severe side-effects and may alter fetal growth. The relationship between thyroid hormone and fetal growth and development is not well understood. Chapter 2 investigates the potential cause-and-effect relationship between fetal growth and thyroid hormone through the induction of fetal hypothyroidism. Pregnant gilts (n=24) were given a sham treatment (CON; n=12) or treated with methimazole (MMI; n=12), a goitrogen capable of crossing the placenta. These gilts were then further subdivided across four gestational timepoints spanning mid- to late-gestation, these being days 55, 66, 76, and 86. Treatment started 21 days prior to these desired dates. Upon completion of treatment the gilts were humanely euthanized, and fetuses were extracted (resulting populations of n=174 MMI and n=166 CON) and fetal body and organ weights were recorded. Collected tissues included heart, liver, lung, kidneys, spleen, brain and thyroid. Fetuses were imaged in the left and right lateral recumbency for phenotypic analysis, including novel head measurements. Placental sample were also taken. Additionally fore- and hind limbs were taken from the centermost male and female from each litter so that radiographs could be taken to analyze bone growth. Statistical analysis of all phenotypic differences was carried out using a linear mixed effect model including gestational age and treatment as fixed effects and gilt as a random effect. The data revealed that the left and right phenotypic parameters are highly correlated (R2>0.9). Upon extraction, goiters were present in the MMI fetuses and there was a significant increase in both absolute and relative thyroid weights. Thus, the use of MMI during this period of gestation was successful in inducing hypothyroidism. Additionally, the MMI treated thyroids had a significant treatment by time interaction with 0.014g and 0.21g increase at day 55 and 66 respectively indicating reduced compensatory action within the fetal hypothalamic-pituitary-thyroid axis during this earliest period. Liver weight as a percentage of body weight decreased from 6.06% to 2.56% between days 55 and 86 in the CON group but, was significantly increased at all time points in response to MMI induced hypothyroidism (P<0.01). Thus, the in brain to liver weight ratio decreases over time, in MMI fetuses (P<0.05). While all other phenotypic parameters were significantly altered by gestation age, there was no significant impact of fetal hypothyroidism. This indicates that fetal thyroid hormone is not the driving factor for the exponential fetal growth seen in mid- to late-gestation. PRRSV virus is a complex and devastating virus to the swine industry, especially when it infects pregnant gilts and sows. PRRSV is unable to cross the swine placenta during mid-gestation but as gestation progresses the virus readily crosses the placenta and is able to infect piglets during this late gestation period. The mechanisms by which PRRSV crosses the highly restrictive porcine placenta are not clear. Additionally, piglets who experience intrauterine growth retardation experience lower virus levels than their normal counterparts. Chapter 3 investigates the changes in three genes of interest that we hypothesized, had the potential to fluctuate throughout gestation and facilitate PRRSV transfer, as well as the morphological changes that occur in the maternal-fetal interface through mid- to late-gestation and how these aspects may vary between IUGR and normal piglets. Placental samples were collected from pregnant gilts (n=12) equally divided across days 55, 66, 76, and 86 of gestation. Samples were taken of each fetus’s placenta adjacent to the umbilical cord. A portion of the sample was cut into 1 cm2 and placed into a mold with optimal cutting temperature media (OCT) for later cryo-sectioning and histology. The remaining portion had the fetal placenta peeled from the endometrium and flash frozen in liquid nitrogen for RNA extraction. A subset of samples was chosen based on fetus’s brain to liver weight ratios (n=96). From each litter two males and two females with the most extreme case of IUGR, based on z-scores, were chosen and the same was done for the two males and females with lowest brain to liver weight ratios, the later were classified as large for gestational age (LGA). 56 of the original 64 had acceptable levels of placental RNA for analysis. A total of 3 genes were chosen for analysis based on their function and previous literature. These included CD163, SIGLEC1 and IL-10. No significant up or down regulation was seen in any of the selected genes and there was no variation between IUGR and LGA fetuses. Additionally, placenta histology was conducted to evaluate populations of CD163 positive macrophages throughout the maternal fetal interface across mid- to late-gestation. Populations of CD163 positive macrophages were found on both the maternal and fetal sides of the maternal fetal interface at all timepoints. Collectively these results show there is no fluctuation in CD163, SIGLEC1, or IL-10 among timepoints or between IUGR and LGA fetuses. Additionally, the histology samples confirm the presence of resident populations of CD163 positive macrophages on maternal and fetal sides of the MFI. Collectively these results indicate that more research needs to be done to determine the underlying mechanisms of PRRSV transmission during late gestation.</p>
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Étude des déterminants démographiques de l’hypotrophie fœtale au QuébecFortin, Émilie 04 1900 (has links)
Cette recherche vise à décrire l’association entre certaines variables démographiques telles que l’âge de la mère, le sexe, le rang de naissance et le statut socio-économique – représenté par l’indice de Pampalon – et l’hypotrophie fœtale au Québec. L’échantillon est constitué de 127 216 naissances simples et non prématurées ayant eu lieu au Québec entre le 1er juillet 2000 et le 30 juin 2002. Des régressions logistiques portant sur le risque d’avoir souffert d’un retard de croissance intra-utérine ont été effectuées pour l’ensemble du Québec ainsi que pour la région socio-sanitaire (RSS) de Montréal.
Les résultats révèlent que les enfants de premier rang et les enfants dont la mère était âgée de moins de 25 ans ou de 35 ans et plus lors de l’accouchement ont un risque plus élevé de souffrir d’hypotrophie fœtale et ce dans l’ensemble du Québec et dans la RSS de Montréal. De plus, les résultats démontrent que le risque augmente plus la mère est défavorisée. Puisque l’indice de Pampalon est un proxy écologique calculé pour chaque aire de diffusion, les intervenants en santé publique peuvent désormais cibler géographiquement les femmes les plus à risque et adapter leurs programmes de prévention en conséquence. Ainsi, le nombre de cas d’hypotrophie fœtale, voire même la mortalité infantile, pourraient être réduits. / This study describes the association between demographic variables such as the mother’s age, the child’s gender and birth order, and the socio-economic status – that can now be assessed by the Pampalon Index – with intrauterine growth restriction (IUGR) in the province of Quebec. The analyses are based on a sample of 127,216 singletons and term births that occurred in the province of Quebec between July 1st, 2000 and June 30th, 2002. Logistics regressions on the risk of having suffered from IUGR were produced for the entire province of Quebec and for the health region of Montreal.
In the province of Quebec and in the health region of Montreal, the results reveal that the risk of IUGR is higher for first-born infants, and for infants whose mother was under 25 years of age or aged 35 years and older. Moreover, the risk of IUGR increases with poverty. Since the Pampalon Index is calculated for each dissemination area, public health interventions can now target the most vulnerable women and reduce the number of IUGR cases or even infant mortality.
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Cytogénétique placentaire des retards de croissance intra-utérins : intérêts de la recherche des anomalies chromosomiques limitées au placenta et de l’estimation de la longueur télomérique placentaire / Cytogenetics of placenta in intrauterine growth restriction : interests of confined placental mosaicism and placental telomere lengthToutain, Jérôme 23 November 2012 (has links)
Ce travail de thèse se propose d’étudier le retard de croissance intra-utérin sous l’angle de la cytogénétique placentaire, avec deux approches distinctes et complémentaires. La première approche visera à réévaluer l’influence des anomalies chromosomiques limitées au placenta sur la croissance fœtale, car des études précédentes ont rapporté des résultats contradictoires à ce sujet. La première partie de ce travail permettra en outre d’étudier l’incidence et l’influence de la disomie uniparentale chez les fœtus issus des grossesses compliquées d’une anomalie chromosomique limitée au placenta. La deuxième approche de notre travail s’intéressera à la longueur de structures chromosomiques particulières, les télomères, au niveau placentaire. Il a récemment été décrit que la longueur des télomères des cellules placentaires était réduite au terme des grossesses compliquées d’un retard de croissance intra-utérin. La longueur télomérique placentaire n’a jamais été évaluée au cours de ces grossesses et pourrait potentiellement être utilisée comme biomarqueur placentaire du retard de croissance intra-utérin. La deuxième partie de ce travail nous permettra également d’évaluer le nombre de copies des régions chromosomiques portant les gènes codant pour les principales sous-unités du complexe enzymatique télomérase et de rechercher la présence d’agrégats télomériques au niveau placentaire en cas de retard de croissance intra-utérin. / This thesis proposes to study intrauterine growth restriction in terms of cytogenetics of placenta, with two distinct and complementary approaches. The first approach will be to reassess the influence of confined placental mosaicism on fetal growth, as previous studies have reported conflicting results on this issue. The first part of this work will also study the influence of fetal uniparental disomy in case of confined placental mosaicism. The second approach of our work will focus on the length of terminal chromosomal structures, telomeres, at the placental level. It has recently been reported that telomere length was reduced in placental cells collected at term in pregnancies complicated by intrauterine growth restriction. Placental telomere length has never been evaluated in ongoing pregnancies and it could potentially be used as a placental biomarker of intrauterine growth restriction. The second part of this work will also focus on the copy number of chromosomal regions carrying genes encoding the main subunits of the telomerase enzyme complex and will look for the presence of placental telomeric aggregates in case of intrauterine growth restriction.
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Étude des déterminants démographiques de l’hypotrophie fœtale au QuébecFortin, Émilie 04 1900 (has links)
Cette recherche vise à décrire l’association entre certaines variables démographiques telles que l’âge de la mère, le sexe, le rang de naissance et le statut socio-économique – représenté par l’indice de Pampalon – et l’hypotrophie fœtale au Québec. L’échantillon est constitué de 127 216 naissances simples et non prématurées ayant eu lieu au Québec entre le 1er juillet 2000 et le 30 juin 2002. Des régressions logistiques portant sur le risque d’avoir souffert d’un retard de croissance intra-utérine ont été effectuées pour l’ensemble du Québec ainsi que pour la région socio-sanitaire (RSS) de Montréal.
Les résultats révèlent que les enfants de premier rang et les enfants dont la mère était âgée de moins de 25 ans ou de 35 ans et plus lors de l’accouchement ont un risque plus élevé de souffrir d’hypotrophie fœtale et ce dans l’ensemble du Québec et dans la RSS de Montréal. De plus, les résultats démontrent que le risque augmente plus la mère est défavorisée. Puisque l’indice de Pampalon est un proxy écologique calculé pour chaque aire de diffusion, les intervenants en santé publique peuvent désormais cibler géographiquement les femmes les plus à risque et adapter leurs programmes de prévention en conséquence. Ainsi, le nombre de cas d’hypotrophie fœtale, voire même la mortalité infantile, pourraient être réduits. / This study describes the association between demographic variables such as the mother’s age, the child’s gender and birth order, and the socio-economic status – that can now be assessed by the Pampalon Index – with intrauterine growth restriction (IUGR) in the province of Quebec. The analyses are based on a sample of 127,216 singletons and term births that occurred in the province of Quebec between July 1st, 2000 and June 30th, 2002. Logistics regressions on the risk of having suffered from IUGR were produced for the entire province of Quebec and for the health region of Montreal.
In the province of Quebec and in the health region of Montreal, the results reveal that the risk of IUGR is higher for first-born infants, and for infants whose mother was under 25 years of age or aged 35 years and older. Moreover, the risk of IUGR increases with poverty. Since the Pampalon Index is calculated for each dissemination area, public health interventions can now target the most vulnerable women and reduce the number of IUGR cases or even infant mortality.
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Proteiny v těhotenství - molekulárně biologická a biochemická analýza / Pregnancy proteins - molecular biological and biochemical analysisMuravská, Alexandra January 2012 (has links)
The aim of this thesis was to establish methods for selected PAPP-A (Pregnancy- Associated Plasma Protein A) gene polymorphisms analysis and to study genetic background of PAPP-A and biochemical background of PAPP-A and PlGF (Placental Growth Factor) in relation to risk pregnancy. Secondly, the aim was to establish method for two-dimensional (2D) electrophoresis of amniotic fluid. Methods for analysis of ten PAPP-A gene polymorphisms were established. These polymorphisms, PAPP-A and PlGF levels were studied in together 165 women in third trimester pregnancies complicated with threatening preterm labor (n=98), preeclampsia (n=35), IUGR (Intrauterine Growth Restriction) (n=34) and ICP (Intrahepatic Cholestasis of Pregnancy) (n=15). 114 healthy pregnant women served as controls. The method for 2D electrophoresis of amniotic fluid was established. Preeclamptic patients had significantly higher frequency of TT genotype of Cys327Cys (C/T) PAPP-A gene polymorphism compared to controls. Patients with ICP had increased serum levels of PAPP-A compared to controls, in patients with threatening preterm labor PAPP-A levels were rather decreased. PlGF levels did not differ from control group in patients with ICP and threatening preterm labor. Positive correlation was found between PAPP-A and PlGF in group of...
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Le retard de croissance intra-utérin et la grande prématurité : impact sur la mortalité et les morbidités à court et à moyen terme / Intrauterine growth restriction and very preterm birth : impact on mortality and short and medium-term morbidityEl Ayoubi, Mayass 17 November 2015 (has links)
Contexte: Le retard de croissance intra-utérin (RCIU) désigne l’incapacité du fœtus à atteindre son potentiel de croissance déterminé génétiquement en raison de diverses causes. Il est défini le plus souvent par un poids de naissance inférieur au 10ème percentile pour l’âge gestationnel sur les courbes néonatales. Ce travail de thèse a comme objectif de répondre aux questions non-résolues sur la définition et les conséquences du RCIU dans le contexte de la grande prématurité: (1) Quelle est la meilleure définition du RCIU à utiliser pour identifier les enfants à risque ? (2) Quels sont les risques de mortalité et de morbidités néonatales respiratoires et neurologiques associés au RCIU et existe-t-il des interactions avec les pathologies de la grossesse responsables de cette naissance très prématurée ? (3) Quel est l’impact du RCIU sur le devenir neuro-développemental à 2 ans, en particulier chez les enfants nés extrêmement prématurément ? Méthodes: Nous avons utilisé deux sources de données. L’étude MOSAIC (Models for OrganiSing Access to Intensive Care for Very Preterm Babies in Europe) est une étude européenne en population qui porte sur l’ensemble des naissances survenues entre 22 et 31 semaines d’aménorrhée en 2003 dans dix régions européennes. Les enfants ont été suivis jusqu’à la sortie d’hospitalisation (population d’étude : 4525 enfants). La deuxième source est une cohorte d’enfants nés avant 27SA qui ont été hospitalisés dans le service de réanimation néonatale à l'hôpital de Port-Royal de 1999 à 2008 et qui ont eu un examen pédiatrique et une évaluation selon l’échelle de Brunet-Lézine qui inclut quatre domaines du développement global de l’enfant : la motricité globale, la motricité fine, le langage et l’interaction sociale (445 enfants admis, 268 enfants suivis à 2 ans). Résultats: Dans les deux populations, les risques de décès et de dysplasie broncho-pulmonaire étaient plus élevés pour les enfants ayant un poids de naissance <10éme percentile des courbes néonatales, mais également pour des enfants avec un poids plus élevé (entre le 10éme et le 24éme percentile des courbes néonatales ou <10ème percentile des courbes fœtales). Par contre, il n’y avait pas de lien entre les complications neurologiques et le faible poids, ni d’interaction avec les pathologies de la grossesse. Le RCIU était associé à un risque élevé du retard neurocognitif à deux ans d’âge corrigé chez les extrêmes prématurés, surtout dans le domaine de la motricité fine et de l’interaction sociale mais pas dans le domaine du langage et de la motricité globale. Nous n’avons pas trouvé d’association entre le RCIU et le risque d’infirmité motrice cérébrale à deux ans d’âge corrigé. Conclusions: L’utilisation du 10ème percentile des courbes néonatales n’est pas adaptée pour identifier l’impact du RCIU chez les grands prématurés ; l’utilisation de multiples seuils ou de courbes de croissance fœtale est nécessaire. Le RCIU accroit les risques de mortalité et de dysplasie broncho-pulmonaire, mais n’est pas associé aux lésions cérébrales sévères ; ces associations sont observées dans différents contextes périnatals (pathologies vasculaires et infectieuses, et naissances à des âges gestationnels très précoces). Le RCIU représente un facteur pronostic défavorable pour le neuro-développement à moyen terme. Nos résultats soulèvent de nouvelles questions sur le suivi adapté pour les enfants ayant un RCIU après leur sortie de l’hôpital et aussi sur les éventuels mécanismes biologiques pouvant expliquer les liens entre le RCIU avec une morbidité respiratoire et certains domaines du développement neurocognitif à moyen terme. / Background: Intrauterine growth restriction (IUGR) refers to the inability of the fetus to achieve its genetically determined growth potential due to various causes. Most often, it is defined by a birth weight less than the 10th percentile for gestational age using neonatal growth curves. This thesis aims to answer unresolved questions about the definition and consequences of IUGR in the context of very preterm birth: (1) what is the best definition of IUGR for identifying children at risk? (2) What are the risks of mortality and neonatal respiratory and neurological morbidity associated with IUGR and are there interactions with the underlying pregnancy complications responsible for the very preterm birth? (3) What is the impact of IUGR on neurodevelopmental at 2 years, especially for children born extremely preterm ? Methods: We used two data sources. The MOSAIC study (Models for Organising Access to Intensive Care for Very Preterm Babies in Europe) is a European population-based study that included all births occurring between 22 and 31 weeks of gestation in 2003 in ten European regions. The children were followed until hospital discharge (study population = 4525 infants). The second source is a cohort of children born before 27 weeks of GA who were hospitalized in the neonatal intensive care unit at the Port Royal Hospital from 1999 to 2008 and had a pediatric examination and Brunet-Lézine (BL) neurodevelopmental assessment at 2 years of corrected age (445 children in the cohort, 268children followed at 2 years). The BL assessment includes four areas of child development: gross motor, fine motor, language and social interaction skills. Results: In both populations, the risk of death and bronchopulmonary dysplasia were higher for children with a birth weight <10th percentile of neonatal growth curves but also for children with a higher birth weight (between the 10th and the 24th percentile of neonatal growth curves or <10th percentile of fetal growth curves). In contrast, there was no link between neurological complications and low birth weight and no interactions with pregnancy complications. IUGR was associated with neurocognitive delay among extremely preterm children evaluated at two years of corrected age, especially for fine motor and social interaction skills, but not for language and gross motor skills. We did not find any association between IUGR and the risk of cerebral palsy at two years of corrected age. Conclusions: The use of the 10th percentile of neonatal growth curves is not suitable for identifying the impact of IUGR in very preterm infants; using higher thresholds or fetal growth curves is necessary. IUGR increased the risks of mortality and bronchopulmonary dysplasia, but was not associated with severe brain damage; these associations are observed in multiple clinical contexts (vascular and infectious pregnancy complications, and births at very early gestational ages). IUGR is a risk factor for poor medium-term neuro-development. Our results raise new questions about the appropriate surveillance for children with IUGR after discharge from the hospital and also about possible biological mechanisms that could explain the relationship between IUGR and respiratory morbidity and neurocognitive development.
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