• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 99
  • 79
  • 36
  • 11
  • 11
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 265
  • 265
  • 265
  • 265
  • 55
  • 47
  • 30
  • 30
  • 25
  • 19
  • 18
  • 16
  • 16
  • 16
  • 12
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
221

Deutschbaltische SS-Führer und Andrej Vlasov 1942-1945 : "Rußland kann nur von Russen besiegt werden : Erhard Kroeger, Friedrich Buchardt und die "Russische Befreiunggsarmee /

Schröder, Matthias, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fabereich Geschichte--Münster--Westfälische Wilhelms-Universität, 2000. / Bibliogr. p. 238-252. Index.
222

John D. Kearney and Irish-Canadian relations during World War II

Hawley, Heather J. January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.)--University of New Brunswick, 1999. / Includes bibliographical references.
223

Idéologie et vie quotidienne de soldats soviétiques durant la Seconde Guerre mondiale : une analyse de correspondances militaires

Campeau, Marilyn 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse au quotidien des soldats soviétiques qui ont combattu sur le front de l'Est entre 1941 et 1945 et consiste en une analyse de leurs correspondances personnelles. Sur un tel sujet, une historiographie non négligeable nous précède. Cette recherche s'inspire donc des travaux d'Omer Bartov et de ses successeurs sur le phénomène de la « barbarisation » sur le front de l'Est, de différentes études abordant la réalité du soldat au front et la vie quotidienne au temps de Staline ainsi que d'ouvrages exploitant comme sources de base des correspondances ou des récits personnels. En mettant de l'avant une approche sociale de la guerre, ce travail vise à faire la lumière sur les conditions physiques et psychologiques dans lesquelles Ivan, le soldat soviétique moyen, a évolué, tout en évaluant à quel point il fut « brutalisé » par son expérience au front et quel fut le rôle de l'idéologie du régime en place dans ce processus. Notre utilisation du cadre d'analyse de Bartov, appliqué à notre corpus, vise à valider si les trois facteurs de « brutalisation » des soldats d'Hitler avancés par cet historien (les conditions du front, les antécédents sociaux et éducationnels et l'endoctrinement des troupes) peuvent également expliquer la « brutalisation » des soldats de Staline pendant cette période. En étudiant les propos des soldats qui abordent leur alimentation, leur hygiène, leurs conditions de travail et la logistique au front, nous sommes amenés à réduire l'importance accordée aux conditions physiques du front de l'Est dans le processus de « brutalisation » des troupes par rapport au cas allemand. Alors que les écrits de ces combattants au sujet du moral au front, de leurs inquiétudes liées à leurs proches ainsi que de leur état psychologique général renforcent l'idée d'une forte politisation de la vie quotidienne en URSS avant même le début du conflit, qui a eu pour effet de rendre ces hommes encore plus perméables à la propagande de guerre. Aussi, en analysant les calques du discours de la propagande soviétique, les représentations de l'ennemi ainsi que les traces de « brutalisation » présentes dans les correspondances étudiées, il est possible de démontrer le rôle crucial de l'endoctrinement idéologique. Finalement, la présence d'une spirale de violence, liée au désir de vengeance face aux crimes commis par les envahisseurs dès le début du conflit, explique également le comportement excessivement violent de ces militaires soviétiques, tant envers les soldats allemands que les civils, lorsqu'ils firent leur entrée en Allemagne en 1945. L'intérêt de cette recherche réside dans le fait qu'elle constitue un apport à un des débats fondamentaux du champ d'études, surtout sur le plan de la critique de sources importantes, mais mal exploitées, puisqu'elle permet, entre autres, de définir le profil idéologique d'un échantillon représentatif de millions de Soviétiques appelés sous les drapeaux durant le second conflit mondial. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, URSS, Deuxième Guerre mondiale, Front de l'Est, Armée rouge, Soldat, Correspondances, Conditions sociales, Idéologie.
224

The power of Polonia post WWII Polish immigrants to Canada; survivors of deportation and exile in Soviet labour camps /

Bajorek MacDonald, Helen, January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.)--Trent University, 2001. / Includes bibliographical references.
225

Trouble on the home front, perspectives on working mothers in Winnipeg, 1939-1945

Hummelt, Bob January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
226

Abendland, Alpenland, Alemannien : Frankreich und die Neugliederungsdiskussion in Südwestdeutschland 1945-1947 /

Klöckler, Jürgen. January 1998 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Konstanz, 1996. / Bibliogr. p. 277-304. Index.
227

Les engagements politiques de la presse des expulsés de Silésie : l'exemple du Grafschafter Bote / The political aspirations of the press of the Germans evicted from Silesia : as seen in the case of the Grafschafter Bote

Picard, Lionel 07 December 2012 (has links)
Les millions d’Allemands expulsés des territoires de l’est à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se sont pas intégrés rapidement dans leur nouvel environnement. Les nombreux journaux qu’ils ont publiés en RFA témoignent de leur identité particulière. Ce secteur de la presse constitue un miroir d’un important groupe social. On y trouve à la fois les difficultés liées à l’intégration, mais aussi les revendications politiques des expulsés. Le Grafschafter Bote est un journal qui s’adresse aux Allemands expulsés du Comté de Glatz (pol. Ziemia Kłodzka) en Silésie. Journal indépendant des grandes associations (Landsmannschaften), il paraît chaque mois sans interruption depuis 1950. L’étude de son contenu permet de mieux comprendre l’interprétation de l’histoire et les aspirations politiques des expulsés. Elle éclaire d’un jour nouveau les orientations politiques d’un groupe que l’on a souvent considéré comme extrémiste ou passéiste. / The integration process was very difficult for the millions of Germans evicted from the eastern territories at the end of WWII. The numerous newspapers that they published in FRG testify to their unique identity. This sector of the press reflects a large social group. One can find there the integration problems as well as the political claims of the evicted Germans. The Grafschafter Bote is a newspaper aimed at the Germans who were evicted from the County of Glatz (pol. Ziemia Kłodzka) in Silesia. It is an independent newspaper representing the most important associations and it has been published continually since 1950. The study of its content allows a better understanding of the evicted Germans’ historical interpretation and political aspirations. It sheds a new light on the political orientations of a group of people who have often been considered as extremists or backward looking.
228

Rapports au territoire et au patrimoine dans un contexte d'après-guerre : tourisme de retour d'expulsés allemands

Bierwerth, Gesa 11 April 2024 (has links)
Cette recherche porte sur les rapports au territoire et au patrimoine d’expulsés allemands de la Seconde Guerre mondiale et de leurs descendants. Elle étudie ces rapports dans un contexte de déplacements de frontières et de populations, de tensions de l’après-guerre et de développements plus récents au sein et entre l’Allemagne et les pays de l’Europe centrale et orientale. La recherche se penche tout particulièrement sur le phénomène de retour touristique des expulsés allemands vers leurs lieux d’origine situés en Europe de l’Est. Elle prend appui sur des enquêtes ethnologiques menées auprès de groupes de touristes dont les lieux d’origine et la destination touristique sont la Prusse orientale, une ancienne province allemande. La Prusse orientale fait partie des territoires cédés par l’Allemagne en 1945. Ses habitants allemands prennent la fuite ou sont expulsés. La province est dès lors partagée entre la Pologne, la Russie et la Lituanie. Les nouvelles populations qui s’y installent se trouvent du jour au lendemain héritières du patrimoine de l’ennemi dont la gestion s’avère difficile. Pour les anciens habitants allemands, les lieux d’origine sont inaccessibles durant la guerre froide et le patrimoine allemand disparaît littéralement derrière le rideau de fer. Or, grâce à l’effondrement du Bloc de l’Est à partir de 1989, ces territoires deviennent à nouveau accessibles. Dès lors, les expulsés partent à titre de touristes pour revisiter leurs lieux d’origine. Ils entreprennent des voyages organisés dans le but de retrouver leurs maisons d’enfance et de découvrir un territoire et un patrimoine somme toute peu connus. De fait, la découverte de sites patrimoniaux est au cœur de ces voyages guidés. L’objectif de la thèse est de cerner dans quelle mesure l’expérience touristique patrimoniale transforme le rapport au passé, au territoire et au patrimoine des expulsés ainsi que de leurs enfants et petits-enfants. L’analyse se penche notamment sur l’interprétation du patrimoine par les guides et son influence sur les touristes. Les guides opèrent une patrimonialisation par le bas et établissent une filiation directe entre les touristes et les personnes ayant bâti le territoire au cours des siècles. Ainsi, ils contribuent à forger de nouvelles représentations du passé chez les touristes, au-delà des biographies personnelles. Le tourisme de retour et la découverte du patrimoine élargissent le territoire d’identification, à savoir de la maison d’enfance vers le territoire visité. La dimension collective du rapport des expulsés au passé, au patrimoine et à la patrie s’en trouve finalement renforcée. Le tourisme de retour déploie des effets positifs sur plusieurs plans. Il engendre notamment un cheminement réflexif chez les touristes dont résulte une disposition à la réconciliation avec les habitants actuels de l’ancienne Prusse orientale et dont profite aussi le patrimoine. / This dissertation deals with the personal links of German expellees of the Second Word War and their descendants with the territory concerned and its cultural heritage. These links are examined in the context of shifts of borders and populations, post-war tensions and more recent developments in and between Germany and the States of East-Central Europe. This study focuses on the return of the German expellees as tourists to their places of origin in Eastern Europe. It is based on ethnological research in tourist groups whose place of origin and travel destination is East Prussia, a former German province. East Prussia is one of the territories lost by Germany in 1945. The German inhabitants of the region flee or are expelled. Henceforth, the province is divided into a Polish, a Russian and a Lithuanian part. The new populations suddenly emerge as the heirs to their enemy’s cultural heritage whose administration turns out to be problematic. During the Cold War the places of origin remain inaccessible to the former German inhabitants and the German cultural heritage literally disappears behind the Iron Curtain. Due to the collapse of the Eastern bloc starting in 1989, these territories become accessible again. Since then expellees have been travelling to their places of origin as tourists. They undertake organised tours in order to find their childhood homes and to discover the area as well as its cultural heritage about which they generally know rather little. In fact, the discovery of cultural heritage sites is central to the guided trips. It is the aim of this dissertation to examine in what way the experience of tourism in combination with cultural heritage affects the relationship of the expellees as well as their children and grandchildren with the past, the territory and its cultural heritage. In particular, the analysis focuses on the interpretation of the cultural heritage by the guides and its effect on tourists. The guides perform a heritagization “from below” and illustrate the direct lineage between the tourists and the people who cultivated the land in the course of the centuries. Hence, they contribute to the creation of new representations of the past for the tourists beyond their personal biographies. Homesickness tourism extends the territory of identification, namely from the childhood home to the area visited. At last, the collective dimension of the relationship of the expellees with the past, the cultural heritage and the homeland is reinforced. Homesickness tourism is positive in several aspects. It engenders a process of reflexion which leads to a disposition towards reconciliation with the present inhabitants of East Prussia, which is also beneficial for the cultural heritage.
229

Les engagements politiques de la presse des expulsés de Silésie : l'exemple du Grafschafter Bote

Picard, Lionel 07 December 2012 (has links) (PDF)
Les millions d'Allemands expulsés des territoires de l'est à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se sont pas intégrés rapidement dans leur nouvel environnement. Les nombreux journaux qu'ils ont publiés en RFA témoignent de leur identité particulière. Ce secteur de la presse constitue un miroir d'un important groupe social. On y trouve à la fois les difficultés liées à l'intégration, mais aussi les revendications politiques des expulsés. Le Grafschafter Bote est un journal qui s'adresse aux Allemands expulsés du Comté de Glatz (pol. Ziemia Kłodzka) en Silésie. Journal indépendant des grandes associations (Landsmannschaften), il paraît chaque mois sans interruption depuis 1950. L'étude de son contenu permet de mieux comprendre l'interprétation de l'histoire et les aspirations politiques des expulsés. Elle éclaire d'un jour nouveau les orientations politiques d'un groupe que l'on a souvent considéré comme extrémiste ou passéiste.
230

"Mains féminines et monstres de fer" : la santé et la sécurité des ouvrières montréalaises durant la Deuxième Guerre mondiale

Létourneau-Guillon, Geneviève January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire intègre plusieurs historiographies concernant le travail, les femmes, la Deuxième Guerre mondiale ainsi que la santé et la sécurité. Au Québec et au Canada, peu d'études ont été réalisées sur la santé et la sécurité des travailleurs. Il s'agit d'un champ encore en développement, pour lequel il existe toutefois des études américaines et britanniques bien documentées. Afin de combler ces lacunes, nous explorons dans ce mémoire comment l'urgence et les impératifs de la guerre ont influencé les conditions de travail des ouvrières montréalaises. Tout d'abord, nous réalisons un portrait du travail des femmes dans les usines de guerre. En nous basant sur des sources émanant du ministère fédéral du Travail (Fonds du ministère du Travail et La Gazette du travail), nous nous penchons plus particulièrement sur les usines elles-mêmes et sur leur production, les besoins en ressources humaines et le rôle que la main-d'oeuvre féminine occupe dans cette production de guerre. Au début du conflit, le gouvernement fédéral s'arroge plusieurs domaines de compétence provinciale dans l'optique de contrôler le front intérieur. L'étude des mesures de santé et de sécurité du travail mises en place avant et durant la guerre, mais aussi les enquêtes qui ont été menées, nous permettent de mettre en lumière les préoccupations du gouvernement dans la gestion des ressources humaines. À partir de treize entretiens oraux réalisés auprès de femmes ayant oeuvré dans des usines durant la guerre dans la région de Montréal, il est possible d'aborder le thème des conditions de travail sous un autre angle. Divers éléments sont alors pris en compte: l'environnement de travail, la protection corporelle, la journée de travail, les dangers reliés à la production et les effets sur la santé. Le gouvernement fédéral est le principal employeur durant la guerre. Il veille à maximiser la production de matériel servant à la guerre. Les ouvrières sont alors vues comme une ressource en main-d'oeuvre servant à combler la pénurie. L'apport de ces femmes inexpérimentées ne se fait pas sans influence sur les conditions de travail. Dans sa gestion de la main-d'oeuvre, le gouvernement veille à éviter les absences qui ralentissent la production, puisqu'un ouvrier malade ou blessé est un ouvrier qui ne produit pas. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Québec, Montréal, XXe siècle, Deuxième Guerre mondiale, Travail, Femme, Santé, Sécurité.

Page generated in 0.0453 seconds