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Mythes personnels et mythes pluriels dans l'oeuvre de Kimiko Yoshida : une esthétique de l'entre-deux, 1995-2012 / Personal myths and plural myths in Kimiko Yoshida's work of art : aesthetics of the in-between, 1995-2012

Veillon, Charlène 25 February 2014 (has links)
L'œuvre principalement photographique de Kimiko Yoshida (née le 23 juin 1963 au Japon et installée en France depuis 1995) se fonde sur la création de « mythes» à travers ses autoportraits. Les « mythes du Photographe» à l'origine des « fonctions» de son œuvre - visant entre autres à « informer, représenter, surprendre, faire signifier, donner envie» selon Roland Barthes dans La chambre claire - trouvent leurs sources dans la société, la culture, l'époque auxquelles l'artiste appartient et par conséquent également dans ce qui touche à la singularité de la personnalité, du vécu, de l'histoire à l'échelle intime de celui-ci. De fait, le titre général de cette étude énonce une quête des « mythes personnels et pluriels dans l'œuvre de Kimiko Yoshida », dont le thème de « rentre-deux» constitue la posture esthétique majeure, l'artiste et son œuvre se trouvant entre Japon et Occident, entre figuration et abstraction, entre réalité et fiction, entre citation et transgression. Ce discours fictionnel par l'image et dans l'image subit différentes métamorphoses qui forment les quatre axes fondateurs de la thèse, à savoir l'entre-deux particulier du « personnage conceptuel» défini par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans Qu'est-ce que la philosophie / appliqué à la « signature» Kimiko Yoshida : l'étude d'un entre-deux géographique et culturel définissant un « syncrétisme» artistique singulier: les illustrations des différentes dimensions spatio-temporelles perceptibles dans l ' œuvre de Kimiko Yoshida, notamment à travers les (enjeux des couleurs des images : et l'interrogation concernant la place du sujet à l'image, entre trace et absence. / The work of Kimiko Yoshida (born on June 23rd, 1963, in Japan and living in France since 1995), mainly based on photography, is founded on the creation of « myths ». This study is about searching, defining and analysing the « functions » of Kimiko Yoshida's self-portraits. The « myths of the Photographer », at the origins of her work's functions - aiming. amongst others, to « inform, represent, surprise, signify, create desire» according to Roland Barthes' Camera Lucida - are rooted in the society, the culture and the time the artist belongs to, and as a consequence also in the singularity of his/her personality, experience, and intimate story. Thus, the general title of this study brings forwards a research of « personal and plural myths in Kimiko Yoshida's work of art», whose topic of the « in-between » is the main aesthetic position, the artist and her work situated between Japan and the West between representation and abstraction, between reality and fiction, between quotation and transgression. The fictional speech through and in the image undergoes several transformations which make up the four founding lines of this thesis, that is to say the distinctive in-between of the « conceptual character » defined by Gilles Deleuze and Félix Guattari in Whut is Philosophy ) applied to Kirniko Yoshida's name : the study of a geographical and cultural in-between defining a singular artistic « syncretism » : the illustrations of the several perceptible space-time dimensions in Kimiko Yoshida's work, notably through the games/aims of the images' colours : and the questioning about the subject in the image, between trace and absence.
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Créer c'est avoir vu le premier. Les Galeries Lafayette et la mode (1893-1969) / To create is to have seen first. Galeries Lafayette and fashion (1893-1969)

Brachet Champsaur, Florence 25 June 2018 (has links)
Cette thèse étudie la place des Galeries Lafayette dans l’échange marchand entre l’offre et la demande, au cœur du système de la mode. Elle réévalue le rôle de la distribution en général et du grand magasin en particulier comme intermédiaire créateur de valeur dans la relation entre le producteur et le consommateur. Au tournant du XXe siècle, sur le marché de la nouveauté et le segment émergent de la confection, l’enseigne répond aux attentes des consommateurs qui cherchent à se distinguer et se différencier en suivant de près les phénomènes de mode. Alors que les maisons de couture exercent un monopole sur les tendances, et limitent leur diffusion en France à un cercle de clientes privilégiées, les Galeries Lafayette ont fait « entrer la mode dans le grand magasin ». Elles fabriquent et vendent sous leur propre marque des modèles inspirés de ceux des couturiers. Cette appropriation efficace de la création construit la légitimité de l’entreprise en tant qu'intermédiaire ainsi que le pouvoir prescripteur de la marque sur le marché de la mode. Elle fait aussi des Galeries Lafayette un acteur de l’économie de la contrefaçon, au centre des enjeux de l’industrie du vêtement dans l’entre-deux-guerres. La thèse montre cependant qu’il existe plusieurs régimes de management de la création aux Galeries Lafayette. A travers l’analyse des investissements de l’entreprise dans les industries créatives et en particulier les cas des Parfums Chanel, des maisons Madeleine Vionnet et Jean Patou, elle se saisit pour la première fois de la question du financement de la couture et décloisonne l’étude des principaux acteurs du système de la mode. La période couverte, de la fin du XIXe aux années 1960, rend compte des transformations de l’industrie du vêtement, mais aussi de la plasticité de la stratégie et des structures de l’organisation. Après la Seconde Guerre mondiale, l’intégration verticale de la fabrication laisse progressivement la place à de nouvelles modalités de construction de l’offre. Dans un contexte marqué par la modernisation de la filière habillement, la « révolution » du prêt-à-porter, et l’émergence de nouvelles capitales de la mode, la centrale d’achats élargit ses approvisionnements aux marques et à l’international. La mise en place pionnière d’un bureau de style au début des années 1950 est centrale dans cette transformation pour faire le lien entre les créateurs, les industriels et les clients avec lesquelles les Galeries Lafayette sont en contact direct.Une partie des développements est consacrée aux associations professionnelles internationale qui sont le véhicule privilégié des transferts transatlantiques mais aussi de la construction d’un réseau européen favorisant la circulation des idées et des marchandises. Ces échanges montrent que la diffusion des méthodes nouvelles d’organisation, importées et adaptées des États-Unis, ne s’est pas limitée à l’industrie. Les efforts des Galeries Lafayette pour rationaliser l’organisation sont une nouvelle démonstration de la nécessité de réévaluer le rôle de la distribution et des intermédiaires du système de la mode longtemps négligés au profit de la figure du créateur. / This thesis researches the role of Galeries Lafayette at the heart of the French fashion system. It re-evaluates the role of retail and department stores as value-creating intermediaries in the relationship between producer and consumer. Additionally, the research highlights the innovative capacity of a family business and shows that the introduction of new organizational methods in retail trade along the 20th century, imported and adapted from the United States, was as much present as in manufacturing enterprises. In the first part, the thesis looks at the foundation of the company, its competitors and its customers. To differentiate themselves, Galeries Lafayette manufactured and sold models inspired by those of the couturiers under the store private label. At the turn of the twentieth century, while fashion houses claimed a monopoly on trend setting, Galeries Lafayette introduced fashion in department store. This effective appropriation of fashion design built the legitimacy of the company as an intermediary, and posited the prescribing power of the brand in the fashion market. It also made Galeries Lafayette a player in the economy of counterfeiting, a major issue for the apparel industry in the inter-war period. The thesis shows, however, that various management regimes for design exist at Galeries Lafayette. In a second part, we analyze the investments of the company in the creative industries and in particular the cases of Chanel Perfumes as well as Madeleine Vionnet and Jean Patou fashion houses. In doing so, for the first time, the thesis analyzes the financing of fashion houses thus unbundling the study of the main actors in the fashion system. In a third part, the thesis studies competitive and market change from World War II onwards: the modernization of the clothing industry, the ready-to-wear revolution, and the emergence of new capitals of fashion besides Paris. The dismantling of the vertical integration in manufacturing, the opening of central purchasing to new suppliers, the pioneering establishment of in-house fashion forecasting office in the early 1950s induced a new organization and changes in the link between creators, designers, industrialists and customers for Galeries Lafayette.

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