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Deutsche Warenhausbauten : Ursprung, Typologie und Entwicklungstendenzen /

Schramm, Christian. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Aachen--Techn. Hochsch., 1991. / Bibliogr. p. 215-221.
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Architektur und Kommerz : Studien zur deutschen Kauf- und Warenhausarchitektur vor dem Ersten Weltkrieg am Beispiel der Frankfurter Zeil /

Schwarz, Jürgen, January 1995 (has links)
Diss.--Klassische Philologie und Kunstwissenschaften--Frankfurt--Johann Wolfgang Goethe-Universität, 1994. / Bibliogr. p. 338-345.
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Du är NK! : konstruktioner av yrkesidentiteter på varuhuset NK ur ett genus- och klassperspektiv 1918-1975 /

Åmossa, Karin January 2004 (has links)
Thèse Stockholm : Univ., 2004.
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Working for family, nation and God, paternalism and the Dupuis Freres department store, Montreal, 1926-1952

Matthews, Mary Catherine January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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«S’amuse bien qui s’amuse chez Dupuis» : la culture de travail des employées de Dupuis Frères entre 1920 et 1960

Piette, Stéphanie 04 1900 (has links)
Cette étude porte sur la culture de travail des femmes qui ont été à l’emploi du grand magasin Dupuis Frères de Montréal entre 1920 et 1960. Nous nous intéressons aux particularités du travail salarié féminin dans le domaine de la vente au détail au Québec, mais aussi à la nature et à l’évolution de cette culture de travail de même qu’à ses liens avec les changements qui surviennent à l’époque dans la construction des nouvelles normes de la féminité respectable. D’une part, notre but est de montrer que pour les travailleuses de Dupuis, leur emploi leur permet de gagner leur vie certes, mais aussi de l’agrémenter, de se divertir au moyen de loisirs organisés par l’entreprise et de créer des liens entre elles. À travers la culture de travail qu’elles y développent, ces femmes se créent une identité particulière. Nous soulignons aussi que Dupuis Frères, dans un esprit paternaliste, encadre de près ses employées et exploite leur culture de travail afin de s’assurer de leur loyauté et de maintenir sa bonne réputation auprès de l’opinion publique. D’autre part, nous cherchons à prouver que même si la culture des femmes à l’emploi de Dupuis au cours de cette période est largement influencée par la domesticité et l’idéologie des sphères séparées, caractéristiques de la féminité « traditionnelle » dominante, elle intègre néanmoins de plus en plus, surtout à partir de la Deuxième Guerre mondiale, de nouvelles dimensions plus « modernes » de la féminité qui ne remplacent pas l’idéal de la mère-ménagère, mais qui viennent plutôt s’y greffer et qui rendent, du coup, leur identité féminine plus complexe. / This study is about the work culture of the women who were employed by Dupuis Frères, a famous Montreal department store, between 1920 and 1960. We will focus on the features of this particular type of paid work, that is women’s work in retail in Quebec. We will also insist on the nature and evolution of that work culture and on the fact that it was influenced, during this period, by the transformations that occurred in the construction of new forms of respectable femininity. First, our goal is to show that these Dupuis Frères women employees didn’t work for the sole purpose of earning a living, but did also in order to live a more pleasant life, to entertain themselves by participating in leisure activities organized by their employer and to create new bonds among themselves. With this work culture that they developed, these women workers also created themselves a new particular identity. We also want to show that Dupuis Frères, with its paternalistic management, was controlling its employees and was exploiting their work culture to ensure the employees’ faith in them and maintain the company’s reputation. Second, we want to prove that even if the work culture of the women working at Dupuis Frères, during that period, was influenced by domesticity and the separate spheres ideology (features of the dominant « traditional » femininity), it was more and more incorporating, mostly from Second World War, new dimensions of a more « modern » femininity that were not replacing the mother-housewife ideal, but that rather were making their feminine identity more complex.
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De « petits » employés d’un « grand » magasin : Enquête sur les employés de la vente au Bazar de l’Opéra / "Small" employees a "big" store : Survey employees selling Bazar and l'Opera

Barbier, Pascal 21 November 2012 (has links)
Qui sont les vendeurs des magasins du grand commerce et quel est leur quotidien ? A partird’une enquête ethnographique réalisée, par observation participante et par entretiens dans ungrand magasin parisien, cette thèse répond à ces questions et apporte deux contributionsprincipales. La thèse contribue d’abord à la sociologie du travail de la vente en magasin. Ens’intéressant aux conditions de travail des vendeurs, à leurs modes d’emploi, à leurs pratiquesde travail, à leur rapport au travail, et notamment à l’ambivalence que nourrit la relation avecun client, elle réalise une sociologie du travail d’une activité professionnelle peu étudiéejusqu’ici. Elle en montre le caractère bigarré. Par certains aspects, ce travail est profondémentenraciné dans le salariat d’exécution, proche notamment d’une figure professionnelle àlaquelle les employés de commerce sont couramment identifiés, la « caissière ». Mais, dans lemême temps, ce travail s’en arrache en raison de l’autonomie et de la richesse que disentéprouver les vendeurs devant certaines tâches, comme la mise en valeur de la marchandise oula relation avec les clients. La thèse contribue aussi à la sociologie des employés decommerce. Armée d’une analyse du travail et des trajectoires de ceux qui l’effectuent, la thèsemontre que les vendeurs des grands magasins composent un fragment singulier parmi les« employés de commerce ». Ils composent une « petite aristocratie ». Mais la thèse rappellequ’il s’agit d’une « petite aristocratie » sous tension. En effet, celle-ci voit ses attributsglorieux malmenés par des rationalisations du travail et des transformations dans lesconditions d’emploi. / Who are the sales assistants and what does their day at work look like? Based on anethnographic survey (participant observation in a parisian department store and interviews),this thesis answers these questions and contributes to the sociology of work and the sociologyof the clerks. Firstly, by exploring the working and employment conditions of the salesmen,their technics and savoir-faire, the way they see their work, it sheds light on a work rarelyobserved by the sociology of work. Secondly, the thesis contributes to the sociology of clerks.It analyses a part of this group that can be seen as belonging to an “in-between” area: betweenthe most insecure job and the steady and qualified work.
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«S’amuse bien qui s’amuse chez Dupuis» : la culture de travail des employées de Dupuis Frères entre 1920 et 1960

Piette, Stéphanie 04 1900 (has links)
Cette étude porte sur la culture de travail des femmes qui ont été à l’emploi du grand magasin Dupuis Frères de Montréal entre 1920 et 1960. Nous nous intéressons aux particularités du travail salarié féminin dans le domaine de la vente au détail au Québec, mais aussi à la nature et à l’évolution de cette culture de travail de même qu’à ses liens avec les changements qui surviennent à l’époque dans la construction des nouvelles normes de la féminité respectable. D’une part, notre but est de montrer que pour les travailleuses de Dupuis, leur emploi leur permet de gagner leur vie certes, mais aussi de l’agrémenter, de se divertir au moyen de loisirs organisés par l’entreprise et de créer des liens entre elles. À travers la culture de travail qu’elles y développent, ces femmes se créent une identité particulière. Nous soulignons aussi que Dupuis Frères, dans un esprit paternaliste, encadre de près ses employées et exploite leur culture de travail afin de s’assurer de leur loyauté et de maintenir sa bonne réputation auprès de l’opinion publique. D’autre part, nous cherchons à prouver que même si la culture des femmes à l’emploi de Dupuis au cours de cette période est largement influencée par la domesticité et l’idéologie des sphères séparées, caractéristiques de la féminité « traditionnelle » dominante, elle intègre néanmoins de plus en plus, surtout à partir de la Deuxième Guerre mondiale, de nouvelles dimensions plus « modernes » de la féminité qui ne remplacent pas l’idéal de la mère-ménagère, mais qui viennent plutôt s’y greffer et qui rendent, du coup, leur identité féminine plus complexe. / This study is about the work culture of the women who were employed by Dupuis Frères, a famous Montreal department store, between 1920 and 1960. We will focus on the features of this particular type of paid work, that is women’s work in retail in Quebec. We will also insist on the nature and evolution of that work culture and on the fact that it was influenced, during this period, by the transformations that occurred in the construction of new forms of respectable femininity. First, our goal is to show that these Dupuis Frères women employees didn’t work for the sole purpose of earning a living, but did also in order to live a more pleasant life, to entertain themselves by participating in leisure activities organized by their employer and to create new bonds among themselves. With this work culture that they developed, these women workers also created themselves a new particular identity. We also want to show that Dupuis Frères, with its paternalistic management, was controlling its employees and was exploiting their work culture to ensure the employees’ faith in them and maintain the company’s reputation. Second, we want to prove that even if the work culture of the women working at Dupuis Frères, during that period, was influenced by domesticity and the separate spheres ideology (features of the dominant « traditional » femininity), it was more and more incorporating, mostly from Second World War, new dimensions of a more « modern » femininity that were not replacing the mother-housewife ideal, but that rather were making their feminine identity more complex.
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L'autre Louvre : la société du Louvre (1855-1939) / The other Louvre : the Louvre Society (1855-1939)

Guigo, Michèle 16 December 2019 (has links)
Les Grands Magasins du Louvre naissent en 1855 à l’ombre du Grand Hôtel du Louvre, dans un quartier en expansion suite aux travaux de Haussmann, deux ans seulement après la création du Bon Marché. Leur création est fortement liée au projet et au réseau des frères Pereire qui souhaitent développer le commerce et le tourisme de luxe à Paris. Les Grands Magasins du Louvre s’imposent rapidement comme l’un des principaux grands magasins, voire même le plus important par le chiffre d’affaires dans les années 1870-1880, ainsi que par l’espace occupé. En effet, d’abord enclavé par l’hôtel, le magasin conduit par ses deux gérants, Chauchard et Hériot, va engloutir toutes les boutiques environnantes, et s’emparer de l’hôtel en 1875. Ils adoptent ainsi le slogan les « plus vastes magasins du monde ». Ce premier pied dans l’hôtellerie va inciter ses dirigeants à poursuivre leur expansion dans ce domaine en exploitant trois hôtels supplémentaires, le Terminus Saint-Lazare, l’hôtel d’Orsay et le Crillon. Les Grands Magasins du Louvre sera donc le seul grand magasin à avoir investi dans un autre secteur que le commerce pour diversifier ses activités. A la fin du XIXème siècle, le magasin semble connaître son apogée étendant son influence sur le territoire national comme à l’étranger et s’approvisionnant en marchandises du monde entier. Mais la Première Guerre mondiale et surtout la crise économique des années 1930 lui porte un coup dur dont il ne se relèvera pas. En 1939 il dépose une première fois le bilan, avant que cette fermeture soit interrompue par la guerre. Il continuera à survivre après le Second conflit mondial, avant de disparaître définitivement en 1974. / The Grands Magasins du Louvre was born in 1855 in the shadow of the Grand Hôtel du Louvre, in an expanding area following the works of Haussmann, only two years after the creation of the Bon Marché. Their creation is strongly linked to the project and the network of the Pereire brothers who wish to develop trade and luxury tourism in Paris. Louvre shops are quickly becoming one of the leading department stores, and even the most important by turnover in the 1870s and 1880s, as well as occupied space. Indeed, at first locked by the hotel, the store led by its two managers Chauchard and Hériot will engulf all the surrounding shops, as well as the hotel in 1879. They adopt the slogan of "the largest stores in the world". This first foot in the hotel industry will encourage its leaders to continue their expansion in this area by operating three additional hotels, the Terminus Saint-Lazare, the hotel d'Orsay and Crillon. The Grands Magasins du Louvre will therefore be the only department store to have invested in a sector other than commerce to diversify its activities. At the end of the nineteenth century, the store seems to know its heyday extending its influence on the national territory and abroad and sourcing goods from around the world. But the First World War and especially the economic crisis of the 1930s brought him a hard blow which he will not recover. In 1939 it first filed the balance sheet, before the closure was interrupted by the war. It will continue to survive after the Second World War, before finally disappearing in 1974.
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Créer c'est avoir vu le premier. Les Galeries Lafayette et la mode (1893-1969) / To create is to have seen first. Galeries Lafayette and fashion (1893-1969)

Brachet Champsaur, Florence 25 June 2018 (has links)
Cette thèse étudie la place des Galeries Lafayette dans l’échange marchand entre l’offre et la demande, au cœur du système de la mode. Elle réévalue le rôle de la distribution en général et du grand magasin en particulier comme intermédiaire créateur de valeur dans la relation entre le producteur et le consommateur. Au tournant du XXe siècle, sur le marché de la nouveauté et le segment émergent de la confection, l’enseigne répond aux attentes des consommateurs qui cherchent à se distinguer et se différencier en suivant de près les phénomènes de mode. Alors que les maisons de couture exercent un monopole sur les tendances, et limitent leur diffusion en France à un cercle de clientes privilégiées, les Galeries Lafayette ont fait « entrer la mode dans le grand magasin ». Elles fabriquent et vendent sous leur propre marque des modèles inspirés de ceux des couturiers. Cette appropriation efficace de la création construit la légitimité de l’entreprise en tant qu'intermédiaire ainsi que le pouvoir prescripteur de la marque sur le marché de la mode. Elle fait aussi des Galeries Lafayette un acteur de l’économie de la contrefaçon, au centre des enjeux de l’industrie du vêtement dans l’entre-deux-guerres. La thèse montre cependant qu’il existe plusieurs régimes de management de la création aux Galeries Lafayette. A travers l’analyse des investissements de l’entreprise dans les industries créatives et en particulier les cas des Parfums Chanel, des maisons Madeleine Vionnet et Jean Patou, elle se saisit pour la première fois de la question du financement de la couture et décloisonne l’étude des principaux acteurs du système de la mode. La période couverte, de la fin du XIXe aux années 1960, rend compte des transformations de l’industrie du vêtement, mais aussi de la plasticité de la stratégie et des structures de l’organisation. Après la Seconde Guerre mondiale, l’intégration verticale de la fabrication laisse progressivement la place à de nouvelles modalités de construction de l’offre. Dans un contexte marqué par la modernisation de la filière habillement, la « révolution » du prêt-à-porter, et l’émergence de nouvelles capitales de la mode, la centrale d’achats élargit ses approvisionnements aux marques et à l’international. La mise en place pionnière d’un bureau de style au début des années 1950 est centrale dans cette transformation pour faire le lien entre les créateurs, les industriels et les clients avec lesquelles les Galeries Lafayette sont en contact direct.Une partie des développements est consacrée aux associations professionnelles internationale qui sont le véhicule privilégié des transferts transatlantiques mais aussi de la construction d’un réseau européen favorisant la circulation des idées et des marchandises. Ces échanges montrent que la diffusion des méthodes nouvelles d’organisation, importées et adaptées des États-Unis, ne s’est pas limitée à l’industrie. Les efforts des Galeries Lafayette pour rationaliser l’organisation sont une nouvelle démonstration de la nécessité de réévaluer le rôle de la distribution et des intermédiaires du système de la mode longtemps négligés au profit de la figure du créateur. / This thesis researches the role of Galeries Lafayette at the heart of the French fashion system. It re-evaluates the role of retail and department stores as value-creating intermediaries in the relationship between producer and consumer. Additionally, the research highlights the innovative capacity of a family business and shows that the introduction of new organizational methods in retail trade along the 20th century, imported and adapted from the United States, was as much present as in manufacturing enterprises. In the first part, the thesis looks at the foundation of the company, its competitors and its customers. To differentiate themselves, Galeries Lafayette manufactured and sold models inspired by those of the couturiers under the store private label. At the turn of the twentieth century, while fashion houses claimed a monopoly on trend setting, Galeries Lafayette introduced fashion in department store. This effective appropriation of fashion design built the legitimacy of the company as an intermediary, and posited the prescribing power of the brand in the fashion market. It also made Galeries Lafayette a player in the economy of counterfeiting, a major issue for the apparel industry in the inter-war period. The thesis shows, however, that various management regimes for design exist at Galeries Lafayette. In a second part, we analyze the investments of the company in the creative industries and in particular the cases of Chanel Perfumes as well as Madeleine Vionnet and Jean Patou fashion houses. In doing so, for the first time, the thesis analyzes the financing of fashion houses thus unbundling the study of the main actors in the fashion system. In a third part, the thesis studies competitive and market change from World War II onwards: the modernization of the clothing industry, the ready-to-wear revolution, and the emergence of new capitals of fashion besides Paris. The dismantling of the vertical integration in manufacturing, the opening of central purchasing to new suppliers, the pioneering establishment of in-house fashion forecasting office in the early 1950s induced a new organization and changes in the link between creators, designers, industrialists and customers for Galeries Lafayette.

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