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Peanut allergy and loss-of-function mutations in the gene encoding filaggrin, a skin barrier protein: effect of restrictive case definition and atopic asthma

Asai, Yuka January 2012 (has links)
Peanut allergy is a condition with high morbidity and mortality. Prevalence of peanut allergy is increasing, and the cause of this is yet unknown. We previously examined for the presence of loss-of-function mutations in filaggrin (FLG), a gene that encodes a skin barrier protein, in individuals with peanut hypersensitivity. In this work we further our investigation by providing a sensitivity analysis of the effect of the diagnostic criteria used to define peanut allergy. We also examined the relationship of peanut allergy and FLG mutations, independent of atopic disease, modeled using logistic regression and self-reported history of asthma. Finally, we examined how error in the self-reported asthma variable and the peanut allergy status variable would affect the results. / L'allergie aux arachides est un problème de santé sérieux avec un haut taux de morbidité et de mortalité. La prévalence des allergies aux arachides ne cesse d'augmenter. La raison de cette hausse demeure encore inconnue. Nous avons précédemment étudié chez les patients atteints d'hypersensibilité aux arachides la présence de mutations nulles de filaggrin, un gène codant une protéine qui participe à la barrière cutanée. Dans cet ouvrage, nous raffinons notre recherche en effectuant une analyse de sensibilité de l'effet des critères diagnostiques utilisés pour définir l'allergie aux arachides. De plus, nous étudions la relation entre l'allergie aux arachides et la mutation de la filaggrin, indépendamment des autres maladies atopiques. Pour ce faire, nous avons employé un modèle de régression logistique ainsi que l'histoire d'asthme rapportée par les patients. Nous avons ensuite évalué comment l'erreur sur les variables d'histoire d'asthme et du statut d'allergie aux arachides pourrait affecter nos résultats.
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Health services use and treatment delay for patients experiencing a first-episode of psychosis: a mixed methods study

Anderson, Kelly January 2012 (has links)
Background: Long delays in initiating treatment for a first-episode of psychosis (FEP) are associated with poor clinical and functional outcomes. However, the modes and routes by which patients access care are complex, thus contributing to delays in treatment initiation and extending the duration of untreated psychosis. Objective: To identify determinants of service use preceding a FEP, and to examine the impact of these patterns on treatment delay and engagement with specialized services.Design: A mixed-methods multilevel triangulation design was used, which involved both quantitative and qualitative methods to examine health services use by patients with FEP in Montréal at the population, clinical, and individual levels. Project #1 – Population Level: We used population-based administrative data from physician billings, hospitalizations, and public health clinics to examine the use of services prior to a first diagnosis of psychosis. Incident cases of psychosis occurring from 2004 through 2006 among individuals aged 14 to 25 years were identified, and mental health contacts preceding the index diagnosis were analyzed. Of the 456 cases identified, 32% had no contact with services preceding the index diagnosis. Nearly 50% of cases received the index diagnosis in the emergency department. Individuals who were in contact with primary care services had a reduced likelihood of contact with the emergency department and inpatient services, but also had a longer time to diagnosis and time to contact with a psychiatrist. Project #2 – Clinical Level: We estimate the association of several socio-demographic and clinical factors with the pathway to care and treatment delay among FEP patients from an early intervention program. We also assessed the impact of the pathway to care on time to disengagement from services. Our findings suggest that patients who were in contact with primary care had a reduced likelihood of negative pathways to care, but also had longer referral delays. Socio-demographic and clinical factors were more relevant for predicting subsequent engagement with services, and indicators of negative pathways to care were not associated with service disengagement. Project #3 – Individual Level: Using a qualitative descriptive approach, we conducted semi-structured interviews with sixteen patients recruited from a specialized early intervention program. Participants described the crucial role of significant others in initiating contact with services, and both self-stigma and a lack of knowledge regarding the symptoms of psychosis and availability of services emerged as barriers to help-seeking. Participants typically described a complex series of contacts on the pathway to care, resulting in feelings of being misunderstood and losing control, but many individuals identified unexpected benefits of their experience. Conclusions: Our findings suggest that few socio-demographic or clinical factors determine pathways to care. Rather, service-level factors, such as having access to a primary care provider, have a stronger impact on patterns of health service use across multiple indicators. Improving access to primary care may reduce the burden on emergency services, however primary care providers may need additional training in the symptoms of early psychosis and referral protocols. / Contexte : Un retard important pour la mise en route d'une prise en charge thérapeutique suite à un premier épisode psychotique (PEP) est associé à un mauvais pronostic clinique et fonctionnel. Cependant les différents modalités et parcours d'accès aux soins de ces patients sont complexes, ce qui contribue à retarder l'initiation du traitement et à augmenter la durée de la phase durant laquelle la psychose n'est pas traitée. Méthodologie d'étude : Des méthodes combinées de triangulation multi-niveaux, impliquant à la fois des méthodes quantitatives et qualitatives aux niveaux populationnel, clinique, et individuel, ont été appliquées, afin d'examiner le recours aux services de santé par des patients présentant un PEP.Niveau Populationnel : Les données sur le recours aux services de soins avant un premier diagnostic de psychose ont été extraites des bases administratives de la population générale. Les cas incidents de psychoses parmi les individus âgés de 14 à 25 ans entre 2004 et 2006 ont été identifiés, et les contacts avec les services psychiatriques avant le diagnostic ont été analysés. Parmi les 456 cas identifiés, 32% n'avaient eu aucun contact avec un service de soins avant que le premier diagnostic ne soit posé. Le premier diagnostic de psychose avait été établi dans un service d'urgences pour presque la moitié des cas. Les individus en contact avec des soins de première ligne avaient une probabilité plus faible de contact avec un service d'urgences ou d'hospitalisation, mais c'est dans cette catégorie de patients que les délais étaient les plus importants avant le diagnostic et avant une consultation avec un psychiatre. Niveau Clinique : Nous avons étudié l'association entre des facteurs sociodémographiques et cliniques et, d'une part les modalités d'accès aux soins, et d'autre part le délai de traitement, de patients présentant un PEP et inscrits à un programme d'intervention précoce. Nous avons également évalué l'impact du schéma d'accès aux soins sur le délai d'abandon du programme d'intervention précoce. Nos résultats suggèrent que les patients en contact avec des soins de première ligne ont une probabilité plus faible de trajectoires négatives d'accès aux soins, mais consultent un spécialiste dans des délais plus longs. Les facteurs sociodémographiques et cliniques prédisaient de manière plus pertinente l'engagement par le patient avec les services spécialisés, et les indicateurs de trajectoires négatives d'accès aux soins n'étaient pas associés à un désengagement avec les services spécialisés.Niveau Individuel : A partir d'une approche qualitative descriptive, nous avons conduit des entretiens avec 16 patients recrutés au sein d'un programme d'intervention précoce. Les participants décrivaient le rôle crucial de tierces personnes dans l'initiation du contact avec les services de soins. L'auto-stigmatisation par le patient, le manque de connaissance des symptômes de psychose, et la disponibilité insuffisante des services, ont émergé en tant qu'obstacles à la recherche d'aide. Les participants décrivaient typiquement des séries complexes de contacts sur le cheminement d'accès aux soins, aboutissant à des sentiments d'être mal compris et d'une perte de contrôle de soi. Cependant, de nombreux patients identifiaient également dans cette expérience des bénéfices inattendus. Conclusions: Nos résultats suggèrent que le recours aux soins dépend peu de facteurs sociodémographiques ou cliniques. Les facteurs propres aux services de santé, tels que l'accès aux soins de première ligne, ont un impact plus important sur les modalités de recours aux services spécialisées, et ceci à travers de multiples indicateurs. Améliorer l'accès aux soins primaires pourrait ainsi diminuer la charge de travail des services d'urgences, à condition de former les intervenants des centres de soins de première ligne à mieux identifier les symptômes précoces de psychose et à orienter ces patients vers des services spécialisés.
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Use of non-steroidal anti-inflammatory drugs and statins, and risk of prostate cancer in Montreal

Mansure, Jose January 2012 (has links)
Objective: Non steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) and statins are associated with many solid tumours. We conducted a case-control study among French-speaking Montrealers (Canada) to estimate associations with use of NSAIDs or statins, and risk of prostate cancer.Methods : Data were collected from patients (n=1,429) aged 40 to 75 years, ascertained across the 11 major French hospitals in the Montreal Metropolitan area, newly diagnosed with prostate cancer between September 1, 2005 and December 31, 2010. Controls (n=1,543) were selected from the general population, were registered on Quebec's permanent electoral list as French speakers, resident in the Montreal Metropolitan area, were from the same electoral districts as cases, and were frequency-matched to cases by age (±5 years). Unconditional logistic regression with adjustment for potential confounding variables was used to estimate odds ratios and 95% confidence intervals.Of the 2,972 subjects, 204 (6.9 %) were NSAID users, 589 (19.9 %) were daily low dose users of aspirin, and 415 (14 %) were statins users. Ever use of NSAIDs (adjusted OR = 1.22; 95% CI: 0.88-1.69) was not associated with prostate cancer risk. Likewise, current use or duration of use was also not associated with risk of prostate cancer. However, a self-reported history of using NSAID between 6-10 years before the reference date was inversely associated with prostate cancer risk (OR=0.43; 95% CI: 0.21-0.89). Use of daily low dose of aspirin was not significantly associated with prostate cancer (OR=1.02; 95% CI 0.85-1.24). Nonetheless, 18 % reduced risk of developing prostate was found with time since first use (2-5 years before reference date). There was no association between statin use and risk of prostate cancer (OR=1.20; 95% CI: 0.90-1.60). By contrast, men who had self-reported to have used statins for more than five years were positively associated with prostate cancer risk (OR=1.56; 95% CI: 1.07-2.27). Conclusion: Overall this study provides no strong evidence of either causation or prevention of prostate cancer by NSAIDs or daily low dose of aspirin or statin. However, timing in exposure and duration of use might have biological implications in the relation between these medications and prostate cancer risk. / Objectif : Des médicaments anti-inflamatoires non stéroïdiens (AINSs) et les statines sont associés au risque de développer plusieurs formes de tumeurs solides. Nous avons entrepris une étude cas-témoins chez les montréalais de langue française (Canada) afin d'estimer l'association entre l'utilisation d'AINS et de statines et le risque de cancer de la prostate. Méthodes : Nous avons recruté 1,429 patients âgés de 40 à 75 ans, nouvellement diagnostiqués avec un cancer de la prostate entre les 1er septembre 2005 et 31 décembre 2010 à travers les 11 hôpitaux français principaux de la région métropolitaine de Montréal. Les témoins de la population gérérale (n=1,543) ont été sélectionnés à partir des hommes francophones inscrits sur la liste électorale permanente du Québec, résidant dans la région métropolitaine de Montréal, provenant des mêmes districts électoraux que les cas, et appariés aux cas selon des groupes de 5 ans d'âge. La régression logistique inconditionnelle a été utilisée afin d'estimer les rapports de cote (RC) et les intervalles de confiance (IC) à 95% entre l'utilisation de médicaments et le risque de cancer de la prostate, en ajustant pour les facteurs de confusion potentiels. Résultats : Des 2,972 sujets participants, 204 (6.9 %) avaient déjà utilisé pendant au moins 6 mois des AINS , 589 (19.9 %) avaient utilisé quotidiennement de faibles doses d'aspirine, et 415 (14 %) avaient utilisé des statines. Le fait d'avoir déjà utilisé des AINS n'était pas associé au risque de cancer de prostate (RC ajusté = 1.22 ; IC à 95% : 0.88-1.69). L'utilisation courante ou la durée d'utilisation d'AINS n'était également pas associée au risque de cancer de prostate. Cependant, des hommes ayant rapporté avoir commencé à utiliser des AINS 6 à10 ans avant la date de référence avaient un risque réduit de cancer de la prostate (RC=0.43; IC à 95%: 0.21-0.89). L'utilisation quotidienne d'une faible dose d'aspirine n'était pas associée au cancer de prostate (RC=1.02; IC à 95% : 0.85-1.24). Néanmoins, le risque était réduit de 18 % chez les hommes ayant rapporté une première utilisation de ces médicaments 2 à 5 ans avant date de référence. Une tendance vers une faible augmentation de risque a été observée entre chez les hommes ayant déjà utilisé des statines RC=1.20; IC à 95% : 0.90-1.60). Toutefois, cette association positive était plus prononcée chez les hommes ayant utilisé des statines pendant plus de cinq ans (RC=1.56; IC à 95% : 1.07-2.27). Conclusion : De façon générale, cette étude ne fournit aucune évidence marquée suggérant un rôle entre la consommation d'AINS, d'une faible dose quotidienne d'aspirine ou de statines et le risque de cancer de la prostate. Cependant, il est possible que la période ou la durée d'utilisation de ces médicaments puisse être impliquée dans ces relations.
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Adherence to supported self-care interventions for depression: a systematic review and cohort study of patients with comorbid chronic physical illness

Simco, Russell January 2012 (has links)
Evidence supports the effectiveness of supported self-care for the treatment of depression. These interventions are widely advocated as part of depression management programs in primary care, including stepped care management models. Adherence is an important factor in the effectiveness of medical treatments, but has been overlooked in the field of supported self-care for depression. The objectives of this thesis were: 1) to describe adherence to supported self-care interventions for depression and/or anxiety through a systematic review of the scientific literature, and 2) to identify characteristics associated with adherence in a pilot study of a supported self-care intervention for depression in primary care patients with comorbid chronic physical illness. From a total of 40 studies 22 (55%) reported adherence; measures of adherence were inconsistent; few (n=3) studies investigated associations between patient characteristics and adherence. Adherence rates to the intervention (completion of self-care tools and coach telephone calls) in the pilot study (n=57) were comparable to those reported in studies in the systematic review. Greater adherence to the self-care tools was associated with increased comorbidity; greater adherence to the coach telephone calls was associated with the assigned coach. Future research should consider using standardized measures of adherence, and report associations between patient characteristics and adherence, as well as between adherence and outcome. / Les présentes recherches appuient l'efficacité de l'autogestion soutenue, lors du traitement de la dépression. Ces interventions, incluant la gestion de soins par paliers, sont préconisées en première ligne afin de gérer la dépression. Malgré qu'elle soit souvent liée au succès de traitements médicaux, la conformité au traitement est fréquemment négligée lors de recherches sur l'autogestion soutenue lors du traitement de la dépression. Les objectifs de ce projet étaient: 1) de décrire la conformité au traitement d'interventions rapportées d'autogestion soutenue du traitement de la dépression ou de l'anxiété, par examen systématique, et 2) d'identifier les caractéristiques associées avec la conformité au traitement, par l'entremise d'une étude pilote portant sur l'autogestion soutenue du traitement de la dépression, chez les patients de souffrants de maladies physiques chroniques concomitantes, en première ligne. Sur un total de 40 études révisées, 22 (55%) ont rapporté la conformité au traitement; les mesures de conformité rapportées n'étaient pas constantes; et peu (n=3) des études ont étudié les facteurs associés avec la conformité au traitement. Les taux de conformité au traitement dans l'étude pilote (réalisation complète des outils d'autogestion soutenue et des appels téléphoniques avec le « coach ») étaient comparables a ceux identifiés lors de l'examen systématique. La réalisation complète des outils d'autogestion soutenue était associée avec la concomitance de maladies chroniques; la réalisation complète des appels téléphoniques était associée au « coach » assigné au patient. Les prochaines études devraient utiliser des mesures standardisées de conformité au traitement et rapporter les caractéristiques associées avec la conformité au traitement ainsi que les liens entre la conformité au traitement et les résultats de l'intervention.
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Survey methodology and prevalence estimates from the SPAACE (surveying the prevalence of food allergy in all Canadian environments) study

Knoll, Megan January 2012 (has links)
Introduction: Low income, less educated and immigrant populations are notorious for having low response rates in research studies. Therefore, it is not surprising that when attempting to estimate food allergy prevalence in Canada, the SCAAALAR study (Surveying Canadians to Assess the Prevalence of Common food Allergies and Attitudes towards food LAbeling and Risk), which attained a response rate of only 34.6% , underrepresented several vulnerable populations (those of low socioeconomic status, non post-secondary graduates, new Canadians, residents of the territories and Aboriginals).Objective: The objective of this thesis is two fold: 1) to determine an effective methodology for obtaining high response rates in the vulnerable populations not adequately represented in SCAAALAR and 2) to attain food allergy prevalence estimates for these vulnerable populations.Methods: To increase response rates and adequately sample the desired populations, a pilot study was conducted to evaluate the effect of unconditional incentives in vulnerable populations for a telephone survey. Households in low income/high immigrant postal codes were randomly selected and randomly assigned to receive either an unconditional incentive or no incentive. The difference in response rate and 95% confidence interval was calculated using a normal approximation to the difference of two binomial distributions. The pilot study informed the methodology employed in the SPAACE study (Surveying the8Prevalence of Food Allergy in All Canadian Environments), which subsequently addressed the second objective of this Thesis. SPAACE then estimated the prevalence of food allergy for those of low socioeconomic status, non post-secondary graduates, new Canadians, residents of the territories and Aboriginals. Prevalence estimates among vulnerable populations were compared to their comparator populations (i.e., those of high socioeconomic status, post-secondary graduates, individuals born in Canada, residents of the provinces and non-Aboriginals); between population differences and 95% confidence intervals were calculated using normal approximations to the difference of two binomial distributions.Results: The response rates were 38.4% and 31.4% for the incentive and non-incentive groups respectively, with a between group difference of 0.070 (-0.013, 0.15). The cooperation rates, which exclude non-contacts from the calculation, were 47.3% and 40.0% for the incentive and non-incentive group respectively, with a between group difference of 0.073 (-0.023, 0.17). Prevalence estimates for those of low socioeconomic status, new Canadians and Aboriginals were lower than their comparator population's prevalence (between population differences respectively: -2.44% (95% CI: -3.52%, -1.35%); -2.66% (95% CI: -3.5%, -1.82%); -2.17% (95% CI: -3.18%, -1.16%)) .Discussion: Although wide confidence intervals preclude definitive conclusions, our results suggest that unconditional incentives are an effective means of9increasing response rates in vulnerable populations for telephone surveys. Additionally, the results of SPAACE demonstrate that socioeconomic status, birthplace and ethnicity are associated with the prevalence of food allergy. These findings are indicative of potential lifestyle, cultural, and genetic factors that may influence the development of food allergy. / Introduction : Les populations immigrantes, moins nanties and moins éduquées sont reconnues comme ayant des taux de réponses peu élevés lors d'études. Il est alors peu surprenant de constater que l'étude SCAAALAR (Surveying Canadians to Assess the Prevalence of Common food Allergies and Attitudes towards food LAbeling and Risk), qui a atteint un taux de réponse de seulement de 34.6%, ait sous-représenté plusieurs groupes de la population (ceux de statut socioéconomique moins élevé, de non-gradués postsecondaire, de nouveaux arrivants au Canada, de résidents des territoires et des amérindiens). Objectif : L'objectif de cette thèse est en deux parties : 1) déterminer une méthodologie efficace pour obtenir un haut taux de réponse au sein des populations vulnérables mal-représentées avec SCAAALAR et 2) obtenir des estimés de prévalences d'allergies alimentaires pour ces populations vulnérables. Méthodologie : Pour améliorer les taux de réponse et de sonder adéquatement les populations désirées, une étude pilote a été réalisée pour évaluer les effets des incitatifs inconditionnels sur les populations vulnérables lors d'un sondage téléphonique. Les ménages situés dans les codes postaux à faibles revenus et à haute présence d'immigrants ont été sélectionnés et assignés de manière aléatoire à recevoir un incitatif inconditionnel ou à ne pas en recevoir. La différence du taux de réponse et de l'intervalle de confiance à 95% a été calculé en utilisant une approximation normale jusqu'à 2 distribution binômes. L'étude pilote a informé la11méthodologie employée dans l'étude SPAACE (Surveying the Prevalence of Food Allergy in All Canadian Environments), qui a par la suite adressé le deuxième objectif de cette thèse. SPAACE a ensuite estimé la prévalence d'allergies alimentaires pour les populations non graduées d'études postsecondaire, les immigrants, les résidents des territoires et des amérindiens. Les estimés de prévalences au sein des populations vulnérables ont été comparés à leurs populations comparatives (i.e., celles de statut socioéconomique plus élevé, les gradués postsecondaire, les canadiens nés au pays, les résidents des provinces et des non-Amérindiens); les différences entre populations et les intervalles à 95% de confiance ont été calculés en utilisant des estimés normaux de différences entre 2 distributions binômes.Résultats : Les taux de réponse ont atteint 38.4% et 31.4% pour les groupes avec et sans incitatifs, respectivement, avec une différence entre groupes de 0.070 (-0.013, 0.15). Les taux de coopération, ce qui exclu les non-contacts des calculs, ont été de 47.3% et 40.0% pour les groupes avec et sans incitatifs, respectivement, avec une différence entre groupes de 0.073 (-0.023, 0.17). Les estimés de prévalences pour les populations de statut socioéconomique moins élevé, les immigrants, et les amérindiens étaient moins élevés que les prévalences de leurs populations comparatives (différences entre populations, respectivement : -2.44% (95% CI : -3.52%, -1.35%); -2.66% (95% CI : -3.5%, -1.82%); -2.17% (95% CI : -3.18%, -1.16%)).12 Discussion : Bien que de larges intervalles de confiance excluent des conclusions définitives, nos résultats suggèrent que des incitatifs inconditionnels sont une manière efficace d'augmenter le taux de réponse lors de sondages téléphoniques auprès des populations vulnérables. De plus, les résultats de SPAACE démontrent que le statut socioéconomique, le lieu de naissance et l'ethnie sont associés à la prévalence des allergies alimentaires. Ces découvertes indiquent que des facteurs culturels, génétiques et des habitudes de vie peuvent influencer le développement des allergies alimentaires.
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Environmental risk factors in multiple sclerosis: the role of active and passive cigarette smoke exposure

Styles, Amy January 2012 (has links)
Multiple sclerosis (MS) is an inflammatory neurodegenerative disease, and although the cause of MS remains unknown, it is widely accepted that both genetic and environmental factors play a role. The purpose of this thesis was to investigate the role of active and passive cigarette smoke exposure, both of which have been recently implicated as possible risk factors for MS. A systematic review was performed to consolidate the existing literature on smoking and MS. This review resulted in 20 published articles, 17 of which reported on active smoke exposure, and 3 that reported on passive smoke exposure as a risk factor for MS. Of the studies reported in these 20 articles, one study was judged to be of excellent quality, 5 studies were of good quality, 9 studies of acceptable quality, and the remaining 5 studies of poor quality. The second part of this thesis investigated active cigarette smoke exposure and passive cigarette smoke exposure (among never-smokers) in the etiology of MS using data from the Norwegian component of the International Case-Control Study on Environmental risk factors in Multiple Sclerosis (EnvIMS). Cases (N=807) were frequency matched to controls (N=1716) on sex and age at the time of study. Using a self-administered questionnaire, participants were asked about several environmental exposures, including their active smoke exposure in five year intervals between the ages 11 and 30, and household passive smoke exposure from birth to age 30. Consistent with the literature on active smoking, individuals with MS had a 2.19 (95% CI 1.82-2.63) greater odds of having smoked than controls. The relationship of passive smoke exposure and MS among never-smokers was not statistically significant, OR=1.20 (95% CI 0.83-1.76); however, the magnitude of the effect was consistent with previous literature. The research presented here confirms that active smoke exposure is a risk factor for MS, and although this study was not adequately powered to find a statistically significant effect, the results suggest that passive smoke exposure may also be a risk factor for MS. / La sclérose en plaques (SP) est une maladie inflammatoire neurodégénérative. Bien que sa cause demeure inconnue, il est largement accepté que des facteurs à la fois génétiques et environnementaux jouent un rôle dans cette maladie. Cette thèse avait pour but d'examiner le rôle de l'exposition active et passive à la fumée de cigarette; ces deux types d'exposition ayant récemment été identifiés comme étant des facteurs de risque potentiels de la SP. Une revue systématique a été faite afin de regrouper la documentation existante sur l'usage du tabac et la SP. Cette revue a permis d'identifier vingt articles publiés, dont dix-sept traitaient de l'exposition active à la fumée de cigarette et trois traitaient de l'exposition passive à la fumée de cigarette comme facteur de risque de la SP. La qualité de ces vingt articles a été jugée comme suit : une étude était d'excellente qualité, cinq études étaient de bonne qualité, neuf études étaient de qualité acceptable et les cinq études restantes étaient de mauvaise qualité. La deuxième partie de cette thèse a examiné le rôle de l'exposition active à la fumée de cigarette, ainsi que l'exposition active à la fumée de cigarette chez les individus qui n'ont jamais fumé, dans l'étiologie de la SP en utilisant les données de la cohorte norvégienne de l'International Case-Control Study on Environmental risk factors in Multiple Sclerosis (EnvIMS). Les cas (N = 807) ont été appariés pour la fréquence à des contrôles (N = 1716) en fonction du sexe et de l'âge au moment de l'étude. À l'aide d'un questionnaire auto-administré, les participants devaient répondre à des questions sur l'exposition à différents risques environnementaux, dont l'exposition active à la fumée de cigarette en intervalles de cinq ans entre 11 et 30 ans, ainsi que l'exposition passive à la fumée de cigarette dans le ménage de la naissance à l'âge de 30 ans. Conformément à la littérature sur l'usage actif du tabac, la probabilité d'avoir fumé était supérieure de 2,19 (95 % IC 1,82-2,63) chez les individus atteints de SP par rapport aux contrôles. La relation entre l'exposition passive à la fumée de cigarette et la SP chez les individus qui n'ont jamais fumé n'était pas significative d'un point de vue statistique, rapport de cote = 1,20 (95 % IC 0,83-1,76); toutefois, l'ampleur de l'effet correspondait aux études déjà publiées. La présente recherche confirme que l'exposition active à la fumée de cigarette représente un facteur de risque de la SP. Bien que cette étude ne soit pas suffisamment puissante pour détecter un effet significatif d'un point de vue statistique, les résultats suggèrent également que l'exposition passive à la fumée de cigarette pourrait être un facteur de risque de la SP.
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Assessment of systemic lupus erythematosus diagnoses within Quebec's health administrative databases

Ng, Ryan January 2012 (has links)
Background: Systemic lupus erythematosus (SLE) is a chronic, relatively uncommon autoimmune disease that has a relapsing-remitting course, with clinical manifestations in various organ systems (cutaneous, renal, and other). To control disease, immunosuppressive drugs are often required. Health administrative databases are useful for studying SLE because of their wide population coverage, and could potentially be used to study SLE incidence, prevalence, clinical manifestations, and medication use. However, because the diagnoses in these administrative databases are not necessarily clinically confirmed, SLE case ascertainment is a methodological challenge. First, some of the methodological issues were examined in this thesis. Second, clinical manifestations and the association between early antimalarial drug use and future renal manifestations were examined in a cohort of SLE patients. Methods: The initial SLE case definition was a previously-used algorithm that identified subjects as having SLE if they met one of the following criteria: one SLE hospital discharge code, one rheumatologist SLE claim and/or two SLE non-rheumatologist claims at least eight weeks apart but within two years. Alternative algorithms were formed by modifying one or more of the initial algorithm's parameters. Incidence and prevalence estimates were determined using each alternative algorithm and compared to the initial estimates. The effect of using different data period lengths for detecting patients was also examined. Kaplan-Meier (K-M) analyses were performed to assess documentation of clinical SLE manifestations and use of selected immunosuppressant medications, within an incident SLE cohort identified by the initial algorithm (described above). The observation interval began four years prior to SLE diagnosis and continued up to eight years after SLE diagnosis. Cox proportional hazards regression analyses were used to examine the association between early antimalarial drug use and renal manifestations. Results: With the initial algorithm, the 1998 yearly incidence was 6.0 cases per 100,000 (95% confidence interval (CI), 5.5–6.6). When parameters from the initial algorithm were changed, the 1998 incidence varied to between 4.4 and 7.4/100,000. The prevalence also changed from 65.5/100,000 (95% CI: 63.7–67.4) with the initial algorithm, to between 47.8–79.1/100,000 with the alternate algorithms. When the length of the data period changed from fifteen years to five years, the 2001 yearly incidence was overestimated by 38.3% (5.7/100,000 initially and 7.9/100,000 with only five years of data) and the prevalence was underestimated by 29.9% (the new estimate being 46.0/100,000, 95% CI: 44.4–47.5).Over-all, 66.2% (95%CI: 63.4–68.9%) of incident patients (within the SLE cohort assembled using the initial algorithm) had evidence of at least one SLE manifestation within the period under examination. The most common manifestation was cutaneous involvement, present in 30.0%. Within the sub-cohort of incident SLE patients covered by RAMQ drug insurance, 87.2% (95% CI: 84.2–90.3%) had received at least one of the medications under study, by the end of the study interval. No association was found between early antimalarial drug use and subsequent renal manifestations.Conclusion: Varying the case definition and data period can change incidence and prevalence estimates considerably, so all features, including the time period in which the data spans, should be selected carefully and explicitly stated. The majority of incident SLE patients had evidence of SLE manifestations or used medications which would provide possible confirmation of SLE case status. This additional information can be used in future health services administrative database research to understand SLE, and help compensate for the databases' lack of clinical confirming data. / Contexte : Le lupus érythémateux disséminé (LED) est une maladie auto-immune chronique relativement peu commune. L'évolution de cette maladie est décrite en phases de poussées et de rémissions et ses manifestations cliniques touchent plusieurs organes. L'utilisation de médicaments immunosuppresseurs est souvent nécessaire pour contrôler le LED. Les banques de données administratives du domaine de la santé s'avèrent utiles pour étudier le LED, car elles pourraient être utilisées pour étudier l'incidence, la prévalence et les manifestations cliniques. Toutefois, comme les diagnostics présents dans ces bases de données administratives n'ont pas nécessairement de confirmation clinique, la détermination des cas de LED représente un défi d'ordre méthodologique et certains de ces problèmes méthodologiques font l'objet de la présente thèse.Méthodologie : L'algorithme initial de définition de cas de LED a déjà été utilisé pour identifier des sujets atteints de LED s'ils répondaient aux critères suivants : un code de congé d'hôpital de LED, une réclamation d'un rhumatologue pour le LED et/ou deux réclamations par un médecin autre qu'un rhumatologue pour le LED séparées d'au moins huit semaines, mais dans un intervalle de deux ans. D'autres algorithmes ont été créés en modifiant un paramètre ou plus de l'algorithme initial. Des estimations d'incidence et de prévalence ont été obtenues grâce à chaque algorithme créé et ces valeurs ont été comparées aux estimations initiales. L'effet de l'utilisation de périodes de données de différentes longueurs sur la détection des patients a également été examiné. Des analyses Kaplan-Meier (K-M) ont été faites pour évaluer la documentation des manifestations cliniques du LED et l'utilisation de médicaments immunosuppresseurs spécifiques au sein d'une cohorte incidente de patients atteints de LED identifiés par l'algorithme initial (décrit plus haut). L'intervalle d'observation a débuté quatre ans avant le diagnostic de LED et s'est poursuivi jusqu'à huit ans après le diagnostic. Des analyses utilisant le modèle de régression à risques proportionnels de Cox ont servi à examiner l'association entre l'utilisation précoce d'antipaludiques et les manifestations rénales. Résultats : Avec l'algorithme initial, l'incidence annuelle de LED en 1998 était de 6,0 cas pour 100 000 habitants (95 % d'intervalle de confiance (CI), 5,5-6,6). En changeant les paramètres de l'algorithme initial, l'incidence en 1998 a varié entre 4,4 et 7,4 pour 100 000. La prévalence a passé de 65,5 pour 100 000 (95 % CI : 63,7–67,4) avec l'algorithme initial à entre 47,8–79,1 pour 100 000 avec les autres algorithmes. En modifiant la longueur des périodes de données de quinze à cinq ans, l'incidence annuelle en 2001 était surestimée par 38,3 %.Dans l'ensemble, 66,2 % (95 % CI : 63,4–68,9 %) des patients incidents au sein de la cohorte de patients atteints de LED assemblée grâce à l'algorithme initial montraient au moins une manifestation de LED au cours de la période évaluée. Au sein d'une sous-cohorte de patients incidents atteints de LED couverts par la RAMQ, 87,2 % (95 % CI : 84,2–90,3 %) ont reçu au moins un médicament à l'étude avant la fin de l'intervalle étudié. Aucune association n'a été trouvée entre l'utilisation précoce d'antipaludiques et les manifestations rénales subséquentes. Conclusion : La variation de la définition de cas et de la période de données peut modifier considérablement les estimations d'incidence et de prévalence. Ainsi, tous les paramètres, y compris la période de temps pour laquelle les données sont recueillies, devraient être choisis avec précaution. La majorité des patients incidents atteints de LED montrent des manifestations de LED qui pourraient offrir une confirmation potentielle des cas de LED. Ces informations supplémentaires pourront être utilisées pour des études futures sur les bases de données des services de soins de santé afin de mieux comprendre le LED.
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Metformin use and the incidence of colorectal and lung cancer in patients with type 2 diabetes mellitus

Smiechowski, Brielan January 2012 (has links)
Background: Metformin is an oral hypoglycemic agent (OHA) commonly prescribed in patients with type 2 diabetes (T2DM). In vivo and in vitro studies have suggested that metformin has potential anti-tumour effects and may thus decrease cancer incidence. While observational studies have also suggested similar effects, they had important methodological limitation so that their results need to be confirmed using more rigorous methods.Objective: To assess whether the anti-diabetic medication metformin is associated with a decreased incidence of lung and colorectal cancer in patients with T2DM.Research Design and Methods: Using data from the United Kingdom General Practice Research Database, a large computerized database composed of primary care longitudinal patient records; two population-based cohort studies were conducted, one investigating colorectal cancer incidence in patients with T2DM and the other focused on lung cancer incidence in patients with T2DM. All colorectal or lung cancer cases occurring during follow-up of the cohort (depending on cancer being studied) of all patients with T2DM who had been prescribed at least one OHAs between 1988 and 2009 were identified. For each study, up to 10 randomly selected controls were selected from the cohort within the risk set and matched on age, sex, calendar year of cohort entry, and duration of follow-up. Primary exposure was defined as ever exposure to metformin prior to the risk set follow-up time, as well as in terms of number of metformin prescriptions received to examine the dose-response relationship. Conditional logistic regression was used to estimate adjusted rate ratios (RRs) and corresponding 95% confidence intervals (CIs).Results: The colorectal cancer cohort was comprised of 115,578 users of OHAs, including 607 cases of colorectal cancer and 5837 matched controls. Metformin was not associated with a change in the incidence of colorectal cancer (RR: 0.94; 95% CI: 0.7-1.2). The lung cancer cohort consisted of 115,923 users of OHAs, where 808 cases of lung cancer were matched with 7764 controls. Metformin had no impact on the risk of lung cancer (RR: 0.94; 95% CI: 0.8-1.2). There were also no significant changes observed in incidence of either cancer when examining the number of prescriptions of metformin patients' received. Conclusions: Metformin use is not associated with a decreased colorectal or lung cancer incidence in patients with T2DM. These findings contradict decreased cancer incidence associated with metformin use reported in previous observational studies that did not properly account for time. Keywords: Type 2 Diabetes (T2DM), Oral Hypoglycemic Agents (OHAs), Metformin, Lung Cancer, Colorectal Cancer, United Kingdom General Practice Research Database (GPRD) / Contexte: Metformine est un agent hypoglycémique oral (AHO) couramment prescrit chez les patients avec diabète de type 2 (DNID). In vivo et in vitro ont suggéré que la metformine a un potentiel anti-tumoral effets et donc le potentiel pour diminuer l'incidence du cancer. Alors que les études observationnelles ont également suggéré revendications similaires, ils avaient d'importantes limites méthodologiques afin que leurs résultats doivent être confirmés en utilisant des méthodes plus rigoureuses. Objective: Évaluez si la médication contre le diabète, metformine, est associé avec une diminution du taux d'incidence de cancer des poumons, et colorectal chez les patients avec DNID. Méthodes d'analyse et de conception: En utilisant les données de la base de données du United Kingdom General Practice Research Database (GPRD), une grande base de données informatisée composée de dossiers de soins primaires aux patients longitudinale, deux basées sur la population des études de cohorte ont été menées, l'une d'incidence du cancer colorectal enquêter chez les patients atteints de DNID et l'autre axée sur l'incidence du cancer du poumon chez les patients atteints de DNID. Tous les cas de cancer colorectal ou du poumon survenant au cours du suivi de la cohorte (selon la cohorte du cancer) de tous les patients atteints de DIND qui avaient été prescrits au moins un AHO entre 1988 et 2009 ont été identifiés. Jusqu'à 10 contrôles choisis au hasard ont été choisis au sein de la cohorte des risques fixés et appariés selon l'âge, le sexe, l'année civile de l'entrée dans la cohorte, et la durée du suivi. L'exposition primaire a été définie comme l'exposition à la metformine jamais avant l'ensemble des risques de suivi du temps, ainsi qu'en termes de nombre d'ordonnances a reçu la metformine pour examiner la relation dose-réponse. Une régression logistique conditionnelle a été utilisée pour estimer les rapports de taux ajustés (RRs) et les intervalles de confiance à 95% (IC).Résultats: La cohorte du cancer colorectal été compris de 115 578 utilisateurs des AHO, incluant 607 cas de cancer colorectal et 5837 contrôles jumelées. Metformine n'étais pas associé avec la risque du cancer colorectal (RR: 0.94; 95% IC: 0.7-1.2). De plus, il n'y avait aucune changement significatif observer concernant l'incidence des deux cancers quand le nombre de prescription de metformine et pris en compte. La cohorte se composait de cancer du poumon 115 923 utilisateurs des AHOs, où 808 cas de cancer du poumon ont été appariés à 7764 contrôles. La metformine n'a eu aucune incidence sur le risque de cancer du poumon (RR: 0.94; 95% IC: 0.8-1.2). Il n'y avait aussi pas de changements significatifs observés dans l'incidence du cancer soit lors de l'examen pour le nombre de prescriptions de metformine reçue.Conclusions: L'utilisation de metformine n'est pas associée à une diminution colorectal ou de l'incidence du cancer du poumon chez les patients atteints de DNID. Ces résultats contredisent l'incidence du cancer ont diminué associés à l'utilisation de metformine rapportés dans les études observationnelles précédentes qui n'ont pas correctement en compte le temps.Mots Clés: Diabète de type 2 (DNID), Agent hypoglycémique oral (AHOs), Metformine, Cancer des poumons, Cancer colorectal, United Kingdom General Practice Research Database (GPRD)
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Population prevalence of diabetes: validation of a case definition from health administrative data using a population-based survey and home blood glucose sampling

Leong, Aaron January 2013 (has links)
Background: Previous validation studies of diabetes case definitions from health administrative data are scarce and have not systematically assessed undiagnosed diabetes. We aimed to determine the accuracy of a diabetes case definition (two physician claims or one hospitalization for diabetes, within a two-year period; Canadian National Diabetes Surveillance System, NDSS) using a systematic review of the published literature and by comparing cases identified from the Quebec health services administrative databases to those obtained from self-report, respectively. We also estimated the prevalence of physician-diagnosed diabetes by self-report in a health survey, and undiagnosed diabetes by measuring glucose levels on mailed-in capillary blood samples.Methods: For the systematic review, we searched Medline (from 1950) and Embase (from 1980) databases for relevant validation studies published through August 2012 (keywords: "diabetes mellitus", "administrative databases" and "validation studies"). Reviewers abstracted study data and assessed quality using standardized forms. As there was heterogeneity, a random-effects bivariate regression model was used to pool sensitivity and specificity estimates. To determine the accuracy of the NDSS case definition from the Quebec health services administrative databases, we obtained administrative data on a stratified random sample of 6,247 Quebec individuals (2009) whom we surveyed by telephone to query diabetes status and asked them to mail-in fasting capillary blood samples to a central laboratory for glucose testing. The NDSS case definition was compared with self-reported diabetes alone and with self-reported diabetes and/or elevated glucose level (≥7 mmol/l) for sensitivity, specificity, positive and negative predictive values, and statistical agreement. Population-level prevalence was estimated using the NDSS definition, corrected based on sensitivity and specificity estimates and sampling weights. In addition, we added the Quebec validation study to the meta-analysis and reported the final test properties of the NDSS case definition.Results: The search strategy identified 1423 abstracts among which 11 studies were deemed relevant and reviewed; 6 of these reported sensitivity and specificity allowing pooling in a meta-analysis. Compared to surveys or medical records, sensitivity was 82.3% (95%CI 75.8, 87.4) and specificity was 97.9% (95%CI 96.5, 98.8). NDSS-based diabetes cases obtained from the Quebec health administrative databases compared to self-report revealed a sensitivity of the NDSS case definition of 84.3% (95%CI 79.3, 88.5) and specificity of 97.9% (95%CI 97.4, 98.4). Compared to self-report combined with glucose testing, sensitivity was 58.2% (95%CI 52.2, 64.6) and specificity was 98.7% (95%CI 98.0, 99.3). Adjusted for sampling weights, physician-diagnosed diabetes prevalence in Quebec was 7.2% (95%CI 6.3, 8.0) and total diagnosed and undiagnosed diabetes prevalence was 13.4% (95%CI 11.7, 15.0).Conclusion: Including the Quebec study in an updated meta-analysis of 7 studies, the pooled sensitivity of the NDSS case definition was 82.6% (95%CI 77.1, 87.0) and specificity was 97.9% (95%CI 96.8, 98.6) for physician-diagnosed diabetes. The NDSS case definition is sufficiently accurate for surveillance purposes, in particular monitoring trends over time. The definition however misses approximately one fifth of physician-diagnosed cases and approximately 40% of those diagnosed and undiagnosed; it wrongly identifies diabetes in around 2% of the general population. Individuals with undiagnosed diabetes are likely to have a delay in diabetes treatment which implies a higher risk for diabetes-related complications. Diabetes prevalence estimated from health services administrative databases should be adjusted for the sensitivity and specificity of the case definition to better quantify yearly prevalence changes and account for undiagnosed diabetes. / Contexte: Les études qui valident les cas de diabète identifiés à partir des données administratives sont limitées et n'évaluent pas systématiquement le diabète non diagnostiqué. Nous avons mené une revue systématique pour déterminer la validité d'un algorithme utilisé pour identifier les cas de diabète (deux facturations de médecins ou une hospitalisation pour le diabète, pendant une période de deux ans; Système National de Surveillance du Diabète du Canada, SNSD). Nous avons aussi validé cet algorithme dans les bases de données du Québec en comparaison avec des données obtenues à partir d'une enquête publique. En plus, nous avons estimé la prévalence du diabète diagnostiqué à partir des données d'une enquête publique ainsi que la prévalence du diabète non diagnostiqué à partir du taux de la glycémie mesurée en utilisant des échantillons sanguins envoyés par la poste.Méthodes: Pour la revue systématique, nous avons effectué une recherche dans les bases de données de Medline (de 1950) et Embase (de 1980) pour les études de validation publiées jusqu'en Août 2012 (mots-clés: «diabetes mellitus», «administrative databases» et «validation studies»). Un modèle de régression bi-variée aux effets aléatoires a été utilisé pour regrouper des estimations de sensibilité et de spécificité. Pour la validation de l'algorithme dans les bases de données du Québec, nous avons obtenu des données administratives relatives à un échantillon aléatoire stratifié de 6247 résidents du Québec (2009). Ces individus ont été aussi interrogés au téléphone et ont été invités à envoyer à un laboratoire central des échantillons de sang prélevés à jeun. Les cas de diabète du SNSD ont été comparés avec ceux du diabète auto-déclaré par le patient et avec l'auto-déclaration en conjonction avec une glycémie élevée (≥ 7 mmol/l), respectivement. La sensibilité, spécificité, les valeurs prédictives positives et négatives, et la concordance statistique ont été calculées. La prévalence du diabète dans la population a été estimée en utilisant la définition ajustée en fonction des estimations de la sensibilité et de la spécificité.Résultats: Dans la revue systématique, la stratégie de recherche a identifié 1,423 résumés desquels 11 études de validation ont été choisies pour la revue. Six études ont été regroupées dans une méta-analyse. En comparaison aux données des enquêtes et/ou des dossiers médicaux, la sensibilité était de 82,3% (IC 95%, 75,8, 87,4%) et la spécificité était de 97,9% (IC 95%: 96,5, 98,8%). Pour la validation de la définition dans les banques de données du Québec, la comparaison avec les données obtenues à partir de l'enquête a montré une sensibilité de 84,3% (IC 95%: 79,3, 88,5) et une spécificité de 97,9% (IC 95%: 97,4, 98,4). La comparaison avec les données de l'enquête combinées aux taux de glycémie, a montré une sensibilité beaucoup plus faible de 58,2% (IC 95% 52,2, 64,6) et une spécificité de 98,7% (IC 95%: 98,0, 99,3). Après ajustement pour le poids d'échantillonnage, la prévalence du diabète diagnostiqué était de 7,2% (IC 95% 6,3, 8,0) et la prévalence du diabète diagnostiqué et non-diagnostiqué était de 13,4% (IC 95% 11.7, 15.0).Conclusion: Incluant l'étude du Québec dans une méta-analyse actualisée des 7 études, la sensibilité de la définition de cas de diabète diagnostiqué était de 82,6% (IC 95%, 77.1, 87.0) et la spécificité était de 97,9% (IC 95%: 96,8, 98,6). La définition semble être suffisamment précise pour une surveillance en santé publique, en particulier pour les analyses de tendance. Les personnes non-diagnostiqués sont susceptibles de subir un retard dans le traitement et d'encourir un risque plus élevé pour les complications liées au diabète. La prévalence du diabète estimée à partir des banques de données administrative doit être corrigée pour la sensibilité et la spécificité de la définition afin de mieux quantifier les changements annuels de prévalence et de tenir compte des cas de diabète non diagnostiqués.
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CA 19-9 and the McGill Brisbane Symptom Score: predictors of pancreatic cancer survival

Dumitra, Sinziana January 2013 (has links)
Background: Clinical tools that predict pancreatic adenocarcinoma (PAC) survival to help tailor treatments are lacking. Our surgical group has developed a clinical score, the McGill Brisbane Symptom Score (MBSS) that predicts PAC survival in resectable and non-resectable PAC. CA 19-9, a biomarker used in the diagnosis of PAC, has demonstrated increased potential as a predictor of PAC survival.Objectives: To determine if the Pancreatic Adenocarcinoma Survival Score (PACSS), a combined score of the CA 19-9-to-bilirubin ratio and the MBSS, better predicts survival in patients with resectable pancreatic cancer compared to the MBSS alone. Methods: A retrospective chart review of 122 patients treated at the McGill University Health Center (MUHC) and the University Hospital Zurich (UHZ) was undertaken. For all patients we calculated the MBSS and the PACSS at the time of diagnosis and ascertained the 2-year survival. Results: Both the MBSS and the PACSS were strong predictors of survival with Hazard Ratios (HR) of 2.58 (95%CI 1.35-4.91) and 3.06 (95%CI 1.64 - 5.70), respectively. Adding the patient age and sex, two other variables available at the time of diagnosis did not significantly improve the predictive ability of the models containing either the PACSS or the MBSS. Conclusions: Adding the CA 19-9-to-bilirubin ratio to the MBSS to form the PACSS may improve the predictive ability when compared to the MBSS alone. However the overlap in the 95% confidence intervals does not allow us to conclude that the difference is statistically significant. / Mise en contexte : Il existe peu d'outils cliniques permettant de prédire la survie des patients souffrant d'adénocarcinome du pancréas (ACP). Notre groupe a développé un score clinique, le McGill Brisbane Symptom Score (MBSS) permettant de prédire la survie chez les patients souffrant d'ACP resequable et non resequable. Objectifs Cette étude a pour but de déterminer si un score combinant le ratio Ca 19-9 sur bilirubine et le MBSS soit le the Pancreatic Adenocarcinoma Survival Score (PACSS), prédit mieux le survie chez les patients avec un ACP resequable compare uniquement au MBSS. Méthodes Une revue de dossiers rétrospective chez 122 patients traite au McGill University Health Center (MUHC) et au University Hospital Zurich (UHZ) fut entreprise. Pou tout les patients on a calcule le MBSS et le PACSS au moment du diagnostic et avons déterminé la survie a 2 ans. Résultats Le MBSS est un bon prédicteur de survie avec un (HR) de 2.58 (95%IC 1.35-4.91). Le PACSS fut le plus puissant prédicteur indépendant de survie avec un HR of 3.06 (95%IC 1.64 - 5.70). En ajoutant l'âge et le sexe, le pouvoir prédictif des deux modèles n'est pas amélioré. Conclusions En ajoutant le ratio Ca 19-9 sur bilirubine au MBSS pour former le PACSS peut améliorer le pouvoir prédictif compare au MBSS. Cependant du a une superposition des intervalles de confiance, nous ne pouvons conclure sur la significance statistique de cette différence.

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