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Wilhelm Dilthey und die Entwicklung des geschichtlichen Denkens in Deutschland im ausgehenden 19. Jahrhundert /Thielen, Joachim. January 1900 (has links)
Diss.--Fachbereich III--Universität Trier, 1996. / Bibliogr. p. 488-521. Index.
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Langage et histoire chez Maurice Merleau-PontyBalagué, Laurent Escoubas, Éliane. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris Est : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Les historiens français et la recherche historique allemande de 1865 à 1914Sanfaçon, Gaétan 25 April 2018 (has links)
A partir des années 1860, les historiens français se rendent compte que leur discipline prend du retard face à l'historiographie allemande. Toutefois, c'est l'impact des événements de 1870 qui fait prendre clairement conscience de ce recul. Une question se posait alors: les historiens français allaient-ils se contenter de la deuxième place intellectuelle en Europe? N'allaient-ils pas essayer de redorer le blason de l'historiographie française? Effectivement, à partir de 1871, un mouvement général lance les historiens français à la poursuite de leurs rivaux d'outre-Rhin. C'est pourquoi il nous est apparu intéressant de voir la perception que les historiens français ont eu de la recherche historique allemande de 1865 à 1914. Mais quel allait être le miroir idéal pour réaliser cette étude de perception? Nous avons opté pour la Revue des Questions Historiques et la Revue Historique, les deux premières revues d'histoire spécialisées françaises. Deux revues idéologiquement opposées et qui pourtant devaient refléter les mêmes préoccupations. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Der Wiederholungsprozess und die mythologischen Tatsachen in Shellings Spätphilosophie : eine religionswissenschaftliche Studie unter der Voraussetzung des Verhältnisses der "Weltalter" zu der Abhandlung "Über die Gottheiten von Samothrake /Reinecke, Volker, January 1986 (has links)
Diss. : Philosophie : Berlin : 1985. - Bibliogr. p. 323-328. -
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Récit et société: interprétation et représentation de l'histoire d'après Paul Ricoeur et Max WeberJacob, Louis January 1991 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Une eschatologie humaine à réconcilier par la pratiqueDesmeules, Louis 31 January 2022 (has links)
L'énoncé de principe d'«une eschatologie humaine à réconcilier par la pratique», renvoie à un arrière-fond théorique et critique (Feuerbach, Marx, Marcuse, Bloch) qui, en surgissant, traduit des implications pratiques. L'eschatologie humaine relève de l'utopie concrète parce qu'en appelant à la libération, elle ne peut se soustraire à un présent en marche vers autre chose; et en même temps qu'elle arrache l'utopie à ses limites historiques pour montrer nos anticipations «radicales», elle s'accompagne d'un summum bonum auto-régulateur. L'hypostase prend une fonction précise: l'imagination est au service de l'harmonisation de la vie humaine ici-bas. C'est ce qui se dégage de l'examen de chacun des termes successifs de la thématique.
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Épistémologie, histoire et historiens : considérations conceptuelles, méthodologiques et empiriques autour du discours que les historiens tiennent sur leur savoirNoël, Patrick M. 20 April 2018 (has links)
Devant les récentes – et moins récentes – réflexions sur les liens entre épistémologie – entendue dans son acception restreinte de philosophie des sciences – et histoire qui se penchent à la fois sur l’histoire de l’épistémologie, l’épistémologie de l’histoire et sur la place de l’histoire en épistémologie, soit l’épistémologie historique, cette thèse propose une interrogation sur la place de l’épistémologie en histoire, soit l’épistémo-logie historienne, à savoir au discours (logos) que les historiens tiennent sur leur savoir (épistémè). À la fois ignorée par les adeptes de l’épistémologie historique et les philosophes s’intéressant à l’épistémologie de l’histoire, l’épistémo-logie historienne constitue le véritable angle mort de la réflexion sur la relation entre épistémologie et histoire. Deux objectifs interreliés structurent cette thèse : enrichir la compréhension dialectique entre épistémologie et histoire – l’objectif général – en mettant en lumière le rapport discursif que les historiens entretiennent avec leur savoir, l’épistémologie historienne – l’objectif particulier. Nous ne tentons pas d’élucider nous-mêmes la nature de l’histoire comme savoir disciplinaire, mais d’examiner, à l’enseigne d’une méta-épistémologie de l’histoire, l’élucidation qu’en ont faite, tour à tour, les philosophes, mais surtout les historiens à travers le discours qu’ils tiennent sur leur savoir – leur épistémologie. Notre propos s’articule en trois parties visant à mieux circonscrire les objectifs général et particulier susmentionnés. Elles proposent des esquisses conceptuelles, méthodologiques et empiriques à travers lesquelles, d’une part, nous nous penchons sur la dialectique entre épistémologie et histoire et ce que nous considérons comme son angle mort, l’épistémologie historienne (I) et, d’autre part, nous définissons une méthodologie (II) pour cerner, à travers une étude documentée ancrée dans l’espace québécois, les ressources réflexives des historiens (III). Cette étude du savoir-dire historien vient mettre en cause la représentation traditionnelle et caricaturale de l’historien comme indécrottable empiriste et, de ce fait, la conviction, fortement répandue, que l’historien ne se forme et ne s’affirme que dans l’exécution de son savoir-faire. Nous concluons cette thèse en soulignant l’importance de l’épistémologie historienne dans la socialisation disciplinaire et la place de choix que devrait occupée son étude dans la formation historienne qui ne saurait se réduire à un apprentissage sur le tas. / In conjunction with the recent – and not so recent – reflections on the relation between epistemology – understood here in its restricted meaning of philosophy of sciences – and history that focus on the history of epistemology, the epistemology of history, and the place of history in epistemology or historical epistemology, this thesis proposes to examine the place of epistemology in history or historian epistemology, namely the discourse (logos) that historians hold on their knowledge (episteme). Both ignored by proponents of historical epistemology and by philosophers interested in the epistemology of history, historian epistemology is the blind spot of the reflection on the relation between epistemology and history. Two interrelated objectives structure this thesis: enrich the dialectical understanding between epistemology and history – the general objective – by highlighting the discursive relation that historians have with their knowledge, historian epistemology – the particular objective. We do not attempt ourselves to elucidate the nature of history as disciplinary knowledge, but to examine, under the rubric of a meta-epistemology of history, the elucidation of it made alternately by philosophers, but also and mainly by historians through the discourse they hold on their knowledge – their epistemology. Our argument is divided into three parts in order to better define the general and particular objectives above-mentioned. They offer conceptual, methodological and empirical sketches through which, on the one hand, we examine the dialectic between epistemology and history and what we see as its blind spot, the historian epistemology (I) and, on the other hand, we define a methodology (II) to identify, through a documented study anchored in the Quebec disciplinary field of history, the reflexive resources of historians (III). The study of these resources calls into question the traditional caricatured representation of the historian as a hopeless empiricist and, therefore, the highly prevalent conviction that the historian is formed and asserts himself only by the execution of his know-how. We conclude this thesis by highlighting the importance of historian epistemology in disciplinary socialization and the key place its study should have in the historian training that should not be reduced to a learning-on-the-job process.
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Françoise Collin : La révolution permanente d'une pensée discontinueMontanaro, Mara 29 November 2013 (has links) (PDF)
Résumé Thèse Mara Montanaro. Université Paris Descartes- Université du Salento. Direction de Madame Michela Marzano et Madame Marisa Forcina Françoise Collin. La révolution permanente d'une pensée discontinue (1928-2012) Françoise Collin était écrivaine, féministe, philosophe qui connue surtout dans le monde francophone, n'en a pas moins exercé une influence certaine dans les pays méditerranéens -telle bien sûr l'Italie - mais aussi dans les pays anglophones, ainsi qu'en attestent les hommages qui lui ont été rendus dans Radical Philosophy et Signs. Dans ma thèse, la première sur Françoise Collin, je me suis employée à reconstruire, problématiser et interpréter ses écrits, ses essais, ses articles (qui, pour la plupart ne sont pas traduits en italien) en ayant comme fil rouge le concept de praxis dans l'écriture, dans l'engagement féministe et dans la philosophie. J'ai entrepris de montrer qu'il y a une cohérence dans la discontinuité, une cohérence structurelle. Dans le premier chapitre j'ai analysé comment née à l'écriture par la poésie - ses premiers poèmes ont été publiés dans les années 1960 dans la revue Ecrire, dirigée par Jean Cayrol - elle a écrit ses premiers romans Le Jour fabuleux (1961) et Rose qui peut (1962) au Seuil, pour se consacrer ensuite à la philosophie et publier, chez Gallimard, une étude de l'oeuvre de Maurice Blanchot, Maurice Blanchot et la question de l'écriture, quand Blanchot n'était encore connu que dans un cercle restreint. Ce premier essai consacré à Blanchot en France reste aujourd'hui encore une des monographies de référence sur ce grand auteur du siècle précédent. J'ai donc, dans mon premier chapitre, exploré son rapport à l'écriture comme mouvement perpétuel, les concepts de négation, négativité et négatif, le rapport entre littérature et philosophie. Il y a aussi une digression avec l'oeuvre de Maurice Merleau-Ponty (les concepts de corps en langage), enfin j'ai vu la comparaison que Françoise Collin a fait entre l' "entretien infini" chez Blanchot et "le dialogue pluriel" chez Arendt. Dans le deuxième chapitre j'ai reconstruit la chronologie et la généalogie de son engagement féministe. En 1973, de retour d'un voyage à New York, elle crée et anime la première revue féministe en langue française, Les Cahiers du Grif (Groupe de recherche et d' information féministes). Le premier numéro des Cahiers du Grif paraît en octobre 1973. La revue assume très tôt une dimension internationale dans le monde francophone. J'ai aussi analyse la polysémie des leitmotiv du féminisme : mon corps à moi, le privé est politique, un enfant si je veux quand je veux, le rapport entre insurrection et institution, fondamentale pour comprendre le cheminement de Françoise Collin, je retrace aussi la figure de Simone De Beauvoir telle qu'elle émerge dans les articles de Collin. Enfin j'ai problématisé, interrogé les théories féministes et j'ai reconstruit brièvement l'historie du mouvement féministe en Belgique et en France (MLF). Le troisième chapitre de ma thèse porte sur le rapport intellectuel que Françoise Collin a développé avec l'oeuvre de Hannah Arendt. Dans les années 1980, Françoise Collin a introduit sur la scène philosophique française la lecture de gauche de Hannah Arendt en co-organisant au Collège international de philosophie, le colloque international Ontologie et Politique. En 1999 elle écrit L'homme est-il devenu superflu ? Hannah Arendt. (Odile Jacob). Dans le remarquable entretien qu'elle eut avec Florence Rochefort et Danielle Haase-Dubosc en 2001, elle dit : L'articulation complexe entre poétique et politique est même peut-être le support permanent de ma réflexion. S'il y a tension entre ces deux dimensions de l'expérience humaine, il y a aussi rapport dans la mesure où il ne peut y avoir bouleversement politique (dans les rapports de sexe) sans bouleversement symbolique, lequel n'est pas réductible à la ponctualité de lois ou de mesures sociales. Le changement se cherche mais n'obéit pas au commandement. C'est dans ma réflexion sur l'écriture que j'ai appris ce que je continue à nommer "aller en direction de l'inconnu ". On a voulu donc retracer son itinéraire, un parcours atypique et original, entre écriture et politique, littérature et philosophie, engagement féministe et art. Dans l'oeuvre de Françoise Collin l'idée de praxis introduit et soutient la cohérence incohérente d'un itinéraire de plus de quarante ans de réflexion et d'écriture. C'est une idée qui jette une nouvelle lumière sur les dimensions qui semblent disparates d'un parcours, soit dans ses moments singuliers soit dans ses moments collectifs. Collin, en effet, a forgé le concept de praxis de la différence et à articulé cette idée à celle de différend des sexes dans la mesure où la différence des sexes est un agir, une praxis sans représentation préalable, un acte qui se rejoue en chaque conjointure. On se trouve face à un agir, un faire être sans représentation de sa fin et sans postulat d'une quelconque totalité potentielle. C'est, en effet, dans le sens arendtien que Collin lit la praxis, l'agir, opposé à la fabrication, au poéisis. C'est aussi important de souligner que Collin a voulu que Arendt, une femme dont le pensée a été pour elle cruciale, soit reconnue comme source et ressource de pensée tout court. Le terme le plus apte à décrire le parcours de Collin entre écriture, féminisme et philosophie est peut-être "cheminement", un cheminement en même temps fait de continuité et de déplacements et ouvert à un certain polymorphisme. Comme écrit Rosi Braidotti : Françoise l'inachevée, non pas par manque, mais par excès de talent et d'intensité, car l'écriture, elle, est infinie et à jamais. Elle aura peut-être la dernière d'une génération des femmes, féministes, qui ont effacé les lignes de démarcation entre philosophie, l'écriture littéraire, les arts et la politique, les entraînant tous dans un tourbillon créatif qui dépasse et déplace tous bornes .
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Du corps médical au corps du sujet. Etude historique et philosophique du problème de la subjectivité dans la médecine française moderne et contemporaine.Klein, Alexandre 10 December 2012 (has links) (PDF)
La médecine connaît actuellement en France une crise de ses repères et de ses valeurs conséquente aux bouleversements scientifiques, techniques et sociologiques qu'elle a connue au cours du XXe siècle. Cette thèse vise à explorer les tenants et les aboutissants de cette situation, à partir d'une étude historique et philosophique de l'émergence et du développement de la médecine française moderne puis contemporaine, entendue à la fois comme profession, discours scientifique et pratique sociale. De la formation du corps médical à l'apparition d'un discours autonome des usagers de santé, nous défendons l'idée selon laquelle la genèse et l'évolution du discours médical, depuis le XVIIIe siècle jusqu'à nos jours, repose sur sa capacité à répondre à la question fondatrice des possibilités d'objectivation scientifique et technique de la subjectivité humaine. Ce problème, originairement épistémologique, se révèle au cours de notre généalogie de nature tant philosophique qu'éthique et sociopolitique, nous conduisant finalement à rechercher les outils de problématisation de la crise contemporaine au fondement de la relation médicale moderne. L'étude de la correspondance du médecin des Lumières Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) nous offre finalement un contre-point essentiel pour préciser les conditions de possibilités d'une médecine, que nous souhaitons pour le XXIe siècle, et au sein de laquelle est assuré le respect de l'autonomie et de l'identité propres à l'ensemble des sujets, qu'ils soient soignés ou soignants.
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Comparaison des pratiques algebriques de la Chine et de l'Inde medievalesCharlotte, Pollet 13 November 2012 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail est de montrer la diversité des objets que nous appelons couramment "équations", "polynôme" et "inconnues". Sous ces titres universalisant auxquels s'ajoute une langue mathématique uniformisée, se cachent des modes de raisonnements uniques, des pratiques mathématiques particulières et des objectifs stratégiques différents. Dans le but de souligner cette diversité, notre étude se concentre sur la lecture de deux traités médiévaux : le Yigu yanduan écrit par Li Ye au 13eme siècle et le Bījagaṇitavātamsa écrit par Nārāyana au 14eme siècle. Chacun des traités concerne la construction d'équation. Mon approche se fonde sur des traductions littérales et des analyses de texte empruntant des techniques de la philologie. Nous abordons les textes sous l'angle de leur structure. Il en résulte plusieurs hypothèses.
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