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Robert Joly (1928-2012) : urbaniste, moderne, intellectuel : les nouvelles figures de l'architecture / Robert Joly (1928-2012) : town planner, modern Architect, intellectual Architect : new manners of being an Architect

Schlicklin, Alexandra 24 November 2014 (has links)
La thèse dresse le portrait de Robert Joly (1928-2012), et à travers lui d'une époque de renouvellement des métiers et postures de l'architecte dans les années 1960-1990 en France. Robert Joly traverse les débats majeurs de la profession et y prend souvent une part active voire militante, soit par la construction architecturale, soit par d'autres médias écrits. L'architecte diplômé des Beaux-Arts est aussi urbaniste de formation. Entre 1928 et 1957, il constitue son bagage personnel de références : le sens du territoire, le choix de l''architecture moderne nordique et l'héritage de l'urbanisme français sont les fondements de sa pratique. Entre 1958 et 1969, il explore la place de l'urbanisme dans la pratique architecturale, depuis l'aménagement et la planification territoriale jusqu'à l'intégration urbaine et paysagère des projets. Mais l'architecte construit aussi beaucoup durant cette décennie, arrivant à la fin des années 1960 à la synthèse d'une pratique architecturale complexe, hybride et riche. Ses oeuvres sont orientées dans le sens de modus operandi viables, permettant à la modernité architecturale de perdurer en l'acclimatant à des contextes géographiques, humains et culturels. A partir du milieu des années 1960, il s'interroge avec ceux de sa génération sur le devenir de la modernité en crise, et sur l'évolution des rôles de l'architecte. De nouvelles pratiques s'ouvrent alors, dont l'assistance architecturale et la recherche. L'architecte continue de construire, s'intéressant à l'apport des sciences humaines dans les bâtiments. L'engagement de l'architecte comme intellectuel passe encore par le militantisme politique, et par l'écriture et l'enseignement / The thesis draws up the portrait of Robert Joly (1928-2012), and through him one time of renewal of the trades and postures of the architect in the years 1960-1990 in France. Robert Joly crosses the major debates of the profession and often takes an even militant active part there, either by architectural construction, or by other media. The graduate architect of the Art schools is also town planner of formation. Between 1928 and 1957, it constitutes its personal luggage of references: the taste of the territory, the choice of L '' modern architecture Scandinavian and the heritage of French town planning. Between 1958 and 1969, it explores the place of town planning in practice architectural, since installation and territorial planning until the urban and landscape integration of the projects. But the architect builds also much during this decade, arriving at the end of the years 1960 at the synthesis of an architectural practice complexes, hybrid and rich. Its works are directed in the viable direction of modus operandi, making it possible architectural modernity to continue by acclimatizing it to geographical, human and cultural contexts. From the middle of the years 1960, he wonders with those of his generation on becoming to it modernity in crisis, and about the evolution of the roles of the architect. New practices open then, of which architectural assistance and research. The architect continues to build, being interested in the contribution of the social sciences in the buildings, in link with the claims carried per May 68. The commitment of the architect as intellectual still passes by the political militancy, and the writing and teaching
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L'URBAIN, L'ENVIRONNEMENT ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE EN FRANCE Essai d'analyse – Revue Urbanisme - 1964-2000

RAFFAUD, Fanny 19 December 2003 (has links) (PDF)
Les thématiques du développement durable sont croisées aux interrogations et aux préoccupations de l'urbanisme. Il s'agit d'une part de retranscrire l'évolution des idées concernant l'urbanisme au Xxème siècle et leur rapport avec une approche environnementale et d'autre part de réfléchir sur les métiers de l'urbanisme et sur leurs systèmes de formations. Pour ce faire, le terrain d'investigation et la source principale retenus sont des articles de la revue Urbanisme recensés sur la période 1964/2000. Il est question d'y identifier des éléments pouvant se rapporter à la durabilité et de repérer les interrogations relatives à la définition d'un métier.
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L'urbanisme et le mouvement : discours d'une discipline naissante de 1849 à 1916

Wolff, Pauline 10 1900 (has links)
Ce travail débute par le constat d’apparition récente de la question des ‘transports’ en urbanisme et son remplacement rapide par celle de la ‘mobilité’. Observation étonnante étant donné les liens évidents entre la ville et les ‘transports’ ou la ‘mobilité’ : infrastructures, réseaux, espaces de circulation, déplacements des personnes et des biens, etc. Constat également étonnant à la lecture des auteurs fondateurs de la discipline, dont les écrits démontrent qu’ils abordent tous ces questions. Où était donc passé le transport pendant le XXᵉ siècle pour les urbanistes ? Première piste d’explication, plusieurs auteurs traitent des années 1920-1930 comme d’un moment charnière dans la constitution d’une pensée techniciste, notamment face à la menace automobile. Cette période se soldera par la naissance de l’ingénierie du trafic, à qui est confiée la mission d’adapter la ville à des impératifs de circulation. Cette injonction est sous-tendue par des arguments exprimés dans les termes validés par l’époque et à ce titre, impossible à remettre en cause sans proposition théorique qui correspond aux impératifs épistémologiques. L’urbanisme n’en a-t-il donc pas ? Que dit et comment se positionne l’urbanisme naissant sur ces enjeux, en tant que discipline qui revendique le statut de science dès la deuxième moitié du XIXᵉ siècle ? C’est par l’entrée du ‘mouvement’ — en tant qu’ensemble composé de techniques, de pratiques et de représentations — que ce travail aborde la question, étant donnée la charge culturelle et axiologique associée à la technique, mais aussi celle des concepts de ‘transport’ ou de ‘mobilité’. Et c’est aux discours textuels que ce travail s’intéresse, comme contenant d’expression de la norme et du sens, pour pénétrer l’univers épistémologique du rapport que la discipline entretient avec le mouvement. L’hypothèse de ce travail a d’abord été celle de la place théorique centrale de la question du mouvement dans les propositions de l’urbanisme naissant, qui cherche les objets et les outils qui le forgeront comme science. Ensuite, on soupçonne que les propositions théoriques des urbanistes, ancrées dans un univers de sens constitué sur le temps long, font preuve de trop de prudence et de nuance pour un contexte emprunt de positivisme et de solutions La proposition théorique est testée par l’analyse du discours de dix-sept ‘textes normatifs en urbanisme’ datant de 1849 à 1916 et une étude historiographique parallèle dont on a déduit cinq grands moments de placement du sens situés entre le XVIIᵉ siècle et les années 1930. Il ressort de l’analyse que le mouvement occupe une place centrale dans le discours de l’urbanisme naissant entre les années 1849 et 1916 : les références au mouvement sont omniprésentes dans les textes, elles constituent l’occasion de discussions autant sur les méthodes autant que sur les objets de la science naissante. Des traces des moments de placement du sens sont de plus observables dans les textes à travers les représentations. Ils apparaissent à ce titre comme des témoins de ces sens du mouvement qui fondent beaucoup d’évidences et de normes et qui ne lui permettent pas, dans une certaine mesure, d’exprimer de solution claire et épistémologiquement valables face aux problèmes urbains du début du XXᵉ siècle. / This research started as the result of an observation: a recent appearance of the question of 'transportation' in the context of urban education and its rapid replacement by that of 'mobility'. This is a surprising observation, especially given the obvious links between the city and ‘transportation’ or ‘mobility’ issues: infrastructures, networks, circulation spaces, transport of people and goods, etc. Surprising to a greater degree when reading the founding authors of the discipline; their writings show that they all address these matters. Therefore, I wonder: where did ‘transportation’ go during the 20th century? A preliminary assumption is that the period of 1920 was a pivotal moment in the creation of a technicist thought, especially in the face of the automotive threat. This period will lead to the birth of traffic engineering which is given the task to adapt the city to circulation necessities following theoretical propositions that conform with the epistemological imperatives. Does Urban Planning not have any? As a discipline that longs for a science status since the second half of the 19th century, what does the emerging Urban Planning realm say about ‘transportation’ and where does it stand in this regard? This research tackles the previous question through the concept of ‘movement’, which is understood as technics, practices and representations to avoid the cultural and axiological baggage associated not only with ‘technic’, but also with the concepts of ‘transportation’ or ‘mobility’. Therefore, this work focuses on the textual discourses as being the place where norm and meaning are expressed, the point being to enter the epistemological realm that establishes the relationship between Urban Planning and ‘movement’. The purpose of this research was first, to theoretically position the question of ‘movement’ in the emerging Urban Planning discipline. Second, I suspected that the theoretical propositions of the first ‘urban planners’ where embedded in deep epistemological references about movement. Discourse analysis was used on seventeen ‘normative texts in Urban Planning’ written between 1849 and 1916. In addition, a historiographic study was conducted, through which five moments are revealed. These moments are associated with different meanings of movement between the 17th century and the 1930s. The result of this analysis leads to the fact that ‘movement’ clearly occupies a central place in the Urban Planning discourse between 1849 and 1916 : it prompts discussions about methods as well as the essence of this emergent science. The selected texts also appear like witnesses of the changing meaning of ‘movement’ through traces of former identified moments. To some extent, the analysis also concludes that Urban Planning does not convey a clear and epistemologically valid solution to the 20th century’s urban problems : early urban planners have proved to be very prudent and full of nuances in a positivist and technicist context. This constitutes a clue as to why the planning propositions could not compete with the traffic engineering solutions.

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