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De Woodstock à Manseau : manifestations musicales et contre-culture aux États-Unis et au Québec, (1967-1970)

Houde, Dominic January 2014 (has links)
Ce mémoire porte sur l’influence et l’intégration de la contre-culture américaine des années 1960 et 1970 au Québec, en particulier les manifestations musicales. À partir de 1967, une série de festivals de musique pop sont organisés aux États-Unis culminant en août 1969 avec le festival de Woodstock. Un an plus tard, profitant du succès des festivals pop aux États-Unis, des promoteurs québécois se lancent dans l’organisation du premier festival pop au Québec : le festival de Manseau, le pendant québécois du Woodstock américain. Le festival de Manseau sera un échec lamentable sur plusieurs points de vue. On peut avancer plusieurs explications pour comprendre l’échec du festival : mauvaise presse, laisser-aller du gouvernement québécois, absence d’artistes de qualité, organisation douteuse, etc. À notre avis, bien que ces raisons doivent effectivement être prises en compte pour expliquer l’échec de Manseau, il semble important de prendre en considération d’autres raisons, moins évidentes, mais ancrées plus profondément dans la société québécoise et révélant les limites de l’influence de la contre-culture américaine musicale au Québec : la contre-culture d’influence américaine était bel et bien présente au Québec au moment de l’organisation de Manseau, mais le Québec, en raison de sa langue et de son nationalisme, a eu de la difficulté à reproduire l’expérience américaine du festival de Woodstock comme s’il existait dans la province une contre-culture spécifique dans la contre-culture nord-américaine, voire occidentale.
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De Woodstock à Manseau : manifestations musicales et contre-culture aux États-Unis et au Québec, (1967-1970)

Houde, Dominic January 2014 (has links)
Ce mémoire porte sur l’influence et l’intégration de la contre-culture américaine des années 1960 et 1970 au Québec, en particulier les manifestations musicales. À partir de 1967, une série de festivals de musique pop sont organisés aux États-Unis culminant en août 1969 avec le festival de Woodstock. Un an plus tard, profitant du succès des festivals pop aux États-Unis, des promoteurs québécois se lancent dans l’organisation du premier festival pop au Québec : le festival de Manseau, le pendant québécois du Woodstock américain. Le festival de Manseau sera un échec lamentable sur plusieurs points de vue. On peut avancer plusieurs explications pour comprendre l’échec du festival : mauvaise presse, laisser-aller du gouvernement québécois, absence d’artistes de qualité, organisation douteuse, etc. À notre avis, bien que ces raisons doivent effectivement être prises en compte pour expliquer l’échec de Manseau, il semble important de prendre en considération d’autres raisons, moins évidentes, mais ancrées plus profondément dans la société québécoise et révélant les limites de l’influence de la contre-culture américaine musicale au Québec : la contre-culture d’influence américaine était bel et bien présente au Québec au moment de l’organisation de Manseau, mais le Québec, en raison de sa langue et de son nationalisme, a eu de la difficulté à reproduire l’expérience américaine du festival de Woodstock comme s’il existait dans la province une contre-culture spécifique dans la contre-culture nord-américaine, voire occidentale.
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« The fight for the minds of men » : le Committee on Public Information et son exportation dans le monde (1917-1919)

Guy, Frédéric 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise examine la création aux États-Unis du Committee on Public Information (CPI) et son implantation en Europe, et analyse la relation qui s’établit entre son directeur, George Creel, et le président Woodrow Wilson. Les archives mobilisées pour cette recherche sont des lettres et documents, datés de 1916 à 1920, issus des Woodrow Wilson Papers déposés à la Library of Congress de Washington. Au moment de l’entrée en guerre des États-Unis en avril 1917, le gouvernement — suivant un courant de pensée émergeant au XIXe siècle sur le pouvoir de l’opinion publique — prend conscience de l’importance de maintenir un engouement pour la guerre auprès de sa population, ce qui mène à la création du CPI. Ce comité de « propagande » n’a pas originellement vocation à déborder des frontières américaines. Ce n’est qu’après la révolution en Russie à l’automne 1917 et face à la peur de voir cet allié sortir de la guerre que prend forme l’idée d’exporter les valeurs démocratiques américaines et les idées wilsoniennes dans le monde afin de gardées mobilisées les populations alliées et préparer le terrain pour l’après-guerre. Loin de se restreindre à la Russie, le comité étend son travail aux autres pays de l’Entente et aux neutres, avec comme objectif d’atteindre éventuellement les populations des empires centraux. L’analyse des échangés entre le président et George Creel met en lumière la collaboration étroite entre les deux hommes et la relation d’interdépendance qui s’établit entre eux au cours de la guerre. Le CPI trouve dans le président un soutien précieux afin d’affirmer son autorité et ainsi atteindre un plus grand public, malgré les critiques acerbes provenant du personnel diplomatique en poste à l’étranger et méfiant quant aux objectifs et méthodes du comité. Inversement, le Président bénéficie d’une organisation dédiée à mettre en valeur ses idéaux en Amérique et dans le monde. Ce mémoire est la première recherche qui examine de façon globale l’œuvre du CPI sur le continent européen. / This master's thesis examines the creation in the United States of the Committee on Public Information (CPI) and its deployment in Europe, and analyzes the relationship that developed between its director, George Creel, and President Woodrow Wilson. The archives used for this research are letters and documents, dated from 1916 to 1920, from the Woodrow Wilson Papers in the Library of Congress in Washington. Upon the entry of the United States into the war in April 1917, the government - following a trend of thought emerging in the nineteenth century on the power of public opinion - became aware of the importance of maintaining enthusiasm for the war among its population, which led to the creation of the CPI. This "propaganda" committee was not originally intended to extend beyond American borders. It was only after the revolution in Russia in the fall of 1917 and the fear of seeing this ally leave the war that the idea of exporting American democratic values and Wilsonian ideas around the world took shape in order to keep the allied populations mobilized and prepare the ground for the post-war period. Far from restricting itself to Russia, the committee extended its work to other Entente countries and neutrals, with the aim of eventually reaching the populations of the central empires. An analysis of the exchanges between the President and George Creel highlights the close collaboration between the two men and the interdependence that developed between them during the war. The CPI found in the President a valuable support in order to assert its authority and thus reach a wider public, despite the sharp criticism coming from the diplomatic personnel posted abroad who was suspicious of the committee's objectives and methods. In return, the President benefits from an organization dedicated to showcasing his ideals in the United States and around the world. This dissertation is the first research to examine the work of the CPI on the European continent globally.
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L' "image de l'ennemi" : le débat public sur l'URSS aux États-Unis dans les dernières années de la Guerre Froide, 1984-1989 / The "enemy image" : the public debate about the USSR in the United States during the last years of the Cold War, 1984-1989

Maillet, Jacob 14 December 2015 (has links)
La Guerre Froide domine l'histoire de la seconde moitié du vingtième siècle, et sa conclusion demeure source de débats aujourd'hui, le triomphalisme des conservateurs étant souvent remis en cause par les tensions avec la Russie. Au cœur du conflit se trouvait la perception pour les Américains d'une menace basée sur l'idéologie et la puissance militaire de l'Union soviétique. Mais cette « image de l'ennemi » resta fondée sur de nombreuses erreurs d'interprétation des données disponibles. En fait, l'étude des dernières années de la Guerre Froide révèle que cette image déformée des capacités et des motivations de l'ennemi a acquis des fonctions internes au paysage politique américain. Le débat public, souvent dominé par les personnalités anticommunistes, montre que la perception du conflit par les Américains dépendit longtemps de représentations ancrées dans l'imaginaire collectif. Or, l'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985 va rapidement permettre de remettre en question ces représentations. Entre 1984 et 1989, la volonté de Ronald Reagan, puis de Mikhaïl Gorbatchev, d'apaiser les tensions à la source de la Guerre Froide, va donc signifier une déconstruction de l'image de l'ennemi et une ré-humanisation progressive des Soviétiques. En cinq ans, l'Union soviétique cessera d'être un « empire du mal » pour devenir « juste une autre grande puissance ». En étudiant cette évolution, on peut discerner l'origine et les fonctions de l'image de l'ennemi, et donc voir comment la perception des ennemis peut être influencée ou instrumentalisée. La fin de la Guerre Froide nous renseigne ainsi sur la construction de nos ennemis d'aujourd'hui. / The Cold War looms large over the history of the second half of the 20th century, and its conclusion remains a source of debates to this day, while renewed tensions with Russia may lead us to question the triumphalism of hawks after the collapse of the Soviet Union.At the heart of the conflict was the perception by Americans of a threat based on the ideology and the military power of the Soviet Union. But this « enemy image » was based on many faulty interpretations of the available data.In fact, the study of the last years of the Cold War reveals that this twisted image of the capabilities and intentions of the enemy had acquired internal functions of its own on the American political scene. The public debate, often dominated by anticommunist figures, shows that the perception of the conflict by Americans long rested on preconceptions deeply embedded in the collective imagination. However, the rise to power of Mikhail Gorbachev in 1985 would lead to a thaw in the Cold War : the enemy image was deconstructed and the Soviets progressively became more human in the eyes of Americans. In five years, the Soviet Union ceased being an « evil empire » to become « just another great power ». By studying this evolution, one can determine the origins and functions of the enemy image, et thus understand how the perception of enemies can be influenced or used. The end of the Cold War thus allows us to better understand the construction of today's enemies.

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