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Le National Geographic, fenêtre sur le monde, fenêtre sur les États-Unis / The National Geographic, a window to the world, a window on the United States

Sulaiman, Sulaiman 07 February 2014 (has links)
Cette thèse explore la vision du reste du monde que le National Geographic Magazine transmet aux Américains depuis 125 ans. Après avoir abordé les origines et l’évolution du magazine, la recherche se concentre sur le traitement par le magazine de certains sujets emblématiques de la manière dont le magazine rend compte des cultures étrangères, la culture des Indiens des États-Unis, celle des quasi-colonies américaines (Cuba et les Philippines), et les mondes exotiques que sont l’Afrique et l’Orient. Si le magazine montre une grande adaptabilité et épouse les changements de paradigmes culturels, une étude attentive de tous les articles consacrés à ces sujets montre deux invariants : la politique officielle des États-Unis n’est jamais critiquée (quand le magazine n’est pas d’accord, il se tait), et, s’ils sont périodiquement recyclés, les stéréotypes utilisés pour rendre compte des cultures étrangères restent fondés sur une vision ethnocentrique reposant sur l’attrait de l’exotisme, le puritanisme, et l’attachement à l’American Way of Life comme incarnation du rêve américain. / The dissertation explores the vision of the rest of the world that Americans have been exposed to for 125 years by the National Geographic Magazine. After discussing the origins and development of the magazine, the research focuses on the treatment of specific subjects that are illustrative of the magazine’s approach of US domestic cultures (Native Americans), America’s quasi-colonies (Cuba and the Philippines), and the exotic worlds of Africa and the Orient. While the magazines shows a great adaptability and espouses the changes of cultural paradigms, a close study of all the articles on these topics across the period shows two invariants: the official US policy is never questioned (when the magazine disagrees, it remains silent), and, while periodically recycled, the stereotypes developed to give an account of foreign cultures remain based on three aspects of an ethnocentric vision based on the allurements of exoticism, Puritanism, and devotion to the American Way of Life as the embodiment of the American Dream.
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La représentation de la famille dans les family sitcoms américaines depuis les années 1950 / The Representation of the Family in American Family Sitcoms from the 1950s

Blot, Aurélie 26 November 2011 (has links)
« Plus ça change et plus c’est la même chose » tel est le proverbe qui nous vient à l’esprit lorsque l’on procède à l’étude de la représentation de la famille dans les family sitcoms depuis 1950. Cette expression illustre les tensions que soulève notre thèse, à savoir d’une part la volonté du médium télévisuel en tant que vecteur de l’immédiateté de retranscrire à l’écran l’évolution sociopolitique de la société, et d’autre part la stagnation du support télévisuel engendrée par une norme structurelle et thématique du genre de par l’hégémonie de la famille patriarcale traditionnelle couplée à la circularité de la structure qui en empêche l’évolution. Nous nous proposons ici de mettre en lumière le lien qui unit le modèle de la famille traditionnelle au genre de la sitcom et d’en analyser les évolutions, soit de l’un en fonction de l’autre dans un contexte sociopolitique en pleine mutation.Aussi, dans une perspective sémio-socioculturelle, nous examinerons la famille en tant qu’identité sociale dans un contexte donné, la société américaine de 1950 à 2004, mais également en tant que représentation télévisuelle, la construction de la famille au cœur de la sitcom étant avant tout une mise en scène. / « Plus ça change et plus c’est la même chose ». This French phrase could epitomize the study of the representation of the family in American family sitcoms from the 1950s.In fact, it shows the tensions between the function of television as the medium of immediacy, broadcasting images of the social and political evolution of society, and the stagnation of the sitcom as a genre caused by the norm of its circular structure and its overrepresentation of the traditional nuclear family. In this study, we will analyze the binding connection between the traditionnal family pattern and the sitcom, and we will show their mutual evolutions into a changing society.Thus, in a semiotic and sociocultural perspective, we’ll see the family as a social identity into the American society from 1950 to 2004, and also as a TV representation since the family pattern in the sitcom is a production above all.
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"'Am I Black Enough for You ?' Basket-ball, médias et culture afro-américaine aux États-Unis (1950-2015)" / "'Am I Black Enough for You? Basketball, Media, and Afro-American Culture in the US (1950-2015)"

Descamps, Yann 04 December 2015 (has links)
Fait interculturel et transmédiatique mondialisé, le basket-ball reste toutefois lié à une identité pré-supposée afro-américaine, malgré son américanité de naissance et d’essence. Qu’est-ce qui réside derrière cette acculturation à rebours par une minorité d’un sport de la majorité ? En quoi l’afro-américanité du basket-ball est-elle un construit politique, culturel et social ? Quel rôle les médias jouent-ils dans la représentation de ce lien établi entre culture afro-américaine et basket-ball ? Et dans quelle mesure ce lien se retrouve-t-il dans les autres éléments de la culture populaire afro-américaine ?Cette démarche fait appel à différentes disciplines, de l’histoire culturelle aux études médiatiques, en passant par la sémiologie. Elle s’appuie sur un corpus complexe comportant principalement une étude de terrain, des analyses des commentaires de matchs, des documentaires sportifs et des productions audiovisuelles (films, séries TV, musique). Elle vise à exposer le dispositif de storytelling de la NBA, ainsi que la mise en images, en paroles et en musique de l’afro-américanité du basket-ball.La recherche met en évidences diverses phases dans l’évolution du sport, du Politique au Corporate en passant par le Symbolique, avec une récente phase Progressiste de retour du politique. L’analyse des commentaires des Finales NBA révèle la représentation de l’athlète noir à travers le prisme des médias. Mêlée au storytelling, la question raciale donne lieu à une mythologie sportive américaine où se joue le rapport à l’autre par le biais de la performance sportive et raciale des athlètes. L’étude des productions de la culture populaire fait émerger l’importance visuelle du corps de l’athlète noir et la figure du Basketteur noir dans l’imaginaire collectif américain. Le processus d’acculturation et d’appropriation culturelle se révèle ainsi partiellement à l’initiative de la communauté afro-américaine mais les médias et la culture populaire qu’ils véhiculent jouent un rôle essentiel dans le cadrage de la figure du Basketteur noir dans le grand récit du vivre-ensemble américain. / As a global cultural phenomenon, basketball is portrayed as a “black” sport, in spite of its origins in Mainstream America. What lies behind this acculturation in reverse, whereby a minority appropriates a sport of the majority? In what sense is the Afro-Americanness of basketball a political, cultural and social construct? What role do the media play in the representation of this link established between Afro-American culture and basketball? And to what extent does this link find itself reflected in the other elements of the Afro-American popular culture? The research methodology calls on various disciplines, from cultural history to media studies, including semiology. It relies on a complex corpus that includes ethnographic observation, the analyses of the comments of NBA matches, documentaries as well as audiovisual productions (movies, TV series, music). It aims at revealing the storytelling constructed by the NBA, as well as the representing in words and music of the Afro-Americanness of the basketball.The research highlights several phases in the evolution of the sport, from Political to Symbolic to Corporate with a recent Progressive phase of return to politics. The analysis of the comments of the Finales NBA reveals the representation of the black athlete through the media prism. Mixed with this storytelling, the issue of race is elaborated within an American sports mythology where the relation to the Other is mediated by the athletic and racial performance of the players. The study of popular culture underlines the visual importance of the black body and the figure of the Black Baller. The process of acculturation and cultural appropriation is thus partially related to the initiative of the Afro-American community but the media and the popular culture they convey play an essential role in the framing of the black Basketball player within the narrative of American togetherness.
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Malaise masculin, grotesque et adaptation filmique dans le cinéma américain des années soixante-dix / Masculine Malaise, the Grotesque, and American Film Adaptations of the Seventies

Mullen, Elizabeth 12 September 2013 (has links)
L'Amérique est une nation masculine, et ce depuis ses origines. Partie intégrante de l'identité américaine, le mythe du self-made man se trouve toutefois en contradiction avec une réalité plus contrastée, ce qui provoque une certain sentiment de malaise chez l'homo americanus. Dans la littérature et le cinéma américains, ce malaise masculin s'exprime en partie par le biais de l'esthétique grotesque. Entre 1969 et 1980, l'industrie du cinéma américain connaît de profonds changements. À la même époque, le pays vit une série de bouleversements politiques et sociaux, liés à la lutte pour les droits civiques des Noirs, des femmes et des homosexuels et aux scandales qui ébranlent les institutions américaines à cette période. La production et la réception d'un certain nombre de films controversés à l'époque reflètent l'instabilité de l'hégémonie masculine blanche et hétérosexuelle. Celle-ci est mise en question à travers une série de tropes liés au grotesque : le corps difforme et pénétrable, sexualité et violence, religion et folie. A travers les prismes multiples de la civilisation américaine et des études culturelles, des études de genre (gender), la littérature et le cinéma, la présente étude tente d'explorer l'articulation entre cinéma d'adaptation, malaise masculin et grotesque aux États-Unis dans les années soixante-dix à travers six adaptations filmiques. / From its very beginnings, America has been a masculine nation, built on the myth of the "Self-Made Man. "This hegemonic position is often in contradiction with a far more nuanced reality, resulting in feelings of malaise among white heterosexual American males. Throughout the history of American literature and film, this malaise has been expressed in part via the aesthetics of the grotesque. During the period between 1969and 1980, changes in the film industry, coupled with the social and political upheaval of the sixties and seventies, led to the production of a series of controversial films which reflected the instability of hegemonic masculinity at the time. The choices involved in the production of these films and the way they were received by the American public reflect an intense feeling of masculine malaise, linked to the undermining of an American "masculine mystique." In the films studied, hegemonic masculinity is called into question via a number of tropes, including the grotesque and penetrable body, sexuality, violence, madness and religion. Through the multiple prisms of culture studies, gender, literature and film, this study attempts to examine the links between a generalized feeling of masculine malaise in the seventies and the aesthetics of the grotesque in six film adaptations produced between 1969 and 1980.
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L' "image de l'ennemi" : le débat public sur l'URSS aux États-Unis dans les dernières années de la Guerre Froide, 1984-1989 / The "enemy image" : the public debate about the USSR in the United States during the last years of the Cold War, 1984-1989

Maillet, Jacob 14 December 2015 (has links)
La Guerre Froide domine l'histoire de la seconde moitié du vingtième siècle, et sa conclusion demeure source de débats aujourd'hui, le triomphalisme des conservateurs étant souvent remis en cause par les tensions avec la Russie. Au cœur du conflit se trouvait la perception pour les Américains d'une menace basée sur l'idéologie et la puissance militaire de l'Union soviétique. Mais cette « image de l'ennemi » resta fondée sur de nombreuses erreurs d'interprétation des données disponibles. En fait, l'étude des dernières années de la Guerre Froide révèle que cette image déformée des capacités et des motivations de l'ennemi a acquis des fonctions internes au paysage politique américain. Le débat public, souvent dominé par les personnalités anticommunistes, montre que la perception du conflit par les Américains dépendit longtemps de représentations ancrées dans l'imaginaire collectif. Or, l'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985 va rapidement permettre de remettre en question ces représentations. Entre 1984 et 1989, la volonté de Ronald Reagan, puis de Mikhaïl Gorbatchev, d'apaiser les tensions à la source de la Guerre Froide, va donc signifier une déconstruction de l'image de l'ennemi et une ré-humanisation progressive des Soviétiques. En cinq ans, l'Union soviétique cessera d'être un « empire du mal » pour devenir « juste une autre grande puissance ». En étudiant cette évolution, on peut discerner l'origine et les fonctions de l'image de l'ennemi, et donc voir comment la perception des ennemis peut être influencée ou instrumentalisée. La fin de la Guerre Froide nous renseigne ainsi sur la construction de nos ennemis d'aujourd'hui. / The Cold War looms large over the history of the second half of the 20th century, and its conclusion remains a source of debates to this day, while renewed tensions with Russia may lead us to question the triumphalism of hawks after the collapse of the Soviet Union.At the heart of the conflict was the perception by Americans of a threat based on the ideology and the military power of the Soviet Union. But this « enemy image » was based on many faulty interpretations of the available data.In fact, the study of the last years of the Cold War reveals that this twisted image of the capabilities and intentions of the enemy had acquired internal functions of its own on the American political scene. The public debate, often dominated by anticommunist figures, shows that the perception of the conflict by Americans long rested on preconceptions deeply embedded in the collective imagination. However, the rise to power of Mikhail Gorbachev in 1985 would lead to a thaw in the Cold War : the enemy image was deconstructed and the Soviets progressively became more human in the eyes of Americans. In five years, the Soviet Union ceased being an « evil empire » to become « just another great power ». By studying this evolution, one can determine the origins and functions of the enemy image, et thus understand how the perception of enemies can be influenced or used. The end of the Cold War thus allows us to better understand the construction of today's enemies.
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Malaise masculin, grotesque et adaptation filmique dans le cinéma américain des années soixante-dix

Mullen, Elizabeth 12 September 2013 (has links) (PDF)
L'Amérique est une nation masculine, et ce depuis ses origines. Partie intégrante de l'identité américaine, le mythe du self-made man se trouve toutefois en contradiction avec une réalité plus contrastée, ce qui provoque une certain sentiment de malaise chez l'homo americanus. Dans la littérature et le cinéma américains, ce malaise masculin s'exprime en partie par le biais de l'esthétique grotesque. Entre 1969 et 1980, l'industrie du cinéma américain connaît de profonds changements. À la même époque, le pays vit une série de bouleversements politiques et sociaux, liés à la lutte pour les droits civiques des Noirs, des femmes et des homosexuels et aux scandales qui ébranlent les institutions américaines à cette période. La production et la réception d'un certain nombre de films controversés à l'époque reflètent l'instabilité de l'hégémonie masculine blanche et hétérosexuelle. Celle-ci est mise en question à travers une série de tropes liés au grotesque : le corps difforme et pénétrable, sexualité et violence, religion et folie. A travers les prismes multiples de la civilisation américaine et des études culturelles, des études de genre (gender), la littérature et le cinéma, la présente étude tente d'explorer l'articulation entre cinéma d'adaptation, malaise masculin et grotesque aux États-Unis dans les années soixante-dix à travers six adaptations filmiques.
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Le Monde et les États-Unis de 1944 à nos jours / The newspaper Le Monde and the United States since 1944

Laroche, Loïc 10 February 2018 (has links)
Le journal «Le Monde est un témoin voire un acteur de la vie de la République et de ses relations avec ses partenaires étrangers, à commencer par le plus important et le plus influent d’entre eux : les États-Unis d’Amérique. Cette thèse analyse d’une part l’image de ce pays dans les articles du «Monde». Elle s’intéresse à la place consacrée aux États-Unis, à leur relation avec le reste du monde, à leur image économique et à leur niveau de développement, à la description de leur société et de leur peuple, à l’image de leur système démocratique et enfin à l’image de leur puissance. Cette thèse étudie d’autre part la relation entre les États-Unis et la rédaction du «Monde» au sens large, c’est-à-dire journalistes et direction, durant les soixante-dix années écoulées depuis sa création, au fil des administrations présidentielles américaines. Elle montre comment les directeurs successifs et les principaux rédacteurs concernés connaissent et apprécient ce pays, comment est réalisée la couverture de l’Amérique par le journal. Elle étudie les rapports entre la rédaction du «Monde» et les autorités américaines, comment celles-ci accueillent, informent, essaient d’influencer ouvertement ou non le journal et ses équipes. Au delà, elle montre comment la direction du «Monde» s’inspire des États-Unis et de leur presse. Elle étudie enfin la ligne éditoriale du journal sur les États-Unis. Trois grandes périodes se dessinent, la première correspond à la direction d’Hubert Beuve-Méry qui marque durablement le journal de son souci d’indépendance matérielle et éditoriale. Ses successeurs essaient de maintenir son héritage tandis que l’Amérique divise la rédaction. Après la chute du mur de Berlin, une nouvelle génération, moderne, transforme le regard du journal sur l’Amérique, alors que le numérique révolutionne les médias. / The newspaper «Le Monde» gives testimony, and is almost an actor, of the French Republic and its relations to foreign partners, the most important and influential of which is the United States of America. On one hand we will look into the image given by this country throughout « Le Monde »’s articles. We will consider how the United States are being covered, the way they relate to the rest of the world, the way their economy is valued, their level of development, the description of their society and their people, the image given by their democracy and their power. On the other hand we will watch the acquaintances between the United States and « Le Monde »’s editorial staff in a broad way, that is journalists and directors, from its foundation along the seventy following years and the various US administrations, which will show how the successive directors of the newspaper and the main journalists have had a genuine knowledge and esteem for this country. We will also learn the way America is covered through the designing of the newspaper. We will see how the editorial staff and the american authorities intermate, the way the latter greet and convey informations in an attempt to influence, openly or not, «Le Monde»’s protagonists ans beyond this, how the directors of the newspaper are inspired by the United States and the american press. Last but not least, we will look into the editorial line «Le Monde» choses to refer to the United States. Three major periods will emerge, the first one of which corresponds to Hubert Beuve-Méry’s management with a longlasting concern ever since for financial and editorial independance. His successors will try to keep on with his heritage while America is dividing the editorial staff. After the fall of the Berlin wall the new generation will modify the vision « Le Monde » had of America whereas the digital technologies start revolutionizing the media.

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