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L'influence des mesures contenues dans le National Voter Registration Act sur le taux d'enregistrement et le taux de participation aux élections américains de 1980 à 2004

Côté, Jean-Guy January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'influence des mesures contenues dans le National Voter Registration Act sur le taux d'enregistrement et le taux de participation aux élections américains de 1980 à 2004

Côté, Jean-Guy January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le superhéros dans le cinéma étatsunien : approche générique et mythologique

Royer, Guillaume 12 1900 (has links)
Ce mémoire explore la construction d’un discours mythologique à travers les films de superhéros, dont la production a explosé après les évènements du 11 septembre 2001. La perspective généalogique proposée retrace la figure du superhéros dans les comics des années 1900 pour en suivre l’évolution jusqu’à aujourd’hui dans le cinéma hollywoodien. On montrera comment les évènements du 11 septembre 2001 ont été déterminants dans la production de ce type de films, dont on dégagera les principales caractéristiques : un contenu fortement mythologique, prenant appui sur le mal absolu, et une fonction idéologique, axée principalement sur celle de cohésion sociale. Une étude de cas à partir de Batman relèvera la teneur mythologique et les idéologies présentes dans quatre films, réalisés entre 1943 et 2012. Les écrits de Gérard Bouchard sur le mythe social, ainsi que les thèses de Robert Jewett et John Shelton Lawrence sur le monomythe américain, serviront d’appuis théoriques et critiques à la démonstration de la prégnance de ce type de film dans l’imaginaire cinématographique étatsunien depuis 2001. / This essay examines the construction of a mythological discourse by analyzing superhero movies, a genre whose popularity exploded after the terrorist attacks of September 11, 2001. This essay traces back the origins of the superhero figure through the history of the comic book medium in the 20th century all the way to contemporary Hollywood cinema. We will demonstrate how the terrorist attacks have been central to the production of this type of movie, of which we will examine the most important characteristics: a strongly mythological content, supported by a representation of absolute evil, and an ideological function, mainly based on the principle of social cohesion. A case study on the character of Batman will be able to show the mythological content and the ideologies present in four movies, produced between 1943 and 2012. The writings of Gérard Bouchard on the social myth as well as the theories of Robert Jewett and John Shelton Lawrence on the American monomyth will be used to demonstrate the importance of this type of movie in the American culture since 2001.
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La Dialectique du néolibéralisme aux États-Unis : aux origines de « révolution conservatrice » et de la crise financière de 2008 / The Dialectics of Neoliberalism in the United States : from the Origins of the "Conservative Revolution" to the 2008 Financial Crisis

Smith, Bradley 23 November 2015 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’étudier les transformations économiques, sociales, politiques et idéologiques qui caractérisent le développement du néolibéralisme aux États-Unis, depuis l’essor du mouvement conservateur qui porta Ronald Reagan au pouvoir en 1980 jusqu’à la crise financière de 2008. Par néolibéralisme, on entend une idéologie qui postule la supériorité des forces du marché et du secteur privé sur l’intervention de l’État, un ensemble de politiques qui visent à libérer ces forces des entraves étatiques, et un mode de gouvernance qui s’inspire de la gestion des entreprises privées. À la lecture des nombreux ouvrages consacrés au néolibéralisme, on peut constater un morcellement des connaissances sur certains aspects particuliers du sujet, telles que ses dimensions idéologique, politique ou internationale ; il manque des études qui tentent de concevoir le néolibéralisme à la fois dans sa globalité et dans la spécificité de son développement aux États-Unis. Il nous est paru que la méthode dite « progressive-régressive » de Jean-Paul Sartre permettrait de faire la synthèse qui manque à la littérature actuelle. Bien que Sartre ait développé cette méthode dialectique à l’attention des chercheurs en sciences humaines et sociales, ce cadre épistémologique cherche encore ses adeptes. En l’appliquant au néolibéralisme américain, nous espérons donc contribuer non seulement à la connaissance d’un grand sujet d’actualité, mais aussi au développement des méthodes de recherche dans le champ des études civilisationnistes. / This dissertation aims to study the economic, social, political and ideological transformations that have characterized the development of neoliberalism in the United States, from the rise of the conservative movement that brought Ronald Reagan to power in 1980 to the financial crisis of 2008. Neoliberalism can be defined as an ideology that claims the free market and the private sector to be superior to government intervention, as a package of economic policies that aim to liberate market forces from government constraints, and as a mode of governance based on corporate management practices. Although many studies have been published on neoliberalism, each of them tends to focus on a limited dimension of the subject, such as its ideological, political, or international dimension. Given this fragmentation, there is a lack of studies that attempt to understand the specific development of neoliberalism in the United States from a holistic point of view. In order to achieve this goal, Jean-Paul Sartre’s “progressive-regressive” method appears to be an effective approach. While Sartre developed this method as an epistemological tool for the humanities, few researchers have attempted to make use of it. By applying it to the study of American neoliberalism, this dissertation hopes to contribute not only to the knowledge a topical subject, but also to the development of new research methods in the field of civilizational studies.
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L'américanisation de la souveraineté : études sur la pensée politique de James Madison / The americanization of sovereignty : the political thought of James Madison

Sililo, Thando 15 November 2017 (has links)
L'émancipation de la pensée politique américaine de ses sources européennes était un processus à plusieurs facettes. Au cœur de ce processus d'émancipation intellectuelle des jeunes États-Unis était la notion de la souveraineté, qui doit être selon l'historien Gordon Wood considérée comme l'abstraction la plus important de la politique dans l'ère révolutionnaire. Un des contributeurs les plus important au débat sur la notion de la souveraineté était James Madison (1751-1836), surtout connu comme le père de la constitution américaine, comme l'auteur du Fédéraliste avec Hamilton et Jay et comme le quatrième Président des États-Unis. La thèse cherche à reconstituer la contribution de Madison à l'américanisation de la souveraineté en s'appuyant sur ses propres discours et écrits. Les analyses montrent qu'il proposait notamment une souveraineté à double face : quant à la dimension intérieure, il défendait l'idée d'une souveraineté limitée, qui s’avérerait dans sa forme spécifique comme une particularité : le constitutionnalisme américaine. Quant à la politique extérieure, il concevait en revanche une souveraineté plutôt illimitée et en plein extension, qui se développait au cours de sa carrière petit à petit à une conception largement en accord avec les postulats du système westphalien des États européennes. Pour éclairer les implications politiques pratiques de ce raisonnement, on peut formuler un « théorème de Madison », qui récapitule le rapport particulier entre souveraineté interne et souveraineté externe dans sa pensée politique : L'état libérale et sécularisé vit des conditions, qu'il doit garantir par sa politique étrangère. Cette reformulation d'une citation fameux du juriste allemand Böckenförde décrit non seulement la sensibilité de Madison pour la nature précaire de la liberté dans une démocratie constitutionnelle, mais aussi sa conviction que la probabilité de la violence des factions dans la république américaine peut non seulement être réduite par les remèdes républicains de la politique intérieure comme la constitutionnalisation, la démocratisation, la séparation des pouvoirs, le principe de la représentation ou la fédéralisation, mais aussi par les valves de sécurité fournis par la politique étrangers, notamment la disponibilité d'un grande nombre des terrains pour le développement du peuple américaine et les conditions commerciales favorables qui facilitent l'accès aux marchés étrangères pour les produits américaines. / The emancipation of American political thought from its European origins was a multi-layered process. The concept of sovereignty which was according to the renowned historian Gordon Wood the "single most important abstractions of politics in the entire Revolutionary era", was at the heart of this intellectual emancipation process in the early years of United States of America. One of the most important contributors to this debate was James Madison (1751-1836), a politician known as the father of the American constitution, revered as one of the authors of the Federalist Papers, alongside Hamilton and Jay, and remembered as the fourth President of the United States of America. The thesis aims to reconstruct the contribution of Madison to the Americanization of sovereignty by analyzing his speeches, essays and private correspondence. These analyses suggest that Madison proposed a double-faced concept of sovereignty. Concerning the internal dimension of sovereignty, he defended the idea of a limited sovereignty in the form of American constitutionnalism. Concerning the external dimension of sovereignty, he imagined a sovereignty without those limits and in continuous extension, an idea he developed during the course of his career into a concept which was in line with the postulates of the westphalian system of the European nation states. To illustrate the political implications of this line of reasoning, I suggest one can formulate a "Madison theorem" characterizing the particular link between internal and external sovereignty in his political thought: The liberal secularized state lives by prerequisites, that he should guarantee through his foreign policy. This reformulation of a statement by the renowned German jurist Böckenförde does not only describe Madison's consciousness for the precarious nature of liberty in constitutional democracies, but also his conviction that the probability of the violence of factions in the American republic cannot only be reduced by republican remedies in the field of domestic policy, like constitutionnalisation, democratization, the separation of powers, the principle of representation or Federalisation. But that the probability of the violence of factions can also be reduced by safety valves provided by foreign policy, like the availability of land for the development of the American people or favorable commercial conditions facilitating the access for american products to foreign markets.
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L' "image de l'ennemi" : le débat public sur l'URSS aux États-Unis dans les dernières années de la Guerre Froide, 1984-1989 / The "enemy image" : the public debate about the USSR in the United States during the last years of the Cold War, 1984-1989

Maillet, Jacob 14 December 2015 (has links)
La Guerre Froide domine l'histoire de la seconde moitié du vingtième siècle, et sa conclusion demeure source de débats aujourd'hui, le triomphalisme des conservateurs étant souvent remis en cause par les tensions avec la Russie. Au cœur du conflit se trouvait la perception pour les Américains d'une menace basée sur l'idéologie et la puissance militaire de l'Union soviétique. Mais cette « image de l'ennemi » resta fondée sur de nombreuses erreurs d'interprétation des données disponibles. En fait, l'étude des dernières années de la Guerre Froide révèle que cette image déformée des capacités et des motivations de l'ennemi a acquis des fonctions internes au paysage politique américain. Le débat public, souvent dominé par les personnalités anticommunistes, montre que la perception du conflit par les Américains dépendit longtemps de représentations ancrées dans l'imaginaire collectif. Or, l'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985 va rapidement permettre de remettre en question ces représentations. Entre 1984 et 1989, la volonté de Ronald Reagan, puis de Mikhaïl Gorbatchev, d'apaiser les tensions à la source de la Guerre Froide, va donc signifier une déconstruction de l'image de l'ennemi et une ré-humanisation progressive des Soviétiques. En cinq ans, l'Union soviétique cessera d'être un « empire du mal » pour devenir « juste une autre grande puissance ». En étudiant cette évolution, on peut discerner l'origine et les fonctions de l'image de l'ennemi, et donc voir comment la perception des ennemis peut être influencée ou instrumentalisée. La fin de la Guerre Froide nous renseigne ainsi sur la construction de nos ennemis d'aujourd'hui. / The Cold War looms large over the history of the second half of the 20th century, and its conclusion remains a source of debates to this day, while renewed tensions with Russia may lead us to question the triumphalism of hawks after the collapse of the Soviet Union.At the heart of the conflict was the perception by Americans of a threat based on the ideology and the military power of the Soviet Union. But this « enemy image » was based on many faulty interpretations of the available data.In fact, the study of the last years of the Cold War reveals that this twisted image of the capabilities and intentions of the enemy had acquired internal functions of its own on the American political scene. The public debate, often dominated by anticommunist figures, shows that the perception of the conflict by Americans long rested on preconceptions deeply embedded in the collective imagination. However, the rise to power of Mikhail Gorbachev in 1985 would lead to a thaw in the Cold War : the enemy image was deconstructed and the Soviets progressively became more human in the eyes of Americans. In five years, the Soviet Union ceased being an « evil empire » to become « just another great power ». By studying this evolution, one can determine the origins and functions of the enemy image, et thus understand how the perception of enemies can be influenced or used. The end of the Cold War thus allows us to better understand the construction of today's enemies.

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