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Imagery rehearsal therapy : Kognitiv beteendeterapi vid posttraumatiska mardrömmar hos veteranerFjellström, Camilla January 2016 (has links)
Mental suffering costs the society amounts of money every year due to sick leave, suicide and general production loss. Posttraumatic stress disorder (PTSD) is one of the conditions that can affect anyone who has experienced a traumatic event. This thesis examines the positive experiences and limitations of the treatment form Imagery rehearsal therapy for war veterans’ post-traumatic nightmares. The results show that this treatment reduces post-trauma nightmares both in frequency and in intensity. It also improves the quality of sleep and reduces PTSD- and depression symptoms. However, veterans with multiple traumas as a basis for their PTSD may need more sessions of imagery rehearsal therapy. The results also indicate that the treatment also can show positive results in the reduction of the nightmare frequency and intensity in individuals who suffer from other types of traumatic nightmares than the war veterans had. / Psykiskt lidande kostar samhället stora summor årligen genom sjukskrivningar, självmord och allmänt produktionsbortfall. Posttraumatiskt stressyndrom (PTSD) är ett av dessa sjukdomstillstånd och kan drabba vem som helst som upplevt en traumatisk händelse. Detta examensarbete undersöker de positiva erfarenheterna av och begränsningarna hos behandlingsformen imagery rehearsal therapy vid posttraumatiska mardrömmar hos krigsveteraner. Resultatet visar att denna behandlingsform minskar posttraumatiska mardrömmar både i frekvens och i intensitet. Den förbättrar även sömnkvalitén, samt minskar PTSD-och depressionssymptom. Dock, så kankrigsveteraner med flera trauman som grund för deras PTSD behöva fler sessioner av imagery rehearsal therapy. Resultaten visar också att behandlingen även kan visa positiva resultat i minskning av mardrömmars frekvens och intensitet hos individer som lider av andra typer av traumatiska mardrömmar än de krigsveteranerna hade.
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Évaluation du groupe de traitement du sommeil de la base militaire de ValcartierPerreault, Mathieu January 2015 (has links)
Les militaires canadiens sont souvent confrontés à des situations stressantes et une partie de ceux-ci rapportent avoir des troubles du sommeil et faire des cauchemars. Depuis 2006, un traitement basé sur l’Imagery Rehearsal Therapy (IRT) nommé « groupe de traitement du sommeil » (GTS) est offert à la base de Valcartier pour traiter les troubles du sommeil et les cauchemars. Le GTS intégral inclut un volet psychoéducatif (une séance) et un volet traitement des cauchemars (deux séances). Les militaires aux prises avec un trouble du sommeil qui ne font pas de cauchemars sont dirigés vers le volet psychoéducatif du GTS donné seul (une séance). La présente étude a pour but d’évaluer l’efficacité du GTS auprès des militaires canadiens et poursuit quatre objectifs de recherche. Le premier est d’évaluer l’effet de la participation au GTS intégral sur le sommeil et les cauchemars. Le deuxième objectif est d’évaluer l’effet de la participation au volet psychoéducatif donné seul sur le sommeil. Le troisième objectif est d’évaluer l’effet de la participation au GTS intégral sur les symptômes associés à l’état de stress post-traumatique (ESPT), à l’anxiété et à la dépression. Enfin, le dernier objectif est d’évaluer l’effet de la participation au volet psychoéducatif donné seul sur les symptômes d’ESPT, d’anxiété et de dépression. L’échantillon de 37 militaires est réparti en quatre groupes. Deux groupes sont formés de participants liés au GTS intégral, soit un groupe expérimental (11 participants) et un groupe contrôle (trois participants), et deux groupes sont formés de participants liés à la psychoéducation donnée seule, soit un groupe expérimental (17 participants) et un groupe contrôle (six participants). Les groupes contrôle sont formés de participants sur la liste d’attente du GTS. Les mesures (prétest et post-test) incluent des agendas du sommeil (qualité du sommeil, nombre d’heures de sommeil, nombre et intensité des cauchemars) et trois questionnaires : PCL C (symptômes post-traumatiques), IDB-II (symptômes dépressifs) et IAB (symptômes d’anxiété). Les dossiers médicaux des participants ont aussi été consultés (données sociodémographiques et traitements psychothérapeutiques et pharmacologiques). Étant donné la taille limitée de l’échantillon, des tests non paramétriques (p. ex. test de Wilcoxon, etc.) ont été effectués afin de vérifier les changements entre le prétest et le post-test et pour comparer les groupes expérimentaux aux groupes contrôle. À la suite du GTS intégral, une amélioration significative de la qualité du sommeil et une diminution significative du nombre de cauchemars ont été rapportées, et ces améliorations sont significativement supérieures à ce qui est observé après le passage du temps. On observe aussi une augmentation significative du nombre d’heures de sommeil et une diminution significative de l’intensité des cauchemars à la suite du GTS intégral. Après la psychoéducation donnée seule, les résultats indiquent une augmentation significative du nombre d’heures de sommeil et une amélioration significative des symptômes dépressifs. Le GTS nécessite peu de temps et peu de ressources. Sachant que plusieurs militaires canadiens ont un problème de sommeil ou de cauchemars, les résultats de la présente étude indiquent que le GTS peut être une solution efficiente pour traiter les troubles du sommeil et les cauchemars.
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La thérapie par révision et répétition de l'imagerie mentale appliquée au traitement des cauchemars post-traumatiques militairesBrochu, Valérie January 2012 (has links)
Les anciens combattants qui reviennent de mission sont fréquemment sujets à avoir des cauchemars récurrents, et ce, durant de nombreuses années. Au moyen d'une expérimentation auprès d'un ancien combattant souffrant de cauchemars récurrents et présentant un état de stress post-traumatique, la présente étude de cas vise à évaluer l'efficacité d'un traitement propre à ce type de cauchemar, soit la thérapie par révision et répétition d'imagerie. L'évaluation avant, pendant et suivant le traitement psychologique porte sur la fréquence, l'intensité et le contenu des cauchemars. De plus, à l'aide de mesures polysomnographiques et actigraphiques, la qualité du sommeil est évaluée, de manière objective. Les symptômes de dépression et d'anxiété ainsi que la qualité de vie du participant sont également évalués avant et après traitement. Les résultats indiquent une diminution de la fréquence et de l'intensité des cauchemars ainsi que des symptômes de dépression, en plus d'une augmentation de la qualité de vie. La thérapie n'a pas eu d'effet significatif sur les données subjectives et objectives du sommeil, à l'exception du nombre d'éveils, qui a diminué d'un point de vue subjectif. Pour ce qui est du contenu des rêves, on observe une tendance vers la diversification du contenu onirique, moins axé sur les combats militaires.
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Les cauchemars et les troubles du sommeil dans le contexte d'un trouble stress post-traumatique : évaluation psychopathologique et psychophysiologique. / Nightmares and sleep disorders in a PTSD context : psychopathological and psychophysiological evaluationAït-Aoudia, Malik 07 December 2016 (has links)
Les troubles du sommeil en général et les cauchemars en particulier sont souvent associés aux troubles psychopathologiques et physiques. Ils font partie des plus importantes et fréquentes plaintes rapportées par les patients souffrant de trouble stress post-traumatique et leurs liens avec la sévérité de ce dernier se précisent de plus en plus. L’objectif général de notre thèse est d’apporter des précisions sur les aspects cliniques, psychopathologiques et psychophysiologiques concernant les cauchemars dans le contexte particulier et spécifique du trouble stress post-traumatique, et de préciser les apports thérapeutiques d’un traitement centré sur les cauchemars à travers une étude de cas. Pour ce faire, nous avons choisi de procéder à des évaluations psychopathologiques au moyen d’auto-questionnaires (IES-R, HAD, PSQI, PSQI-A, NDQ et DES), d’entretiens structurés (MINI et CAPS) et d’enregistrements psychophysiologiques sur un échantillon de 21 patients souffrant de cauchemars dans un contexte de TSPT, hospitalisés dans une unité de soins spécialisés en psychotraumatologie et une évaluation d’un suivi thérapeutique d'un patient reçu dans un centre de soin spécialisé à Paris. Les principaux résultats de notre recherche montrent que la sévérité du TSPT est très fortement et positivement associée à la sévérité des cauchemars post-traumatiques et soulignent que la détresse liée aux cauchemars explique mieux la sévérité du TSPT que la fréquence des cauchemars. Nos résultats ont également permis de vérifier ce qui a été rapporté dans la littérature scientifique, à savoir la présence d’importantes comorbidités. En revanche, pour ce qui est des évaluations psychophysiologiques du sommeil, aucun élément pertinent ne ressort de l’analyse des enregistrements polysomnographiques, et aucun des paramètres étudiés n’a été corrélé ni avec la fréquence des cauchemars, ni avec la détresse liée aux cauchemars. Enfin, l’étude de cas a permis d’évaluer les bénéfices thérapeutiques attendus d’un nouveau traitement psychothérapeutique centré sur les cauchemars, dont les résultats montrent une réduction significative de la sévérité des cauchemars, accompagnée d’une réduction de la sévérité du TSPT ainsi qu’une amélioration proportionnelle de la qualité du sommeil. En conclusion, les résultats de notre recherche convergent avec ceux retrouvés dans des études antérieures et soulignent l’importance clinique et psychopathologiques des cauchemars et leur implication dans la sévérité du trouble stress post-traumatique. / Sleep disorders in general and nightmares in particular are often associated with psychopathological and physical disorders. They are among the largest and the most frequent complaints reported by patients with PTSD and their links with the severity are now more specified. The overall objectives of this thesis are to shed light on the clinical, psychopathological and psychophysiological aspects of nightmares in the specific context of PTSD, and also to clarify the therapeutic contributions of nightmares centered treatment through a case study. In order to achieve these objectives, a sample of 21 patients suffering from posttraumatic nightmares and hospitalized in a specialized psychotraumatology unit of care were assessed using self-administered questionnaires (IES-R, HAD, PSQI, PSQI-A, NDQ and DES), structured interviews (MINI and the CAPS) and psychophysiological recordings. In parallel, another patient coming from a specialized psychotraumatology center in Paris was carefully monitored in regards of his therapeutic evolution while receiving the Imagery Rehearsal Therapy program on an individual basis. The main results of this research show that the severity of PTSD is strongly and positively associated with the severity of post-traumatic nightmares and that the distress related to nightmares better explains the severity of PTSD that the frequency of nightmares does. The results also confirmed what has been reported in the scientific literature, namely the presence of significant comorbidities. However and in terms of psychophysiological assessments of sleep, no significant results were found in the analysis of polysomnographic recordings, and none of the studied parameters were correlated with the frequency and/or the distress related to nightmares. Finally, the case study was successfully used to evaluate the expected therapeutic benefits of a relatively new psychotherapeutic treatment focusing on nightmares and the results show a significant reduction in the severity of nightmares, accompanied by a reduction in the severity of PTSD and a proportional improvement in sleep quality. In conclusion, the results of this research are consistent with those found in previous studies and underscore the clinical and psychopathological importance nightmares and their involvement in the severity of PTSD
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