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Les acteurs de la coopération et la dimension socio-économique de la désertification dans le sud du Maroc : cas de Zagora

Harakat, Ismail January 2007 (has links) (PDF)
L'objectif de cette recherche vise à déterminer l'impact de la désertification et le manque de ressources en eau sur la population ciblée (province de Zagora, au Sud-est du Maroc) et l'implication des acteurs de la coopération internationale pour apporter réponses et solutions aux préoccupations des villageois. Cette recherche se penche essentiellement sur la dimension socio-économique de la désertification et ses répercussions sur le quotidien des victimes de l'ensablement, de la rareté des ressources en eau, de la salinité du sol et du rétrécissement des superficies cultivables notamment. Le constat auquel on est parvenu au terme de deux années de travail, émaillées par de nombreux déplacements dans la zone concernée, c'est qu'il existe un décalage manifeste entre le discours des protagonistes de la coopération et la réalité sur le terrain. Les fonds injectés sont nettement insuffisants pour prétendre à un traitement en profondeur d'un phénomène qui s'inscrit parmi les défis majeurs de ce millénaire car en rapport avec le réchauffement climatique et le manque d'eau qui en découle. Les pistes de solution passent par la création de l'emploi, la promotion du développement durable dans un environnement fragile et la diversification des secteurs d'activité pour mettre un terme à la dépendance du secteur agricole. Parallèlement, la promotion de la recherche scientifique devrait constituer une priorité à un moment où un mode de vie séculaire se trouve menacé et où exode et émigration clandestine s'érigent en défi pour l'humanité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Désertification, Développement, Développement durable, Pauvreté.
2

Les déplacements de population dus à des projets miniers en Afrique de l'Ouest : mal nécessaire pour le développement?

Leblanc, Jérôme January 2007 (has links) (PDF)
Depuis le début des années 80, des mesures visant la relance économique des pays d'Afrique subsaharienne, suggérées par les Institutions financières internationales telle la Banque mondiale, ont entraîné l'accroissement des investissements dans le secteur minier de ces pays, mais aussi une transformation, et parfois une diminution, des capacité de la régulation et de la réglementation de l'État dans ce secteur. Dans trois expériences que nous avons étudiées, au Ghana, au Mali et en Sierra Leone, des compagnies minières étrangères, avec l'appui de capitaux du Groupe de la Banque mondiale, ont exploité de grandes mines à ciel ouvert. Ces dernières ont demandé de déplacer les populations qui vivaient sur les territoires de ces mines. Les résultats de la plupart des tentatives des compagnies minières de rétablir des conditions de vie décentes aux populations déplacées ont été mitigés. En même temps, l'État de ces pays se trouvait dépourvu de moyens pour protéger les communautés déplacées, et celles-ci n'avaient pas ou peu de recours pour revendiquer leurs droits. Pourtant, l'objectif visé de ces projets, selon le Groupe de la Banque mondiale, était de favoriser le développement de ces pays africains. Ce développement se fait donc, dans les situations que nous avons étudiées, en partie au prix de pertes de conditions de vie pour les populations déplacées, alors que les compagnies minières en question enregistrent des profits records. Cet appauvrissement des populations déplacées est-il nécessaire au développement de ces pays ? Sinon, pourquoi l'État n'a-t-il pas protégé suffisamment ces populations ? Le présent mémoire cherche donc à donner des éléments de réponse à ces questions en examinant les relations d'influence jouées par les différents agents dans la problématique étudiée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Afrique subsaharienne, Banque mondiale, Mines, Déplacements de population, Développement international, Ghana, Mali, Secteur minier, Sierra Leone.
3

Étude de la stratégie israélienne d'appropriation territoriale de Jérusalem : le cas du mur entourant Jérusalem-Est

Durocher, Marie-Hélène 08 1900 (has links) (PDF)
Cette étude propose une analyse de la construction du mur israélien, compris ici comme l'étape finale du processus d'israélisation de Jérusalem débuté en 1948, à l'issue de la première guerre israélo-arabe. Comme la politique des autorités israéliennes a toujours été appliquée différemment à Jérusalem que dans le reste des territoires palestiniens, nous mettons en évidence que les acteurs israéliens - et en particulier les divers gouvernements d'Israël - ont développé et mis en œuvre une stratégie qui vise l'appropriation sociospatiale de Jérusalem-Est afin de l'incorporer à l'État d'Israël. Notre travail de recherche vise plus précisément à mettre en lumière le rôle du mur dans la stratégie israélienne d'appropriation de Jérusalem-Est ainsi que les impacts socio-économiques sur la population palestinienne de la ville et de sa périphérie. Des approches critique et géopolitique, nous abordons le territoire de la ville comme la dimension spatiale du pouvoir étatique. L'analyse des représentations et des pratiques du gouvernement central nous permet ainsi de mettre en évidence la transformation et l'appropriation du territoire de la ville. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Territoire, appropriation sociospatiale, Jérusalem, mur, conflit israélo-palestinien.
4

Exploitation élaeïcole au Cameroun : épuisement d'un modèle de développement inefficace et ses conséquences socio-économiques

Ekobena Iya, Fabienne Elodie 09 1900 (has links) (PDF)
Le but de ce travail est de montrer que le Cameroun, pays de 19 millions d'habitants, situé au-dessus du 45e parallèle en Afrique centrale et conscient du potentiel que représente sa filière élaeïcole, a décidé de la redynamiser. Mais cette filière déficitaire et pratiquement privatisée reste handicapée par des problèmes de productivité et manque de compétitivité. Les difficultés sont attribuables en partie à des stratégies de développement défaillantes et essoufflées toujours appliquées à travers divers programmes. Ces programmes ont tous pour objectif d'augmenter les surfaces des palmeraies à huile pour accroître la production du pays et la rendre compétitive. Cependant, redynamiser un secteur en déficit tout en suivant un modèle limité n'est pas sans entraîner des conséquences socio-économiques sur le pays et surtout sur le milieu rural, premier producteur d'huile de palme depuis des générations. Ce qui nous mène à nous demander, en quoi la poursuite d'un modèle de développement contraignant affecte-t-il la filière élaeïcole camerounaise à long terme, et quelles sont ses incidences sur la société? Le travail suivant se divise ainsi en trois parties pour répondre à cette question. La première partie, qui analyse les effets d'un modèle de développement inefficace et extraverti sur la filière privatisée, tend à montrer que ceux-ci découlent d'une économie de traite qui influe sur les actions de l'État. Des actions interventionnistes et inefficaces qui ont mené à l'épuisement du modèle et à la déstructuration de la filière élaeïcole. Elles tendent ainsi à être corrigées par les réformes de la Banque mondiale qui ont également pour objectif de relancer la filière de l'huile de palme camerounaise. Ces réformes, qui sont appliquées par l'État et le secteur privé dans la seconde partie, mettent l'accent sur les mécanismes de l'agriculture commerciale. Mais ces derniers sont pénalisés par des contraintes institutionnelles et financières et celles liées à l'accès au marché. D'autre part, si les actions publiques restent mitigées pour profiter des retombées, celles du privé, en revanche, malgré leur insuffisance, génèrent des retombées aux agro-industries. Quant aux petits producteurs, comme nous le verrons dans la troisième partie, leurs revenus restent faibles même s'ils permettent de mener une vie décente dans quelques régions. De plus, concurrencés à l'intérieur par les importations asiatiques, ils doivent également faire face aux effets provoqués par les accords internationaux et subir, avec les populations villageoises marginalisées, des effets sociaux et environnementaux, à l'origine des conflits écosociaux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cameroun, huile de palme, modèle de développement, conséquences socioéconomiques, Banque mondiale.
5

L'impact socio-politique de la privatisation de la Minoterie d'Haïti

Alcius, Gérard Kennedy January 2008 (has links) (PDF)
L'accession de nombreux pays du « tiers-monde » à l'indépendance, dans les années 60, avait suscité de nombreux espoirs de libération, de prospérité et de bien-être dans le coeur de ces populations lourdement touchées par le mal-développement souvent depuis la création même des pays en question. Mais les maux graves dont souffraient déjà ces pays, doublées des transformations rapides et profondes que devaient connaître le monde dans les décennies subséquentes ont fait que les conditions de vie dont avaient hérité ces populations, sont allées en se dégradant et en se détériorant sans cesse. Pour des raisons très complexes qu'il n'est pas de notre propos d'expliciter dans ces pages, quelques pays seulement ont réussi à enclencher solidement un cycle de développement durable et autonome des pays qui comme la Corée du Sud sont parvenus, mais au prix d'imposants sacrifices, à s'inscrire dans le « club select » des nations riches et industrialisées. Pour la très grande majorité des autres et ce, malgré des nuances importantes que nous ferons en temps et lieu il s'est agi d'un développement inégal et dépendant, la plupart du temps d'un mal-développement fondé sur l'inégalité sociale, l'exploitation éhontée des ressources naturelles, la réalisation de projets « régressifs, arrivistes ou parasites » planifiés de l'intérieur ou encore de projets « hétéronomes et aliénants » parachutés de l'extérieur d'un développement conclu de manière autoritaire, sans support, appui et décision démocratique, d'un mal-développement réalisé sans la participation requise, sans l'intégration des mouvances et des mouvements sociaux, sans l'intégration et la représentation démocratique des masses et des travailleurs. Avec la chute du mur de Berlin et l'achèvement d'un processus de mondialisation de plus en plus « contraignant » pour les Nations et leurs Institutions politiques, il n'est pas surprenant que la « privatisation » des entreprises publiques soit apparue, pour ces pays rongés par la corruption, le favoritisme, l'endettement, le clientélisme, l'inefficience, la sous-production, l'exclusion comme la panacée pour soigner les maux dont souffraient leurs économies respectives. D'autant plus que nombreux furent ceux qui étaient tentés de suivre l'exemple des pays d'Europe de l'Est, leurs anciens modèles dont tous s'étaient lancé à divers degrés dans un programme assez drastique et assez ambitieux de privatisation de leurs entreprises publiques: l'époque de la construction du « socialisme », même dans ses variantes « nationalistes », était maintenant révolue. C'est à partir de ce contexte d'ensemble qu'il faut analyser le programme de privatisation des entreprises publiques mis en oeuvre en Haïti, un des pays les plus pauvres du monde, un pays qui souffre de manière encore plus criante que les autres de tous les manques et de tous les maux dont souffrent déjà les pays mal-développés et les nations mal nanties qui l'entourent. De l'esclavage immonde à la dictature sanguinaire puis de la dictature politique répressive à la dictature des bandes criminelles et des groupes « militarisés », Haïti représente malheureusement l'exemple parfait de ces pays n'ayant jamais connu de développement un tant soit peu authentique et harmonieux. Au tournant des années 1990, le pays a dû accepter ce qu'il faut bien appeler une « tutelle » internationale, ce dernier sombrant tous les jours davantage dans l'anarchie, la guerre civile endémique, le chaos le plus total, tous ces fléaux du sous-développement qui s'accompagnent toujours, on le sait, de phénomènes de pauvreté extrême, de famines, de pandémies, de dilapidation irrationnelle des quelques ressources disponibles, etc. Il ne pouvait plus être question, dans ces conditions, d'un programme limité et frileux de réformes administratives; ces réformes, dans le passé, avaient prouvé leurs limites et leur incapacité à relancer le développement et l'économie du pays. Dorénavant, les organismes internationaux exigeaient d'Haïti un programme de privatisation radical et ambitieux soit la privatisation de toutes les grandes entreprises nationales/publiques existantes dans le pays. C'est de là qu'a émergé le fameux programme « d'ajustement structurel », conçu pour l'essentiel à Washington (U.S.AID) et à New-York (ONU et PNUD), mais que les dernières autorités haïtiennes mises en place ont vite fait d'entériner et de ratifier. Dans les circonstances, ce programme a obtenu l'aval de la plupart des acteurs engagés dans l'aventure, y compris la plupart des acteurs locaux embarqués dans l'aventure de la privatisation; l'adoption du programme par le parlement haïtien permettant d'obtenir des aides substantielles de diverses natures, du financement à court et à moyen terme, un rééchelonnement de la dette nationale, enfin une aide « multiforme » pour la reconstruction des institutions démocratiques et la stabilisation de la situation politique dans le pays. Parmi les neuf entreprises ciblées par le programme de privatisation amorcé, c'est la Minoterie, qui deviendra en 1997 les Moulins d'Haïti (production de la farine), qui sera la première à « vivre » le processus désigné: réception des appels d'offre par le CMEP, analyse de la viabilité de ces mêmes appels d'offre, sélection du candidat le meilleur puis cessation au privé de l'entreprise en fonction des modalités déterminées par le Conseil de Modernisation des entreprises publiques organe politique et juridique créé par le Parlement et le gouvernement d'Haïti pour mettre en oeuvre le fameux programme. Il est indéniable que la privatisation de la Minoterie d'Haïti a engendré un certain nombre de conséquences positives et ce, pour les niveaux où l'on situe l'analyse. Au niveau de l'entreprise: productivité locale nettement améliorée, meilleure répartition et allocation des ressources rares disponibles, introduction de technologies et de méthodes d'organisation du travail plus efficientes, gestion plus rationnelle et plus rigoureuse, financement plus adéquat, etc. Au niveau de l'impact sur l'organisation de ce secteur d'activité: exigences et demandes en termes de distribution des produits, de transport, de diffusion, de mise en marché, de rationalisation des opérations, etc. Au niveau du marché des produits alimentaires: vérité des prix sur le marché, structuration du marché, etc. Au niveau global: comme transformation pouvant servir d'exemple, comme redéfinition d'un cadre légal/réglementaire, comme processus de production plus transparent, etc. Mais il serait naïf de croire que l'opération n'ait pas engendré son lot d'externalités (peu dommageables dans certains cas et très dommageables dans d'autres cas) et d'effets pervers dont certains commencent à peine à être décelés et analysés. Au niveau de l'entreprise: chômage cyclique, déclassement de plusieurs catégories de travailleurs, perte des points de repère, des traditions et du sens du lien communautaire, désolidarisation, apprentissage douloureux de l'état de salarié du privé, déstructuration des modes de vie associés à la productivité antérieure. Au niveau de l'impact sur l'organisation de ce secteur d'activité: transformation des façons de faire et des exigences, modification des habitudes et des attentes, accroissement de la concurrence, etc. Au niveau du marché des produits alimentaires: apport de produits nouveaux et en quantité différente, transformation dans les moeurs, etc. Au niveau global: transmutation dans les valeurs Initiative privée, réussite, envie, convoitise, ambitions, etc., transformation du statut des travailleurs, bouleversements dans les réseaux familiaux, dans les formes d'économie « archaïque », etc. En concentrant l'analyse sur les deux vecteurs retenus, soit la structure organisationnelle édifiée et déployée dans un premier temps et les externalités/effets pervers engendrés dans un deuxième temps, nous parviendrons, croyons-nous, à mieux cerner l'impact de la privatisation de la Minoterie sur la population haïtienne et le bien-être de cette même population. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, Privatisation, Modernisation, Programme d'ajustement structurel, Minoterie d'Haïti, Moulins d'Haïti, Structure organisationnelle, Externalités, Effets pervers.

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