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Paris und der Impressionismus : Die Grossstadt als Impuls für neue Wahrnehmungsformen und Ausdrucksmöglichkeiten in der Malerei /

Palmbach, Barbara. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Marburg, 2001. / Bibliogr. p. 265-275.
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Von Paris an den Ärmenkanal : der Städter am Strand bei Manet, Monet, Morisot, Degas und Renoir /

Dippel, Andrea, January 1996 (has links)
Diss.--Köln, 1996. / Bibliogr. p. 175-209. Index. Table des ill.
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Der Impressionismus bei Debussy : Inaugural-Dissertation... /

Kolsch, Hans Friedrich, January 1937 (has links)
Diss.--Köln, 1936. / Bibliogr. p. V-VI.
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La réception de l’avant-garde artistique dans la presse politique en France, de l’impressionnisme au fauvisme (1874-1905) / The Reception of the avant-garde in the Political Press in France, from Impressionism to Fauvism (1874-1905)

Marre, Oriane 27 June 2016 (has links)
Cette thèse a pour objet la réception de l’avant-garde artistique dans la presse politique pendant les trente premières années de la Troisième République en France. Dans la perspective d’analyser la politisation non de la scène artistique mais de sa perception, nous nous proposons d’étudier la notion d’avant-garde artistique à travers le prisme du politique, de rechercher ce que les contemporains politisés des artistes considèrent comme un art à l’avant-garde. Nous nous sommes intéressés à la période longue, de 1874 à 1905, de l’impressionnisme au fauvisme. La première exposition du groupe impressionniste intervient sur la scène parisienne après la proclamation de la Troisième République le 4 septembre 1870, l’échec de la tentative de restauration monarchique de l’automne 1873 mais avant le vote de l’amendement Wallon le 30 janvier 1875 qui officialise la République. Sa réception s’inscrit dans le contexte de l’instauration puis de l’enracinement de la République en France, du passage des républicains de l’opposition au gouvernement. L’analyse de la réception des mouvements artistiques qui se développent à la fin des années 1880 permet quant à elle d’appréhender la perception du paysage artistique par le monde politique, de la gestion de l’État par les républicains modérés à l’accession au gouvernement des radicaux, intransigeants des années 1870. La presse politique, qui n’a pas vocation à discourir sur l’art mais constitue un miroir quotidien présentant une hiérarchie des événements dont elle garde la trace, nous est apparue un médium très pertinent afin de mettre à jour les réactions des spectateurs politisés dont les articles contiennent en filigrane les empreintes. / In this thesis we study how the artistic avant-garde was perceived by the political press in France during the first thirty years of the Third Republic. We propose to question the notion of avant-garde by studying it through the political prism, trying to ascertain what the artists’ politically aware contemporaries used to consider avant-garde art. We do not focus on the political commitments of the artists, but on the way their art was perceived. We chose to consider a rather long period of time, ranging from 1874 to 1905, from Impressionism to Post-impressionism. The first exhibition of the impressionist group took place just after the Third Republic was proclaimed, on the 4th of September 1870, and the unsuccessful attempt to restore the Monarchy in 1873, but before the Wallon amendment voted in 1875, which formalized the establishment of the Republic. We study its reception both in the wake of the establishment of the Republic and as this political regime settles in France, when the Republicans cease to be part of the opposition and start leading the country. Analysing the reception of the art movements emerging in the late 1880’s allows us to grasp how the political audience reacted to the artistic production from the Moderate Republican government to the Radicals’ – formerly called intransigeants in the late 1870’s. Although the purpose of the political press was not to discuss art per se, it still reported artistic and political events, hierarchically presenting them on a daily basis. Acting as a powerful tool to explore the expectations and reactions of its intended politically aware readers, the political press remains a very relevant source for art historians.
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Le "Théâtre plastique" de Tennessee Williams : du "langage de la vision" à "l'écriture organique / Tennessee Williams’s “Plastic Theatre : ” from “the Language of Vision” to “Organic Writing”

Maruéjouls-Koch, Sophie 14 November 2014 (has links)
Tennessee Williams utilise pour la première fois l’expression « théâtre plastique » en 1944, dans un essai où il évoque les limites du langage verbal. Ce qu’il recherche, c’est un langage « des sons, des couleurs et des mouvements », un au-delà des mots censé redonner vie à un théâtre réaliste jugé moribond. Il se fixe ainsi pour objectif de retranscrire sur la page la totalité de l’expérience théâtrale. Créateur d’images, le dramaturge se compare fréquemment à un peintre et puise dans l’art pictural les éléments de son nouveau langage. Gauguin, Van Gogh, De Chirico, Hofmann ou encore Pollock font partie de la longue liste d’artistes qui lui ont permis d’échapper à la pétrification dans un mimétisme réaliste associé à l’image photographique. Cités dans ses essais ou dans ses pièces, ils orientent son théâtre vers l’abstraction à laquelle le dramaturge aspire. Or, l’influence des images sur le « théâtre plastique » ne se limite pas seulement à la peinture, la fascination de Williams pour le cinéma a également contribué à façonner son écriture, élargissant encore davantage l’alphabet de son langage théâtral. L’image apparaît en ce sens comme un agent libérateur du langage, un au-delà des mots dans lequel se profile un « je » en marge de la représentation comme système culturellement prédéterminé et prédéterminant. L’écriture de Williams désire l’image. De là vient sa puissance subversive. Le processus créateur tout entier se fonde sur l’entrelacement des logiques sémiotiques propres au langage et à l’image, faisant de l’un l’envers de l’autre, sa moitié indispensable. Le rapport de complémentarité qui unit l’image au langage dans toute l’œuvre de Williams met à jour l’originalité d’une écriture animée par un désir d’image, écriture vivante du théâtre. / When Tennessee Williams coined the phrase “plastic theater” in 1944, he described it as a language of “sounds, colors and movements,” a language freed from the limitations of words. His aim was to breathe new life into what he called “the exhausted theater of realistic conventions.” His ability to put the totality of theatrical experience into words manifests itself in the scripts of his plays. Williams is a creator of pictures, a playwright in the true sense of the word who found in painting and cinema the images he needed to elaborate his new language for the stage and move away from a “photographic likeness” he rejected because it was associated with realism. Gauguin, Van Gogh, De Chirico, Hofmann or Pollock are but a few of the many painters mentioned in his plays or essays who provided him with the means to enrich his vocabulary for the stage and lead his “plastic theater” toward “something more abstract.” But cinema also influenced him, giving him the opportunity to explore new possibilities and create a space between words and images where the elusive truth could be revealed. Images thus helped liberate Williams from the literary traditions as well as from the cultural codes that had defined and confined his writing from the very beginning. The writer who felt “wrapped up in literary style like the bandages of a mummy” found in images the subversive power he needed to express his true self and breathe life into words that he had always wanted to be “more than words.” From “the language of vision” to “organic writing,” Williams’s “plastic theater” evinces a desire for images.
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"Er sieht einen Fleck, er malt einen Fleck." : physiologische Optik, Impressionismus und Kunstkritik /

Cugini, Carla, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Universität Zürich--Philosophischen Fakultät, 2001/2002. / Bibliogr. p. 221-245.
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Von Böcklin zu Cézanne : die Rezeption des französischen Impressionismus in der deutschen Schweiz /

Gloor, Lukas, January 1986 (has links)
Dissertation--Kunstgeschichte--Bern, 1984. / Bibliogr. p. 343-376.
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La déambulation des personnages chez Gabrielle Roy : un outil de description de la ville

Groulx, Julie January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Henri Matisse and neo-impressionism, 1898-1908

Bock-Weiss, Catherine. January 1900 (has links)
Revision of Thesis (Ph. D.)--University of California at Los Angeles, 1977. / Includes bibliographical references (p. [203]-210) and index.
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La réception critique de la peinture de paysage en France, autour des années 1860-1880 / The critical reception of french landscape painting in the 1860’s-1880’s

Blacas, Diane de 30 September 2011 (has links)
Loin de se limiter à la naissance du groupe impressionniste, la période qui s’articule autour des années 1860-1880, est décisive pour la peinture de paysage. A l’unanimité, les critiques d’art témoignent de son triomphe sous le Second Empire. Ceux qui dominent les cimaises du Salon sont d’abord les Paul Huet (1803-1869), Théodore Rousseau (1812-1867), Camille Corot (1796-1875), Gustave Courbet (1819-1877) et Charles Daubigny (1817-1878). En revanche, un accueil plus sévère se fait jour en même temps que le changement de régime, mettant en évidence tous les préjugés associé à ce genre, dit « mineur ». Ce sont des années charnières qui voient se développer les expositions indépendantes et l’influence du critique d’art, néanmoins, le Salon est encore le lieu où se jouent les carrières. Un certain nombre de peintres, dont on fait peu de cas aujourd’hui, s’y attachent. Aussi, la lecture des comptes-rendus de Salon nous montre clairement que les peintres qui dominent le genre autour des années 1870-1880 se nomment Camille Bernier (1823-1902), Emile Breton (1831-1902), Charles Busson (1822-1908), Emmanuel Damoye (1847-1916), Camille Delpy (1842-1910), Antoine Guillemet (1841-1918), Emmanuel Lansyer (1835-1893) ou Léon-Germain Pelouse (1838-1891). Pas un article qui ne s’exprime sur l’évolution du genre, délaissant progressivement le paysage historique pour une peinture visant au naturalisme ainsi qu’à un travail associant plein air et spontanéité. Plus particulièrement, la question d’une modernité picturale associée au paysage, et ses conséquences, préoccupe vivement le critique d’art. / The 1860’s-1880’s, though often considered solely as the period of impressionism, also prove to be decisive years for landscape painting. Throughout the Second Empire, critics unanimously claim its success. At the annual exhibit of the time, the hailed artists were: Paul Huet (1803-1869), Théodore Rousseau (1812-1867), Camille Corot (1796-1875), Gustave Courbet (1819-1877) and Charles Daubigny (1817-1878). With the advent of the Republic, these views changed, shifting the perception of landscapes as an “inferior” form of painting. But alongside the rise in independent exhibitions and the power of critics, many painters remained attached to the Salon, where the careers were decided. Articles from the time reveal that those dominating the genre were: Camille Bernier (1823-1902), Emile Breton (1831-1902), Charles Busson (1822-1908), Emmanuel Damoye (1847-1916), Camille Delpy (1842-1910), Antoine Guillemet (1841-1918), Emmanuel Lansyer (1835-1893) and Léon-Germain Pelouse (1838-1891). The press discussed the evolution of landscape painting, progressively abandoning historical landscapes for naturalistic ones where outdoor painting becomes associated with spontaneity and truthfulness, the Critics debating the issue of landscapes and their relevance to the modern world.

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