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Parenting, self-regulation and childhood anxiety : A Self-Determination Theory perspective

Laurin, Julie C. 10 1900 (has links)
Le contrôle psychologique parental est un facteur de risque réputé pour les problèmes intériorisés des enfants (p. ex., Affrunti & Ginsburg, 2011; McLeod, Wood & Weisz, 2007). Selon la Théorie de l'auto-détermination, le contrôle psychologique mène aux problèmes intériorisés (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) car il brime le besoin fondamental d'autonomie. En effet, recevoir de la pression afin de penser, se comporter et se sentir d’une certaine façon (Ryan, 1982) semble favoriser une régulation trop rigide et surcontrôlée (Ryan et al., 2006). Suite aux travaux de Soenens et Vansteenkiste (2010), la distinction conceptuelle entre deux formes de contrôle psychologique, soit manifestes (p. ex., les menaces, forcer physiquement) et dissimulées (p. ex., la surprotection, le marchandage), ont été utilisées pour évaluer le style parental (Étude 1) et les pratiques disciplinaires (Étude 2). Le contrôle psychologique parental et le soutien de l'autonomie (Étude 2) ont été mesurés durant la petite enfance puisque (1) les problèmes intériorisés émergent tôt, (2) le développement du sentiment d'autonomie est central au cours de cette période, et (3) attire probablement plus de contrôle psychologique parental. Avec ses deux articles, la présente thèse vise à clarifier la façon dont le contrôle psychologique manifeste et dissimulé est lié au développement précoce de problèmes intériorisés. L'étude 1 est une étude populationnelle examinant l'impact relatif du style parental sur des trajectoires développementales d'anxiété (N = 2 120 enfants; de 2,5 à 8 ans) avec de nombreux facteurs de risque potentiels provenant de l'enfant, de la mère et de la famille, tous mesurés au cours de la petite enfance. Les résultats ont montré qu'en plus de la timidité des enfants, de la dépression maternelle et du dysfonctionnement familial, le contrôle psychologique manifeste (c.-à-d., coercitif) et dissimulé (c.-à-d., la surprotection) augmentent le risque, pour les enfants, de suivre une trajectoire d'anxiété élevée. Une interaction entre la dépression maternelle et le contrôle dissimulé a été trouvée, ce qui indique que la surprotection augmente l'anxiété des enfants seulement lorsque la dépression maternelle est élevée. Enfin, le contrôle dissimulé prédit également l'anxiété telle que rapportée par les enseignants de deuxième année. Le deuxième article est une étude observationnelle qui examine comment l'autorégulation (AR) des bambins est liée au développement précoce des symptômes intériorisés, tout en explorant comment les pratiques disciplinaires parentales (contrôle et soutien de l'autonomie) y sont associées. Les pratiques parentales ont été codifiées lors d'une requête de rangement à 2 ans (contexte "Do", N = 102), tandis que l'AR des bambins a été codifiée à la fois durant la tâche de rangement ("Do") et durant une tâche d'interdiction (ne pas toucher à des jouets attrayants; contexte «Don't » ), à 2 ans puis à 3 ans. Les symptômes d'anxiété / dépression des enfants ont été évalués par leurs parents à 4,5 ans. Les résultats ont révélé que l'AR aux interdictions à 3 ans diminue la probabilité des enfants à manifester des taux élevés de symptômes d'anxiété / dépression. Les analyses ont aussi révélé que le parentage soutenant l'autonomie était lié à l'AR des enfants aux requêtes, un an plus tard. En revanche, le contrôle psychologique manifeste et dissimulé ont eu des effets délétères sur l'AR. Enfin, seul le contrôle dissimulé a augmenté les probabilités de présenter des niveaux plus élevés de problèmes intériorisés et ce, au-delà de l’effet protecteur de l'AR des bambins. Des résultats mitigés sont issus de cette thèse concernant les effets respectifs des deux formes de contrôle sur les problèmes intériorisés, dépendamment de l'informateur (mère c. enseignant) et de la méthodologie (questionnaires c. données observationnelles). Toutefois, le contrôle psychologique dissimulé était lié à ce problème affectif dans les deux études. Enfin, le soutien à l'autonomie s’est révélé être un facteur de protection potentiel et mériterait d'être étudié davantage. / Parental psychological control is a well known risk factor for children’s internalizing problems (e.g., Affrunti & Ginsburg, 2012; McLeod, Wood & Weisz, 2007). According to self-determination theory, psychological control leads to internalizing problems (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) because it thwarts the basic need for autonomy. Indeed, receiving pressure to think, behave and feel in particular ways (Ryan, 1982) is thought to foster a too rigid and overcontrolled regulation (Ryan et al., 2006). Following Soenens and Vansteenkiste (2010), the conceptual distinction between overt (e.g., threats, physical force) and covert (e.g., overprotection, bribes) forms of psychological control was used when assessing parenting style (Study 1) and disciplinary practices (Study 2). Parental psychological control and autonomy support (Study 2) were measured during toddlerhood as (a) internalizing problems emerge early, (b) the budding sense of autonomy and agency is central during this period, perhaps (c) “pulling for” parental control. With its two articles, the present thesis aims to clarify how overt and covert psychological control relate to the early development of internalizing problems. Study 1 is a population study examining the relative impact of parenting style onto child anxiety developmental trajectories (N = 2120 children; 2.5- to 8-years-old) along a host of putative child, mother, and family risk factors measured in toddlerhood. Results revealed that in addition to child shyness, maternal depression and family dysfunction, both overt (i.e., coercive) and covert (i.e., overprotection) parenting increase the risk for higher child anxiety. An interaction between maternal depression and covert control was found, indicating that overprotection only increases child anxiety when maternal depression is high. Finally, maternal covert control also predicted second grade teacher reports of children’s anxiety. Study 2 is an observational study investigating how toddlers’ self-regulation (SR) relates to later internalizing symptoms, while also exploring how parental disciplinary practices (controlling and autonomy-supportive) relate to these child outcomes. Parental practices were coded during a clean-up request task at 2 years of age (“Do” context; N = 102), while toddlers’ self-regulation was coded in both a clean-up (“Do”) and an attractive toys prohibition (“Don’t”) contexts, at age 2 and 3. Their anxious/depressed symptoms were rated by parents at 4.5-years-old. Results revealed that SR to prohibitions at 3-years-old decreased the odds of children showing high levels of anxious/depressed symptoms. Analyses also revealed that autonomy-supportive parenting was positively related to child SR to requests one year later. In contrast, overt and covert controlling parenting had detrimental effects on SR. Finally, only covert control increased the odds of showing higher levels of internalizing problems, above the protective effects of toddlers’ SR skills. There were somewhat mixed results in this thesis for the respective effects of both forms of control onto internalizing problems, depending on informant (mother vs. teacher) and methodology (questionnaires vs. observational data). However, covert psychological control was related to this affective problem across both studies. Coding autonomy support revealed that it may be an indirect, protective factor that merits further investigation.
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La relation d’activation père-enfant, les problèmes intériorisés et l’anxiété chez les enfants d’âge préscolaire.

Gaumon, Sébastien 04 1900 (has links)
La relation d’activation père-enfant est une nouvelle théorisation du lien d’attachement au père faisant référence au pôle exploration. Cette relation se développe dès la deuxième année de l’enfant et principalement à travers les jeux physiques. La relation d’activation met prioritairement l’accent sur l’ouverture au monde et permet alors de répondre avant tout au besoin de l’enfant d’être stimulé et de se surpasser, venant compléter ses besoins de sécurité premiers. L’objectif de la présente thèse est d’étudier les liens entre la relation d’activation au père et le développement socio-affectif des enfants à l’âge préscolaire, plus précisément en matière de problèmes intériorisés (PI) et d’anxiété. Deux articles empiriques composent cette thèse. Le premier a été réalisé avec un échantillon de convenance composé de 51 dyades père-enfant. Les analyses démontrent les liens anticipés entre la sous-activation et les PI : les enfants sous-activés ont significativement plus de PI que les enfants activés. Également, l’association initialement observée entre le score d’activation et les PI reste significative même après avoir contrôlé pour certaines variables comme le sexe et le tempérament de l’enfant ainsi que les comportements parentaux. Plus les enfants étaient activés positivement dans leur relation avec leur père, moins ils présentaient de PI. Enfin, l’exploration des liens entre la relation d’activation et les sous-échelles des PI a révélé un lien unique avec l’anxiété. Le deuxième article a été réalisé avec 49 familles issues d’une population clinique (c.-à-d. service de pédopsychiatrie). Il est le premier à mettre en lien l’activation au père, l’attachement à la mère et l’anxiété chez l’enfant d’âge préscolaire. Les analyses confirment les résultats déjà existants en matière d’attachement mère-enfant et d’anxiété; ce sont les enfants insécurisés, plus précisément les enfants insécurisés-ambivalents et insécurisés-désorganisés-contrôlants du sous-type caregiving qui présentent le plus d’anxiété. Les hypothèses concernant les liens entre l’anxiété et l’activation ne sont quant à elles pas confirmées. Enfin, un effet de modération de la relation d’activation père-enfant est mis en évidence sur l’association entre l’attachement à la mère et l’anxiété chez l’enfant; la relation d’activation peut être considérée comme un facteur de protection ou de risque. Les résultats de la présente thèse sont discutés à la lumière de la théorie de l’attachement et de deux modèles étiologiques de l’anxiété (c.-à-d. modèle de psychopathologie développementale et modèle évolutionniste). Cette thèse pourrait mener au développement de programmes de prévention et d’intervention qui prendraient en considération les deux figures parentales. / The father-child activation relationship is a new theorization of a child’s attachment to the father, which emphasizes the «exploration» pole. This relation begins during the second year of life and especially develops through physical play. The activation relationship primarily focuses on the child’s openness to the world, and enables the father to respond specifically to the child’s need to be stimulated and to overcome personal limits, in turn satisfying the child’s need for emotional security. The main goal of this thesis is to study the links between the activation to the father and the socio-affective development of the child at preschool age, more specifically in terms of internalising disorders (IDs) and anxiety. This thesis is made up of two empirical articles. The first one used a convenience sample of 51 father-child dyads. Analyses demonstrated the existence of the anticipated link between underactivation and IDs: underactivated children had significantly more IDs than activated children. Furthermore, the association between activation scores and IDs was significant after controlling for variables such as the child’s gender and temperament, as well as parental behaviour. The more positively activated children were in their relationship with their father, the fewer internalising disorders they displayed. The exploration of links between the activation relationship and ID subscales revealed a unique connection to anxiety. The second article was based on a sample of 49 families from a clinical population (i.e. child psychiatry department). This study is the first to explore the relationship between activation to the father, attachment to the mother and child anxiety at preschool age. Analyses confirmed the results already established in the literature about attachment to the mother and anxiety; insecure children, more specifically insecure-ambivalent and insecure-disorganized-controlling caregiving, present with more anxiety. Hypotheses about the links between anxiety and activation were not confirmed. Finally, a moderation effect of the father-child activation relationship on the association between attachment to the mother and child anxiety is demonstrated; the activation relationship can be considered a protective or risk factor. Results of the present thesis are discussed in terms of attachment theory, using two etiological models of anxiety (i.e. developmental psychopathology and evolutionist models). This thesis can lead to the development of prevention and intervention programs, which would take into account both parental figures.
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Étude longitudinale des liens prédictifs entre les traits de personnalité et les symptômes intériorisés à l'adolescence.

Gosselin, Marie-Joëlle 09 1900 (has links)
Cette étude longitudinale visait à vérifier si les traits de personnalité (selon le modèle en cinq facteurs, « Big Five ») au début de l’adolescence (12-13 ans) permettent de prédire les symptômes intériorisés deux ans plus tard (14-15 ans), en contrôlant pour le niveau initial de symptômes intériorisés ainsi que l’influence de plusieurs facteurs de risque connus. Les données employées proviennent d’une étude longitudinale prospective. L’échantillon compte 1036 adolescents provenant de huit écoles secondaires québécoises. Les adolescents ont répondu à un questionnaire autorévélé. Des modèles d’équations structurales ont d’abord démontré la pertinence de conceptualiser les symptômes intériorisés comme une variable latente. D’autres modèles ont démontré que certains traits de personnalité prédisent effectivement les symptômes intériorisés ultérieurs. Cependant, contrairement aux études effectuées auprès d’adultes, le rôle de la Stabilité émotionnelle et de l’Extraversion n’est pas significatif après que l’influence de facteurs de risque connus et du sexe ait été contrôlée. Ce sont plutôt le Contrôle et l’Amabilité qui sont significativement reliés aux symptômes intériorisés ultérieurs dans la présente étude. Les résultats soulignent également le rôle important des facteurs de risque liés aux relations avec les pairs. Finalement, des modèles d’équations structurales multi-groupes ont mis en évidence des différences sexuelles significatives dans les relations prédictives. Cette étude confirme que les traits de personnalité des adolescents peuvent jouer un rôle dans le développement des symptômes intériorisés, ce qui leur confère une pertinence théorique et clinique. / The goal of this longitudinal study was to determine if personality traits (according to the Big Five model) in early adolescence (12-13 years old) can predict internalizing symptoms two years later (14-15 years old), after controlling for the initial level of internalizing symptoms and the influence of various known risk factors. Data came from a prospective longitudinal study. The sample includes 1036 adolescents from eight high schools in the province of Quebec. Adolescents filled a self-reported questionnaire. Structural equation models first confirmed that internalizing symptoms can be conceptualized as a latent variable. Other models showed that some personality traits do predict subsequent internalizing symptoms. However, unlike adult studies, the role of Emotional stability and Extraversion is not significant after controlling for known risk factors and gender. In this study, it is rather Conscientiousness and Agreeableness which are significantly related to subsequent internalizing symptoms. Indeed, a low level of Conscientiousness and a high level of Agreeableness are significantly related to subsequent internalizing symptoms among adolescents. The results also confirmed the important role of peer relationships factors. Finally, multiple-group structural equation models showed significant gender-specific predictive relations. This study confirms that adolescents’ personality traits can play a role in the development of internalizing symptoms, which supports their relevance for both theory and clinical practice.
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La relation d’activation père-enfant, les problèmes intériorisés et l’anxiété chez les enfants d’âge préscolaire

Gaumon, Sébastien 04 1900 (has links)
No description available.
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Étude longitudinale des liens prédictifs entre les traits de personnalité et les symptômes intériorisés à l'adolescence

Gosselin, Marie-Joëlle 09 1900 (has links)
No description available.
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Associations entre les habitudes de vie et les problèmes intériorisés à l’enfance : une analyse de profils latents

Imbeault, Arianne 08 1900 (has links)
Contexte. Selon les directives de Mouvement 24 heures adoptées par le gouvernement du Canada, l’équilibre de trois habitudes de vie (activité physique, temps d’écran et sommeil) serait la clé pour une meilleure santé physique et psychologique. Plusieurs enfants ne respecteraient pas ces directives. L’adoption d’habitudes de vie problématiques à l’enfance serait liée prospectivement, entre autres, à l’apparition de problèmes intériorisés. Inversement, il semblerait que les problèmes intériorisés soient également associés prospectivement à l’adoption d’habitudes de vie problématiques à l’enfance. Bien que la tendance soit à considérer les habitudes de vie de façon conjointe, très peu d’études ont fait cet exercice. De plus, très peu d’études longitudinales ont vérifié les liens entre les problèmes intériorisés et les habitudes de vie à l’enfance. Objectifs. (1) Identifier les profils d’habitudes de vie à 10 ans en utilisant des indicateurs d’activité physique, de temps d’écran et de sommeil. (2) Examiner si les problèmes intériorisés à 8 ans prédisent l’appartenance aux profils d’habitudes de vie. (3) Examiner si les enfants qui composent chacun des profils d’habitudes de vie se distinguent en termes de problèmes intériorisés à 12 ans. Méthode. Les données utilisées sont celles de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec. L’échantillon utilisé pour dériver les profils est composé de 1334 enfants. Les habitudes de vie à 10 ans ont été rapportées par les mères. Les problèmes intériorisés à 8 ans ont été rapportés par les mères et les enseignants, puis par les enfants à 12 ans. Ces données ont été collectées par questionnaires. Les profils ont été dérivés empiriquement par une analyse de profils latents. Des régressions logistiques multinomiales et des analyses de covariance ont été faites pour tester les associations entre les problèmes intériorisés et les profils. Résultats. Quatre profils ont été trouvés : (1) Habitudes de vie équilibrées (43 %), (2) Habitudes de vie moyennes (38 %), (3) Habitudes de vie inactives (15%) et Habitudes de vie très inactives (4 %). Les problèmes intériorisés à 8 ans ne prédisent pas l’appartenance aux profils d’habitudes de vie à 10 ans. Toutefois, l’appartenance au profil Habitudes de vie très inactives prédit un niveau élevé de sentiments dépressifs à 12 ans à comparer aux enfants du profil Habitudes de vie équilibrées. Implications. Les programmes gouvernementaux comme le Mouvement 24 heures visant à augmenter le niveau d'activité physique et à réduire le temps d'écran chez les jeunes seraient bénéfiques pour leur bien-être psychologique. Par ailleurs, l’ajout d’une composante d’activité physique aux programmes visant à diminuer les sentiments dépressifs chez les jeunes serait à encourager. / Context. According to the 24-Hour Movement guidelines adopted by the government of Canada, a balanced lifestyle regarding physical activity, screen time, and sleep is essential for a better physical and psychological health. Many children do not follow these guidelines. The adoption of an unhealthy lifestyle in childhood is prospectively linked, among other things, to internalizing problems such as depressive symptoms and anxiety. Conversely, internalizing problems are also prospectively associated with an unhealthy lifestyle in childhood. Very few studies have examined the specific effects of physical activity, screen time, and sleep when modelled jointly. In addition, very few longitudinal studies have examined the links between internalizing problems and lifestyle in childhood. Objectives. (1) To identify lifestyle profiles at 10 years old using indicators of physical activity, screen time, and sleep. (2) To examine the association between internalizing problems (depressive symptoms and anxiety) at 8 years old and lifestyle profiles membership at 10 years old. (3) To compare children according to profile membership in order to examine the differences in terms of internalizing problems at 12 years old. Method. Data are from the Québec Longitudinal Study of Child Development. The sample used to derive lifestyle profiles at age 10 included 1334 children. Physical activity, screen time and sleep were reported by mothers. Internalizing problems at age 8 were reported by mothers and teachers, then by children at age 12. All data were collected by questionnaires. The profiles have been derived empirically by a latent profile analysis. Multinomial logistic regressions and covariance analysis were conducted to test the associations between internalizing problems and profiles. Results. Four lifestyle profiles at age 10 were found among our sample: (1) Balanced lifestyle (43 %), (2) Average lifestyle (38 %), Inactive lifestyle (15 %), and Very inactive lifestyle (4 %). Internalizing problems at age 8 did not predict profile membership, whereas, children in the Very inactive lifestyle profile had significantly more depressive symptoms at age 12 compared to children in the Balanced lifestyle. Implications. In line with our hypothesis, children with an inactive lifestyle in childhood are at risk of elevated depressive symptoms in early adolescence. Therefore, governmental programs such as the 24-Hour Movement which aim to increase the levels of physical activity and decrease screen time in youth are beneficial for their psychological well-being. Furthermore, a physical activity component should be added to programs that aim to reduce depressive symptoms in youth.
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Parenting, self-regulation and childhood anxiety : A Self-Determination Theory perspective

Laurin, Julie 10 1900 (has links)
Le contrôle psychologique parental est un facteur de risque réputé pour les problèmes intériorisés des enfants (p. ex., Affrunti & Ginsburg, 2011; McLeod, Wood & Weisz, 2007). Selon la Théorie de l'auto-détermination, le contrôle psychologique mène aux problèmes intériorisés (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) car il brime le besoin fondamental d'autonomie. En effet, recevoir de la pression afin de penser, se comporter et se sentir d’une certaine façon (Ryan, 1982) semble favoriser une régulation trop rigide et surcontrôlée (Ryan et al., 2006). Suite aux travaux de Soenens et Vansteenkiste (2010), la distinction conceptuelle entre deux formes de contrôle psychologique, soit manifestes (p. ex., les menaces, forcer physiquement) et dissimulées (p. ex., la surprotection, le marchandage), ont été utilisées pour évaluer le style parental (Étude 1) et les pratiques disciplinaires (Étude 2). Le contrôle psychologique parental et le soutien de l'autonomie (Étude 2) ont été mesurés durant la petite enfance puisque (1) les problèmes intériorisés émergent tôt, (2) le développement du sentiment d'autonomie est central au cours de cette période, et (3) attire probablement plus de contrôle psychologique parental. Avec ses deux articles, la présente thèse vise à clarifier la façon dont le contrôle psychologique manifeste et dissimulé est lié au développement précoce de problèmes intériorisés. L'étude 1 est une étude populationnelle examinant l'impact relatif du style parental sur des trajectoires développementales d'anxiété (N = 2 120 enfants; de 2,5 à 8 ans) avec de nombreux facteurs de risque potentiels provenant de l'enfant, de la mère et de la famille, tous mesurés au cours de la petite enfance. Les résultats ont montré qu'en plus de la timidité des enfants, de la dépression maternelle et du dysfonctionnement familial, le contrôle psychologique manifeste (c.-à-d., coercitif) et dissimulé (c.-à-d., la surprotection) augmentent le risque, pour les enfants, de suivre une trajectoire d'anxiété élevée. Une interaction entre la dépression maternelle et le contrôle dissimulé a été trouvée, ce qui indique que la surprotection augmente l'anxiété des enfants seulement lorsque la dépression maternelle est élevée. Enfin, le contrôle dissimulé prédit également l'anxiété telle que rapportée par les enseignants de deuxième année. Le deuxième article est une étude observationnelle qui examine comment l'autorégulation (AR) des bambins est liée au développement précoce des symptômes intériorisés, tout en explorant comment les pratiques disciplinaires parentales (contrôle et soutien de l'autonomie) y sont associées. Les pratiques parentales ont été codifiées lors d'une requête de rangement à 2 ans (contexte "Do", N = 102), tandis que l'AR des bambins a été codifiée à la fois durant la tâche de rangement ("Do") et durant une tâche d'interdiction (ne pas toucher à des jouets attrayants; contexte «Don't » ), à 2 ans puis à 3 ans. Les symptômes d'anxiété / dépression des enfants ont été évalués par leurs parents à 4,5 ans. Les résultats ont révélé que l'AR aux interdictions à 3 ans diminue la probabilité des enfants à manifester des taux élevés de symptômes d'anxiété / dépression. Les analyses ont aussi révélé que le parentage soutenant l'autonomie était lié à l'AR des enfants aux requêtes, un an plus tard. En revanche, le contrôle psychologique manifeste et dissimulé ont eu des effets délétères sur l'AR. Enfin, seul le contrôle dissimulé a augmenté les probabilités de présenter des niveaux plus élevés de problèmes intériorisés et ce, au-delà de l’effet protecteur de l'AR des bambins. Des résultats mitigés sont issus de cette thèse concernant les effets respectifs des deux formes de contrôle sur les problèmes intériorisés, dépendamment de l'informateur (mère c. enseignant) et de la méthodologie (questionnaires c. données observationnelles). Toutefois, le contrôle psychologique dissimulé était lié à ce problème affectif dans les deux études. Enfin, le soutien à l'autonomie s’est révélé être un facteur de protection potentiel et mériterait d'être étudié davantage. / Parental psychological control is a well known risk factor for children’s internalizing problems (e.g., Affrunti & Ginsburg, 2012; McLeod, Wood & Weisz, 2007). According to self-determination theory, psychological control leads to internalizing problems (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) because it thwarts the basic need for autonomy. Indeed, receiving pressure to think, behave and feel in particular ways (Ryan, 1982) is thought to foster a too rigid and overcontrolled regulation (Ryan et al., 2006). Following Soenens and Vansteenkiste (2010), the conceptual distinction between overt (e.g., threats, physical force) and covert (e.g., overprotection, bribes) forms of psychological control was used when assessing parenting style (Study 1) and disciplinary practices (Study 2). Parental psychological control and autonomy support (Study 2) were measured during toddlerhood as (a) internalizing problems emerge early, (b) the budding sense of autonomy and agency is central during this period, perhaps (c) “pulling for” parental control. With its two articles, the present thesis aims to clarify how overt and covert psychological control relate to the early development of internalizing problems. Study 1 is a population study examining the relative impact of parenting style onto child anxiety developmental trajectories (N = 2120 children; 2.5- to 8-years-old) along a host of putative child, mother, and family risk factors measured in toddlerhood. Results revealed that in addition to child shyness, maternal depression and family dysfunction, both overt (i.e., coercive) and covert (i.e., overprotection) parenting increase the risk for higher child anxiety. An interaction between maternal depression and covert control was found, indicating that overprotection only increases child anxiety when maternal depression is high. Finally, maternal covert control also predicted second grade teacher reports of children’s anxiety. Study 2 is an observational study investigating how toddlers’ self-regulation (SR) relates to later internalizing symptoms, while also exploring how parental disciplinary practices (controlling and autonomy-supportive) relate to these child outcomes. Parental practices were coded during a clean-up request task at 2 years of age (“Do” context; N = 102), while toddlers’ self-regulation was coded in both a clean-up (“Do”) and an attractive toys prohibition (“Don’t”) contexts, at age 2 and 3. Their anxious/depressed symptoms were rated by parents at 4.5-years-old. Results revealed that SR to prohibitions at 3-years-old decreased the odds of children showing high levels of anxious/depressed symptoms. Analyses also revealed that autonomy-supportive parenting was positively related to child SR to requests one year later. In contrast, overt and covert controlling parenting had detrimental effects on SR. Finally, only covert control increased the odds of showing higher levels of internalizing problems, above the protective effects of toddlers’ SR skills. There were somewhat mixed results in this thesis for the respective effects of both forms of control onto internalizing problems, depending on informant (mother vs. teacher) and methodology (questionnaires vs. observational data). However, covert psychological control was related to this affective problem across both studies. Coding autonomy support revealed that it may be an indirect, protective factor that merits further investigation.
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Participation au Programme Équipe et symptômes intériorisés chez l’enfant : effets médiateurs des pratiques parentales et des symptômes extériorisés

Fortin, Marie-Jeanne 06 1900 (has links)
Les problèmes intériorisés, comprenant principalement les problèmes d’anxiété et de dépression, sont des conditions ayant de multiples conséquences pour les personnes touchées (p.ex. : détresse, fatigue importante, difficultés fonctionnelles). Malgré cela, peu d’interventions visent la prévention de ces difficultés à la petite enfance. Plusieurs facteurs pourraient être associés au développement des symptômes intériorisés entre 0 et 5 ans, dont les pratiques parentales et les problèmes extériorisés. Quelques auteurs suggèrent que les programmes de prévention et d’intervention visant la promotion de pratiques parentales adéquates et la diminution des troubles extériorisés en bas âge pourraient permettre la réduction des symptômes intériorisés. La présente étude a pour objectif d’examiner le lien entre la participation au Programme Équipe, un programme préventif visant les pratiques parentales, et les symptômes intériorisés des enfants. Afin de bien comprendre les processus sous-tendant cette relation, les rôles médiateurs des pratiques parentales et les symptômes extériorisés seront examinés. De plus, le rôle modérateur du sexe sera testé afin de voir si les liens diffèrent pour les filles et les garçons. Pour ce faire, 162 familles comptant des enfants de 4 ou 5 ans ont été recrutées pour participer à cette étude expérimentale (participants randomisés dans les groupes intervention et contrôle). Les résultats obtenus dans des analyses de régression linéaire soutiennent que la participation au Programme Équipe tend à prédire une amélioration de l’encadrement et le niveau de soutien à l’autonomie offert par les parents. Des analyses subséquentes d’effets indirects suggèrent que le renforcement de l’encadrement serait associé à une diminution des problèmes de comportements et des symptômes intériorisés. Ces résultats appuient donc la pertinence d’offrir des programmes préventifs dans la diminution des problèmes intériorisés même s’ils ont pour but initial la réduction des problèmes extériorisés à la petite enfance. / Internalizing problems, including anxiety and depression problems, are associated with a range of negative consequences. Despite this, there are only a limited number of interventions that aim to prevent these difficulties in early childhood. Several factors are associated with the development of internalizing symptoms between 0 and 5 years of age, including parenting practices and externalized problems. Some authors suggest that prevention and intervention programs aimed at promoting adequate parenting practices and reducing externalizing symptoms at a young age could reduce internalizing symptoms. The objective of this study is to examine the link between participation in the Équipe Program (COPE in English), a preventive program targeting parenting practices, and internalizing symptoms in children. In order to fully understand the processes underlying this relationship, the mediating role of parenting practices and the externalizing symptoms will be examined. In addition, the moderating role of sex will be tested to see if associations are different for girls and boys. For this, 162 families with children aged 4 or 5 were recruited to participate in a small experimental trial (participants randomized to either the Équipe intervention or a no-intervention control group). The results obtained in linear regression analysis support that participation in the Équipe Program is associated with an improvement in parenting practices related to the discipline and level of autonomy offered by the parents. Subsequent analyzes of indirect effects suggest that the strengthening of adequate discipline is associated with a decrease in behavioral problems and internalizing symptoms. These results support therefore the relevance of offering preventive programs in reducing internalizing problems even if their initial goal is to reduce externalized problems in early childhood.
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Interaction entre le stress parental maternel et paternel en lien avec les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés de l’enfant

Lapolice Thériault, Rose 08 1900 (has links)
De nombreuses études montrent une association robuste entre le stress parental et les difficultés socioaffectives de l’enfant. Toutefois, la majorité de ces études ont seulement pris en considération le stress parental de la mère en omettant complètement de considérer celui du père. Bien que les pères soient de plus en plus inclus dans la littérature, plusieurs études récentes sur le stress parental déplorent l’absence de données paternelles. Pourtant, il est bien établi que les pères s’investissent de façon importante dans le développement de leurs enfants et qu’ils peuvent ressentir des niveaux de stress parental comparables à ceux des mères. Ainsi, l’objectif de la présente étude était d’examiner l’association entre le stress parental des deux parents et le développement de problèmes de comportement extériorisés et intériorisés chez l’enfant. L’interaction entre le stress parental paternel et maternel a également été vérifiée dans l’association avec les problèmes de comportement de l’enfant. L’échantillon de l’étude était composé de 157 enfants et leurs parents. Afin d’évaluer leurs niveaux de stress parental, les deux parents ont complété le Parental Stress Index- Short Form alors que leur enfant était âgé de 18 mois. Ils ont ensuite évalué la sévérité des problèmes extériorisés et intériorisés chez leur enfant alors qu’il était âgé de 4 ans, à l’aide du Child Behavior Checklist. Les résultats suggèrent que seul le stress parental paternel prédit la sévérité des problèmes extériorisés (mais non intériorisés) chez l’enfant. Les résultats suggèrent également une interaction entre le stress parental du père et de la mère, de sorte que l’association entre le stress paternel et les comportements extériorisés diminue à mesure que le stress maternel augmente. En somme, la présente étude souligne le rôle du stress paternel quant au développement socioaffectif de l’enfant, particulièrement pour les problèmes extériorisés. / Numerous studies highlight a robust association between parenting stress and child socioemotional difficulties. However, the majority of these studies have only considered maternal parenting stress, failing to consider paternal stress. Although fathers are increasingly considered in recent literature, several recent studies on parenting stress note the absence of paternal data. Yet, it is well established that fathers are involved in their children's development and experience levels of parenting stress comparable to those of mothers. Thus, the purpose of the present study was to examine the association between both parents’ parenting stress and child externalizing and internalizing behavior problems. The interaction between paternal and maternal parenting stress was also examined in association with child behavior problems. The study sample consisted of 157 children and their parents. To assess their levels of parenting stress, both parents completed the Parental Stress Index-Short Form when their child was 18 months old. They then assessed their child’s externalizing and internalizing behaviors when children were 4 years old, using the Child Behavior Checklist. The results suggest that only paternal parenting stress predicts subsequent child externalizing (though not internalizing) behaviors. The results also suggest an interaction between paternal and maternal parenting stress, such that the association between paternal stress and externalizing behaviors decreases as maternal stress increases. In sum, this study underscores the role that paternal stress may play in child socio-emotional development, particularly in the development of externalizing behaviors.
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L'association entre l'intelligence et la santé mentale en petite enfance : études issues d'une population clinique

Labelle, Fannie 06 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / Les troubles de santé mentale représentent un enjeu important pour la société et peuvent se manifester dès la petite enfance. Plusieurs facteurs peuvent jouer un rôle important dans l’adaptation actuelle et future de ces jeunes enfants. Cette thèse se centre principalement sur le rôle de l’intelligence auprès d’une population d’enfants marqués par des difficultés sévères. Il importe de comprendre pourquoi certains enfants fonctionnent mieux que d’autres et comment l’intelligence peut avoir un impact sur ce plan. Les résultats de l’étude 1 ont bonifié ceux des recherches précédentes, montrant que les enfants d’âge préscolaire présentant divers troubles mentaux ont, en moyenne, un développement intellectuel altéré, plus particulièrement dans le domaine verbal. Les capacités intellectuelles pouvaient se regrouper en 4 catégories similaires. Trois d’entre elles étaient caractérisées par des capacités intellectuelles globales soient faibles, moyennes ou élevées. Le dernier groupe était caractérisé par un déficit verbal. Les résultats ont également révélé que les diagnostics des enfants n’étaient pas liés à un profil d’intelligence spécifique. Les résultats de l’étude 2 ont montré que les enfants présentant des difficultés langagières expressives ou réceptives légères avaient plus de problèmes de comportement extériorisés que les enfants présentant des difficultés langagières sévères. De plus, les enfants avec des difficultés langagières expressives légères présentent davantage de problèmes de comportements intériorisés, alors qu’aucune association n’a été trouvée pour les difficultés langagières réceptives. Cependant, l'intelligence non-verbale n'a pas modéré l'association entre le langage et les problèmes de comportement. Les implications théoriques et pratiques de cette thèse pour les enfants et les personnes les accompagnant, de même que ses limites et des directions pour des recherches futures, sont discutées. / Mental health disorders are an important issue for society, and can manifest in early childhood. Several factors can play an important role in the current and future adaptation of these young children. This thesis focuses primarily on the role of intelligence in a population of children marked by severe difficulties. It is therefore essential to understand why some children adapt better than others and how intelligence can have an impact. Results from study 1 enhanced those of previous research by showing that preschool children with various mental disorders generally have impaired intellectual development, particularly in the verbal domain. Intellectual abilities could be grouped into 4 similar categories. Three of these were characterized by either low, medium or high overall intellectual ability. The last group was characterized by a verbal deficit. The results also revealed that the children's diagnoses were not related to a specific intelligence profile. Results from study 2 showed that children with mild expressive or receptive language difficulties had more externalizing behavior problems than children with severe language difficulties. Moreover, children with mild expressive language difficulties had more internalizing behavior problems, while no association was found for receptive language difficulties. However, non-verbal intelligence did not moderate the association between language and behavioural problems. Theoretical and practical implications of this thesis for children and carers, as well as its limitations and directions for future research, are discussed.

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