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Étude des retraits de cote en France : une analyse du devenir des entreprises depuis leur introduction en bourse / A study of delisting in France : an analysis of firm’s future after IPONguyen, Phuc Quynh Nhu 08 December 2016 (has links)
Cette thèse est pour objectif d’étudier les facteurs explicatifs du retrait de cote. Prenant appui sur la théorie de l’agence et sur la théorie du signal, nous cherchons à identifier les facteurs, au moment de l’IPO, qui peuvent avoir une influence sur la probabilité de retrait de cote des entreprises. De cette manière, nous prenons en compte le cycle de vie des entreprises depuis leur IPO jusqu’à leur eventuel retrait de cote afin d’identifier les facteurs à l’origine du retrait. L’échantillon est composé de 187 entreprises francaises introduites en bourse entre 2000 et 2008. Parmi ces entreprises, la proportion des entreprises retirées est d’environ 10,2 % et 24,6 % pour raisons économiques et non-économiques. Enfin, 65,2 % des entreprises restent cotées à la fin de l’année 2013. Trois principaux résultats sont mis en évidence. Premièrement, les résultats obtenus suggèrent que la qualité de l’IPO est le principal facteur justifiant les retraits de cote qu’ils soient pour raisons économiques ou non-économiques. Deuxièmement, les résultats montrent que la probabilité de retrait de cote (la durée de cotation) des entreprises retirées pour raisons économiques est négativement (postivement) impactée par : i) la présence des actionnaires institutionnels et familiaux ; ii) la taille du conseil et iii) la réputation de la banque introductrice. Au contraire, une gestion aggressive des résultats au moment de l’IPO et le niveau de sous-évaluation iniale vont augmenter (diminuer) la probabilité de retrait de cote (la durée de cotation) de ces entreprises. Troisièmement, nous constatons que la probabilité de retrait de cote (la durée de cotation) des entreprises retirées pour raisons non-économiques diminue (augmente) avec la réputation de la banque introductrice. En revanche, une grande proportion de capital cédée par les dirigeants lors de l’IPO va augmenter (diminuer) la probabilité de retrait de cote (la durée de cotation) de ces entreprises. / The main objective of this thesis is to study the determinants of delisting. Based on both agency theory and signal theory, we examine the main factors, at the time of IPO that could influence delisting. Therefore, we take into account the entire cycle of firms’ life from their IPO to their delisting for the purpose of identifying the determinants of delisting. The sample consists of 187 IPO firms listed on the French stock exchange between 2000 and 2008. Among these firms, the percentage of delisted firms is about 10.2% and 24.6% for economic reasons and non-economic reasons, respectively. Finally, 65.2% of firms are still listed on the market by the end of 2013. Our study highlights three major findings. First, the results show that the IPO quality is the most important driving factor of delisting (for both economic reasons and non-economic reasons). Second, findings show that the probability of delisting (listing duration) for economic reasons are negatively (positively) associated with: i) the presence of institutional and family’s shareholders; ii) board size and iii) the underwriter’s reputation. In contrast, an aggressive earnings management at the time of IPO and the underpricing level will increase (decrease) the probability of delisting (listing duration) for economic reasons. Third, we find that the probability of delisting (listing duration) for non-economic reasons decrease (increase) with the underwriter’s reputation. On the other hand, a large proportion of capital sold by managers at the time of IPO will increase (decrease) the probability of delisting (listing duration) for non-economic reasons.
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La performance et la sous-évaluation des introductions en bourse : étude des déterminants et des effets de la cotation sur le marché Euronext Paris / The performance and underpricing of ipo's : study of the determinants and effects of listing on Euronext Paris marketAbdallah, Oussama 31 January 2014 (has links)
Au cours de cette thèse, nous présenterons les effets de l'introduction en bourse de titres appartenant au secteur technologique. Exploration qui porte sur la période 1997 - 2008 selon un positionnement théorique puis un développement des hypothèses. Nous conclurons par la validation empirique de nos échantillons. Les méthodes les plus usuelles seront exploitées quant à la détection des rendements à long terme, temps événementiels ou calendaire, tout en prenant en compte la sensibilité des modes de calcul de la performance et méthodes d'évaluation des rendements attendus dans l'obtention et analyse des résultats. Ces derniers, reflet de problèmes statistiques, seront dès lors, soumis aux solutions préconisées dans la littérature scientifique. Aussi, compte tenu des spécificités du marché français, nous nous appuierons sur le modèle à trois facteurs de Fama & French, démonstration par le résultat selon le coefficient beta, de valeurs de constante presque nulles et non significatives y compris sur les rendements excédentaires. Enfin, sera souligné le déclin des performances opérationnelles des firmes sur le marché Euronext Paris selon un portefeuilles de référence. Phénomène dû à une fenêtre d'opportunité lors de l'introduction en bourse coïncidant avec un pic de performance (rentabilité économique et taux de marge économique) en période de pré-cotation. Ajoutons à cette cotation souvent accompagnée d'une forte croissance, une restructuration du bilan se traduisant par une baisse du taux d'endettement. / In this thesis, we present the effects of the IPO titles owned by the technology sector. Exploration which covers the period 1997-2008 according to a theorical positioning and development assumptions. We conclude with the empirical validation of our samples.
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Evaluation, information et perspectives industrielles lors des scissions de filiales par introduction en bourse / Valuation, Information and Industry Perspectives of Equity Carve-outsMashwani, Asad Iqbal 13 November 2015 (has links)
Nous étudions l’évaluation, l’information et les perspectives industrielles lors des scissions de filiales par introduction en Bourse (ECO). Dans notre première étude, nous estimons les effets de richesse aux différentes étapes d’une ECO et leur lien sur les rentabilités boursières anormales de la société mère de la filiale. Nous trouvons que c’est la période de construction du livre d’ordres de l’introduction en bourse qui permet au marché financier de mieux estimer les effets de richesse positifs pour la société mère. Dans notre second travail, nousavançons que les ECO sont effectuées dans les secteurs industriels où les firmes présentent des opportunités de croissance plus faibles en moyenne. Nous démontrons que les industries concernées par des ECO ont des performances opérationnelles (mesurées par la rentabilité d’exploitation, les liquidités générées et la margeopérationnelle) plus faibles. Nous montrons également que les fusions acquisitions réalisées dans les industries où une ECO a eu lieu durant les trois années précédentes créent moins de valeur pour l’offreur que les fusions acquisitions qui ne sont pas concernées par une ECO. La dernière étude de cette thèse analyse l’impact d’une ECO sur la divergence d’estimations des analystes financiers et sur le nombre d’analystes suivants la société mère. Nous trouvons que la divergence d’estimations et le nombre d’analystes augmentent après une ECO. / We study the valuation, information and industry perspectives of equity carve-outs. In our first paper, we study the wealth effect of equity carve-outs and its relationship with the abnormal returns to the parent firm. Using thisrelationship we find that during book-building period of equity carve-out, the returns to the parent firm can be used to pre-empt the wealth effect of equity carve-out. In our second paper, we argue that equity carve-outs, on average, are carried out in industries, where opportunities are low. We find that these industries have low operating performance, gauged on profitability, cash flow and profit margin compared to industries where there are no carve-outs. In addition to this evidence, we find that the merger and acquisition activities, in which targetsare in industries where carve-out activities happened in last three years before the M&A activity, bidders have less value created compared to mergers where the target industry has no carve-out activity. In our third paper, we analyze the impact of carve-outs on the divergence of belief and the number of analysts following the firm. We find that divergence of belief increases after a carve-out and number of analysts following the firm increases, also.
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La Valeur Informationnelle du Capital Immatériel : Application aux Entreprises Technologiques Nouvellement Introduites En Bourse (1997 – 2004)Bejar, Yosra 24 November 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse explore la valeur informationnelle du capital immatériel dans un contexte d'introduction en bourse. La démarche suivie pour argumenter cette thèse nous a conduits, dans une première partie, à justifier notre positionnement théorique et à développer nos hypothèses de recherches. Cette première étape nous a orientés vers l'étude de l'environnement des introductions en bourse, l'analyse des concepts qui entourent le capital immatériel et les facteurs qui influencent sa publication.<br />Nous avons construit une argumentation autour du rôle informationnel du capital immatériel dans les stratégies de signalisations des entreprises technologiques. Ces dernières, fortement dotées en immatériels et dépendantes d'équipes innovantes, se signaleraient au marché financier à travers un effort particulier de publication sur leur capital immatériel. La vérification empirique de cette problématique est développée dans la deuxième partie de la thèse. Elle nécessite la définition de l'effort de publication (emploi de la méthodologie Delphi) et sa quantification (construction d'un indice) pour pouvoir apprécier son impact sur l'évaluation de l'entreprise nouvellement introduite en bourse (étude de la sous évaluation et de la survie dans le long terme).
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Essays on the performance of initial public offerings / Essais sur la performance des introductions en bourseToumi, Narjess 21 June 2018 (has links)
Cette thèse est composée de trois essais qui étudient le déroulement des introductions en bourse. Dans le premier essai, nous examinons l’effet de la séparation propriété-contrôle sur la performance des offres publiques initiales (IPO) à long terme en France. En utilisant un échantillon de 351 entreprises françaises introduites en bourse sur la période 1997-2011, nous constatons que la séparation entre les droits de vote et les droits de propriété des actionnaires majoritaires est négativement associée à la performance à long terme des introductions en bourse. Cette constatation indique que les IPO ayant une structure de propriété dispersée sont moins performantes que les autres entreprises au cours de la période allant de 1 à 5 ans suivant l'offre initiale. Cette séparation incite les actionnaires dominants à retirer des avantages privés de contrôle au détriment des actionnaires minoritaires.Dans le deuxième essai, nous examinons le rôle des clauses de lock-up sur la précision des prévisions de résultat publiées dans le prospectus d'introduction en bourse. En utilisant un échantillon de 303 prévisions des entreprises françaises introduites en bourse entre 1997 et 2013, nous apportons la preuve que les introductions en bourse ayant plus d'actions à détenir, ainsi que celles qui choisissent des périodes de lock-up plus longues, sont plus susceptibles de divulguer des prévisions de résultats conservatrices et précises. Ces résultats sont robustes à un certain nombre de tests de sensibilité.Dans le troisième essai, nous étudions l'impact de la localisation géographique sur la sous-évaluation à court terme des introductions en bourse françaises. Les résultats montrent que les entreprises situées à proximité du centre financier parisien sont moins sous-estimées que les entreprises distantes. Ces résultats fournissent un support empirique à l'argument selon lequel l'incertitude sur la valeur des IPO augmente proportionnellement à la distance de Paris. En d'autres termes, la proximité géographique améliore la qualité des informations collectées sur les entreprises, ce qui réduit leurs coûts d'introduction en bourse et diminue le niveau des rendements initiaux. / This dissertation consists of three essays. In the first essay, we investigate whether the control-ownership divergence can explain IPO long-run performance in France. Using data from a sample of 351 French IPOs during 1997-2011, we find that the separation between ownership and control rights of the largest shareholder is negatively associated with long-term performance of French IPOs. This finding indicates that IPOs with disproportional ownership structure underperform other firms in the one- to five-year period following the initial offering. Such separation induces controlling shareholders to extract private benefits of control to the detriment of minority shareholders.In the second essay, we examine the effect of lockup agreements on management earnings forecasts in initial public offering (IPO) prospectuses. Using a sample of 303 forecasts of French firms that went public over the period 1997–2013, we find that IPOs with lockup clauses are more likely to disclose conservative profit forecasts. Moreover, we provide evidence that IPOs with more shares to lock up, as well as those selecting longer lockup periods, have more accurate management earnings forecasts. These results are robust to a number of sensitivity tests.In the third essay, we examine the impact of geographic location on the short–run underpricing of French initial public offerings (IPOs). The results show that firms located in close proximity to the financial centre, Paris, are less underpriced than distant ones. These findings provide empirical support to the argument that uncertainty about IPO value increases with distance from Paris. In other words, geographic proximity improves the quality of collected information on IPO firms, which lowers their costs of going public and decreases the level of initial returns.
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Structure du capital et performance des entreprises familiales françaises introduites en bourse / Capital structure and IPO performance of french family firmsAbi Saleh, Richard 08 October 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif d'analyser la structure du capital et la performance des entreprises familiales Françaises qui s'introduisent en Bourse. A partir d'un échantillon de 90 entreprises familiales appartenant à l'indice CAC All-Tradable de 2010 à 2013, nous constatons que la structure du capital des entreprises familiales est caractérisée par un faible niveau d'endettement avec une préférence pour l'endettement à court terme par rapport au long terme. De plus, la structure de capital des entreprises familiales vérifie les théories classiques du financement, l'hypothèse de ‘market timing', la théorie du ratio d'endettement optimal et de la théorie du financement hiérarchique. Ensuite, nous analysons les performances à court terme et à long terme des entreprises familiales françaises qui s'introduisent en Bourse. Les résultats montrent les différentes techniques d'expropriation employées par les propriétaires des entreprises familiales. A la date de l'introduction en bourse, la majorité des propriétaires des entreprises familiales sont à la fois les directeurs généraux et les présidents des conseils d'administration. Après l'introduction en bourse, les propriétaires des entreprises familiales détiennent environ 80% des droits des flux de trésorerie et nous constatons que la différence entre leurs droits aux flux de trésorerie et leurs droits de vote a augmenté. La sous-évaluation au premier jour est voisine de 2%, ce qui révèle que les entreprises familiales sont correctement évaluées lors de l'émission. Les entreprises familiales surperforment l'indice de marché dans les trois premiers mois de l'émission et après la troisième année. Nous trouvons aussi que le changement des droits de propriété et de contrôle avant et après l'introduction en Bourse explique les performances à court et à long terme contrairement aux mécanismes de gouvernance. / This thesis aims to analyze the capital structure and performance of French family firms going public. From a sample of 90 family firms belonging to CAC All-Tradable from 2010 to 2013, we find that the capital structure of family firms is characterized by a low level of debt with a preference for short-term debt relative to long-term debt. Moreover, the capital structure of family firms is in line with the classical theories of financing, the hypothesis of market timing, the theory of optimal debt ratio and the pecking order theory. Then we analyze the short-term and long-term performance of French family firms going public through Initial Public Offerings. The results show the different expropriation techniques employed by the family firms' owners. On the initial public offering date, the majority of family firms' owners are simultaneously CEOs and Chairmen of boards of directors. After going public, the family firms' owners hold around 80% of the firms' cash flow rights and we observe that the difference between their cash flow rights and their voting rights has increased. First-day underpricing is around 2% which shows that family firms are almost fairly priced upon issuance. The family firms outperform the market index in the first three months of issuance and after the third year. We also find that the ownership and control rights change from pre- to post-IPO date explains the short-term and long-term performance unlike governance mechanisms.
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Origines de la surperformance des introductions en bourse des sociétés financées par des capital-investisseurs : le cas français / Origins of the outperformance of venture backed initial public offerings : a French studyN'Dri, Kan Honorine 12 July 2010 (has links)
Cette recherche, s’intéressant à la relation contractuelle existant entre les capital-investisseurs et les entrepreneurs et chefs d’entreprise, notamment de PME, a pour objectif d’étudier la contribution réelle des capital-investisseurs à la performance de l’introduction en bourse des sociétés qu’ils financent. En nous appuyant sur deux perspectives de la théorie de la gouvernance, nous nous sommes intéressée aux déterminants du niveau d’implication des capital-investisseurs en matière de gouvernance et les effets de cette implication sur la performance de l’introduction en bourse des firmes financées. Sous une approche disciplinaire de la théorie de la gouvernance, la participation active des CI dans la gouvernance des firmes a pour principal objectif de minimiser les coûts d’agence qui peuvent réduire la création de richesse ; elle est essentiellement axée sur l’incitation et le contrôle des dirigeants. Aussi, la contribution des CI se limite à la mise en place de mécanismes de contrôle. Sous une approche cognitive de la théorie de la gouvernance, la contribution des capital-investisseurs renvoie à la participation de ces professionnels au processus de création de valeur des firmes financées en initiant une réelle dynamique d’échange de compétences complémentaires. Grâce à leur degré de spécialisation et d’expertise, ces derniers offrent une assistance particulière aux dirigeants consistant en l’apport de ressources « cognitives ». La partie empirique de la recherche consiste en une analyse quantitative basée sur un échantillon de travail constitué de plus de 500 introductions en bourse réalisées sur le marché français entre 1997 et 2005. Nous trouvons que l’intensité du contrôle exercé par les capital-investisseurs à travers le système de gouvernance est fonction positive du niveau de conflits d’intérêt potentiels et d’asymétrie informationnelle entre les investisseurs en capital et les entrepreneurs. Dans le modèle cognitif, l’importance des apports des CI en ressources cognitives par le biais du système de gouvernance est fonction des caractéristiques des capital-investisseurs, du degré de connaissance spécifique dans le secteur et du taux de participation des capital-investisseurs. Par ailleurs, la performance de l’introduction en bourse des entreprises financées apparaît être liée au système de gouvernance des sociétés soutenues. Notamment, le nombre de capital-investisseurs au sein de la syndication, la complémentarité des compétences des membres de la syndication, la diversité de compétences au sein du conseil d’administration aussi bien que le taux de conservation de titres des capital-investisseurs et le nombre d’années d’expérience des investisseurs en matière d’introduction en bourse sont autant de variables de gouvernance permettant d’expliquer la contribution des capital-investisseurs à la performance des introductions des sociétés financées. Ce travail réalise ainsi des apports aussi bien théoriques qu’empiriques. De plus, des recommandations managériales sont formulées. / In this thesis, we analyze the contractual relationship between private equity investors and entrepreneurs/managers of small and medium sized firms. More specifically, we focus on the real contribution of these financial intermediaries to the Initial Public Offering (IPO) performance of financed firms. While considering venture capitalists’ involvement in the governance of financed firms as the main explaining factor, we use the Corporate Governance theory as the relevant theoretical framework. Thus, we firstly point out the agency theory perspective and secondly the resource and knowledge based view perspective to examine the determinants of venture capitalists’ involvement and the impact of this active participation of private equity investors to financed firms’ performance. From the agency theory perspective, venture capitalists appear as active investors taking part in the governance of finance firms in order to reduce agency costs that may arise from the conflicts of interest existing between both parties. The governance structure aims at monitoring and inciting entrepreneurs to work in the company’s interests. In a resource and knowledge based view theories, these investors add more value to firms trough generating some additional knowledge, skills and facilitating knowledge transfer among parties. The entire creation process is therefore analyzed and the governance mechanisms appear as channels sustaining knowledge generation and transfer. In this sense, venture capitalists’ characteristics, such as their expertise and experience are more than critical to the success of IPOs. These two perspectives of venture capitalists’ contribution are tested from an empirical point of view through a sample gathering more than 500 IPOs occurring on the Financial French market in this period 1997- 2005. Our findings reveal that the monitoring role of venture capitalists through governance mechanisms is amplified by the level of information asymmetry and the degree of conflicting interests existing between both parties. While considering the resource and knowledge based views, it appears that venture capitalists may have a greater contribution depending on their expertise, experience, knowledge of the financed sector… In addition to these results, we find that the IPO performance of venture backed firms is correlated to the governance structure set up by these investors. The number of syndicated investors, the heterogeneity of skills between co-investors and the diversity of skills among board representatives appear as relevant governance factors related to the IPO performance of venture backed firms. Thus, this study contributes to the venture capital literature from a theoretical and empirical point of view. It also has some implications for the manager of small and medium sized firms.
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Trois essais sur les introductions en bourseDerrien, François 01 January 2002 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse consiste en trois essais. Ces essais sont largement indépendants, mais partagent une motivation commune: l'explication du comportement des titres émis sur les marchés d'actions, à court terme et à long terme. La littérature académique a mis en évidence un paradoxe: les titres émis semblent afficher des performances à court terme positives, et des performances boursières à long terme (de trois à cinq ans) médiocres. Le premier de ces essais porte sur la rentabilité des titres émis à court terme. On tente dans un premier temps de déterminer les variables qui influencent cette rentabilité. En utilisant un échantillon d'émissions réalisées entre 1992 et 1998 sur les marchés d'actions français, on montre que la variable qui al' impact le plus élevé sur cette rentabilité à court terme est une mesure des conditions de marché observées au moment de l'émission. Dans une deuxième partie, on étend l'analyse à la comparaison de l'efficience informationnelle des procédures d'introduction en bourse. On montre que la procédure de Placement Garanti, comparable au book-building américain, conduit à des niveaux de rentabilité initiale plus élevés qu'une procédure d'enchère, l'Offre à Prix Minimal, en particulier lorsque les conditions de marché sont très favorables. Ce résultat contredit la théorie de Benveniste et Spindt (1989), selon laquelle la procédure de book-building permet d'extraire l'information relative à la valeur des titres émis, grâce à la flexibilité qu'elle offre à l'intermédiaire en termes de choix du prix d'émission et d'allocation des titres. Malgré ses apparentes insuffisances, la procédure de book-building s'est imposée ces dernières années sur la plupart des principaux marchés d'actions. Le deuxième essai s'interroge donc sur l'attrait de cette procédure pour les acteurs essentiels des introductions en bourse: émetteurs, intermédiaires financiers et investisseurs institutionnels. On propose un modèle proche de celui de Benveniste et Spindt (1989), auquel on ajoute une hypothèse comportementale de conditions de marché. Dans le cadre proposé, le mécanisme d'extraction d'information proposé par Benveniste et Spindt (1989) est utile uniquement dans les conditions de marché défavorables, dans lesquelles le placement des titres est une tâche délicate. Au contraire, lorsque le marché est favorable, l'optimisme des investisseurs permet de choisir un prix d'émission élevé (par rapport à la valeur intrinsèque des titres) et garantit un placement aisé des titres. Ce modèle réconcilie également deux observations apparemment contradictoires: la rentabilité initiale positive des titres émis à court terme, et leurs mauvaises performances boursières à long terme. Des hypothèses dérivées du modèle proposé sont validées en utilisant un échantillon d'introductions en bourse récentes. Le troisième essai porte sur la deuxième partie du paradoxe évoqué précédemment: les performances à long terme décevantes des titres émis. Dans un premier temps, nous calculons les performances boursières d'un échantillon de 243 introductions en bourse sur une période de 36 mois suivant l'émission des titres, en utilisant plusieurs méthodologies. Les résultats obtenus ne nous permettent pas de conclure à une performance anormale des titres émis. Dans un second temps, nous analysons l'impact des caractéristiques de l'émission sur la performance boursière. Aucune des variables prises en. compte n'explique de façon significative la performance sur l'ensemble de l'horizon considéré. Ceci suggère que les prix d'émission choisis incorporent correctement en moyenne l'information connue au moment de l'introduction en bourse. En revanche, certaines anomalies sont mises à jour. Certaines sont connues. D'autres, comme la sous-performance des émissions réalisées par des firmes financées par des sociétés de capital-risque, sont en contradiction avec les résultats antérieurs.
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Performances des entreprises cotées et perspectives de croissance économique : cas de la bourse régionale des valeurs mobilières de l'Afrique de l'OuestZogning Nguimeya, Joseph Félix January 2009 (has links) (PDF)
Les pays africains de la zone franc ont entrepris, il y a maintenant deux décennies, des réformes de leurs secteurs financiers, avec pour ambition non seulement de restaurer les équilibres nécessaires à leur efficacité et la confiance des agents économiques envers les institutions financières, mais aussi de favoriser la mobilisation des épargnes et la diversification des canaux de financement. L'objectif final étant la relance d'une croissance économique stable et durable. Au sein de la zone UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine), le projet majeur au coeur de ces réformes fut la création d'un marché financier commun dont la mission est de doter les entreprises des moyens de financement à long terme, qui leur permettraient de réaliser leurs projets les plus productifs et d'accroitre leurs performances. L'autre mission dévolue à ce marché est d'attirer des capitaux étrangers dans la sous-région. Notre étude a pour but de déterminer si, une décennie après sa création, le marché financier a atteint ses objectifs en termes d'amélioration des performances des entreprises et de relance de la croissance économique. Globalement, nous observons que les entreprises cotées à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (Place boursière du marché financier de l'UEMOA) ont vu leurs performances opérationnelles s'améliorer, notamment au cours de la seconde moitié de la décennie. Le développement du marché boursier semble également avoir eu un impact positif sur la croissance économique de la Côte d'ivoire, Pays phare de l'Union, qui détient 34 des 38 entreprises cotées. Cependant, le marché n'a pas réussi à attirer des capitaux étrangers; mais à l'inverse, l'écrasante majorité des entreprises qui lèvent des fonds sur le marché financier de UEMOA sont des filiales des multinationales occidentales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Introduction en bourse, Croissance économique, Performance, Marché financier, Entreprises cotées.
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Origines de la surperformance des introductions en bourse des sociétés financées par des capital-investisseurs : le cas françaisN'dri, Kan Honorine 12 July 2010 (has links) (PDF)
Cette recherche, s'intéressant à la relation contractuelle existant entre les capital-investisseurs et les entrepreneurs et chefs d'entreprise, notamment de PME, a pour objectif d'étudier la contribution réelle des capital-investisseurs à la performance de l'introduction en bourse des sociétés qu'ils financent. En nous appuyant sur deux perspectives de la théorie de la gouvernance, nous nous sommes intéressée aux déterminants du niveau d'implication des capital-investisseurs en matière de gouvernance et les effets de cette implication sur la performance de l'introduction en bourse des firmes financées. Sous une approche disciplinaire de la théorie de la gouvernance, la participation active des CI dans la gouvernance des firmes a pour principal objectif de minimiser les coûts d'agence qui peuvent réduire la création de richesse ; elle est essentiellement axée sur l'incitation et le contrôle des dirigeants. Aussi, la contribution des CI se limite à la mise en place de mécanismes de contrôle. Sous une approche cognitive de la théorie de la gouvernance, la contribution des capital-investisseurs renvoie à la participation de ces professionnels au processus de création de valeur des firmes financées en initiant une réelle dynamique d'échange de compétences complémentaires. Grâce à leur degré de spécialisation et d'expertise, ces derniers offrent une assistance particulière aux dirigeants consistant en l'apport de ressources " cognitives ". La partie empirique de la recherche consiste en une analyse quantitative basée sur un échantillon de travail constitué de plus de 500 introductions en bourse réalisées sur le marché français entre 1997 et 2005. Nous trouvons que l'intensité du contrôle exercé par les capital-investisseurs à travers le système de gouvernance est fonction positive du niveau de conflits d'intérêt potentiels et d'asymétrie informationnelle entre les investisseurs en capital et les entrepreneurs. Dans le modèle cognitif, l'importance des apports des CI en ressources cognitives par le biais du système de gouvernance est fonction des caractéristiques des capital-investisseurs, du degré de connaissance spécifique dans le secteur et du taux de participation des capital-investisseurs. Par ailleurs, la performance de l'introduction en bourse des entreprises financées apparaît être liée au système de gouvernance des sociétés soutenues. Notamment, le nombre de capital-investisseurs au sein de la syndication, la complémentarité des compétences des membres de la syndication, la diversité de compétences au sein du conseil d'administration aussi bien que le taux de conservation de titres des capital-investisseurs et le nombre d'années d'expérience des investisseurs en matière d'introduction en bourse sont autant de variables de gouvernance permettant d'expliquer la contribution des capital-investisseurs à la performance des introductions des sociétés financées. Ce travail réalise ainsi des apports aussi bien théoriques qu'empiriques. De plus, des recommandations managériales sont formulées.
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