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Le système vocalique chez les enfants bilingues français/japonais : comparaison avec les monolingues

Fukushi, Mami January 2008 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire est de faire l'analyse acoustique des cinq voyelles /a/, /i/, /u/, /e/, /o/ du français et du japonais produites par les enfants bilingues français/japonais simultanés âgés de 5 ans, en les comparant avec les données des enfants monolingues francophones et japonophones. Grâce à l'analyse acoustique, quelques études montrent une différence entre les enfants monolingues et les enfants bilingues simultanés dans la production du VOT de deux langues ambiantes. À notre connaissance, il n'y a pas d'études acoustiques portant sur le système vocalique des enfants bilingues simultanés, qui est probablement différent de celui des monolingues à cause de leur input linguistique qui est plus riche. Nous avons demandé à 5 enfants bilingues français/japonais de répéter 3 fois 15 mots bisyllabiques français et 15 mots bisyllabiques japonais (pour un total de 30 mots) comportant les voyelles cibles, et avons comparé leurs productions à celles de 5 enfants monolingues français et de 5 enfant monolingues japonais. L'étude des données nous montre que le système vocalique des bilingues qui combine les 5 voyelles japonaises et les 16 voyelles françaises est effectivement différent de celui des monolingues. Nous avons trouvé un effet bidirectionnel: les voyelles françaises sont affectées par les voyelles japonaises et inversement. Les représentations articulatoires sont ici inférées des valeurs acoustiques. Surtout, nous avons pu observer que les représentations articulatoires des voyelles postérieures des deux langues sont très différentes d'un participant à l'autre chez les bilingues. Nous avons ensuite conclu que la grande variation individuelle montre un petit retard dans le développement phonologique chez les bilingues à cause de leur input linguistique qui est plus riche et plus complexe, car nous n'avons pas constaté une telle différence individuelle chez les enfants monolingues. Nous avons également trouvé que les voyelles sont plus cloisonnées et compactes chez les bilingues que chez les monolingues, et qu'un participant particulièrement tend à bien cloisonner ses voyelles dans des espaces très réduits pour les deux langues. Étant donné que les adultes bilingues simultanés montrent le même effet (Guion 2003), il est possible que le système vocalique de ce participant soit plus développé; toutefois ses /u/ et /o/ français se chevauchent presque complètement au niveau de la qualité formantique. Le fait de ne pas distinguer le /u/ et le /o/ français pourrait-il être un phénomène en fin de développement chez les bilingues français/japonais simultanés ? Il nous faudrait étudier les adultes bilingues simultanés français/japonais qui vivent à Montréal pour répondre à cette question. Notre recherche a mis en évidence la stratégie adoptée par les bilingues vis-à-vis de leur input de deux langues. Ces découvertes contribuent à notre compréhension de la formation du système phonologique chez le bilingue simultané. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bilingue simultané, Système vocalique, Développement phonologique, Acquisition du langage, Japonais, Français.
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Effiziente Erkennung ostasiatischer Schriftzeichen /

Caesar, Torsten. January 1998 (has links)
Diss.--Gemeinsamen Fakultät für Maschinenbau und Elektrotechnik--Braunschweig--Technischen Universität Carolo-Wilhelmina, 1998. / Bibliogr. p. 149-156.
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Intersubjectivité : modulation et ajustement. Cas des marqueurs discursifs "hein", "quoi", "n'est-ce pas" en français et "darô", "yo", "ne", "yone" en japonais / Intersubjectivity : modulation and adjustment. case of the discourse markers "hein", "quoi", "n'est-ce pas" in French and "darô", "yo", "ne", "yone" in Japanese

Noda, Hiroko 29 June 2011 (has links)
Cette recherche vise à rendre compte du fonctionnement et des conditions d’emploi de quelques marqueurs discursifs, en relation avec la problématique de l’intersubjectivité. Elle s’inscrit dans le cadre théorique développé par A. Culioli « la Théorie des Opérations Prédicatives et Énonciatives ». Ce travail est consacré d’abord aux descriptions des emplois de hein, quoi et n'est-ce pas en français du point de vue distributionnel, sémantique, pragmatique et prosodique. L’analyse se fonde sur un corpus oral constitué de séquences tirées de film et d’émissions de télévision. L’étude porte également sur les descriptions des emplois de darô, yo, ne et yone en japonais qui sont des marqueurs comparables à hein ; elle se termine par une analyse comparative entre hein et les marqueurs japonais étudiés dans le but de montrer dans quelle mesure leur enjeux énonciatifs se recouvrent. Il s’avère que ces deux ensembles de marqueurs jouent un rôle crucial dans l’organisation des rapports intersubjectifs entre l’énonciateur et le coénonciateur / This research aims to account for the functions and the conditions of the usage of the discourse markers in connection to the problem of intersubjectivity. It falls within the theoretical framework developed by A. Culioli “Theory of Enunciative Operations”. This work is devoted primarily to the descriptions of the usage of hein, quoi and n’est-ce pas in French with the distributional, semantic, pragmatic and prosodic point of view. The analysis is based on a corpus consisting of the clips from film and television. The study is also concerned with the descriptions of darô, yo, ne and yone in Japanese which are comparable with the marker hein. It is followed by a comparative analysis between hein and these Japanese markers which shows how their enunciative issues intersect. It proves that all these markers play a very important part in the organization of the intersubjective relations between the enunciator and coenunciator
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Intersubjectivité : modulation et ajustement. Cas des marqueurs discursifs "hein", "quoi", "n'est-ce pas" en français et "darô", "yo", "ne", "yone" en japonais

Noda, Hiroko 29 June 2011 (has links) (PDF)
Cette recherche vise à rendre compte du fonctionnement et des conditions d'emploi de quelques marqueurs discursifs, en relation avec la problématique de l'intersubjectivité. Elle s'inscrit dans le cadre théorique développé par A. Culioli " la Théorie des Opérations Prédicatives et Énonciatives ". Ce travail est consacré d'abord aux descriptions des emplois de hein, quoi et n'est-ce pas en français du point de vue distributionnel, sémantique, pragmatique et prosodique. L'analyse se fonde sur un corpus oral constitué de séquences tirées de film et d'émissions de télévision. L'étude porte également sur les descriptions des emplois de darô, yo, ne et yone en japonais qui sont des marqueurs comparables à hein ; elle se termine par une analyse comparative entre hein et les marqueurs japonais étudiés dans le but de montrer dans quelle mesure leur enjeux énonciatifs se recouvrent. Il s'avère que ces deux ensembles de marqueurs jouent un rôle crucial dans l'organisation des rapports intersubjectifs entre l'énonciateur et le coénonciateur
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Phénomènes d'interface, stades d'acquisition et variabilité : explications en termes de degrés de complexité computationnelle

Mercier, Steeve 17 April 2018 (has links)
Cette étude suggère que ce n'est pas les interfaces en général qui causent des difficultés en acquisition d'une L2, mais la complexité computationnelle qui leur est inhérente et qui provoque un important fardeau sur la mémoire de travail. Lorsque les apprenants ne peuvent gérer cette complexité, les comportements non cibles (ex. omission, transfert, surgénéralisation, variabilité) découlent de considérations computationnelles forçant naturellement des options structurelles plus économiques (O'Grady et al., 2009). L'acquisition des clitiques accusatifs du français le et me par des apprenants japonophones adultes a été examinée. Ces clitiques impliquent deux interfaces qui peuvent être étudiées en parallèle - syntaxe/phonologie, syntaxe/pragmatique - et leurs propriétés multimodulaires sont absentes en japonais : la catégorie SCAcc (en syntaxe); le segment IV, plus deux propriétés phonotactiques (en phonologie); le statut [+ argumentai] de la catégorie Temps, qui ne permet pas l'omission de l'objet même si le contexte identifie les referents (en pragmatique). Notre hypothèse principale est que les apprenants vont acquérir la syntaxe des clitiques avant qu'ils ne puissent en maîtriser les propriétés aux interfaces. La raison est que le traitement des interfaces, avec leurs propriétés multimodulaires, implique un travail computationnel accru par rapport au traitement de la syntaxe seule (Sorace, 2006). Les résultats, provenant de cinq tâches administrées à 15 apprenants débutants, 15 intermédiaires, 15 avancés et à 15 locuteurs natifs, confirment notre hypothèse : les intermédiaires, qui ont acquis la syntaxe des clitiques en raison de leurs jugements grammaticaux cibles (comme ceux des natifs), ne peuvent toujours pas intégrer en parallèle les propriétés des clitiques lors de tâches de production induite écrite (ciblant l'interface syntaxe/pragmatique) et orale (ciblant en particulier l'interface syntaxe/phonologie). Leurs résultats moyens à ces tâches, soit 46,8% et 45,6%, sont significativement inférieurs à ceux des locuteurs natifs, lesquels atteignent 87,4% et 88,9%. En fait, ce n'est qu'à partir du niveau avancé que les apprenants sont en mesure de gérer les coûts de traitement des interfaces syntaxe/phonologie et syntaxe/pragmatique. Une analyse plus fine à partir de tâches de perception et de répétition révèle cependant que, contrairement aux natifs, les avancés (tout comme pour les débutants et les intermédiaires) ont d'importantes difficultés avec la phonologie cible, particulièrement avec le phonème /1/ du clitique le.

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