• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 32
  • 5
  • 4
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 50
  • 33
  • 26
  • 23
  • 20
  • 13
  • 13
  • 12
  • 11
  • 10
  • 10
  • 10
  • 9
  • 9
  • 9
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L'intonation, en tant que facteur prosodique, intervenant dans l'intelligibilité, dans la perception du degré d'accent étranger et dans la compréhensibilité du discours en français langue seconde, chez des anglophones

Niven, Mary January 2006 (has links) (PDF)
Le but premier pour la plupart des apprenants d'une L2 est de se faire comprendre par les locuteurs natifs de cette langue dans différents contextes. Même si un accent étranger peut quelquefois faire entrave à cet objectif, la recherche a démontré qu'il ne fait pas toujours obstacle à la communication. Peu de recherches se rapportant au discours en français L2 ont été entreprises dans le but d'étudier comment l'intonation, en tant que facteur prosodique, agit sur la compréhension globale des locuteurs natifs. L'objet de ce mémoire est d'étudier le rôle joué par l'intonation dans le discours en français québécois par des locuteurs natifs de l'anglais nord américain. Par notre étude, impliquant trois locutrices natives de l'anglais nord-américain s'exprimant en français L2, nous avons observé dans quelle mesure l'intonation affecte la perception par des locuteurs natifs du français québécois sur le niveau d'intelligibilité, le degré d'accent étranger et la compréhensibilité. Nous avons eu recours à quinze juges de L1 français québécois pour faire l'écoute et l'évaluation de phrases stimuli lues et enregistrées par nos trois locutrices. L'évaluation des enregistrements s'est déroulée en deux séances. Suite aux évaluations de la première séance, les phrases ayant obtenues les moins bons scores d'évaluation selon les trois critères ci-hauts mentionnés ont été retenues pour la seconde séance. Les phrases retenues ont été modifiées synthétiquement, afin de rendre leurs contours intonatifs aussi près que possible des contours d'une locutrice native du français québécois. Six semaines plus tard, nos juges ont réévalué les phrases modifiées selon les trois mêmes critères d'évaluation. Notre hypothèse voulait que les scores d'intelligibilité et de compréhensibilité montrent des signes d'amélioration tandis que les scores d'accent étranger demeureraient semblables. Les résultats ont démontré que les scores d' intelligibilité se sont améliorés, que ceux de l'accent étranger sont demeurés stables, tandis que la compréhensibilité a subi un léger recul. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Intonation, Prosodie, Intelligibilité, Compréhensibilité, Accent étranger.
2

El uso del reconocimiento vocal para la corrección fonética de la vibrante múltiple del espanol de los estudiantes francófonos

Zaldívar Turrent, Maria Fernanda January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une étude comparative sur l'enseignement de la vibrante multiple de l'espagnol chez les francophones. Il est connu que ce son présente des difficultés aux francophones qui apprennent l'espagnol. Pour aider lesdits étudiants dans leur correction phonétique nous avons fait cette étude à l'aide de deux logiciels: CAN8 et un logiciel de reconnaissance vocale. Leur grande différence est que le premier est un logiciel qui fonctionne comme une enregistreuse, c'est-à-dire que l'étudiant enregistre sa prononciation et peut l'écouter autant de fois qu'il le veut, mais sans savoir s'il le fait de façon correcte. Par contre, dans le cas du logiciel de reconnaissance vocale, l'étudiant reçoit une note comme rétroaction pour chacun des segments qu'il prononce. Nous avons créé des exercices spécifiques pour la pratique des vibrantes de l'espagnol et nous avons séparé les participants en deux groupes, un groupe a fait les exercices à l'aide de CAN8 et l'autre à l'aide du prototype de reconnaissance vocale. De cette façon, nous avons voulu savoir si l'enseignement avec un logiciel qui donne de la rétroaction est avantageux par rapport à un que ne le fait pas. Nos résultats montrent une mince différence entre l'utilisation des deux logiciels, mais une évidente amélioration de la prononciation des participants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Correction phonétique, Prononciation, Reconnaissance vocale, Espagnol.
3

Pertinences de l'enseignement de la prononciation par le théâtre et par le chant en contexte universitaire / Relevances of teaching pronunciation through teaching and singing in the university

Auzeau, Fanny 14 November 2017 (has links)
Le langage et la musique sont deux éléments majeurs structurants une société. ils permettent aux membres de cette dernière d'entretenir et d'échanger avec autrui. ces objectifs sont communs à ceux de l'enseignant de langue-culture : créer des actes de langage. la production orale fait appel aux différentes connaissances de l'apprenant qu'elles soient syntaxiques, lexicales, phonétiques. les activités, telles que le théâtre ou le chant favorisent les acquisitions nécessaires à l'enseignement des langues et, plus particulièrement dans ce cas-ci, du français langue étrangère. ces deux supports sont un moyen didactique d'apprentissage qui, par le travail de création, puis de mémorisation, se détache des problèmes purement linguistiques pour se focaliser sur les compétences verbales, phonétiques et prosodiques de chaque apprenant.nous nous interrogerons sur l'évolution de l'enseignement de la phonétique en langues vivantes et plus particulièrement en fle puis des enseignements proposés par le théâtre et le chant d'un point de vue théorique. cette théorisation nous permettra par la suite d'observer si elle peut mener à une pratique plus performante. nous observerons les particularités des disciplines artistiques au niveau corporel, vocal, mais aussi d'un point de vue relationnel que ce soit au niveau vertical ou au niveau horizontal. ce dernier élément nous permettra ainsi d'observer le rôle de l'enseignant, la préparation que cela implique, les difficultés (choix du texte, gestion du temps, notation de ce type d'enseignement, l'implication ou non des apprenants, l'utilisation du métalangage propre au domaine de la phonétique, pallier les connaissances préalables et les transferts des apprenants…) auxquelles il peut être confronté ainsi que les apports que cela procure d'un point de vue pédagogique. nous tenterons de décrire et d'analyser ainsi une approche transdisciplinaire d'un enseignement-apprentissage possible de la phonétique et ainsi de répondre à la problématique de ce domaine : comment reconnaître et reproduire les phonèmes d'une langue étrangère. / The following study discusses the influence of drama and singing in the teaching and learning of French pronunciation as a foreign language. The theoretical part of this reflexion relies on interactionism, socio-constructivism and emergentist approaches. We will review the different methods of teaching pronunciation as well as the concepts of “norm” “correction”, “body langage” and “voice setting” in such context. Therefore, we conducted two experiments. The first study took place at the University Paris 3 Sorbonne-Nouvelle. We managed a singing project with students who learn French pronunciation at the A2 level. The second one dealt with drama and pronunciation with a group of A2 level students at the Catholic University of Paris. Through the observation and collection of pre- and post-tests we will present the results of the analysis of /y/ and /u/ of female voices through such protocols. This study aims to contribute to the field of pronunciation with artistic approaches.
4

Komz, liamm ha norm : kelenn ar brezhoneg : prezantet e stern peder reolenn-sanañ ewid brezhoneg ar skolioù

Le Ruyet, Jean-Claude 18 December 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse est une étude sur les quatre règles de base qui pourraient constituer un corpus cohérent pour l'enseignement du breton. Les trois premières, concernant les mots en eux-mêmes, sont présentées dans le premier volume : accent tonique, longueur sous l'accent et dévoisement de la consonne en finale absolue. La proposition d'un accent unique standard est la clef réaliste qui permet de donner cohérence à l'ensemble. Le second volume traite des phénomènes de sandhi. Après une large enquête menée dans les écoles bilingues du CE2 au Lycée, de Mai 2007 à Avril 2008, on constate une pénétration importante du modèle français dans la prononciation scolaire. Sont mis en évidence plusieurs points faibles de l'enseignement du breton : 1) plus de 50% des ouvrages répertoriés ne mentionnent pas la question des liaisons, fonctionnant pourtant le plus souvent à l'inverse du français. 2) Ce qui intervient pour beaucoup dans l'extension des liaisons “à la française” chez les apprenants, est la différence faite à la finale, depuis 1901, entre les substantifs et les autres espèces de mots. Cette décision, qui ne tenait pas compte de l'existence de deux sortes de suffixes en breton, les neutres et les durcissants, entraîne en effet une multiplication artificielle des consonnes sourdes visuelles en finales. On peut mesurer aujourd'hui les conséquences de cette décision sur le terrain. 3) Outre son impact sur les liaisons compte-tenu de l'effet Buben, la décision de 1901, reconduite jusqu'à l'accord orthographique de 1941, désorganise aussi le décodage de la longueur de la voyelle sous l'accent dans bon nombre de mots, autres que les substantifs. La thèse pose donc clairement la question de la pertinence de cette règle vieille de plus d'un siècle, à l'heure où l'enseignement du breton tente de se structurer
5

Reconnaissance automatique de la parole non native

Tien Ping, Tan 03 July 2008 (has links) (PDF)
Les technologies de reconnaissance automatique de la parole sont désormais intégrées dans de nombreux systèmes. La performance des systèmes de reconnaissance vocale pour les locuteurs non natifs continue cependant à souffrir de taux d'erreur élevés, en raison de la différence entre la parole non native et les modèles entraînés. La réalisation d'enregistrements en grande quantité de parole non native est souvent difficile et peu réaliste pour représenter toutes les origines des locuteurs. <br />Dans cette thèse, nous proposons des approches pour adapter les modèles acoustiques et de prononciation sous différentes conditions de ressource pour les locuteurs non natifs. Un travail préliminaire sur l'identification d'accent a également proposé.<br />Ce travail de thèse repose sur le concept de modélisation acoustique translingue qui permet de représenter les locuteurs non natifs dans un espace multilingue sans utiliser (ou en utilisant très peu) de parole non native. Une approche hybride d'interpolation et de fusion est proposée pour l'adaptation des modèles en langue cible en utilisant une collection de modèles acoustiques multilingues. L'approche proposée est également utile pour la modélisation du contexte de prononciation. Si, en revanche, des corpus multilingues sont disponibles, des méthodes d'interpolation peuvent être utilisées pour l'adaptation à la parole non native. Deux d'entre elles sont proposées pour une adaptation supervisée et peuvent être employées avec seulement quelques phrases non natives.<br />En ce qui concerne la modélisation de la prononciation, deux approches existantes (l'une fondée sur la modification du dictionnaire de prononciation, l'autre fondée sur la définition d'un score de prononciation utilisé dans une phase de re-scoring) sont revisitées dans cette thèse et adaptées pour fonctionner sur une quantité de données limitée. Une nouvelle approche de groupement de locuteurs selon leurs habitudes de prononciation, est également présentée : nous l'appelons « analyse de prononciation latente ». Cette approche se révèle également utile pour améliorer le modèle de prononciation pour la reconnaissance automatique de la parole non native.<br />Enfin, une méthode d'identification d'accent est proposée. Elle nécessite une petite quantité de parole non native pour créer les modèles d'accents. Ceci est rendu possible en utilisant la capacité de généralisation des arbres de décision et en utilisant des ressources multilingues pour augmenter la performance du modèle d'accent.
6

Le système vocalique chez les enfants bilingues français/japonais : comparaison avec les monolingues

Fukushi, Mami January 2008 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire est de faire l'analyse acoustique des cinq voyelles /a/, /i/, /u/, /e/, /o/ du français et du japonais produites par les enfants bilingues français/japonais simultanés âgés de 5 ans, en les comparant avec les données des enfants monolingues francophones et japonophones. Grâce à l'analyse acoustique, quelques études montrent une différence entre les enfants monolingues et les enfants bilingues simultanés dans la production du VOT de deux langues ambiantes. À notre connaissance, il n'y a pas d'études acoustiques portant sur le système vocalique des enfants bilingues simultanés, qui est probablement différent de celui des monolingues à cause de leur input linguistique qui est plus riche. Nous avons demandé à 5 enfants bilingues français/japonais de répéter 3 fois 15 mots bisyllabiques français et 15 mots bisyllabiques japonais (pour un total de 30 mots) comportant les voyelles cibles, et avons comparé leurs productions à celles de 5 enfants monolingues français et de 5 enfant monolingues japonais. L'étude des données nous montre que le système vocalique des bilingues qui combine les 5 voyelles japonaises et les 16 voyelles françaises est effectivement différent de celui des monolingues. Nous avons trouvé un effet bidirectionnel: les voyelles françaises sont affectées par les voyelles japonaises et inversement. Les représentations articulatoires sont ici inférées des valeurs acoustiques. Surtout, nous avons pu observer que les représentations articulatoires des voyelles postérieures des deux langues sont très différentes d'un participant à l'autre chez les bilingues. Nous avons ensuite conclu que la grande variation individuelle montre un petit retard dans le développement phonologique chez les bilingues à cause de leur input linguistique qui est plus riche et plus complexe, car nous n'avons pas constaté une telle différence individuelle chez les enfants monolingues. Nous avons également trouvé que les voyelles sont plus cloisonnées et compactes chez les bilingues que chez les monolingues, et qu'un participant particulièrement tend à bien cloisonner ses voyelles dans des espaces très réduits pour les deux langues. Étant donné que les adultes bilingues simultanés montrent le même effet (Guion 2003), il est possible que le système vocalique de ce participant soit plus développé; toutefois ses /u/ et /o/ français se chevauchent presque complètement au niveau de la qualité formantique. Le fait de ne pas distinguer le /u/ et le /o/ français pourrait-il être un phénomène en fin de développement chez les bilingues français/japonais simultanés ? Il nous faudrait étudier les adultes bilingues simultanés français/japonais qui vivent à Montréal pour répondre à cette question. Notre recherche a mis en évidence la stratégie adoptée par les bilingues vis-à-vis de leur input de deux langues. Ces découvertes contribuent à notre compréhension de la formation du système phonologique chez le bilingue simultané. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bilingue simultané, Système vocalique, Développement phonologique, Acquisition du langage, Japonais, Français.
7

Étude acoustique et articulatoire de la production de voyelles chez des locuteurs atteints de la maladie de Parkinson

Richard, Gabrielle January 2009 (has links) (PDF)
La production de la parole est un phénomène complexe qui requiert la participation de plusieurs systèmes. Au niveau supra-glottique, la langue, les lèvres et la mâchoire modulent finement la forme du conduit vocal afin de produire des sons assez différents pour être distingués. Mais que se passe-t-il dans le cas de locuteurs atteints d'un trouble du contrôle moteur comme la maladie de Parkinson (MP), une maladie neurodégénérative entraînant des difficultés motrices? L'objectif de ce mémoire est d'étudier les différences entre des locuteurs avec MP et des locuteurs contrôles (C) dans la production de voyelles. Les formants, la coarticulation et l'emphase contrastive seront étudiés au plan acoustique, et la forme de la langue sera analysée grâce à des enregistrements effectués à l'aide d'un appareil à ultrasons. 8 locuteurs avec la MP et 8 locuteurs contrôles ont été enregistrés dans une tâche de production de la parole. Les voyelles /a/ et /i/ ont été produites, en coarticulation avec les consonnes /b/ et /d/, dans un contexte neutre et sous emphase contrastive. Les valeurs des deux premiers forrnants ont été extraites au milieu de la voyelle, ainsi que la valeur de F2 au début de la voyelle. La forme de la langue, telle que décrite par des paramètres d'asymétrie et de courbure, sera aussi comparée. Les analyses ont montré que les valeurs de F1 et F2 ne sont pas différentes entre les deux groupes, mais que les locuteurs avec MP produisaient une plus grande différence entre la condition neutre et la condition d'emphase contrastive, au niveau acoustique. Il n'y a pas de différence au niveau de la variabilité des productions (tel que mesuré par l'écart type) entre les deux groupes. Articulatoirement, les locuteurs avec la MP ont tendance à avoir la langue plus aplatie et un peu moins antérieure que les locuteurs contrôles, mais cette différence n'est pas significative. Globalement, les voyelles produites par les locuteurs avec la MP sont relativement préservées, mais on remarque que la condition d'emphase contrastive permet d'améliorer leurs productions.
8

Acquisition du système accentuel russe et de la réduction vocalique par des apprenants francophones

Goire Fernandez, Francisco 02 1900 (has links) (PDF)
Les systèmes accentuels français et russe sont très différents. En français, l'accent tonique se place normalement sur la dernière syllabe du groupe rythmique et il n'y a pas de réduction vocalique sur les syllabes non accentuées. En russe, l'accent tonique peut en principe être placé sur n'importe quelle syllabe du mot et, en plus, certaines voyelles subissent une réduction vocalique dans les positions pré-accentuées et non accentuées. La présente recherche porte sur le processus d'acquisition du système accentuel et de la réduction vocalique du russe chez des apprenants francophones adultes. Nos sujets de recherche sont sept apprenants du russe à l'Université du Québec à Montréal. Nous avons étudié l'identification du contour accentuel des mots (la localisation des syllabes accentuées, pré-accentuées et non accentuées) par les sept apprenants, ainsi que leurs productions orales au début (après 45 heures de cours) et à la fin du niveau débutant 2 (après 90 heures de cours). Les productions orales avaient comme but de tester comment les apprenants francophones prononçaient les dix phonèmes vocaliques du russe dans les positions : accentuée, pré-accentuée et non accentuée, ayant comme donnée l'accent primaire du mot. L'évaluation des productions orales des apprenants a été faite de deux façons : à l'aide du logiciel PRAAT (évaluation expérimentale) et par trois juges locuteurs natifs du russe (évaluation perceptive). Préalablement, afin d'obtenir les paramètres expérimentaux cibles, nous avons mesuré les paramètres les plus saillants de l'accentuation (la durée des voyelles) et de la réduction vocalique (la réduction de l'espace vocalique général dans les coordonnées F1/F2) chez deux locuteurs natifs du russe. On observe une certaine dichotomie entre les résultats de l'évaluation perceptive et ceux de l'évaluation expérimentale, probablement due au fait que l'évaluation expérimentale ne prend en considération, pour l'accentuation, que les contrastes de durée des voyelles et, pour la réduction vocalique, que la réduction de l'espace vocalique général. Cependant, l'évaluation perceptive prend en compte tous les paramètres phonétiques, pour l'accentuation : la durée, l'intensité et la fréquence fondamentale et, pour la réduction vocalique: la réduction de l'espace vocalique général et la qualité même de la voyelle. Trois apprenants sur sept ont atteint la cible idéale pour l'accentuation, mais aucun ne l'a fait pour la réduction vocalique. Ceci démontre que l'acquisition du système accentuel russe par des apprenants francophones est une tâche difficile, mais pas impossible, même au niveau débutant. Par contre, l'acquisition de la réduction vocalique représente un plus grand défi. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : russe, français, système accentuel, réduction vocalique, acquisition des langues secondes.
9

Pronunciation and disfluency modeling for expressive speech synthesis / Modélisation de la prononciation et des disfluences pour la synthèse de la parole expressive

Qader, Raheel 31 March 2017 (has links)
Dans la première partie de cette thèse, nous présentons une nouvelle méthode de production de variantes de prononciations qui adapte des prononciations standards, c'est-à-dire issues d'un dictionnaire, à un style spontané. Cette méthode utilise une vaste gamme d'informations linguistiques, articulatoires et acoustiques, ainsi qu'un cadre probabiliste d'apprentissage automatique, à savoir les champs aléatoires conditionnels (CAC) et les modèles de langage. Nos expériences poussées sur le corpus Buckeye démontrent l'efficacité de l'approche à travers des évaluations objectives et perceptives. Des tests d'écoutes sur de la parole synthétisée montrent que les prononciations adaptées sont jugées plus spontanées que les prononciations standards, et même que celle réalisées par les locuteurs du corpus étudié. Par ailleurs, nous montrons que notre méthode peut être étendue à d'autres tâches d'adaptation, par exemple pour résoudre des problèmes d'incohérences entre les différentes séquences de phonèmes manipulées par un système de synthèse. La seconde partie de la thèse explore une nouvelle approche de production automatique de disfluences dans les énoncés en entrée d'un système de synthèse de la parole. L'approche proposée offre l'avantage de considérer plusieurs types de disfluences, à savoir des pauses, des répétitions et des révisions. Pour cela, nous présentons une formalisation novatrice du processus de production de disfluences à travers un mécanisme de composition de ces disfluences. Nous présentons une première implémentation de notre processus, elle aussi fondée sur des CAC et des modèles de langage, puis conduisons des évaluations objectives et perceptives. Celles-ci nous permettent de conclure à la bonne fonctionnalité de notre proposition et d'en discuter les pistes principales d'amélioration. / In numerous domains, the usage of synthetic speech is conditioned upon the ability of speech synthesis systems to generate natural and expressive speech. In this frame, we address the problem of expressivity in TTS by incorporating two phenomena with a high impact on speech: pronunciation variants and speech disfluencies. In the first part of this thesis, we present a new pronunciation variant generation method which works by adapting standard i.e., dictionary-based, pronunciations to a spontaneous style. Its strength and originality lie in exploiting a wide range of linguistic, articulatory and acoustic features and to use a probabilistic machine learning framework, namely conditional random fields (CRFs) and language models. Extensive experiments on the Buckeye corpus demonstrate the effectiveness of this approach through objective and subjective evaluations. Listening tests on synthetic speech show that adapted pronunciations are judged as more spontaneous than standard ones, as well as those realized by real speakers. Furthermore, we show that the method can be extended to other adaptation tasks, for instance, to solve the problem of inconsistency between phoneme sequences handled in TTS systems. The second part of this thesis explores a novel approach to automatic generation of speech disfluencies for TTS. Speech disfluencies are one of the most pervasive phenomena in spontaneous speech, therefore being able to automatically generate them is crucial to have more expressive synthetic speech. The proposed approach provides the advantage of generating several types of disfluencies: pauses, repetitions and revisions. To achieve this task, we formalize the problem as a theoretical process, where transformation functions are iteratively composed. We present a first implementation of the proposed process using CRFs and language models, before conducting objective and perceptual evaluations. These experiments lead to the conclusion that our proposition is effective to generate disfluencies, and highlights perspectives for future improvements.
10

De l'orthographe à la prononciation: nature des processus de conversion graphème-phonème dans la reconnaissance des mots écrits

Lange, Marielle January 2000 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0908 seconds