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Minors followed under the youth protection and young offenders acts

Michaelson, Lyndee January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'intervention psychosociale auprès des jeunes contrevenants au Québec la perception des intervenants sur les pratiques d'aide axées sur la responsabilisation et l'insertion sociale des jeunes : exemples du Centre jeunesse de l'Estrie (CJE)

Sene, Fatema January 2008 (has links)
Le but de la recherche est de connaître les pratiques des intervenants qui, de leur point de vue, aident le plus les jeunes contrevenants qui se trouvent en milieu de garde ou en suivi probatoire, à se responsabiliser et à s'insérer dans leur milieu de vie. Plus spécifiquement, les objectifs poursuivis sont d'abord de connaître, du point de vue des intervenants, les pratiques qui soutiennent l'intervention auprès des jeunes contrevenants, en vue de leur responsabilisation et de leur insertion sociale, ensuite d'identifier les pratiques à promouvoir pour mieux favoriser la responsabilisation et l'insertion sociale des jeunes contrevenants et enfin d'identifier les obstacles et les défis à relever pour améliorer les pratiques. L'étude est de type qualitatif exploratoire. Elle est effectuée dans deux points de service du centre jeunesse de l'Estrie, Duffrin et à Val du Lac. Dix intervenants sélectionnés à partir de leur expérience en jeunes contrevenants, ont participé à l'étude. Les entrevues individuelles semi dirigées, sont réalisées à partir d'un canevas d'entretien. De façon générale, les résultats ont montré que les intervenants utilisent leur savoir, leur savoir faire et le savoir être pour accompagner et aider les jeunes à développer des habiletés personnelles et sociales, ainsi que des compétences qui devraient leur permettre de vivre en harmonie dans leur milieu de vie et d'être autonomes. Les intervenants travaillent en collaboration avec les familles des jeunes et s'adressent aux ressources du milieu et à la communauté, afin de mieux répondre aux besoins multiples des jeunes et des parents. Les intervenants trouvent toutes les pratiques aidantes, mais ils ont identifié parmi elles, certaines qu'ils recommandent de maintenir et de promouvoir dans l'intervention. L'étude confirme la plupart des écrits trouvés dans la littérature sur l'intervention auprès des jeunes délinquants en ce qui concerne les approches utilisées, l'orientation des programmes et les collaborateurs des intervenants. Cependant, elle a permis de découvrir les obstacles aux pratiques et les défis que le centre jeunesse doit relever pour offrir un meilleur encadrement aux jeunes contrevenants. Il s'agit des comportements antisociaux notés chez les jeunes, des difficultés personnelles des parents, des problèmes d'ordre organisationnel (manque de ressources humaines et matérielles, manque de communication intra et inter organisationnelle), des lacunes et des incohérences dans l'application de la LSJPA. La révision de cette loi est considérée par les intervenants comme le plus grand défi à relever. Mais étant donné que c'est une loi fédérale, il n'est pas possible de l'arrêter à court terme. Pour faire face à ces obstacles et défis, les intervenants pensent qu'il faut favoriser le développement des programmes liés aux problématiques des jeunes, l'organisation des services, l'amélioration des processus cliniques (utilisation des outils cliniques, formation continue des intervenants et continuité dans l'intervention) et enfin l'amélioration du fonctionnement organisationnel (renforcer les ressources humaines et matérielles, développer le partenariat externe et interne, assurer les conditions de base à une intervention de qualité). En ce qui concerne la LSJPA, il faut adopter des stratégies qui permettront de réduire les méfaits sur les pratiques et l'intervention en générale.
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Les symptômes et les troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants

Morin, Claudia January 2016 (has links)
Chaque année, des adolescents québécois sont soumis à des sanctions judiciaires en raison de leurs actes de délinquance (Association des centres jeunesse du Québec, 2015). Plusieurs recherches récentes indiquent que ces jeunes sont plus à risque de répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble mental que les adolescents de la population générale (Fazel, Doll, & Langstrom, 2008; Vermeiren, 2003). Les jeunes contrevenants sont également plus nombreux à présenter des symptômes et des troubles intériorisés (Abram et al., 2014; Skowyra & Cocozza, 2007; Teplin et al., 2006), soit des comportements anxieux, dépressifs, de retrait et des plaintes somatiques (Achenbach & McConaughy, 1992). Cette thèse contribue aux connaissances quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants en traitant de deux sujets peu étudiés : les problèmes intériorisés des jeunes contrevenants associés aux gangs de rue et l’identification de ces problèmes par les intervenants travaillant auprès d’eux. Le premier article composant la thèse présente une étude descriptive où le nombre de symptômes et de troubles intériorisés a été comparé entre des jeunes contrevenants révélant être ou avoir été associés aux gangs de rue (n = 62) et des jeunes contrevenants n’ayant pas révélé une telle association (n = 41). Les symptômes et les troubles intériorisés ont été mesurés à l’aide d’un questionnaire et d’une entrevue diagnostique semi-structurée. Les résultats indiquent que les jeunes associés aux gangs présentent davantage de symptômes de dépression-anxiété et sont plus nombreux à répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble anxieux que ceux qui n’y sont pas associés. De plus, près de la moitié des participants, associés ou non aux gangs de rue, répondent aux critères diagnostiques d’au moins un trouble intériorisé. Cette forte prévalence de troubles intériorisés soulève l’importance que ceux-ci soient dépistés par les intervenants travaillant auprès des jeunes contrevenants. En effet, considérant que les troubles mentaux non traités entrainent de la souffrance, nuisent au fonctionnement et sont liés à des taux de tentatives de suicide, d’arrestations et de récidive plus élevés (Abram et al., 2014; Cottle, Lee, & Heilbrun, 2001; Hoeve, McReynolds, & Wasserman, 2013; Schonfeld et al., 1997), leur identification s’avère primordiale afin qu’ils puissent bénéficier des services dont ils auraient besoin. Le deuxième article de cette thèse est une étude exploratoire où sont recensés les symptômes et les troubles intériorisés mentionnés par les intervenants au rapport prédécisionnel (RPD) de 22 participants. La concordance entre ces symptômes et troubles intériorisés et ceux autorapportés par les jeunes contrevenants par un questionnaire et une entrevue semi-structurée est ensuite évaluée. Plusieurs symptômes et troubles intériorisés seraient « sous-identifiés » dans le RPD des jeunes contrevenants en comparaison de ce qui est révélé par les participants. Les résultats de ces deux études laissent croire qu’il serait pertinent d’offrir de la formation aux intervenants quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les adolescents, d’implanter une procédure de dépistage systématique des troubles mentaux, et d’inclure les symptômes et les troubles intériorisés dans les programmes de prévention et de traitement offerts aux jeunes contrevenants.
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L'identité ethnique chez les jeunes contrevenants

Bériault, Manuelle January 2016 (has links)
La présence accrue de jeunes appartenant à un groupe ethnoculturel minoritaire dans les institutions pour jeunes contrevenants au Québec est une problématique complexe et préoccupante. Lorsque les études scientifiques se penchent sur les questions liées à la délinquance juvénile et aux gangs de rue, l’accent est placé sur l’identification de groupes ethniques plus à risque de s’associer à un gang (van Gemert, Peterson, & Lien, 2008; Wortley & Tanner, 2006). L’association à un gang de rue est régulièrement considérée comme un phénomène qui toucherait principalement les groupes ethnoculturels minoritaires (Perreault & Bibeau, 2003 ; Spergel, 2009), sans toutefois préciser le rôle plus concret de l’ethnicité et de la culture dans l’association aux gangs de rue. Cette thèse, composée d’articles scientifiques, présente les résultats de deux études portant sur l’identité ethnique de jeunes contrevenants, mesurée par le Multigroup Ethnic Identity Measure – Revised (MEIM-R) de Phinney et Ong (2007). La première étude explore les effets de l’identité ethnique et de la génération d’immigration sur les comportements délinquants autorévélés de jeunes contrevenants judiciarisés. (N = 71, âge 14-20 ans). Les comportements délinquants ont été mesurés à partir du Self-Report of Offending – Revised (SRO-R) de Huizingua, Esbensen et Weihar (1991). La seconde étude explore le rôle de l’identité ethnique et de l’appartenance à un groupe de minorités racisées dans l’association autorévélée à un gang de rue et dans l’adhésion à la culture de gang (N = 69; âge 14-20 ans). L’adhésion à la culture de gang a, quant à elle, été établie à partir de la Mesure d’adhésion à la culture de gang (MACg) de Fredette (2014). Les résultats indiquent une plus forte identité ethnique chez les jeunes contrevenants issus de la première et de la seconde génération d’immigration que ceux de la troisième génération d’immigration ou plus. Lorsqu’on tient uniquement compte de l’apparence ethnique, les jeunes contrevenants appartenant à une minorité racisée présentent aussi des plus hauts scores d’identité ethnique que ceux appartenant à la majorité caucasienne. Les résultats indiquent également que les jeunes contrevenants de l’échantillon ayant immigré avant l’âge de 6 ans et qui ont tendance à présenter une identité ethnique élevée rapportent davantage de crimes contre la personne. Afin de mieux cerner les mécanismes sous-jacents à l’effet de l’identité ethnique sur les crimes reconnus plus violents, il a été convenu de prendre l’association à un gang de rue comme variable dépendante de la seconde étude. En effet, les délinquants qui se disent associés aux gangs de rue présentent une problématique de délinquance plus sévère que les autres (Laurier, Guay, Lafortune, & Toupin, 2015), notamment en ce qui a trait à la délinquance violente (Guay et al., 2015). Plus un jeune contrevenant rapporte un niveau d’exploration de l’identité ethnique élevé, plus il adhère aux dimensions signes et symboles et règles et rituels de l’adhésion à la culture de gang, et ce, peu importe son âge, ou qu’il appartienne à une minorité racisée. Cette recherche fait ressortir l’importance de s’intéresser aux questions identitaires liées à l’ethnicité, à la race et à la culture lors d’interventions auprès de jeunes contrevenants, et ce, peu importe leurs origines.
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Les préférences professionnelles en lien avec le sexe de la clientèle

Lachaîne, Sophie January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'alliance thérapeutique et le sentiment d'impuissance de l'aidant : l'expérience des intervenants en centre jeunesse et en milieu communautaire

Nolet, Anne-Marie 07 1900 (has links)
Cette étude vise à comprendre la place du sentiment d’impuissance de l’intervenant dans l’établissement d’une alliance thérapeutique. La perception des intervenants à l’égard du sentiment d’impuissance et les conséquences possibles qu’ils lui reconnaissent sont analysées. Par les moyens développés par les intervenants pour contrer ce sentiment d’impuissance, des pistes de solutions sont proposées. Par une méthodologie qualitative, vingt-cinq entrevues semi-dirigées ont été réalisées dans le cadre de la recherche «L’identification des interventions qui permettent de bâtir une alliance thérapeutique avec les jeunes contrevenants : un enjeu de première importance» du professeur Louis-Georges Cournoyer de l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Elles constituent les données principales de la présente étude. Un groupe de discussion, réalisé en milieu communautaire, a permis de les compléter. Les ruptures d’alliance thérapeutique constituent un contexte favorable au développement du sentiment d’impuissance de l’intervenant, conditionnellement au soutien de l’équipe et à la perception qu’à l’intervenant de son rôle et de son contrôle. Le sentiment d’impuissance peut mener à une remise en question positive. Toutefois, il peut aussi être à l’origine du développement de l’impuissance apprise, qui se traduit par les déficits cognitif, motivationnel et affectif. Parmi les autres conséquences du sentiment d’impuissance, une lutte s’exprime par l’évitement, l’expression de la colère et le contrôle, qui ne sont pas souhaitables en contexte d’intervention. En misant sur le soutien de l’équipe ainsi que sur la perception des intervenants à l’égard de leur rôle et de leur contrôle, il est possible de prévenir et de contrer le sentiment d’impuissance. / This study aims at understanding feelings of powerlessness of the helper and its place in the development of the therapeutic alliance with youths. The workers perceptions about the feeling of powerlessness and the possible consequences it has on their practice are analyzed. A number of solutions are proposed, based on strategies developed by workers. With a qualitative methodology, the twenty-five interviews from the research «Alliance building interventions with youth offenders», conducted by Louis-Georges Cournoyer, professor at the University of Montreal’s School of Criminology, are used. In order to complete this data, a focus group was held with community workers. The therapeutic alliance ruptures, who is mediated by team’s support and worker’s self-perceived role and control, can engender the feeling of powerlesness. This feeling might lead to a positive self-questioning. However, it might also lead to the development of learned helplessness, which manifest itself by cognitive, motivational and affective deficits. Among the other consequences of the feeling of powerlesness, is a struggle that is expressed by withdrawal, anger and control, whom are not suitable in an intervention context. By focusing on the team’s support and on the self-perceived role and control of the worker, it is possible to prevent and counter the feeling of powerlessness.
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Le renvoi des jeunes contrevenants aux tribunaux pour adultes : la loi et les pratiques

Roy, Mélanie 12 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître en droit (LL.M.)" / La mesure d'exception de renvoi des adolescents vers les tribunaux pour adultes qui était prévue par la Loi sur les jeunes contrevenants, désormais abolie, est le sujet de cette recherche. Depuis quelques années, des modifications apportées à la mesure de renvoi sont venues faciliter la procédure permettant d'envoyer un adolescent devant la juridiction criminelle adulte. Les années qui se sont écoulées depuis les amendements législatifs apportés en 1992 et 1995 à la mesure de renvoi et les nouveaux changements apportés par la récente Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents soulèvent inévitablement plusieurs questions. La question principale de recherche concerne plus particulièrement l'étude des perceptions des différents acteurs impliqués (juges, procureurs de la Couronne et avocats de la défense) dans le processus judiciaire quant aux changements sur leur pratique et ce, dans le contexte des amendements législatifs. Nous voulons vérifier si les changements apportés permettent toujours aux différents praticiens de privilégier en matière de renvoi les mesures de traitement, de réhabilitation, d'aide ou d'éducation. Par l'analyse des résultats d'entrevues que nous avons effectuées avec différents acteurs judiciaires, nous concluons que les perceptions sont à l'effet qu'il n'y a eu que peu de modifications aux pratiques. Les différents acteurs perçoivent qu'ils ont pu, malgré les amendements, privilégier la réhabilitation de l'adolescent et ce, malgré le fait qu'ils aient aussi la perception que les modifications apportées aient un caractère de plus en plus répressif. / The exceptional measure of youth transfer to ordinary court, which was prescribed by the recently abolished Young of Jenders Act, is the subject ofthis research. Over the last few years, some amendments thave modified the measure of transfer which has eased the procedure to transfer a youth to an ordinary court.The years that have passed since the legislative amendments enacted in 1992 and 1995 to the transfer provisions and the changes brought by the recent Youth Criminal Justice Act raise several questions. The principal question of this research particularly concerns the manner in which the actors (judges, Crown prosecutors and defense lawyer) involved in the judicial proceedings perceive the changes in their practices within the context of the amendments. We want to verify ifthe different actors are still able to give greater importance to the measures of treatment, rehabilitation, assistance and education despite the fact that the legislative provisions are more repressive. With the help ofthe results obtained from the interviews heId with differents actors, we conclude that the perceptions indicate that there is not much change in the practices. The different actors, despite the amendments, perceive that they were able to give greater importance to the measures of treatment, rehabilitation, assistance and education, even though they believe that the amendments are more and more repressive.
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L'alliance thérapeutique et le sentiment d'impuissance de l'aidant : l'expérience des intervenants en centre jeunesse et en milieu communautaire

Nolet, Anne-Marie 07 1900 (has links)
Cette étude vise à comprendre la place du sentiment d’impuissance de l’intervenant dans l’établissement d’une alliance thérapeutique. La perception des intervenants à l’égard du sentiment d’impuissance et les conséquences possibles qu’ils lui reconnaissent sont analysées. Par les moyens développés par les intervenants pour contrer ce sentiment d’impuissance, des pistes de solutions sont proposées. Par une méthodologie qualitative, vingt-cinq entrevues semi-dirigées ont été réalisées dans le cadre de la recherche «L’identification des interventions qui permettent de bâtir une alliance thérapeutique avec les jeunes contrevenants : un enjeu de première importance» du professeur Louis-Georges Cournoyer de l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Elles constituent les données principales de la présente étude. Un groupe de discussion, réalisé en milieu communautaire, a permis de les compléter. Les ruptures d’alliance thérapeutique constituent un contexte favorable au développement du sentiment d’impuissance de l’intervenant, conditionnellement au soutien de l’équipe et à la perception qu’à l’intervenant de son rôle et de son contrôle. Le sentiment d’impuissance peut mener à une remise en question positive. Toutefois, il peut aussi être à l’origine du développement de l’impuissance apprise, qui se traduit par les déficits cognitif, motivationnel et affectif. Parmi les autres conséquences du sentiment d’impuissance, une lutte s’exprime par l’évitement, l’expression de la colère et le contrôle, qui ne sont pas souhaitables en contexte d’intervention. En misant sur le soutien de l’équipe ainsi que sur la perception des intervenants à l’égard de leur rôle et de leur contrôle, il est possible de prévenir et de contrer le sentiment d’impuissance. / This study aims at understanding feelings of powerlessness of the helper and its place in the development of the therapeutic alliance with youths. The workers perceptions about the feeling of powerlessness and the possible consequences it has on their practice are analyzed. A number of solutions are proposed, based on strategies developed by workers. With a qualitative methodology, the twenty-five interviews from the research «Alliance building interventions with youth offenders», conducted by Louis-Georges Cournoyer, professor at the University of Montreal’s School of Criminology, are used. In order to complete this data, a focus group was held with community workers. The therapeutic alliance ruptures, who is mediated by team’s support and worker’s self-perceived role and control, can engender the feeling of powerlesness. This feeling might lead to a positive self-questioning. However, it might also lead to the development of learned helplessness, which manifest itself by cognitive, motivational and affective deficits. Among the other consequences of the feeling of powerlesness, is a struggle that is expressed by withdrawal, anger and control, whom are not suitable in an intervention context. By focusing on the team’s support and on the self-perceived role and control of the worker, it is possible to prevent and counter the feeling of powerlessness.
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Victimisation en contexte de délinquance, psychopathie et santé mentale chez les jeunes contrevenants

Ducharme, Anne-Marie 05 1900 (has links)
No description available.
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Le renvoi des jeunes contrevenants aux tribunaux pour adultes : la loi et les pratiques

Roy, Mélanie 12 1900 (has links)
La mesure d'exception de renvoi des adolescents vers les tribunaux pour adultes qui était prévue par la Loi sur les jeunes contrevenants, désormais abolie, est le sujet de cette recherche. Depuis quelques années, des modifications apportées à la mesure de renvoi sont venues faciliter la procédure permettant d'envoyer un adolescent devant la juridiction criminelle adulte. Les années qui se sont écoulées depuis les amendements législatifs apportés en 1992 et 1995 à la mesure de renvoi et les nouveaux changements apportés par la récente Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents soulèvent inévitablement plusieurs questions. La question principale de recherche concerne plus particulièrement l'étude des perceptions des différents acteurs impliqués (juges, procureurs de la Couronne et avocats de la défense) dans le processus judiciaire quant aux changements sur leur pratique et ce, dans le contexte des amendements législatifs. Nous voulons vérifier si les changements apportés permettent toujours aux différents praticiens de privilégier en matière de renvoi les mesures de traitement, de réhabilitation, d'aide ou d'éducation. Par l'analyse des résultats d'entrevues que nous avons effectuées avec différents acteurs judiciaires, nous concluons que les perceptions sont à l'effet qu'il n'y a eu que peu de modifications aux pratiques. Les différents acteurs perçoivent qu'ils ont pu, malgré les amendements, privilégier la réhabilitation de l'adolescent et ce, malgré le fait qu'ils aient aussi la perception que les modifications apportées aient un caractère de plus en plus répressif. / The exceptional measure of youth transfer to ordinary court, which was prescribed by the recently abolished Young of Jenders Act, is the subject ofthis research. Over the last few years, some amendments thave modified the measure of transfer which has eased the procedure to transfer a youth to an ordinary court.The years that have passed since the legislative amendments enacted in 1992 and 1995 to the transfer provisions and the changes brought by the recent Youth Criminal Justice Act raise several questions. The principal question of this research particularly concerns the manner in which the actors (judges, Crown prosecutors and defense lawyer) involved in the judicial proceedings perceive the changes in their practices within the context of the amendments. We want to verify ifthe different actors are still able to give greater importance to the measures of treatment, rehabilitation, assistance and education despite the fact that the legislative provisions are more repressive. With the help ofthe results obtained from the interviews heId with differents actors, we conclude that the perceptions indicate that there is not much change in the practices. The different actors, despite the amendments, perceive that they were able to give greater importance to the measures of treatment, rehabilitation, assistance and education, even though they believe that the amendments are more and more repressive. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître en droit (LL.M.)"

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