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Mathematical rhythmic structure of Chinese percussion music : an analytical study of Shifan Luogu collections /Zhang, Boyu. January 1997 (has links)
Diss.--Turku, 1997. / Glossaire p. 266-277. Bibliogr. p. 219-230.
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Vietnamese communists' relations with China and the second Indochina conflict, 1956-1962 /Ang, Cheng Guan. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doct. diss.--University of London. / Bibliogr. p. 291-313. Index.
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Literatur nach der Katastrophe : eine vergleichende Studie über die Trümmerliteratur in Deutschland und die Wundenliteratur in der Volksrepublik China /Hu, Qiu Hua, January 1900 (has links)
Diss.--Fribourg-en-Brisgau--Albert-Ludwigs-Universität, 1990. / Bibliogr. p. 224-236.
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Analyse des corrélations entre ouverture économique, éducation et inégalités / Globalization and inequality reduction : Thoughts on the Stolper Samuelson’s theorem and empirical analysis essayDavid, Erwan 09 January 2015 (has links)
La littérature économique s’intéresse depuis le 13ème siècle aux inégalités et au développement des échanges, mais la relation positive entre ces deux concepts n’est pas toujours vérifiée. Les résultats des travaux ne sont pas homogènes et ne permettent pas une conclusion définitive sur le sujet. Ce travail porte sur la relation entre le développement des échanges (la mondialisation) et le développement social (matérialisé par la réduction des inégalités). Nous analysons la relation qui peut s’instaurer entre l’ouverture et les évolutions économique, démographique et éducative. L’analyse des données statistiques de 125 pays présente des évolutions plus marquées pour les données économiques que pour les données démographiques ou éducatives. Les écarts qui existaient entre les pays, entre les continents ne se comblent que très lentement. Nous avons cherché à valider les corrélations entre ces trois séries. Nous constatons que les corrélations entre les indicateurs économiques, démographiques et éducatifs sont fortes lorsque l’on demeure à un niveau d’agrégation élevé mais qu’elles sont moins fortes lorsque l’on décompose les indicateurs. Le niveau de développement, le continent influent sur les corrélations. Leur stabilité n’est pas forte dans le temps. L’ouverture ne permet pas de façon certaine d’améliorer les conditions de vie des populations et de réduire les inégalités. Nous avons ensuite analysé des données statistiques chinoises afin de voir si l’évolution économique favorable de ce pays pouvait représenter un modèle pour d’autres pays en voie de développement. Nous concluons que la spécificité de la Chine ne permet pas d’en faire un modèle. / Economic survey has studied inequalities and international trade expansion since the 13 th century, but the positive correlation between these 2 concepts has not always been verified. Studies results are not homogeneous and do not make it possible to draw a final conclusion on the topic. This work deals with the correlation between international trade expansion (globalization) and social development (that is to say reduced inequalities). We analyse the possible correlation between trade opening and the evolution of economy, demography and education. The analysis of 125 countries statistical data indicates that this evolution is higher in terms of economy than in terms of demography or education. Prior gaps between countries or continents only very slowly narrow. We tried to verify the correlation between the 3 series of data. We notice that the correlations between economic, demographic and educational indicators are strong when the indicators are amalgamated but not so strong when the indicators are disaggregated. The correlations are also affected by the development level or the continent, and they are not constant in time. To conclude, trade opening cannot be said for certain to improve the populations’ living conditions and to reduce inequalities. We then analyzed Chinese statistical data in order to see whether this country’s positive economic evolution could be a model for other developing countries. We conclude that because of China’s specificity, it can’t.
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La République populaire de Chine et l’Asie centrale post-soviétique :étude de politique étrangèreKellner, Thierry 01 May 2005 (has links)
Si depuis l'effondrement de l'Union soviétique et la fin de la "guerre froide", la politique étrangère de la République populaire de Chine a fait l'objet de nombreuses études, aucune monographie (en 2004) ne s'est encore interrogée sur le contenu et les déterminants de la politique de Pékin à l'égard des cinq nouvelles Républiques apparues en 1991 en "Asie centrale". Aux frontières occidentales de la Chine, cinq nouvelles Républiques -le Kazakhstan, la République kirghize, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan et le Turkménistan- regroupant une population évaluée aujourd'hui à 60 millions d'individus sont apparues du jour au lendemain sur l'échiquier régional. L'émergence de ces Républiques, dont la population est majoritairement d'origine musulmane, constitue en elle-même un phénomène d'une ampleur exceptionnelle. Elle dépasse la simple reconnaissance par la communauté internationale de cinq nouveaux États n'ayant pas d'existence préalable sur le plan international. L'enjeu est de taille car il appelle une recomposition géopolitique complète d'un espace géographique dont l'importance dépasse largement les limites territoriales de ces cinq nouvelles Républiques. Face à l'ampleur des transformations en cours, la recherche contemporaine demeure souvent tributaire d'une vision géographique issue de la guerre froide réduisant cette région à l'état d'"hinterland amorphe". Régulièrement, dans les études spécialisées, les chaînes montagneuses des Pamirs et des Tian Shan isolent encore l'espace centre-asiatique du reste du continent asiatique et de la République populaire de Chine en particulier. Il faut bien constater, et plus encore déplorer, cette place très marginale qu'occupe dans la littérature académique l'étude de la politique étrangère de Pékin à l'égard de cette région. D. Shambaugh, dans l'introduction d'un ouvrage collectif fondamental consacré à l'étude de la politique étrangère de la République populaire, avait pourtant déjà observé dès 1994 que "events in the former Soviet Union, particularly the Central Asian republics will have no small impact on China (.) China's future role in Central Asia (.) will thus become a pressing issue for future research". Cette suggestion est restée très largement ignorée. Or, la géographie, la longue durée historique mais aussi la situation politique complexe de la région autonome chinoise du Xinjiang devraient au contraire inviter les observateurs à se préoccuper de la politique étrangère mise en place progressivement par Pékin depuis 1991 à l'égard de ces nouveaux États. Face à l'Asie centrale, la République populaire de Chine se trouve confrontée à une situation tout à fait originale. Les changements intervenus en 1991, loin de mettre simplement un terme à la période de la "guerre froide" et à la menace militaire que l'Union soviétique faisait peser sur Pékin, renvoient en fait bien plus loin dans l'histoire. Si l'effondrement de l'URSS a certes clôturé l'expérience coloniale russe en Asie centrale, la situation de Pékin dans ce domaine est complétement différente. Aujourd'hui encore, la République populaire de Chine demeure dans sa composante spatiale, l'héritière de l'impérialisme de la dynastie mandchoue des Qing. L'émergence des Républiques d'Asie centrale nous ramène donc au partage de l'espace centre-asiatique entre Empire Russe et Empire Mandchou opéré au XVIIIème siècle. L'expansion territoriale des Empereurs mandchous a en effet conduit à l'annexion au domaine impérial chinois du Xinjiang/Turkestan oriental, cette périphérie contestée pendant une bonne partie de l'histoire chinoise. Dans la longue durée historique, cette région qui a certes entretenu des relations commerciales et culturelles importantes avec la Chine comme le Vietnam par exemple a en fait souvent échappé au contrôle effectif du pouvoir impérial chinois. Pékin qui a repris à son compte l'héritage territorial de la période mandchoue doit aujourd'hui gérer ce legs de l'histoire qui place sous son autorité des populations turcophones (Ouïgours, Kazakhs, Kirghizs, Ouzbeks) ou persanophones (Tadjiks), dont les liens ethniques, historiques, culturels et religieux avec l'"Asie centrale" sont extrêmement puissants. L'indépendance des Républiques d'Asie centrale accentue les problèmes liés à la gestion des "minorités nationales" auxquels la République populaire a été confrontée au Xinjiang/Turkestan oriental depuis sa fondation. L'indépendance de ces Républiques soulève donc d'importantes questions liées à la sécurité de la République populaire tout en ramenant au devant de la scène le problème de l'héritage colonial chinois, héritage que nie Pékin pour qui l'unité entre les différents groupes ethniques de la Chine fait au contraire partie du dogme officiel. La contradiction entre cette nouvelle situation internationale et le contexte interne de la République populaire de Chine apparaît donc ici en pleine lumière. C'est sans doute pour cette raison qu'un observateur chinois notait récemment que "it is probably only natural that in the last five years, China has put security concerns at the top of the agenda in its relations with Central Asian States". Face à son nouvel environnement régional, porteur de défis liés à sa sécurité, quelles ont été les réactions de Pékin ?Quelles stratégies a-t-elle développées pour y répondre ?Autrement dit, quels sont les axes de la politique étrangère que la République populaire de Chine a mis en oeuvre en direction des nouvelles Républiques depuis 1991 ?Voilà un ensemble de questions auxquelles la présente étude va tenter de répondre. Il s'agira de décrire la politique étrangère de Pékin à l'égard des Républiques d'Asie centrale depuis 1991, c'est-à-dire d'en exposer le cours et les variations ainsi que les objectifs mais aussi de tenter de l'expliquer, c'est-à-dire d'identifier les facteurs qui pèsent sur les choix des décideurs chinois et qui font la singularité de cette politique étrangère. Il s'agira d'analyser ses déterminants, tant au niveau systémique qu'au niveau interne. L'accent nous semble cependant devoir être mis plus particulièrement sur les facteurs internes car nous pensons que c'est principalement ces derniers qui déterminent et orientent les choix de Pékin face aux Républiques d'Asie centrale. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'adhésion de la Chine à l'OMC et le régime de protection de la propriété intellectuelle / China's accession to WTO and the system of intellectual property protectionManai, Sarah 08 December 2011 (has links)
Récemment les droits relatifs à la protection intellectuelle ont joué un grand rôle à travers le monde. Comment est-il possible de protéger efficacement les droits de propriété intellectuelle. En tant qu’un des accords de l’OMC, l’Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce est un élément de réponse à cette question. En effet, la protection de ce dernier en termes de droit de propriété intellectuelle a atteint un niveau sans précédent. Après son entrée à l’OMC en 2001, la République Populaire de Chine a du mettre sa législation en matière de droit de la propriété intellectuelle en conformité avec l’ADPIC. En effet, l’intégration de la Chine dans l’économie mondiale ces dernières années a été accentuée par sa volonté à ouvrir son économie et à garantir certaines règles de droit quand le pays a accédé à l’OMC le 11 Décembre 2001. Les progrès de la Chine en matière de protection de la propriété intellectuelle ont été importants dans une période assez courte. Moins de vingt ans auparavant, le pays n’était pas doté d’un système de protection de la propriété intellectuelle. Aujourd’hui, la Chine possède un ensemble d’instruments juridiques modernes composé de lois et de procédures spécifiques aux aspects de propriété intellectuelle, sans aucune comparaison possible avec le reste du monde. Par conséquent, entre 1992 et 2001, beaucoup de réformes furent entreprises. La Chine a consenti à étendre son système de protection de la propriété intellectuelle à tous les domaines et d’augmenter le niveau de protection des droits de propriété intellectuelle par l'instauration de procédures d’acquisition ou de protection d’un droit de propriété intellectuelle, de mettre en place les mesures nécessaires pour contrôler les violations d’un droit de propriété intellectuelle et renforcer l’exécution et la mise en application des sanctions. Cependant, l’application de ce droit en Chine soulève certains problèmes. L’objet de cette thèse est d’illustrer les causes de l’apparition de ces problèmes en comparant l’accord ADPIC et le droit chinois de la propriété intellectuelle, et en analyser aussi les similarités et les différences entre les deux. Partant de ces différences, les imperfections de la loi chinoise seront illustrées par le différend devant l’Organe de règlement des différends de l’OMC dans le différend entre les Etats-Unis et la République Populaire de Chine quant aux mesures affectant la protection et le respect des droits de propriété intellectuelle en Chine (Règlement des différends: affaire DS 362: Chine — Mesures affectant la protection et le respect des droits de propriété intellectuelle) . Les causes des failles du système de protection de la propriété intellectuelle chinoise tiennent à son histoire, sa culture confucianiste, et sa conception du droit. Paradoxalement, le nouveau régime de propriété intellectuelle faciliterait grâce à sa transparence et à son efficacité, les transactions de produits porteurs de droits de propriété intellectuelle entre les entreprises chinoises et les entreprises étrangères. Par conséquent la capacité en matière d’innovation de la Chine s'est affirmée durant cette période de transition vers une économie qui accorderait une place plus importante à la création industrielle et à l’innovation comme Taiwan ou la République de Corée l’ont fait auparavant. En effet, l’émergence de la République populaire de Chine comme nation leader dans le domaine scientifique dynamise le droit de la propriété intellectuelle par une forte demande interne. L’objet de ce travail est donc d’établir un état des lieux de l’influence de l’ADPIC sur le droit de la propriété intellectuelle en Chine, avec d’une part, une législation nationale en matière de propriété intellectuelle conforme à l’ADPIC e d’autre part, un système d’application des droits de propriété intellectuelle en demi-teinte dans les faits / Recently, intellectual property rights protection played a major role in the world. How can this right be protected properly and people get interests from it as much as possible? This has become an issue during the last decade. Indeed, the protection of the latter in terms of intellectual property rights has reached an unprecedented level. After joining the WTO in 2001, the People's Republic of China has made its intellectual property laws compliant with the TRIPS Agreement. Indeed, the integration of China into the global economy in the last years has been accentuated by its willingness to open its economy and to respect the rule of law when the country joined the WTO on December 11 2001.The progress made by China in the area of protection of intellectual property rights were more than important in a short period. Less than twenty years ago, the country was not able to build the necessary infrastructure to protect intellectual property rights. Nowadays, China has a modern set of legal instruments composed substantive and procedural law for each specific aspect of intellectual property, with no possible comparison with the rest of the world. In fact, between 1992 and 2001, many reforms were undertaken. China has agreed to extend its system of protection of intellectual property in all areas and has increased the protection to a high level, strengthening the implementation and enforcement of its intellectual property laws. However, the enforcement of these laws in China raises some problems. The purpose of this thesis is to illustrate the causes of the occurrence of these problems by explaining the TRIPS Agreement and the Chinese law of intellectual property, and analyze the similarities and also differences between both of them. Based on these differences, the imperfections of Chinese law will be illustrated by the dispute before the Dispute Settlement Body of the WTO between the United States and the People's Republic of China on measures affecting the protection and respect for intellectual property rights in China (2007-2009). The causes of cracks in the system of protection of intellectual property have its roots in Chinese history, Confucian culture and the Chinese conception of law. The new intellectual property regime has enhanced the transparency and efficiency of transactions of products bearing intellectual property rights between Chinese enterprises and foreign enterprises, and has helped China to build its capacity for innovation in China in this period of transition to an economy that places greater emphasis on innovation as did Taiwan or the Republic of Korea before. Indeed, the emergence of China as a leading nation in science energizes the intellectual property law by a strong domestic demand for innovation and intellectual property rights. The purpose of this work is to establish an assessment of the positive impact of TRIPS on intellectual property law in China, with one hand, a national legislation on intellectual property in line with the TRIPS and on the other hand, the failure of the enforcement of intellectual property rights in practice
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Nationalisme, islam et politique : les trajectoires idéologiques de l’opposition politique ouïghoure / Nationalism, Islam and politics : Uyghur political opposition’s ideological trajectoriesCastets, Rémi 29 November 2013 (has links)
Thèse confidentielle / Confidential PhD thesis
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Rejuvenating communism : the Communist Youth League as a political promotion channel in post-Mao China / Rajeunir le communisme : la Ligue de la Jeunesse Communiste comme voie d’ascension politique dans la Chine post-maoïsteDoyon, Jérôme 02 December 2016 (has links)
Comment l’Etat-Parti chinois renouvelle-t-il son élite et maintient-il sa cohésion dans la période post-Maoïste ? Il s’agit d’une question fondamentale pour comprendre l’évolution du système politique chinois. Or, les explications fournies par la littérature sur la question sont loin d’être satisfaisantes. J’aborde ces questions à travers une étude unique du rôle joué par la Ligue des Jeunesses Communistes dans le recrutement et la promotion des cadres de l’Etat-Parti depuis les années 1980. Je montre que du fait de la situation politique de l’après Révolution Culturelle et des besoins en jeunes soutiens de certains dirigeants, un système de « mobilité sponsorisée » s’est développé afin de renouveler l’élite politique chinoise. Des étudiants sont recrutés dès l’université et formés par les organisations de jeunesse du Parti. Ils sont alors placés sur une filière de promotion rapide, avec des opportunités de carrière et de formation uniques. Ce qui les conduit à des postes de dirigeants au sein de l’Etat-Parti. Par ailleurs, à travers les différentes étapes du processus de « mobilité sponsorisée », les jeunes recrues développent un rôle spécifique en tant que futurs cadres dirigeants et transforment leurs cercles de sociabilité. En conséquence, ils renforcent leur engagement politique et donc leur intérêt personnel à la survie du régime. Enfin, la nature décentralisée de l’Etat-Parti, et de ses organisations de jeunesse ; rend difficile pour les jeunes recrues d’établir des groupes cohésifs qui pourraient s’organiser contre l’Etat-Parti lui-même. / How does the Chinese Party-State renew its political elite and maintain its cohesion in the post-Mao era? This is a key question in order to understand the evolution of China’s political system and still the explanations one can find in the literature are far from satisfactory. I approach these questions through a unique account of the role played by the Chinese Communist Youth League (CYL) in terms of cadres’ recruitment and promotion since the 1980s. I show that due to post-Cultural Revolution politics and the need for leaders at the time to recruit loyal young cadres, a “sponsored mobility” system was developed to renew the Party-State’s elite. College students are recruited and trained through the Party’s youth organizations. They are put then on a unique promotion path, which includes specific opportunities and trainings, and which leads them to leadership position in the Party-State. In addition, through the various steps of the sponsored mobility process, the young recruits develop a specific social role as future officials and transform their social circles. As a result, they cultivate a political commitment to their career in the Party-State and to the survival of the regime. Finally, the decentralized nature of the Party-State and its youth organizations make it difficult for the young recruits to establish cohesive groups which could organize against the Party-State itself.
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La sculpture bouddhique en bronze en Chine des origines au Ve siècle, analyses et datations / Bronze Buddhist sculpture in China from its origins to the 5th century, analysis and chronologyAllard-Latour, Sophie 19 December 2013 (has links)
L’arrivée en terre chinoise du bouddhisme et de ses images eut pour conséquence d’influencer de manière déterminante et durable la pensée et les expressions artistiques chinoises. Cette thèse se propose d’étudier la sculpture bouddhique en bronze en Chine des origines au Ve siècle, sa constitution et son processus d’élaboration dans le contexte social et culturel chinois des Ier et IIe siècles à partir des données archéologiques récentes et son évolution vers des formes iconographiques normatives, du IIIe au Ve siècle. Les images les plus anciennes découvertes à ce jour dans le Sichuan et la région du Yangzi apparaissent dans un cadre funéraire et s’inscrivirent dans un terreau de croyances locales ancestrales avec lesquelles elles formèrent un véritable syncrétisme pendant près d’un siècle. Leur fonction était semble-t-il protectrice, talismanique, apotropaïque et propitiatoire. Leur véritable fonction cultuelle vit le jour vers la fin du IIIe siècle avec l’émergence d’images individuelles du Buddha en bronze doré, conformes aux prescriptions iconographiques édictées par les textes. A partir des découvertes archéologiques réalisées ces trente dernières années, encore vierges de toute analyse, nous avons établi une classification et une chronologie de datation pour une centaine de sculptures bouddhiques en bronze datant du IIIe au Ve siècle et réalisé une étude stylistique et iconographique détaillée de celles-ci et de leurs sources d’influences. Une traduction en langue occidentale et une analyse inédites des inscriptions votives gravées sur ces images viennent pour la première fois éclairer les pratiques, les cultes et les courants doctrinaux à ces époques. / The arrival in China of Buddhism and its images had a determining and long-lasting influence on Chinese thought and artistic expression. This thesis proposes a study of bronze Buddhist sculpture in China from its origins to the 5th century, its development and process of elaboration in the Chinese social and cultural context of the 1st and 2nd centuries as evidenced by recent archeological data, and its evolution towards normative iconography from the 3rd to the 5th century. The oldest sculptures to date discovered in the Sichuan and Yangzi regions were found in tombs, and were an integral part of ancestral local beliefs with which they formed a veritable syncretism for almost a century. It seems that their function was a protective, talismanic, apotropaic, and propitiatory one. Their real religious function emerged around the end of the 3rd century with the appearance of individual gilt bronze sculptures of the Buddha that conformed to iconography as prescribed by the texts. On the basis of the archeological finds of the last 30 years, which have yet to be analyzed, this thesis establishes a classification and a chronological scale for a hundred bronze Buddhist sculptures dating from the 3rd to the 5th centuries, and proposes a stylistic and iconographic study of these sculptures and of their influencing sources. A translation in a Western language and an unprecedented analysis of the votive inscriptions engraved on the sculptures offer, for the first time, a glimpse into the practices, cults, and doctrines of those times.
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L'internationalisation des PME françaises en Chine-vue à travers des résultats d'enquêtes (2011 - 2012) / The internationalization of French SMEs in China-seen through survey results (2011 - 2012)Tong, Le 14 June 2018 (has links)
Si le développement à l’international de certaines PME françaises sur le marché chinois a fait l’objet de nombreux reportages, et attire de plus en plus d’attentions du public ces dernières années, la situation globale de la présence de ce groupe d’entreprises de taille réduite en Chine reste méconnue. L’objet de cette étude est donc d’essayer de mettre au clair la situation de leur présence en Chine, et de proposer une approche globale pour comprendre l’internationalisation des PME françaises sur le marché chinois. Une attention particulière est portée au cadre théorique de PME, au travers de réflexions tout au long de cette recherche, cette étude essaie de proposer une nouvelle approche de la compréhension de la PME et ses démarches d’internationalisation. / While the international development of certain French SMEs in the Chinese market has been the subject of numerous reports and has attracted more and more attention from the public in recent years, the overall situation of the presence of this group of small and medium enterprises in China remains unrecognized. The aim of this study is therefore to try to clarify the situation of their presence in China and to propose a global approach to understand the internationalization of French SMEs in the Chinese market. Particular attention is paid to theories in SMEs, through reflections during this research, this study tries to propose a new approach to the understanding of SME and its procedures of internationalization.
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