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Citoyenneté diasporique. : Problématiques et horizons au prisme de l'expérience uruguayenne / Diasporic Citizenship : Problematics and Boundaries from the Uruguayan Experience

Mora-Canzani, Fernanda 08 June 2017 (has links)
Reposant sur l’expérience uruguayenne (1985/2015), prenant en compte un contexte de mondialisation, notre thèse vise à problématiser, au prisme d’une philosophie politique critique, une citoyenneté nommée diasporique, déployée aux interstices des États-nation, émergeant au travers de processus migratoires, de l’exil et de l’interconnexion de communautés diasporiques.Sous l’éclairage des philosophies de la citoyenneté nous cartographions cette singulière citoyenneté se déployant en scénarios transnationaux et processus interactifs, dans lesquels interviennent différentes catégories d’acteurs.Ainsi, chacun, individuellement ou au sein de groupes d’appartenance, devient citoyen par des actes, des discours, des représentations, dans l’aspiration de trouver une place à part entière au sein d’une communauté politique, sans en devenir prisonnier. Sans nous contenter d’examiner les situations de déterritorialisation évoquées - exil, migration, diaspora-, notre intention est plutôt d’interroger les conditions que s’y trouvent associées dans l’émergence et le déploiement d’une citoyenneté diasporique.Nous conceptualisons dès lors quatre conditions majeures : subjectivité sensorielle et émotionnelle enracinement rhizomique ; réseautique en constellations versatiles ; subjectivation politique mise à l’épreuve par une impossible émancipation. Les logiques auxquelles l’expérience citoyenne diasporique uruguayenne se rattache nous conduisent à poser enfin que la citoyenneté n’est pas prisonnière des institutions.Elle peut s’inventer au sein d’une communauté politique, qu’elle s’exprime en activisme citoyen ou en citoyenneté ordinaire. / Based on the Uruguayan diasporic experience (1985/2015), and taking into account the context of globalization, our thesis aims at problematizing, at the prism of a critical political philosophy, a citizenship called "diasporic", deployed at interstices of Nation-States, emerging through international migratory processes, political exile, and the interconnections of the diaspora communities. In the light of philosophies of citizenship, we map out a diasporic citizenry deployed in transnational situations and interactive processes, in which different categories of participants have a hand in intervening. Thus, each - individually or within the groups to which they belong - through acts, speeches and representations becomes Citizen; aspiring to find a complete place in a political community without becoming captive to it. Without being content to limit ourselves to examining the aforementioned situations of deterritorialization - exile, migration, diaspora - our intention is rather to identify the conditions associated with them in the emergence and deployment of diasporic citizenship. We conceptualize on these bases four major conditions, which we call: sensorial and emotional subjectivity; rhizomic integration; networking in versatile forms; political subjectivity put to the test by an "impossible" emancipation. The logical reasonings to which the experience of the Uruguayan diasporic citizen are connected to lead us finally to assume that citizenship is not beholden to institutions. It can invent itself within the bosom of a political community; express itself as citizen activism or ordinary citizenship.
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Penser l'acteur francais contemporain (hypothèses pour une pédagogie) / Rethinking the French Contemporary Actor - Prologue to any Pedagogy

Farenc, Christine 03 October 2012 (has links)
Dans un théâtre subventionné en crise, l’acteur français se pense aujourd’hui comme un hyper-citoyen, lui qui fut si longtemps privé de citoyenneté. Tout l’enjeu contemporain de la parole de l’acteur s’incarne dans la quête, nostalgique et militante à la fois, de l’éthos et de la transcendance perdus dans le statut d’infâme. En rejaillissant sur l’existence de l’acteur, l’infamie a cristallisé des affects tenaces, passés dans l’inconscient collectif, modelant l’hexis des comédiens, influençant les pratiques scéniques. Elle a contribué à consolider certaines particularités françaises en matière de pédagogie du jeu, comme la défiance vis-à-vis de la méthode stanislavskienne et du monologue. A cet égard, la comparaison avec l’école de jeu anglaise est instructive. C’est au moment de la laïcisation de l’État, il y a cent ans, qu’un nouveau théâtre fait des choix éthiques et esthétiques encore largement opératoires aujourd’hui, et achève la conversion de l’acteur : d’ancien damné, il deviendra sauveur, missionné par l’État auprès d’une nation-public. Contrairement aux apparences, la mise en infamie de l’acteur a toujours cours. Avec la sécularisation de la société française, elle a quitté le champ métaphysique, pour investir le champ méta-économique. Elle prend sa source dans le rapport statutaire de l’acteur à l’État et impose son coût historique. Un véritable "Complexe d’infamie" de l’acteur est en effet à l’œuvre sur les scènes françaises, assorti d’un tabou de l’intériorité et d’un interdit d’adresse directe au public, agissant comme un grand Sur-moi actoral. Infâme parmi les infâmes, l’acteur alter-ethnique est un cas redoublé du "Complexe d’infamie". L’acteur français noir, en particulier, est un révélateur des contradictions affectant "visiblement" la condition esthétique du comédien et la citoyenneté républicaine. Dans le contexte du quadruplement du nombre des acteurs en France depuis 1980, ce "Complexe d’infamie" éclaire la nature de l’indécision de la pédagogie dramatique. Il gagnerait à être sublimé ou subverti avant toute tentative de refondation pédagogique. / At a time when subsidised theater is in crisis, the French actor, after being considered a second-rate citizen for such a long time, thinks of himself today as a super-citizen. The contemporary challenge of speech ("parole") of the actor is embodied in the quest, both nostalgic and militant, for ethos and transcendence, lost in the state of infamy. Rebounding on the existence of the actor, infamy has crystallised stubborn affects, slipped into the collective unconsciousness, shaping the hexis of actors and influencing stage practices. It has helped to consolidate French peculiarities in acting pedagogy, such as mistrust of the Stanislavski method and the monologue. In this respect, comparison with the English school of acting is informative. A hundred years ago, at the time of the secularisation of the State, a new theater made ethical and aesthetic choices, which are still largely operative today, and completed the conversion of the actor: formerly a damned soul, he has become a savior, sent by the State before a national audience. Contrary to appearances, the situation of infamy still exists. It is just that, with the secularisation of French society, the meta-economic field replaced the metaphysical one. Its roots can be found in the statutory relationship between the actor and the State and imposes its historical cost. A "Complex of infamy" for the actor is indeed present on the French stage, together with a taboo on interiority and a prohibition against directly addressing the public, representing a big actorly Super-ego. Infamous among the infamous, the alter-ethnic actor suffers from a doubled "Complex of infamy". The black French actor, in particular, is a mirror of the contradictions "visibly" affecting the aesthetic condition of the actor and republican citizenship. Given the context where the number of actors in France has quadrupled since 1980, this "Complex of infamy" points out the indecisive nature of teaching drama. It needs to be sublimated or subverted before ever attempting any educational reform.
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Un pays nommé désirs : définition et étude du concept de désir de citoyenneté dans le Canada contemporain / A country named desire : definition and analysis of the concept of desire for citizenship in contemporary Canada

Cougnoux, Géraldine 13 June 2008 (has links)
La diversité ethnoculturelle est une réalité incontournable dans les démocraties occidentales. Les effets de cette nouvelle diversité sur la citoyenneté et les identités nationales posent question : l’adaptation des institutions et des sociétés à l’évolution de cette diversité provoque des débats intenses, et parfois violence et exclusion. Le Canada présente un cas particulièrement intéressant à cause de la complexité de sa diversité d’une part, et de son apparent succès dans la gestion des relations entre majorité et minorités, d’autre part. La diversité canadienne est particulière, même si elle n’est pas unique, puisqu’elle est à la fois multiculturelle et plurinationale. Cette diversité complexe donne lieu à ce qui est appelé dans la thèse de « Grandes inquiétudes », liées principalement au mouvement séparatiste québécois, au nationalisme autochtone et aux tensions émanant des différences culturelles avec les minorités issues de l’immigration. On postule que ces Grandes inquiétudes sont le résultat de tensions entre peur de la fragmentation d’un côté et « désirs de citoyenneté » de l’autre. Plutôt que d’envisager la problématique de la diversité sous l’angle des politiques purement identitaires ou du conflit social, la thèse propose d’envisager que les revendications minoritaires à l’égard de la société et des institutions canadiennes, qui paraissent être dirigées contre cette dernière, sont en fait l’expression d’un désir de citoyenneté, c’est-à-dire d’un désir de participer pleinement à la vie de la sociale et politique canadienne et de contribuer au projet canadien. Dans le droit fil de l’interdisciplinarité qui caractérise le champ des Études canadiennes, la thèse propose une définition du concept transdisciplinaire de « Désir de citoyenneté » et son analyse, fondée sur 11 entrevues avec des Canadiens issus des trois grands groupes minoritaires et sur les outils d’analyse puisés dans la philosophie politique, la psychologie sociale et les études post-coloniales. En adoptant une démarche inductive, ce travail espère apporter un élément constructif au débat sur la diversité et la citoyenneté canadienne, en partant de l’observation et de l’analyse de sources primaires afin de donner une définition heuristique du concept de désir de citoyenneté. A la lumière de cette analyse, la thèse propose les conclusions suivantes : le discours séparatiste et la tension politique qui a accompagné son émergence sur la scène politique au Canada a eu pour effet de masquer le désir d’une majorité de Québécois, pour qui une forte identité québécoise et des mesures d’exception pour le Québec ne sont pas incompatibles avec une appartenance fédérale et une identité en partie canadienne. L’enjeu réel du désir de citoyenneté autochtone et des inquiétudes qu’il suscite est la finalisation de la décolonisation, soit une redéfinition de l’espace autochtone au sein du Canada, tant sur le plan territorial et politique que symbolique, et non la séparation ni le rejet. Les revendications des minorités issues de l’immigration sont avant tout l’expression d’un désir d’intégration, qui implique la possibilité de la réalisation de soi. L’analyse de chacune des Grandes inquiétudes canadiennes permet de confirmer en partie qu’elles émanent toutes trois d’une tension entre un désir d’autoréalisation et un désir de statu quo, ou entre un désir de changement et un désir de stabilité. Le désir de citoyenneté est donc un concept à la charnière des différentes théories de la citoyenneté, qui les rappelle à un fondement commun : le désir. Il réintroduit la possibilité de prendre en compte la complexité de l’expérience humaine dans la formulation de principes du vivre-ensemble par les démocraties libérales. Le concept de désir de citoyenneté pourrait contribuer à ce que l’exercice politique reste, ou redevienne, une forme d’humanisme. / Ethno-cultural diversity has become the social and political reality of Western democracies. The effects of that diversity on the idea of citizenship and national identity raises new questions: as institutions struggle to adapt to its new circumstances, debates, tensions, and sometimes violence arise. Canada constitutes a particularly interesting case study because of its complex diversity on the one hand and because of its apparent success in dealing with the tensions between majority and minorities on the other hand. Diversity in Canada is twofold, as it is both multicultural and plurinational. It gives rise to what is called in this work the “grand Canadian preoccupations” linked to Québec separatism, Native nationalism and ethno-cultural diversity. This thesis contends that these Grand preoccupations are the result of a conflict between a fear of fragmentation in the majority and a desire for citizenship amongst minorities, that is to say a desire to be included into the Canadian project. In order to define and analyze the concept of desire for citizenship, this work uses analytical tools developed in political philosophy, social psychology and post-colonial studies, as well as 11 interviews with Canadian participants. Through an inductive approach, the concept of desire for citizenship is asserted as a useful theoretical tool to take into account the complexity of human desire in the study of diversity and citizenship.
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Miser sur la vertu et les forces : des leviers novateurs pour améliorer la performance au travail

Belleville, Karel January 2017 (has links)
La recherche en psychologie du travail et des organisations a traditionnellement tenté de comprendre les effets pathologiques rencontrés dans les organisations, tels les comportements de fraude ou de violence, les symptômes de stress ou de dépression, les pertes d’efficacité et de rentabilité, etc. Malgré tous les efforts investis pour aider les organisations à mieux comprendre les facteurs pouvant nuire à leur performance, il semblerait que celles-ci soient encore fragiles et vulnérables, comme le démontrent les nombreux scandales qui éclatent à travers le monde entier. Dans l’objectif d’aider les organisations à rester compétitives, à améliorer leur performance organisationnelle ou à œuvrer dans un environnement incertain, certaines innovations proposées par l’approche positive suggèrent de miser davantage sur les aspects positifs des individus et des organisations. La présente thèse vise à présenter deux de ces innovations, soit la vertu organisationnelle et le courant des forces, et à démontrer les impacts positifs que ces deux nouvelles orientations peuvent générer dans les organisations. Issus de deux domaines d’études de la psychologie positive (positive organizational scholarship et positive organizational behavior), la vertu organisationnelle et le courant des forces feront l’objet des deux articles constituant la présente thèse. Destiné principalement aux chercheurs et aux professionnels en psychologie du travail, le premier article aborde le concept de la vertu organisationnelle, une avenue vers laquelle les organisations peuvent s’orienter afin de favoriser leur performance. Le concept de vertu organisationnelle est encore peu connu et le premier article vise à le démystifier en présentant une synthèse des connaissances actuelles. Le deuxième article, de nature empirique, s’adresse davantage aux chercheurs en gestion, en administration et en psychologie du travail et des organisations. En effet, il vise à contribuer aux connaissances théoriques en démontrant les effets positifs de l’utilisation des forces sur la performance organisationnelle. Plus précisément, il vise à tester un modèle dans lequel le bien-être subjectif joue un rôle de médiateur entre l’utilisation des forces et les comportements de citoyenneté organisationnelle et de proactivité. Afin de vérifier les hypothèses proposées, des analyses de médiation ont été réalisées auprès d’un échantillon de 142 professionnels provenant d’organismes communautaires. En somme, cette thèse apporte des contributions significatives à plusieurs niveaux. D’abord, sur le plan des connaissances théoriques, elle vise à démystifier le concept de vertu appliqué aux organisations et à offrir une première synthèse francophone sur le sujet. De plus, elle apporte des validations supplémentaires et nuance la proposition selon laquelle l’utilisation des forces en milieu de travail favorise la performance des individus. Finalement, sur le plan des implications pratiques, la présente thèse offre des pistes de réflexion permettant d’orienter les dirigeants et les professionnels en ressources humaines qui désirent intégrer la psychologie positive au sein de leur culture organisationnelle.
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Comment encourager les comportements prosociaux ou citoyens au travail : le rôle des inducteurs organisationnels et individuels / Encouraging prosocial behavior or corporate citizenship in the workplace : the role of organizational and individual inducers

Boundenghan, Méthode Claudien 15 December 2014 (has links)
Depuis les années 1980, les investigations des chercheurs sur les comportements des individus en milieu de travail sont de plus en plus tournées vers les comportements plus spontanés et volontaires qui ont pour conséquence, l'amélioration du fonctionnement organisationnel. Connus sous plusieurs vocables tels que les comportements de citoyenneté organisationnelle (Organ, 1988 ; Paillé, 2006), comportements organisationnels prosociaux (Brief & Motowidlo, 1986 ; Desrumaux, Léoni, Bernaud, & Defrancq, 2012…), ces conduites ont été à l'origine définies comme « le comportement individuel qui est discrétionnaire, non directement ou explicitement reconnu par le système formel de récompense et qui, dans l'ensemble, promeut le fonctionnement efficace et effectif de l'organisation » (Organ, 1988, p4). Par ailleurs, les études empiriques en proposent différentes catégorisations. Une première est basée sur des groupes de comportements (Organ, 1988 ; Podsakoff, MacKenzie, Moorman, & Fetter, 1990) et la deuxième sur une division en deux grands dimensions selon qu'ils s'orientent vers une cible particulière (organisation vs individu), regroupant chacune des sous catégories (Williams & Anderson, 1991). En nous basant sur ces différentes catégorisations et en prenant appui sur la théorie de l'échange social, cette thèse de doctorat se propose d'examiner le rôle des variables aussi bien organisationnelles qu'individuelles dans la prosocialité des individus en milieu de travail. Concrètement, il s'agit d'analyser les influences des caractéristiques liées à l’organisation (la justice organisationnelle et le soutien de l'organisation), la satisfaction au travail, l'engagement organisationnel, la personnalité, les affects et l'empathie sur les CPST. Un modèle complet qui inclut toutes ces variables a, de ce fait, été proposé. Ce modèle suggère que les inducteurs organisationnels et individuels affectent les CPST par les médiations de la satisfaction au travail, les affects et l'empathie. Les résultats des analyses des études conduites à cet effet confortent certaines hypothèses relationnelles, et tendent à reproduire une catégorisation en deux dimensions.Ainsi, les études réalisées permettent de constater que la prosocialité des salariés est positivement liée à plusieurs critères tels que le soutien organisationnel perçu, les justices distributive, procédurale et interpersonnelle et l'engagement organisationnel. Les résultats obtenus soutiennent également le rôle médiateur de l'empathie et des affects dans la relation entre les justices distributive et procédurale, l'engagement affectif et les comportements prosociaux.En termes de contributions, cette thèse alimente la réflexion sur une base théorique solide à l'égard de la prosocialité organisationnelle des travailleurs. Ensuite, la recherche pallie certaines limites relatives aux études antérieures inhérentes à l'étude d'un nombre réduit des dimensions de prosocialité et des variables antécédentes. Finalement, cette thèse permet de mieux cerner les antécédents et le rôle des comportements prosociaux au travail. / Since the 1980s, the researchers investigating the behavior of individuals in the workplace have been increasingly facing the most spontaneous and voluntary behaviors which result in the improvement of organizational functioning. Known by several vocables such as organizational citizenship behaviors (Organ, 1988 ; Paille, 2006), organizational prosocial behaviors (Brief & Motowidlo, 1986 ; Desrumaux, Léoni, Bernaud & Defrancq, 2012…), these actions have been originally defined as "individual behavior that is discretionary, not directly or explicitly recognized by the formal reward system and that, overall, promotes the efficient and effective functioning of the organization" (Organ, 1988, p. 4). However, empirical studies offer different categorizations. The first is based on groups of behaviors (Organ, 1988 ; Podsakoff, MacKenzie, Moorman, & Fetter, 1990) and the second on a division in two dimensions as they are moving towards a particular target (organization vs. individual), each containing subcategories (Williams & Anderson, 1991). Based on these categorizations and relying on the theory of social exchange, this thesis will examine the role of either organizational or individual variables both in the prosociality of individuals in the workplace. In fact, it is to analyze the influence of work-related characteristics (organizational justice and organizational support), job satisfaction, organizational commitment, personality, emotions and empathy on CPST. A full model that includes all these variables has therefore been proposed. This model suggests that organizational and individual inducers affect CPST by mediation of job satisfaction, affects and empathy. Analytical results of studies conducted for this purpose reinforce some relational hypothesis and tend to reproduce a two-dimensional categorization. Thus, the present study shows that the prosociality of employees is positively related to several criteria such as perceived organizational support, distributive, procedural, interpersonal justices and organizational commitment. The results also support the mediator roles of empathy and affects in the relationship between distributive and procedural justices, affective involvement and prosocial behaviors. In terms of contributions, this study gives rise to the establishment of a strong theorical basis to organizational prosociality of workers. Then, this research overcomes some limitations of the previous studies inherent to the study of a small number of prosociality dimensions and antecedent variables. Finally, this research provides more information about the history and role of prosocial behaviors at work.
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L’enseignement des droits humains dans les lycées marocains : les objectifs et les contraintes

Côté-Vaillant, Étienne 02 September 2021 (has links)
Quels sont les objectifs de l’enseignement des droits humains dans les lycées de la ville de Rabat, appuyé par la réforme de l’éducation « Vision stratégique 2015-2030 » ? Si l’enseignement des droits humains n’est pas un phénomène nouveau, il reste un sujet hautement conflictuel, dense et complexe, où il est nécessaire de poursuivre son exploration et son étude. Cette étude qualitative de type analyse de contenu qualitatif a pour objectif principal de définir, recenser et évaluer les objectifs de ce type d’enseignement actuellement diffusé dans les lycées de la ville de Rabat et promu par le plan de réforme éducative. Afin de répondre aux visées de cette thèse, une recension de la littérature scientifique a été réalisée sur les sujets suivant : les droits humains, la citoyenneté, l’éducation aux droits humains et la violence scolaire au Maroc. Plusieurs aspects liés à ces thèmes ont alors pu être explorés : les définitions conflictuelles des droits humains et de la citoyenneté, les visées de leur enseignement et les contradictions qui s’y déploient. Cette recension des écrits a permis d’identifier les principales données à contrôler lors de l’enquête de terrain, réalisée auprès d’enseignants du lycée, de jeunes citoyens âgés entre 18 et 24 ans et d’experts de l’éducation nationale. Ainsi, il a pu être présenté les trois grandes thématiques dans lesquelles s’inscrivent les objectifs de l’enseignement des droits humains dans les lycées marocains : celle de l’éducation à la citoyenneté, de la consolidation de la pédagogie et de l’appréciation de la dignité humaine. Dans un deuxième temps, certaines données observées ont pu être analysées par un regard critique sur, entre autres, les déterminants et les influences d’une appartenance à la civilisation islamique, ainsi que les enjeux liés aux tensions entourant la définition sur la scène internationale des droits humains et de ses normes éducatives. Ce faisant, des paradoxes et des problématiques majeures entourant le sujet à l’étude ont pu être mis en lumière et contestés.
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Les pratiques des sans-statuts au Canada : une mobilisation aux frontières de la citoyenneté?

Dionne, Jean-Rémi 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la mobilisation improbable des acteurs sans-statuts sur le territoire canadien. En effet, les transformations engendrées par la mondialisation affectent actuellement les États-nations dans la définition de la citoyenneté. L'identité, la souveraineté et l'espace juridique sont directement interpellés par ce processus. L'apparition de nouveaux acteurs sociaux suscite un redéploiement des modalités de protestation autour de ces trois points. La situation largement étudiée en France comme partout en Europe pose les bases d'une étude de ces acteurs comme mouvement social. Le schéma de mobilisation français s'articule autour de la remise en cause de citoyenneté moderne par la pratique quotidienne et locale d'une forme de citoyenneté déterritorialisée. Le Canada n'est toutefois pas épargné par ces transformations. La recherche analyse les similitudes entre les manifestations sur le territoire canadien et la structure du mouvement français. L'étude s'est effectuée à partir du cas de Mohamed Cherfi, un Algérien sans-statut expulsé du Canada après s'être réfugié dans une église de la ville de Québec. Les résultats de la recherche permettent tout d'abord de mettre en évidence l'usage d'une structure de mobilisation en marge de la citoyenneté canadienne. Finalement, ce mémoire propose un schéma analytique pour ces nouveaux acteurs sociaux dont l'importance et la pertinence ne font que croître.
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La pensée critique au coeur de l'éducation à la citoyenneté

Lang, Mathieu 17 April 2018 (has links)
Cette thèse montre le lien entre le développement de la pensée critique et l'éducation à la citoyenneté. Notre travail s'est effectué en deux temps : une exploration historique de la question de la pensée critique et de sa proximité avec la citoyenneté chez Platon, Rousseau et Dewey. Par la suite, nous avons effectué un examen sommaire de la question actuelle de la citoyenneté en soulignant l'exigence de se remémorer la tradition philosophique à l'égard de la pensée critique. Que ce soit pour établir l'ordre et l'harmonie dans l'âme et la Cité chez Platon, pour résister à la corruption qu'exerce la société sur l'individu chez Rousseau, ou pour contribuer à la croissance continue de la personne et de la communauté chez Dewey, la pensée critique constitue, chez ces trois philosophes de trois époques différentes, la faculté par laquelle l'individu sort de sa sphère privée pour accéder à la sphère publique. La pensée critique est cette pensée qui permet la synthèse du sujet avec l'objet, de la partie avec le tout, de l'individuel avec l'universel. Elle est une remise en question constante des certitudes et des normes qui figent l'individu et l'empêchent de produire du nouveau. La pensée critique favorise une sortie de soi vers le monde et vers autrui et permet l'élaboration du sens commun nécessaire à l'expérience civique. Nous pensons que, de nos jours, cette forme particulière de pensée est centrale pour une citoyenneté sans cesse interpellée par les bouleversements rapides et constants qui sont la marque de nombreuses sociétés à travers le monde. La complexification de la réalité sociale oblige le citoyen, plus que jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité, à toujours penser à neuf les enjeux qui concernent le vivre-ensemble. Pour ce faire, le citoyen doit être en mesure d'exercer une pensée autonome, qui, dans les moments sans repère, interroge et est capable de s'examiner elle-même, le monde et les autres. Nous terminons en montrant que le programme de philosophie pour enfants créé par Matthew Lipman met en scène un espace pédagogique, la communauté de recherche, qui permet aux enfants de vivre l'expérience de cette relation dialectique (sujet-objet-sujet) qui caractérise la pensée critique.
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Vivre ensemble : une notion à préciser avec le personnel scolaire

Lavallée, Noémie 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maitrise s’intéresse aux représentations sociales que se fait le personnel scolaire d’une école secondaire sur la notion de vivre ensemble. La littérature d’aujourd’hui ne permet pas de donner une définition précise de ce qu’est le vivre ensemble par rapport au personnel des écoles. Ce mémoire sert à mettre de l’avant les différents éléments qui cernent la notion de vivre ensemble à travers les représentations que se font les différents acteurs scolaires. Ici par acteurs scolaires, il est entendu que ce sont les représentations des membres de la direction, des professionnels, des enseignants ainsi que du personnel de soutien dont il sera question. La recherche tente de répondre à la question suivante : Comment les acteurs scolaires d’une école secondaire québécoise se représentent et décrivent la notion de vivre ensemble dans leur pratique de vie professionnelle? À l’aide d’entrevues semi-dirigées, les objectifs suivant seront atteints : analyser les représentations sociales décrites par les différents acteurs scolaires et dresser, par des entrevues, la typologie et les conditions du vivre ensemble. Dans le cadre de cette recherche qualitative, 14 membres du personnel d’une école secondaire sont interrogés sur leur représentation de la notion de vivre ensemble dans leur établissement. Dans le présent mémoire, le genre masculin est utilisé sans aucune discrimination envers les différents acteurs scolaires. C’est une étude de cas exploratoire. Les résultats des entrevues ont été retranscrits sous forme de verbatims et analysés à l’aide du logiciel QDA-miner qui a permis de faire un codage et de faire ressortir certains éléments pertinents à analyser dans ce mémoire. L’analyse des entrevues effectuées avec les participants permet de cerner certaines conditions nécessaires à la présence du vivre ensemble dans un établissement scolaire. L’analyse met aussi en perspective certains obstacles qui peuvent nuire au vivre ensemble. Les éléments importants de la représentation du vivre ensemble sont distincts selon le rôle professionnel des personnes interrogées. La démarche pourrait être utilisable dans un autre milieu scolaire puisque peu d’études abordent cette notion. Toutefois, la recherche comporte certaines limites puisqu’elle ne s’est intéressée qu’à une seule école secondaire québécoise et qu’elle ne permet pas de faire ressortir de définition de la notion de vivre ensemble. En revanche, le mémoire permet d’établir certaines bases claires sur ce qu’est le vivre ensemble dans un milieu scolaire, surtout en ce qui a trait aux conditions propices nécessaires et aux obstacles présents vis-à-vis la mise en place de cette notion.
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Les représentations des élèves des lycées du Gabon sur la démocratie au sortir du cycle secondaire

Assoume Mendene, Clotaire 18 April 2018 (has links)
Notre recherche s'intéresse aux représentations que les élèves des lycées du Gabon se font de la démocratie au sortir de leur cycle secondaire, et plus particulièrement dans le cadre de leur formation citoyenne. Ceci est d'autant plus important que la question de la démocratie reste un véritable problème de société au Gabon du fait de la difficile instauration de l'État de droit. La perspective dans laquelle nous nous inscrivons s'apparente à celle développée par de nombreux éducateurs à la citoyenneté, à l'instar de Mougniotte (1994), qui propose certaines stratégies pour éduquer les jeunes à la démocratie. Cet auteur pense que la « véritable éducation à la citoyenneté » est celle qui porte sur les valeurs, les difficultés, les paris et les défis de la démocratie. Pour concrétiser notre intérêt de recherche, nous avons mis en place un cadre réflexif qui a permis à des élèves des classes terminales d'échanger, de confronter leurs points de vue autour du concept de démocratie. La discussion s'est articulée autour du sens que ces élèves accordent à l'idée de démocratie, autour des principes fondamentaux sur lesquels repose ce concept de référence (valeurs, droits et devoirs, pratiques de délibération, de participation, etc.) ou encore autour des habiletés que ces jeunes pensent avoir développées en lien avec l'idéal démocratique. Les données ainsi recueillies, nous avons eu recours à une analyse selon deux registres. Les conclusions de ces analyses révèlent des résultats très insatisfaisants au regard des nombreuses lacunes décelées dans la maîtrise du concept de démocratie par les élèves des lycées du Gabon à la fin du cycle secondaire. Cette situation inquiétante nous amène à faire des propositions concrètes pour tenter de combler le fossé qui existe entre les intentions éducatives relatives à la démocratie telles que véhiculées par les discours des programmes et la compréhension effective de ce concept observée chez les lycéens gabonais soumis à cet apprentissage de la citoyenneté.

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