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Epistemology in linguistic analysis : a case study from Japanese and Okinawan

Shinzato, Rumiko January 1984 (has links)
Typescript. / Thesis (Ph. D.)--University of Hawaii at Manoa, 1984. / Bibliography: leaves 118-123. / Microfiche. / lMaster negative: Microfiche MS33169. / vii, 123 leaves, bound ill. 29 cm
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Naming and contingency: towards an internalist theory of direct reference / Sens des noms et contingence: vers une théorie internaliste de la référence directe

Bochner, Gregory 15 December 2011 (has links)
This work is an essay on the reference of names in language and thought. According to the Theory of Direct Reference, nowadays dominant in philosophy of language, the semantic content of a proper name is directly its referent (Chapter 1).<p>Nevertheless, despite its current fame, this theory must face two major difficulties, familiar since Frege and Russell: the Co-Reference and the No-Reference Problems. The traditional response to these problems consisted precisely in abandoning Referentialism in favour of a version of Descriptivism according to which the semantic content of a proper name would be, not its referent, but a descriptive condition (Chapter 2).<p>However, it is also this traditional version of Descriptivism that the arguments offered by the pioneers of modern Referentialism—including Kripke, Putnam, and Kaplan—have largely discredited (Chapter 3).<p>The theoretical tools developed within the framework of possible worlds semantics enable to restate the problems generated by Referentialism in terms of the opacity of linguistic intensions and Modal Illusions (Chapter 4).<p>At this stage, our semantic theory of names seems to have reached a dead end: on the one hand, modern Referentialism recreates the problems which classical Descriptivism was meant to solve, but, on the other hand, this kind of Descriptivism appears to be refuted by the argumentation of new Referentialists. A common reaction, then, has been to devise more complex semantic theories purporting to combine Referentialism with crucial features from Descriptivism. However, a careful examination reveals that the various versions of this strategy fail (Chapter 5).<p>Another type of reaction, also ecumenical, has been to draw a distinction between two kinds of contents which would be associated with names and the sentences in which these occur: while the first kind of content would be descriptive, the second would be referential. The Two-Dimensionalist framework has received several interpretations (pragmatic, semantic, metasemantic); but a new construal, metasyntactic, is defended in this work (Chapter 6).<p>The metasyntactic interpretation of Two-Dimensionalism allows for a radical gap between language and thought: while the thoughts of their users can remain descriptive, names are supposed to achieve direct reference by themselves, and independently of the mental states of their users. Hence, names must be regarded as objects living in the external world, on a par with other ordinary objects like trees or chairs, and not as mental objects. An Externalist metaphysics of names is then submitted, as well as a corresponding epistemology, according to which external names are described in the mind through a description of their reference (Chapter 7).<p>The general strategy pursued in this work amounts to combining a Theory of Direct Reference in language with a Descriptivist (hence, Internalist) account of thought. Also, certain influential arguments — notably devised by Burge — intended to support Mental Referentialism (hence, Externalism) beyond Linguistic Referentialism, are rejected; it is moreover argued that a Non-Descriptivist conception of the mental is incapable of securing the introspective transparency of thoughts, which, however, seems indispensable, among other things in order to solve and even pose the Co-Reference and the No-Reference Problems (Chapter 8).<p><p>----------<p><p>Ce travail est un essai sur la référence des noms dans le langage et la pensée. Selon la Théorie de la Référence Directe, aujourd'hui dominante en philosophie du langage, le contenu sémantique d'un nom propre est directement son référent (Chapitre 1).<p>Or, malgré son succès récent, cette théorie Référentialiste se heurte à deux obstacles majeurs, reconnus depuis Frege et Russell : les Problèmes de la Co-référence et de la Non-Référence. La réponse traditionnelle à ces problèmes consistait précisément à abandonner la conception Référentialiste en faveur d'un Descriptivisme selon lequel le contenu sémantique d'un nom propre serait, non pas son référent, mais une condition descriptive (Chapitre 2).<p>Toutefois, c'est aussi ce Descriptivisme traditionnel que les arguments formulés par les hérauts du Référentialisme moderne—dont Kripke, Putnam, et Kaplan—ont largement discrédité (Chapitre 3).<p>Les outils théoriques développés dans le cadre de la sémantique des mondes possibles permettent de reformuler les problèmes générés par le Référentialisme en termes d'opacité des intensions linguistiques et d'Illusions Modales (Chapitre 4).<p>A ce stade, la théorie sémantique des noms semble dans une impasse : d'une part, le Référentialisme moderne recrée des problèmes que le Descriptivisme classique devait résoudre, mais d'autre part, ce Descriptivisme paraît bel et bien réfuté par l'argumentation des Référentialistes. Aussi, une réaction commune a été de chercher à concilier le Référentialisme et une forme de Descriptivisme au sein d'une même théorie sémantique. Cependant, un examen approfondi révèle que les différentes versions de cette stratégie échouent (Chapitre 5).<p>Une autre réaction, elle aussi œcuménique, a été d'opérér une distinction entre deux types de contenus qui seraient associés avec les noms et les phrases dans lesquels ceux-ci figurent : le premier contenu serait descriptif, tandis que le second serait référentiel. Le cadre offert par un tel Bi-Dimensionnalisme a reçu plusieurs interprétations très différentes (pragmatique, sémantique, métasémantique) ; mais c'est une nouvelle version, métasyntaxique, qui est défendue dans ce travail (Chapitre 6).<p>Le Bi-Dimensionalisme métasyntaxique autorise une séparation radicale entre langage et pensée : tandis que les pensées de leurs utilisateurs peuvent rester descriptives, les noms sont censés référer directement par eux-mêmes, indépendamment des états mentaux de leurs utilisateurs. Dès lors, les noms doivent être considérés comme des objets appartenant au monde extérieur, au même titre que des objets ordinaires tels que les arbres ou les chaises, et non comme des objets mentaux. Une métaphysique externaliste des noms est proposée, ainsi qu'une épistémologie assortie, selon laquelle les noms externes sont décrits dans l'esprit à travers une description de leur référence (Chapitre 7).<p>La stratégie générale qui est défendue dans ce travail revient à combiner une Théorie de la Référence Directe dans le langage avec une conception Descriptiviste (et donc, Internaliste) de la pensée. Aussi, certains arguments influents — émis par notamment Burge — censés établir un Référentialisme non seulement linguistique mais aussi mental (et donc, un Externalisme) sont rejetés ; il est en outre défendu qu'une vision Non-Descriptiviste du mental apparaît incapable de garantir la transparence introspective des pensées, cependant indispensable, notamment pour résoudre et même poser les Problèmes de Co-Référence et de Non-Référence (Chapitre 8). / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les enjeux de la différance chez J. Derrida: prolégomènes à une praxis de la responsabilité / Enjeux de la différance chez Jacques Derrida

Okitadjonga Anyikoy Wa Anyikoy, Gaspard 12 December 2003 (has links)
La thèse comprend deux parties, qui visent à vérifier deux hypothèses principales.<p>La première consiste à se demander si la déconstruction derridienne de la métaphysique traditionnelle ne joue pas, au su ou à l’insu de Derrida, un double rôle :d’une part, délimiter les prétentions de ladite métaphysique à révéler et/ou à livrer la présence pleine du sens ou de la vérité et, d’autre part, constituer le fondement de la logique de la différance. Celle-ci, posée comme ‘’principe des principes’’ de la pensée de Derrida, jouerait un rôle unificateur de son œuvre, en dépit de l’argument commun aux disciples de l’impossibilité de fixer son travail en aucune forme d’unité. Derrida n’est-il pas, soutient-on, le penseur de la fragmentation, à l’opposé de Heidegger qui, lui serait le philosophe du rassemblement ?<p>Contrairement à cette thèse, nous posons la différance comme tissu de l’unité de fond sans fond de l’œuvre de Derrida ou, plus précisément, comme clef interprétative obligée permettant d’aborder son travail sous la forme d’une unité en différance et fragmentée. La différance commanderait ainsi l’ensemble de l’œuvre de Derrida comme une sorte de logique non-logique à l’œuvre, partout et toujours déjà, active dans chaque champ de son déploiement. Au lieu de constituer un auxiliaire à la déconstruction, la différance en commanderait la genèse et l’économie.<p>Notre seconde hypothèse repose sur l’idée que la différance, érigée en logique non logique, déborderait le contexte et le champ de recherche que lui assignerait son auteur. De sorte qu’il deviendrait possible de la mettre en dialogue avec la révolution linguistico-pragmatique pour, d’une part décloisonner le terrain de la théorie du performatif et des speech acts et, d’autre part, envisager une transgression de ladite révolution par des thématiques dont elle revendiquerait l’exclusivité en montrant qu’elle reste incapable d’en rendre rigoureusement compte. L’incapacité de la révolution linguistico-pragmatique à rendre compte, par exemple, de la pratique de l’événement sous forme de la promesse à la fois possible et impossible, du don de rien, du pardon sans demande ni repentir, de l’hospitalité inconditionnelle offerte et donnée à/par l’étranger en tant qu’arrivant en général, de la décision impossible, en un mot de la responsabilité incalculable sous le régime de l’aporie, témoignerait de sa restance dans l’orbite du logocentrisme ou, simplement, de la logique identitaire de tout ou rien. Il appert ainsi que la volonté affichée par ce tournant de dépasser la métaphysique traditionnelle tourne à l’échec, à telle enseigne que seule la prise en compte de la logique non oppositionnelle de la différance présenterait une alternative nouvelle. Cette dernière serait de nature non seulement à déconstruire la métaphysique de la présence et à délimiter les prétentions du Linguistic-turn mais aussi à tracer la voie vers une praxis de la responsabilité non réductrice, encore moins répressive de l’incommensurable altérité de l’autre, voire de son autre, en général.<p>La question reste ouverte de savoir si Derrida peut être considéré comme un ‘’métaphysicien’’ à la recherche du dépassement de la métaphysique et de tout ce qui pourrait s’y rattacher ou un philosophe de l’action tendant à subvertir la morale, au moyen de la différance, en vue d’une nouvelle praxis.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les dialectes de la dialectique: sens et usage du langage chez Hegel

Lejeune, Guillaume 25 February 2012 (has links)
La thèse s’intéresse au sens et à l’usage du langage chez Hegel à travers une reconstruction de la dialectique et de ses dialectes. <p>Dans la première partie, nous avons reconstruit la théorie implicite du langage à partir des occurrences du thème et de la structure de la philosophie hégélienne. Après une étude génétique et systématique du langage chez le philosophe, nous avons abordé le rapport du langage à la logique. Nous avons alors montré que Hegel essaye moins de construire un langage pour la pensée comme c’est souvent le cas dans les formalismes logiques que de montrer comment la pensée se fait discours dans le langage. A l’issue de cette première partie, il est donc apparu que le langage était moins étudié comme un objet à décrire analytiquement que comme l’élément dans lequel la pensée devenait le discours de l’auto-constitution du sens.<p><p>Une fois ce sens du langage dégagé, nous avons analysé dans la seconde partie, la façon dont Hegel usait du langage pour faire ressortir son discours visant à articuler le sens en son absoluité. Notre démarche essentiellement propédeutique a alors pris un tour problématique, puisque nous avons fait ressortir qu’il y avait une tension entre les textes de philosophie et les textes sur la philosophie. En effet, si le discours philosophique exprime le sens tel qu’il se forme dans le langage, il semble inopportun de faire précéder ce discours de textes tels que des préfaces où des introductions qui ne donnent qu’un point de vue indirect sur la chose. Plus précisément, la dialectique du savoir se formant dans le langage semble perdre dans les textes en marge du système l’intimité requise d’un sens se faisant expérience. Hegel en formulant la philosophie première comme une dialectique autoréférentielle du concept serait pris dans le dilemme suivant :le système interdirait tout texte référentiel (préface, introduction) tout en les nécessitant pour se laisser communiquer. En bref, l’autoréférence au fondement de l’horizon du sens chez Hegel se contredirait dans la communication que vise à établir l’aspect dialogique des préfaces et des introductions. La question que nous avons alors essayé de résoudre est celle de savoir si dialectique et dialogique étaient vraiment à opposer. Après avoir montré que des penseurs comme Schlegel ou Schleiermacher pensaient ces deux concepts ensemble, nous avons fait apparaître que le concept de dialogique pensé dans son historicité s’était vu délimiter concurremment à la grammaire et à la rhétorique des bornes variables. Nous avons alors soutenu la thèse selon laquelle cette plasticité pouvait également s’attacher à la notion de dialogique. Plus précisément, l’opposition apparente de ces deux termes chez Hegel a été mitigée à l’aune d’un concept de dialogique basé sur une relation « Je-Nous ». En montrant que chez Hegel le dialogique des préfaces référait à un « Nous » englobant, le problème de la communication de sa philosophie à travers des textes exotériques n’est plus apparue comme contredisant la structure autoréférentielle du système. Nous avons, par là, fait apparaître que la dialectique de l’élaboration dans le langage pouvait se décliner en des dialectes dialogiques qui, prenant place dans l’espace autoréférentiel de la relation « Je-Nous », n’infirmaient pas le concept d’expérience du sens. <p><p>En guise de conclusion, nous avons esquissé de façon prospective le potentiel d’une telle théorie dans un contexte plus contemporain. Nous avons à cet égard voulu répondre aux critiques de Habermas ou de Gadamer taxant le système hégélien de monologue de l’absolu oublieux du caractère dialogique de la parole et de la communication en montrant l’intérêt qu’une vue plus nuancée sur la pensée dialectique hégélienne pouvait avoir pour la pensée contemporaine.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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