Spelling suggestions: "subject:"littérature africaine"" "subject:"littérature africaines""
1 |
l'Humour et l'ironie en litterature francophone subsaharienne. Une poétique du rireSimedoh, Kokou Vincent 02 April 2008 (has links)
Humour and Irony are identity markers that have long since been associated with Sub-Saharan francophone literary works. Intimately linked to Africa throughout the years, humour and irony have evolved hand to hand with socio-political situation of the continent and fulfill several functions: denouncing through laughter, varying sorts of injustices, playing down the tragic nature of a given situation and subverting individual or collective values. However, and perhaps more importantly, humour and irony belong the category of what Roland Barthes calls "verbal expedients" which allow a writer to avoid common and inadequat usage of language. In this way, we show by using the theorical frameworks of Bergson, Schopenhauer, Jankelevitch, Escarpit and Genette among many others just how humour and irony create a particular vision, one that shows the multiple ways in which we can perceive the world around us. They make possible the representation of what is undeniably real and bring out polysemous meannings(s) in that which may at first appear incongruous.
Given the numerous interpretations that humour and irony offer for a given situation, theses devices thus constitute strategies that build different esthetics within the novel as a literary genre. The latter becomes a sort of semantic playgroung where the specific forms of humour and irony develop: parody, derision, sarcasm,the grotesque and the farce. It is in this way that a veritable "poetics oflaughter" becomes apparent within the novels that we have examined. / Thesis (Ph.D, French) -- Queen's University, 2008-04-01 11:23:19.947
|
2 |
L'expérience de la modernité dans «Shaba deux».«Les carnets de Mère Marie-Gertrude» de V.Y. MudimbeTesla, Chloé 09 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
3 |
Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistesKamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique?
Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative.
Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
|
4 |
Introduction à la littérature négro-africaine de langue françaiseKesteloot, Lilyan January 1960 (has links) (PDF)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
5 |
Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistesKamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique?
Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative.
Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
|
6 |
L'invention du quotidien dans la nouvelle ouest africaine d'expression anglaiseCoulibaly, Bojana 23 May 2014 (has links)
Cette étude s’inspire du concept d’invention du quotidien du sociologue français Michel de Certeau en tant que définit dans son ouvrage L’invention du quotidien (1980). Une lecture et analyse approfondies des nouvelles ouest africaines anglophones nous permettent d’examiner comment à travers des actes créatifs, et au sein de leurs propres champs d’actions, les individus représentés se réaffirment en tant que sujets agissants dans un espace où cette subjectivité leur a été précédemment déniée. La première partie de cette étude consistera à présenter les conditions d’émergence de la nouvelle ouest africaine. Nous examinerons le contexte sociopolitique, le rôle de l’écrivain, l’industrie éditoriale, ainsi que la réception de la nouvelle africaine sur le continent et en dehors du continent africain, ce qui nous permettra de souligner le lien intrinsèque qui existe entre dignité, subjectivité et développement. Dans une deuxième partie, notre intérêt portera sur la mémoire de l'écriture collective de la guerre, du trauma, de la violence ainsi que les diverses stratégies créatives employées par les protagonistes pour réaffirmer leur existence et pour lutter contre la violence et le trauma. Dans la dernière partie de cette étude, nous examinerons les stratégies stylistiques et linguistiques que les nouvellistes ouest africains emploient dans l'objectif de créer une rupture avec la tradition littéraire coloniale et de réinventer un nouveau genre de la nouvelle / This study draws its inspiration from what the French sociologist Michel de Certeau identified as the invention of the quotidian in his well known The Practice of Everyday Life (1980). A close reading and analysis of West African short fiction will allow us to examine how through everyday creative practices and within their own private spheres the represented individuals reestablish a space of agency previously denied to them. The first part of our study will consist in presenting the various conditions of emergence of African short fiction. We will look at the socio-political context and at the role of the short story writer, the publishing industry as well as the reception of African short fiction in Africa and abroad, which will allow us to emphasize the intrinsic link between dignity, agency and development. Secondly, we will focus on the writing of the collective memory of war, trauma and violence and on the numerous creative strategies used by the characters to reaffirm their existence, to fight against violence and to heal from trauma. The final part of this study will examine the stylistic and linguistic strategies used by West African short fiction writers to create a rupture with the colonial literary tradition and to reinvent a new short story genre
|
7 |
Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistesKamgang, Emmanuel January 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique?
Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative.
Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
|
8 |
Poétique de mystères : appropriation du genre et inscription du savoir culturel dans le polar d’Afrique francophoneTogola, Adama 12 1900 (has links)
No description available.
|
9 |
La représentation de l’enfance dans deux romans de Calixthe BeyalaDanhoue, Gogoué Mayeul 08 1900 (has links)
Le présent mémoire tire son hypothèse de recherche d’une observation, celle de la rareté des études portant sur l’enfance dans l’oeuvre romanesque de l’écrivaine Calixthe Beyala. Il ressort en effet de nos lectures que ce thème est resté jusqu’ici en marge des préoccupations de la critique bien qu’il soit l’un des sujets de prédilection de la romancière. Les études qui existent sont marquées par leur caractère très général ou fragmentaire.
Ce mémoire se propose donc d’interroger l’enfance telle qu’elle est représentée dans deux romans qui s’inscrivent dans la catégorie générique des récits d’enfance. Tout l’intérêt et la pertinence de la question se fondent sur la perspective dans laquelle elle se situe, c’est-à-dire en nette démarcation avec les conceptions conventionnelles de l’enfance en Europe (Rousseau, Novalis) ou celles qui prévalaient dans l’Afrique traditionnelle (Senghor, Camara Laye) qui font de l’enfance un moment privilégié de la vie, à la fois idyllique, insouciante et joyeuse. L’univers romanesque de Beyala, au contraire, présente des enfants malheureux, vulnérables, déboussolés, en quête de repères, portant le fardeau de leurs infortunes résultant de l’inconséquence de la famille, de l’adulte et de la société dont les structures et les pratiques les dépossèdent de leur enfance.
Sous cet éclairage, les réflexions qui sont menées dans ce mémoire s’articulent autour de la déconstruction de l’imaginaire conventionnel de l’enfance, un imaginaire paradoxal et déroutant, au regard des dysfonctionnements au sein de la famille et de la société qui caractérisent l’univers de l’enfance dans notre corpus.
Notre étude s’appuie sur les approches théoriques comme l’analyse du personnage et la narratologie. Elle analyse, à travers leurs caractéristiques, leurs actions et leur réseau relationnel, le parcours diégétique des personnages d’enfants afin de découvrir les significations rattachées à leur construction. Les modalités et stratégies narratives en jeu, quant à elles, laissent voir la centralité de l’enfant, à la fois en tant que personnage et narrateur de son histoire, avec notamment les implications comme la prédominance de son point de vue. L’étude ouvre également sur des problématiques sociales qui alimentent les deux récits et révèle le discours critique sur la société qui sous-tend cette écriture de l’enfance. / This dissertation draws its research hypothesis from an observation, that of the scarcity of studies on childhood in the fictional works of the writer Calixthe Beyala. Indeed, it emerges from our readings that this theme has so far remained on the fringes of critical concerns, although it is one of the novelist's favorite subjects. The studies that do exist are marked by their very general or fragmentary character. This dissertation therefore proposes to question childhood as it is represented in two novels that fall under the generic category of childhood stories. All the interest and relevance of the question are based on the perspective in which it is situated, that is to say in clear demarcation with the conventional conceptions of childhood in Europe (Rousseau, Novalis) or those which prevailed in traditional Africa (Senghor, Camara Laye) which make childhood a privileged moment of life, at the same time idyllic, carefree and joyful. The romantic universe of Beyala, on the contrary, presents unhappy, vulnerable, confused children, in search of landmarks, carrying the burden of their misfortunes resulting from the inconsistency of the family, the adult and the society whose structures and the practices dispossess them of their childhood. In this light, the reflections that are carried out in this dissertation revolve around the deconstruction of the conventional imagination of childhood, a paradoxical and confusing imaginary, in view of the dysfunctions within the family and society that characterize the universe of childhood in our corpus. Our study is based on theoretical approaches such as character analysis and narratology. It analyzes, through their characteristics, their actions and their relational network, the diegetic journey of the children's characters in order to discover the meanings attached to their construction. The narrative modalities and strategies involved, on the other hand, show the centrality of the child, both as a character and as a narrator of his story, with the implications such as the predominance of his point of view. The study also opens up on the social issues that feed the two narratives and reveals the critical discourse on society that underlies this writing of childhood.
|
10 |
L'entrance des écrivains africains et caribéens dans le système littéraire francophone : les oeuvres d'Alain Mabanckou et de Dany Laferrière dans les champs français et québécois / The entrance of the African and Caribbean writers in the French-speaking literary system : the works of Alain Mabanckou and Dany Laferrière in the literary fields French and from QuebecNdombi-Sow, Gaël 23 November 2012 (has links)
S'il est admis que la théorie du champ, systématisée par Pierre Bourdieu, a permis de renouveler l?approche du phénomène littéraire, son application au domaine des études francophones reste limitée. Cette étude examine les conditions d'accès aux champs littéraires français et québécois par les écrivains d'origine africaine et caribéenne. La thèse procède à une approche sociologique - l'analyse s'appuyant sur l'examen des trajectoires individuelles, de la poétique des oeuvres et des stratégies de communication des auteurs - des conditions d'accès à l'écriture, à la publication, à la socialisation littéraire et à la consécration dans chacun des champs de réception, c'est-à-dire la politique d'accueil des instances légitimantes et la place réservée à ces écritures migrantes. Une option essentielle a consisté à aborder des écrivains dont le statut et l'audience sont déjà affirmés sur la scène littéraire francophone. Pour cela, le corpus est constitué de deux écrivains indiscutablement reconnus : l'un, Alain Mabanckou, surtout présent dans le champ français ; l'autre, Dany Laferrière, surtout consacré dans le champ québécois. La comparaison entre les champs français et québécois a abouti à une nouvelle conception des phénomènes d'entrance, en faisant ressortir les positions, les postures et les stratégies d'écriture déployées. / If it is admitted that the field theory, systematized by Pierre Bourdieu, allowed to renew the approach of the literary phenomenon, its application in the field of the Frenchspeaking studies remains limited. This study examines the conditions of access to the French and Quebec French literary fields by the writers of African and Caribbean origin. The thesis proceeds to a sociological approach - the analysis leaning on the examination of the individual trajectories, the poetics of the works and the communications strategies of the authors - of the conditions of access to the writing, the publication, the literary socialization and the consecration in each of the fields of reception, that is the policy of reception of the legitimizing authorities and the place reserved for these migrant writings. An essential option consisted in approaching writers whose status and audience are already asserted on the French-speaking literary scene. For this purpose, the corpus is made up of two writers indisputably recognized : the former, Alain Mabanckou, especially present in the French field; the latter, Dany Laferrière, especially recognized in the Quebec French field. The comparison between the French and Quebec French fields ended in a new conception of the phenomena of entrance, by highlighting the positions, the postures and the writing strategies deployed.
|
Page generated in 0.0886 seconds