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Lumières françaises et culture croate à la fin du XVIIIe siècle / The French Enlightenment and Croatian culture at the end of the 18th century

Puškarić, Jelena 03 July 2017 (has links)
C'est en 1767 que Jean-François Marmontel (1723-1799) publie son Bélisaire. Plus un traité socio-philosophique, miroir de son siècle, qu'un roman d'aventure, le Bélisaire de Marmontel retentira immédiatement dans la société de son temps et connaîtra une postérité fructueuse. En regroupant les idées clés de l'époque telles liberté de la pensée religieuse, tolérance civile (son point le plus vivement contesté par la critique et le plus ardemment défendu par son auteur), étendue de l’autorité royale, réforme souhaitée des systèmes fiscaux ainsi que des institutions de la vie civile…, l'ouvrage de Marmontel s'acquiert une importante popularité, son auteur ayant en plus remporté la victoire contre la Faculté de théologie de Paris. Il faut signaler également que le thème historique du vieux général byzantin n’est pas étranger à la littérature européenne antérieure à l’époque des Lumières françaises mais, là, ce sujet reste plutôt historique, sans l’attirail de la pensée novatrice dont Marmontel va le doter. Ainsi, parmi de tels ouvrages l’on range également le drame du Ragusain Antun Gledjević « Bélisaire ou Elpidie ». Cependant, c’est la trame idéologique du roman de Marmontel qui conduit le croate Michael Horvath (1733-1810), prêtre originaire de la région autrichienne de Burgenland, à publier à Vienne - très probablement en 1772 - une adaptation en langue latine du roman français. Une autre version latine (remaniement de la première édition) verra le jour en 1806 par les soins du libraire viennois, Aloysius Doll. / In 1767 Jean-François Marmontel (1723-1799) published a “novel” which he intitled Bélisaire. Much more a socio-philosophical treaty well anchored in its century’s philosophy than an adventure novel, Marmontel’s Bélisaire was an immediate success in his time and inspired many a literary follower in decades to come. Summing up the key ideas of its time, namely freedom of thought in religious matters, civil toleration (the novel’s strongest point, the most criticized by its opponents as well as the most fiercely defended by its author), extension of the royal authority, a most wished for reform of the tax system and, on a larger scale, of various social institutions…, Marmontel’s work quickly gained popularity, which was largely due to his author’s triumph over the Sorbonne theological party. The leitmotiv of Justinian’s old general, whose conduct was synonym of nothing but impeccable righteousness, was not unknown to the European literary pre-Enlightenment production, though back then the traditional plot lacked the novelty elements with which Marmontel endowed his Bélisaire. In this lineage we can place a play intitled « Belisarius or Elpidia » by the Ragusan poet Antun Gledjević. But it was primarily the ideological filament of Marmontel's novel that inspired the Croatian priest Michael Horvath (1733-1810) to publish a Latin version of Marmontel's text (most probably in 1772). A second Latin version of the text (published by a Vienna typographer Aloysius Doll) appeared in 1806.
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Un "Ancien" perdu parmi les "Modernes" ?Jean Dominique Fuss (1781-1860), poète néo-latin

Bertiau, Christophe 21 October 2016 (has links)
La littérature qui s'écrit tout au long des Temps modernes en langue latine a fait l'objet de nombreuses études. On ignore en revanche souvent que de nombreux auteurs ont poursuivi la tradition au XIXe siècle - pour ne pas parler des siècles ultérieurs. En prenant pour objet l'oeuvre foisonnante du poète et philologue Jean Dominique Fuss (1781-1860), le présent travail entend montrer la continuité qui relie le XIXe siècle aux siècles qui l'ont précédé et discute la question de sa "modernité". La Belgique et l'Allemagne font l'objet d'un examen approfondi. S'il ne fait pas de doute que le latin se trouve alors dans une phase de déclin, on aurait tort de croire qu'il a disparu du monde social, sinon comme matière d'enseignement. Il demeure, dans l'Église catholique, la langue de la liturgie et des sacrements, il est utilisé par les Habsbourg dans leurs relations diplomatiques, il continue quelque temps d'être une langue scientifique, des Académiciens belges l'envisagent comme option sérieuse pour rédiger des inscriptions monumentales ou une pharmacopée, il sert, en société, d'instrument de distinction, et de nombreux écrivains en font encore usage dans des contextes non scolaires. Si J. D. Fuss est un "Ancien" parmi les "Modernes", il faut donc admettre qu'il est loin d'être "perdu" dans son temps. Par ailleurs, s'il est un "Ancien", ce n'est nullement dans le sens d'un "rétrograde". Il faut redonner à ce terme toute l'épaisseur qu'il possède dans la fameuse "Querelle des Anciens et des Modernes". L'Ancien est celui qui, tout en se référant à des modèles antiques, veut être de son temps tout en se montrant critique. Autrement dit, c'est à travers le rapport à l'Antiquité qu'il définit sa modernité. J. D. Fuss affiche indéniablement des traits conservateurs :il rejette les innovations de l'esthétique allemande pour réaffirmer les droits d'une poétique plus traditionnelle, fondée sur la sensibilité plutôt que sur des raisonnements philosophiques, et souhaite s'adresser avant tout aux savants, en un temps où la littérature cherche de plus en plus à toucher les masses. En revanche, il veut imprimer à ses textes un caractère résolument "moderne". Il soutient que l'on peut non seulement écrire correctement et élégamment, mais aussi innover, dans une langue qui n'est plus la langue maternelle de personne. S'il le démontre timidement dans ses textes d'inspiration personnelle, c'est paradoxalement dans ses traductions latines de textes en langues modernes qu'il déploie le plus d'audace. La traduction s'avère le laboratoire dans lequel l'écrivain met à l'épreuve sa langue d'écriture pour donner à voir ses potentialités. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les recueils de poésie funèbre imprimés en Italie, en France et dans les Îles britanniques (1587-1644) / Collections of funeralverse printed in Italy, France and the British Isles (1587-1644)

Desmoulière, Paule 18 January 2016 (has links)
Cette thèse est une étude à la fois globale et détaillée consacrée aux recueils de poésie funèbre imprimés en Italie, en France et dans les Îles britanniques entre 1587 et 1644. Les recueils de poésie funèbre nécessitent une approche comparatiste, à plusieurs titres. Du point de vue linguistique et culturel tout d'abord, l’on remarque que ce sont des ouvrages polyglottes. En outre, du point de vue esthétique, ils font appel aux ressources de la littérature et des beaux-arts (gravures), en partie parce que les textes qu'ils contiennent ont souvent fait partie du monument funèbre lui-même, ce qui encourage à les relier aux programmes iconographiques élaborés au cours des funérailles. Enfin, ces « tombeaux poétiques » sont avant tout une œuvre qui émane d’un groupe d’auteurs, ce qui mène à les analyser non seulement comme œuvre littéraire, mais aussi comme des témoignages précieux sur l’histoire de la littérature. Cette thèse commence par montrer quelles sont les origines de cette pratique, notamment comment divers modèles de recueils funèbres furent élaborés à partir du Quattrocento, d'abord en Italie, puis dans les deux autres pays. Au terme de cette évolution, à la fin du seizième siècle, on peut affirmer que les trois pays disposent d'un socle culturel commun à partir duquel se constituent ces recueils. Le chapitre suivant analyse comment ces recueils évoluèrent des années 1580 à 1644, quelle était l’identité des défunts commémorés et qui élaborait ces ouvrages. La variété des formes et des discours sur la mort est ensuite examinée. Puis, à travers des études de cas, les enjeux de l’écriture collective sont étudiés. Enfin, les rapports entre ces ouvrages imprimés et les funérailles sont examinés. / This dissertation is both a global and detailed study dedicated to collections of funeral verse published in Italy, France and the British Isles between 1587 and 1644. It follows a comparative approach, for several reasons. Firstly, because these works were written and published in several languages. Secondly, because of the number of engravings they contain and the close relationship they often bear to the fine arts. Since many of the poems printed within these works were first pinned to funeral hearses or catafalques, they must be considered in the light of funerary art and architecture. Thirdly, these works warranted a sociological and historical analysis because of their collective nature: they are the product of a group of authors, whose ideals and aspirations they embody. The initial part of this study presents the development of this type of funerary commemoration from its origins in late Quattrocento Italy to its later expressions in mid-sixteenth-Century England and France. The second chapter examines the evolution of these collections from the 1580s to the 1640s, as well as the identity of the deceased and their commemorators. The third chapter gives an overview of the great formal and rhetorical variety of the poems published in these collections. The case studies in chapter four illustrate how and why groups of authors assembled in order to conceive collections of funeral poetry. Finally, the last chapter is a brief survey of the relationships that these works bear with different types of funeral ceremonies.
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Entre vita activa et vita contemplativa, la "vita poeticia" de Nicolas Barthélémy de Loches, un moine-poète du début de la Renaissance française / Amid "vita activa" and "vita contemplativa", the "vita poetica" of Nicolas Barthélemy de Loches, early French Renaissance poet monk

Gauthier, Élise 17 March 2018 (has links)
Bien qu’il ait inspiré des contemporains plus célèbres, tels François Rabelais et Clément Marot, et fréquenté des humanistes de premier plan, bien qu’il soit l’auteur d’une forme de tragédie latine inédite et maintes fois rééditée, et d’une chronique du règne de Louis XII connue des historiens, le poète néo-latin Nicolas Barthélemy de Loches est resté parfaitement méconnu. Il est ainsi nécessaire de rassembler, corriger et compléter les données dont on peut disposer sur ce personnage et ses oeuvres, mais aussi de reconstituer le cadre social, littéraire et historique dans lequel il a vécu et composé, afin de réévaluer la diversité et la richesse poétique de ses oeuvres. Ces données suffisent à montrer que les écrits de Barthélemy ne sont pas ceux d’un moine cloîtré, mais bien plutôt ceux d’un véritable humaniste engagé dans les réformes de son temps, qu’elles soient pédagogiques, monastiques ou évangéliques. L’édition d’un des recueils poétiques de Barthélemy les plus représentatifs de sa production littéraire (le recueil varié paru à Paris en 1520) vient nourrir et confirmer cette lecture. / Although he inspired famous contemporaries like François Rabelais or Clément Marot, and spent time with leading humanists, although he wrote a new Latin tragedy form many times reprinted and a chronicle about the reign of Louis XII familiar to historians, very little is known about the Neo-Latin poet Nicolas Barthélemy de Loches. Collecting, correcting and completing existing data about the man and his writings is necessary, as well as the reconstruction of the social, literary and historical environment in which he lived and wrote, in order to reevaluate the poetic diversity and richness of his work. Such data are enough to show that Barthélemy’s works were not written by a cloistered monk, but rather by a true humanist involved in the pedagogical, monastic and evangelical reforms of his time. The edition of one of the most representative poetic collections written by Barthélemy (a varied collection printed in 1520 in Paris) supports and confirms this interpretation.

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