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Re-numbering souls, lay Methodism and church growth in St. Stephen, New Brunswick, 1861-1881

Lane, Hannah M. January 1993 (has links) (PDF)
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La question des ministères dans les relations entre l'église d'Angleterre et les méthodistes [1791-1979] / The question of the ministries in the relations betweeen the church of England and the methodists (1791-1979)

Grosclaude, Jérôme 01 July 2011 (has links)
Si l’on porte un regard d’ensemble sur les pratiques par lesquelles, dès leur naissance en 1738, les méthodistes se démarquaient de l’orthodoxie de leur « Eglise-mère », l’Eglise d’Angleterre, il est possible d’identifier une base commune, qui serait une conception différente des ministères. C’est en effet, sur cette question que se cristallisèrent les divergences entre les disciples de John Wesley d’une part, et l’Eglise d’Angleterre d’autre part. Le père du méthodisme considérait en effet que prêtres et évêques étaient du même ordre presbytéral et que, en conséquence, ils avaient les mêmes pouvoirs, et notamment celui d’ordonner. Les méthodistes se distinguaient également des anglicans par leur conception du ministère de la Parole, puisqu’ils estimaient que Dieu pouvait désigner des laïcs pour prêcher l’Evangile. C’est donc à la question des ministères que l’on peut,en fin de compte, rattacher toutes les divergences qui se firent jour entre méthodisme et anglicanisme. Ces divergences se prolongèrent après la mort de John Wesley en 1791. Tout au long du XIXe siècle, les deux Eglises s’éloignèrent de plus en plus l’une de l’autre en raison du désaccord qui existait quant à la validité du ministère méthodiste qui ne s’inscrivait pas dans la succession apostolique. Il fallut attendre les années 1950-1960 pour que l’idée d’une fusion du méthodisme britannique et de l’Eglise d’Angleterre au sein d’une même Eglise épiscopalienne germe au plus haut niveau, avant d’échouer définitivement en 1972 devant le refus de l’Assemblée de l’Eglise puis du Synode général de l’avaliser / If we cast a global look on the practices through which, from the beginning of the movement in 1738, the Methodists deviated from Church of England’s (their « mother-Church »’s) orthodoxy, we can identify a common factor: a different conception of the ministries. It is on this single question that John Wesley and his disciples fundamentally diverged from the Church of England’s principles, since the father of Methodism considered that priests and bishops formed essentially a single “presbyter” order and consequentially had the same powers, including that of ordination. The Methodists also had a different conception of the Ministry of the Word, since they considered that God could call lay people to preach the Gospel. All the differences that arose between Methodism and the Church of England can then be traced to the question of the ministries. These differences continued after the death of John Wesley in 1791. Throughout the XIXt! h century, the two denominations grew further apart because of their disagreement concerning apostolic succession. In the 1950s and 1960s, however, the reunion of British Methodism and the Church of England in a single Episcopalian confession was contemplated but finally abandoned in 1972 because of the refusal of the Church of England’s Church Assembly and then of its General Synod to approve this union
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Johann Gottlieb Burckhardt (1756-1800) : les itinéraires d'un ecclésiastique luthérien saxon, témoin et acteur de son univers des "lumières tardives" / Johann Gottlieb Burckhardt (1756-1800) : the ways of a Saxon Lutheran cleric, witness and actor of his universe of the late Enlightenment

Weyer, Michel 27 March 2018 (has links)
Ce travail replace la vie et la pensée d’un maître de conférences de l’université de Leipzig dans le contexte de son temps. Il retrace le parcours d’un orphelin pauvre, né à Eisleben comme son héros Martin Luther. Bénéficiaire de nombreux soutiens, il devint un lettré dont l’ambition fut une carrière universitaire, mais qui devint finalement pasteur de la principale des paroisses luthériennes germanophones de Londres, sans pour autant perdre de vue sa Saxe natale, ni l’ensemble du continent. Piétiste convaincu qu’il fallait lire Luther sous cet éclairage, Burckhardt vit dans Wesley et sa religion du cœur la continuation de ce qu’eut souhaité le Réformateur. Notre travail s’appuie sur un corpus documentaire rassemblant la totalité de ce qui sortit de sa plume, et analyse ces sources en relation avec les réactions qu’elles suscitèrent dans son entourage. En un temps marqué par la violence guerrière, notamment la Révolution française et les diverses remises en cause du passé, Burckhardt apparaît comme exemplaire du sort et des combats intérieurs des innombrables ecclésiastiques de son temps, obligés de se positionner au risque d’entrer dans des polémiques. Habité par le désir de voir la chrétienté se réveiller, il devint une passerelle entre le réveil anglo- saxon et celui du continent européen. L’œuvre de celui qui était aussi historien à ses heures permet de redécouvrir la fin d’un siècle tel qu’il le percevait. / Placing the life and thought of a former teacher at the university of Leipzig in the context of his time, this study develops the career of a poor orphan, born in Eisleben like his hero Martin Luther. Having been socially helped in various ways, he became a scholar whose ambition was to make a professional career at his Saxon university. His way brought him finally to London, where he became the pastor of the main of the local German-speaking Lutheran parishes. Keeping in touch with the continent, Burckhardt read Luther in the light of his Pietism and made the acquaintance of Wesley. He saw in his pietistic religion of the heart the continuation in Great-Britain of what he wished for his Lutheranism. Our study explores his writings as well as the numerous reactions to which they lead in the environment of the author and in the press. In his time marked by many wars between the nations, and by a deep questioning of the past, Burckhardt appears to have been exemplary for the lot of the most of his colleagues, obliged to take position at the risk to be involved in polemics. Wishing to see a renewed Christianity, he accepted the official role of being a link between the British revival and that of the European continent. The writings of the Historian that he has been occasionally carry the image of how Burckhardt saw the end of his century.
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Evangéliques en réseau : trajectoires identitaires entre la France et les Etats-Unis / Evangelical networks, French identity and American influence

Neff, Richard Alexander 15 February 2013 (has links)
L’essor du protestantisme évangélique en France est un laboratoire d’analyse des effets de la mondialisation sur les identités religieuses. Alors que leurs origines remontent souvent à la Réforme protestante en Europe elle-même, les évangéliques français font partie aujourd’hui d’un mouvement à dimensions mondiales où les Américains jouent un rôle de premier rang. Quelle influence ces derniers exercent-ils réellement en France? Pour les évangéliques français, quels sont les enjeux de l’association avec leurs coreligionnaires aux États-Unis? Nous cherchons à fournir des réponses en nous appuyant sur une étude de terrain des églises évangéliques dans l’est de la France. Il en ressort que les États-Unis exercent effectivement une certaine influence, mais que celle-ci n’est ni prépondérante ni uniforme. Le plus souvent, lorsque les églises françaises établissent des liens avec des Américains, elles le font en fonction de leurs propres besoins dans le champ social français. Ainsi les évangéliques français ne sont pas de simples récepteurs d’influence, mais des acteurs sociaux à part entière. / The growth of evangelical Protestantism in France is a laboratory for analyzing the effects of globalization on religious identities. Even though their origins can often be traced to the Protestant Reformation in Europe itself, French evangelicals are today part of a world-wide movement where Americans play a leading role. What influence do American evangelicals really exert in France? What is at stake for French evangelicals who associate with their American coreligionists? Our study of evangelical churches in the east of France shows that the United States does indeed exert a certain influence, but it is neither preponderant nor uniform in nature. Most of the time, when French churches develop ties to Americans, they do so in function of their own needs within the French social field. French evangelicals are thus more than just receptors of influence, but social actors in the fullest sense.

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