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La Bruyère lecteur des Essais de Montaigne.

Dufournaud, Monique. January 1971 (has links)
No description available.
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La mort dans les Essais de Montaigne

Beaudoin, Stéphane 27 February 2021 (has links)
La mort, lorsqu'elle se présente, bouleverse le quotidien. Suite à son passage, elle laisse souvent des êtres angoissés et désorientés. Or, il s'avère possible d'atténuer ses effets sur l'âme en pourvoyant celle-ci d'une attitude face à celle-là. Ce qui s'offre au lecteur des Essais se présente d'abord sous la forme de l'enseignement du sage, qui prêche une attitude de confrontation prophylactique afin de fortifier l'âme. Puis se dévoile l'attitude du vulgaire, qui, en fait, est la plus simple et la plus naturelle. Enfin, il y a celle des demi-sages, celle de Montaigne plus particulièrement, qui s'inspire à la fois de la naïveté du vulgaire et de l'austérité du sage. Les trois attitudes offrent leur part d'avantages et d'inconvénients selon l'individu qui s'y porte, mais celle que privilégie Montaigne est animée par l'idée de fidélité à soi et par la figure de Socrate.
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La Boétie et Montaigne : la lecture comme exercice de libération de la pensée

Mathieu, Geneviève 01 1900 (has links) (PDF)
La seconde moitié du XVIe siècle en France se caractérise par un conflit général des autorités. L'essor de la notion de liberté individuelle, les progrès de l'imprimerie et l'activité des humanistes ont multiplié le nombre de livres disponibles chez les particuliers afin de favoriser l'affirmation de la confiance en l'homme par les seules forces de sa raison. Paradoxalement, en même temps que le lecteur se retrouve davantage en compagnie de livres, il risque de se limiter à la répétition bornée et à la compilation de citations qui nuisent à l'élaboration d'une pensée à soi. Dans sa réflexion sur la lecture, Montaigne affirme que l'autorité de l'écrivain ne doit pas assujettir la liberté du lecteur. Au contraire, il revendique pour son lecteur et lui-même une position de non-assimilation. Cette affirmation devient toutefois problématique dans la mesure où l'on sait que la couche la plus ancienne des Essais est issue de citations trouvées dans ses lectures des auctoritates de l'Antiquité. L'objectif central de cette recherche est de mieux comprendre les liens entre la lecture et le libre exercice de la pensée dans les Essais de Montaigne. Comment est-il possible de transformer et d'assembler les emprunts à la tradition littéraire pour en faire un ouvrage personnel? Aussi, comment les lectures peuvent-elles asservir le lecteur ou à l'inverse, le libérer? L'hypothèse de ce mémoire est que la lecture que Montaigne a faite du Discours de son ami La Boétie, avec sa critique décapante des autorités politiques et des auctoritates de la littérature, fut déterminante dans l'exercice autonome de sa pensée. Partant de ce constat, le premier chapitre de ce mémoire portera sur la critique boétienne des autorités politiques sur les thèmes de la liberté, l'amitié et la servitude. Quels en sont les effets sur la manière dont s'inscrivent les auctoritates de la littérature dans le Discours et que peuvent-elles nous apprendre sur la façon dont La Boétie les lit et veut que son lecteur le lise? À cette fin, la nature des liens qui l'unit aux auctoritates et à sa façon de les critiquer sera examinée. Puisque Montaigne a écrit dans les Essais que le Discours de La Boétie fut en quelque sorte l'amorce de leur amitié, le deuxième chapitre examinera la lecture qu'en a faite Montaigne et le dialogue qui va s'instaurer entre les deux œuvres, notamment pour ce qui est de la question des auctoritates et des rapports que Montaigne établit entre liberté, amitié et servitude. Enfin, il faudra examiner minutieusement, dans le troisième chapitre, la réception que les protestants ont réservée au Discours ainsi que la défense aux aspects souvent contradictoires qu'en fit Montaigne dans l'essai De l'amitié. De plus, il sera pertinent d'étudier comment la réception protestante du Discours se répercute jusque dans les rapports complexes et variés que ce texte entretient, à son tour, avec le lecteur des Essais. En vue de mieux circonscrire cette pratique originale de la lecture montaignienne, qui ne doit pas tout au Discours de La Boétie et qui est intimement liée avec notre étude du statut et de la critique de l'auctoritas, ce mémoire privilégiera une approche à la fois intertextuelle et dialogique du texte qui permettra de faire un bilan critique sur les différentes formes de la présence de La Boétie dans les Essais, question que l'on trouvait jusqu'ici éparse dans les études montaigniennes. En procédant de la sorte, notre recherche se donne comme objectif non seulement de mieux comprendre des notions de lecture, de liberté, d'amitié et de servitude dans les Essais de Montaigne, mais aussi d'innover en caractérisant mieux le type de rapport non-autoritaire existant entre le lecteur idéal représenté dans les Essais et Montaigne, lui-même lecteur des auctoritates. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature de la Renaissance, Discours de La Boétie, Essais de Montaigne, lecture critique des auctoritates, tradition littéraire et critique, intertextualité, dialogisme.
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Entre nous : re-discovering psychotherapy in the light of Montaigne's Essays

Starr, Rachel 08 1900 (has links) (PDF)
Dans cette étude composée de trois chapitres, je rassemble les Essais de Michel de Montaigne et les psychothérapeutes débutants, y compris moi-même, dans une conversation au sujet de notre discipline. Nos discussions débordent les limites conventionnelles des sciences naturelles pour entrer dans le domaine fertile mais incertain des humanités. Les questions concernant l'expérience ordinaire, l'incertitude, la présence, l'incarnation, l'amitié, la conversation, le discours clair, la tradition, et l'humanisme de la Renaissance prennent vie pour nous au cœur de ce dialogue. L'essai d'introduction est une méditation sur l'amitié dans laquelle je pose les bases pour une rencontre festive entre les thérapeutes et les Essais. Dans le second essai, je m'intéresse à la Renaissance en tant que période de découverte et d'ouverture. J'explore comment cette réalité s'est exprimée de deux manières : à travers l'essai littéraire et les sciences naturelles. Le troisième essai est constitué de regards obliques sur la nature insaisissable de l'expérience, tel que si lucidement évoquée dans les Essais. Recadrer la thérapie humaniste à l'intérieur de l'humanisme plus étendu de Montaigne me permet de réfléchir sur la nature intersubjective de l'expérience vécue à partir de points de vue inattendus. Cette étude est une célébration des Essais de Montaigne en tant que texte d'accompagnement vital pour les psychothérapeutes. Elle fait partie d'un effort plus vaste de revalorisation des humanités en tant que source de connaissances complémentaire aux sciences naturelles pour la psychothérapie. J'essaie de présenter à mes camarades étudiants de quelle façon la psychothérapie peut être comprise et enrichie en abordant les Essais, ainsi que les autres conversations ayant lieu au sein des humanités. En adoptant la forme de l'essai, ludique mais rigoureux, je souhaite inciter les étudiants de la thérapie à entrer dans un monde humain hospitalier, un monde qui fût obscurci par l'ombre progressive de la modernité. N'étant alors plus seul, il nous est possible de résister aux tentations de l'expertise théorique et d'en revenir à une conversation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : psychothérapie, Michel de Montaigne, essai, expérience, présence, incarnation, amitié, conversation, intersubjectivité, humanisme de la Renaissance
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La rêverie dans les Essais de Montaigne

Hél-Bongo, Olga 12 April 2018 (has links)
Le mot resverie fait l'objet d'une mutation sémantique au XVIe siècle. Alors qu'au Moyen Âge, on l'assimile à différents degrés de folie, le mot tend à désigner pour l'homme de la fin de la Renaissance un mouvement de repli sur soi. Nous nous intéresserons au sens de la rêverie dans le texte en tant que mot, expérience de vie, expérience d'écriture et de lecture. Comme phénomène vécu par l'auteur, la rêverie se caractérise par une suspension entre deux états souvent contradictoires. L'ambivalence de son statut nous invite à l'envisager sous différents angles, et à considérer ses multiples fonctions. À l'instar de Montaigne qui pose un regard oblique, critique et interrogatif sur le monde et sur soi, nous interrogerons le mode de fonctionnement de la rêverie dans les Essais au moyen d'une lecture oblique et génétique. Nous nous apercevrons que la rêverie, instrument idéologique et épistémologique par excellence, fonctionne également comme un instrument d'écriture contribuant à l'élaboration du style poétique de Montaigne.
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Le statut de l'action politique dans les Essais de Montaigne

Uhde, Dominique 02 March 2021 (has links)
Ce mémoire fait la synthèse entre deux aspects de la pensée politique de Montaigne. Certains passages des Essais laissent entendre qu’il encourage les humains à respecter les coutumes et les lois sans tenter de les réformer au moyen d’actions politiques. Il soutient ce conservatisme par un scepticisme en ce qui a trait à la possibilité de connaître les structures des sociétés et les ressorts des mouvements humains. Il est cependant aussi apparent dans ses écrits qu’il a une grande sensibilité face à l’injustice et qu’il reconnaît une certaine forme de morale indépendante des coutumes. Est-il possible de réconcilier ses deux aspects de la pensée du philosophe ? En interprétant ses critiques de la nature humaine non comme une invitation à l’immobilisme mais comme une invitation à l’autocritique et à la modération, il semble qu’une image complète de sa pensée puisse effectivement prendre forme. Cette nouvelle image n’empêche pas l’action mais appelle à certaines actions particulières, notamment à une forme précise d’éducation.

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