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Vernaculaire moderne? : vers une compréhension de la notion d'architecture vernaculaire et de ses liens avec la modernité architecturale

Bisson, Marie-France January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise a pour but l'exploration de la notion d'architecture vernaculaire afin d'établir si une architecture vernaculaire moderne est concevable et quels sont les objets qu'elle qualifie. L'intérêt d'une telle recherche est issu de préoccupations liées à la documentation, et possiblement à la conservation, d'une architecture moderne actuellement négligée par les différentes instances à l'oeuvre pour la sauvegarde de l'architecture. L'exploration de la notion de vernaculaire en architecture passe en premier lieu par une recherche étymologique qui permet de dater les premières incursions du mot dans les discours sur l'architecture en Angleterre. L'évolution de la définition est ensuite suivie au travers les textes d'auteurs anglo-saxons reconnus pour leurs études sur l'architecture vernaculaire. L'examen des différentes méthodologies et des objets étudiés par ces auteurs majoritairement issu des sciences humaines démontre que l'architecture moderne est exclue de leurs recherches jusque dans les années 1980 environ. L'apport des architectes, des historiens de l'art et des critiques n'est pas non plus pris en compte par ceux qui s'intéressent au vernaculaire. Afin de comprendre le lien qui peut unir vernaculaire et modernité, ces textes de spécialistes liés à l'art et à l'architecture sont ensuite étudiés et nous dévoilent que l'architecture vernaculaire fut pour eux une source d'inspiration dans la conception et la compréhension d'une architecture moderne. Toutefois, leurs objets d'études sont différents de ceux qu'étudient les spécialistes du vernaculaire. De cette seconde exploration ressort que par leurs préoccupations, les critiques, historiens de l'art et architectes ont non seulement contribué à introduire de nouveaux objets dans le corpus de l'architecture vernaculaire, mais ils ont oeuvré à les insérer dans l'histoire de l'architecture qui les négligeait traditionnellement. La notion d'architecture vernaculaire apparait liée à la définition d'une architecture moderne. Ces deux idées ne sont donc pas antinomiques. La mise en relation des différentes démarches d'auteurs étudiés au sein de ce mémoire permet de constater que la définition du mot vernaculaire n'est pas établie en fonction d'un objet précis ou de caractéristiques immuables. Sa définition renvoie plutôt à une idée dynamique, liée à l'écriture de l'histoire de l'architecture. Ainsi, les objets appelés vernaculaires changent en fonction de la méthodologie de l'auteur dans sa recherche ou de son point de vue sur l'histoire de l'architecture. Ce constat renvoie d'ailleurs aux définitions des dictionnaires qui associent l'adjectif vernaculaire à des concepts tels que « monumental » et « style ». Depuis les années 1980, des auteurs d'horizons différents en appellent à un renouvellement de l'histoire de l'architecture, au moyen de l'exploration de thèmes socioéconomiques qui sont le plus souvent associés à l'architecture vernaculaire. En somme, la notion de vernaculaire ne peut être un outil à la conservation ou la documentation d'une architecture moderne qui ne soit pas monumentale. Toutefois, répondre aux questions que son étude soulève, permettrait de mieux cerner l'objet de l'histoire de l'architecture et l'objet de la sauvegarde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture, Vernaculaire, Moderne, Modernité, Histoire de l'architecture.
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Irving Grossman, 1954-1964, a young architect's response within Modernism

Waldron, Andrew M. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Les identités du mouvement moderne en Espagne dans le GATEPAC (1930-1937) / The identities of modern movement in Spain : The GATEPAC (1930-1937)

Roland, Julie 26 April 2011 (has links)
Notre thèse porte sur le GATEPAC, Grupo de Arquitectos y Técnicos Españoles para el Progreso de la Arquitectura Contemporánea, qui est un groupe d’architectes créé en 1930, et affilié au mouvement moderne et aux CIAM. Le groupe, attiré par l'exemple international, est composé d’une vingtaine d’architectes et se divise en trois sous-groupes : l’un à Madrid, un deuxième au Pays Basque; et un troisième en Catalogne. Le GATEPAC se définit dès lors comme intégrant les problématiques internationales des CIAM et propose l’application de celles-ci dans la péninsule avec sa participation à des concours, des expositions, mais aussi de commissions. Leurs travaux sont synthétisés dans la revue de propagande du GATEPAC, A.C., Arquitectura Contemporánea.Ce groupe d’architectes espagnols, qui appartient à la seconde génération du mouvement moderne, naît à la croisée de deux moments importants dans l’histoire de l’architecture et dans l’histoire politique de l’Espagne : la naissance des CIAM et des CIRPAC de 1928, et l’avènement de la Seconde République espagnole, après sept années de dictature, le 14 avril 1931. Cela nous invite à nous interroger sur la manière dont le GATEPAC, compris comme la seconde génération du mouvement moderne, s'inspire de l’architecture européenne pour ensuite s’en affranchir et participer pleinement aux réflexions internationales, mais aussi sur la façon dont les sous-groupes régionaux gèrent leurs identités pour participer aussi aux politiques nationales et régionales. L’action de chaque sous-groupe est fortement imbriquée dans les politiques régionales issues de la Seconde République. / This thesis concerns the GATEPAC, Grupo de Arquitectos y Técnicos Españoles para el Progreso de la Arquitectura Contemporánea, a group of architects created in 1930 and affiliated both to the architectural modern movement and to the CIAM. This group, following the example of other international experiences, was composed by about twenty or so architects and was divided into three subgroups : one in Madrid, one in the Basque Country and the last one in Catalonia. The GATEPAC can be defined as a group integrating all the international issues ad subjects contained in the CIAM and proposes their application in the country by the participation to architect contests, expositions and commissions. Its work can be found synthesized in the propaganda magazine of the GATEPAC, A.C., Arquitectura Contemporánea.The GATEPAC, which belongs to the second generation of the modern movement, uprises at the junction of two important moments in architectural and in Spanish political histories : the CIAM and the CIRPAC’s births in 1928, and the advent of the Second Spanish Republic,on the 14th of april 1931, after seven years of dictatorship. These two conditions move us to think about how the GATEPAC, as part of the second generation of the architectural modern movement and inspired at the beginning by the European architecture gets to free itself and to participe in the international architectural discussions, but also about how the three sub-groups handle their identities in order to contribute to national and regional policies. Actually, the role of each subgroup is essential and strongly related to the regional policies implemented during the Second Republic.
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Alvar Aalto et l'expression de l'humanisme dans l'espace habité

LaSalle, Virginie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Alvar Aalto et l'expression de l'humanisme dans l'espace habité

LaSalle, Virginie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Urbanisme et architecture domestique de l’Entre-deux-guerres à Nancy et dans son agglomération / Urbanism and domestic architecture in Nancy and its suburbs during the inter-wars period

Marseille, Gilles 17 October 2013 (has links)
Cette étude porte sur l’architecture domestique à Nancy et dans les 19 communes de son agglomération de 1919 à 1939. L’ampleur du corpus (6 600 édifices) et du territoire étudiés permet de mettre en exergue les processus urbains et architecturaux qui concourent à la production de la ville. Les relations entre les municipalités, les lotisseurs, les organismes de logement social et les sociétés savantes sont scrutées pour retracer le chemin qui mène du projet à la réalité urbaine. La Reconstruction, les lois encadrant l’urbanisme ou les habitations à bon marché (loi Loucheur) et l’effet de la crise des années 1930 sur la promotion foncière et immobilière sont réinterrogés en profitant des outils techniques (SIG) et théoriques actuels. Les confrontations avec les modèles nationaux (voire internationaux) inscrivent l’étude dans une perspective plus large où l’agglomération nancéienne devient un support de réflexion sur ce moment de l’histoire des villes françaises. Par ailleurs, le recensement exhaustif permet de s’intéresser à l’ensemble de la production bâtie, sans hiérarchie. Cette étude du grand nombre, mêlant banal et exceptionnel, met en exergue les permanences et hybridations. L’héritage éclectique et Art nouveau côtoie la diffusion des nouveaux courants que sont le Mouvement moderne et l’Art déco. L’examen du cas nancéien contribue à la redéfinition de ce dernier style et à une meilleure connaissance de son évolution après 1930. Enfin, cette étude est l’occasion de montrer que l’architecture domestique s’apparente à une transcription matérielle de l’ordre social, qui transparaît dans la qualité des espaces intérieurs et des façades comme support de représentation / This study concerns the domestic architecture in Nancy and the 19 towns of its suburbs from 1919 to 1939. The important size of the corpus (6600 buildings) and of the area studied highlights the urban and architectural processes that contribute to the creation of the city. The relationships between the city council, developers, social housing organizations and intellectual societies are analyzed to trace the path that leads from the plan to the urban reality. The post-war reconstruction project, the law controlling urbanism or social housing (Loucheur Act) and the effects of the 1930’s crisis on the land and housing development are looked back on using modern technical (GIS) and conceptual tools. The comparisons with national (even international) models place the study in a broader perspective where Nancy and its suburbs become a medium for reflection on this moment in the history of French cities. In addition, the exhaustive inventory allows looking at all the building production without hierarchy. This study, combining the mundane and the outstanding, highlights permanencies and hybridisations. The legacy of Eclecticism and Art Nouveau coexists with the diffusion of new trends such as the Modern movement and Art Deco. The examination of Nancy’s case contributes to the new definition of the latter style and of a better understanding of its evolution during the 1930’s. Finally, this study is the opportunity to show that domestic architecture is a physical transcription of a social order, which is reflected in the quality of interior design and building facades as medium of representation
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Victor Bourgeois, 1897-1962: radicaliteit en pragmatisme, moderniteit en traditie

Strauven, Iwan Aldo 28 May 2015 (has links)
Cette thèse de doctorat constitue la première étude transversale et systématique de l’œuvre et de la pensée théorique de l’architecte Victor Bourgeois (1897-1962). A contrepied d’une image de Bourgeois formée dans l’historiographie de l’architecture moderne en Belgique, cette étude est basée sur la cohérence fondamentale entre son œuvre d’avant et d’après-guerre, et sur la congruence entre sa théorie et sa pratique. Celles-ci résultent d’un engagement social permanent auquel Bourgeois, aux côtés de son frère, le poète Pierre Bourgeois, désirait donner forme à travers sa pratique professionnelle. <p>L’étude se présente en deux parties :un catalogue raisonné qui offre une vision complète des projets réalisés et non réalisés, ainsi qu’un commentaire et une courte bibliographie par projet. Ceci constitue la seconde partie, le premier volume étant consacré à un essai lui aussi divisé en deux parties. La première rassemble toute l’information disponible dans la littérature consacrée aux années de formation et à la carrière internationale de l’architecte, augmentée de quelques corrections et additions importantes. La seconde explore, sur la base de trois textes clefs, les trois champs d’action par lesquels Bourgeois a donné corps à son engagement social :l’urbanisme, l’architecture et l’éducation.<p>Il est question dans un premier temps de la forme qu’a pris l’engagement social de Victor Bourgeois à travers son œuvre construite. Cette interrogation s’appuie sur les écrits de Bourgeois à ce sujet. Sa réflexion sur la dimension sociale de sa profession est en permanente évolution et se construit autour de termes tels que :« l’art social », « le rendement de l’architecture », « la rationalisation de l’architecture », « la neutralité urbaine, », « la paix plastique », et « le civisme ». Ces concepts sont ici confrontés à quelques-uns de ses projets parmi les plus importants. Les interprétations successives que fait Bourgeois de cette dimension sociale de l’architecture moderne ont pour effet une érosion progressive de sa signification. Cette évolution ne le conduit pas nécessairement à une vision purement technocratique de l’architecture. Après-guerre, ses différentes pensées convergent dans deux textes aux titres révélateurs :De l’architecture au temps d’Erasme à l’humanisme social de notre architecture (1947) et L’architecte et son espace (1955).<p>Dans un second temps, cette thèse retrace la figure de l’urbaniste moderne tel qu’il émerge dans la pensée et la pratique urbanistique de Bourgeois. Alors qu’il était initialement proche des théories socio-biologiques (d’orientation esthétique) de Louis Van der Swaelmen, la figure de l’urbaniste en tant qu’organisateur apparaît progressivement dans ses textes :“L’architecte n’est plus ramené seulement à un rôle de dessinateur ou d’ingénieur, il devient un organisateur de toutes les valeurs utiles.” Et ailleurs: “L’urbaniste est un chef d’orchestre :il doit organiser et hiérarchiser cent, mille instruments différents.” C’est à la fin des années ’30 que la finalité sociale de la pratique urbanistique trouve sa formulation la plus explicite :“L’urbanisme ajuste l’espace au progrès social.” Ses projets urbanistiques des années 30 oscillent entre l’approche architecturo-urbanistique de Ludwig Hilberseimer, le modèle de ville linéaire de Nikolaï Miljutin et les théories du 19e siècle de Patrick Geddes et Paul Otlet. Ses prises de positions radicales aboutiront souvent, sur le terrain, à des solutions pragmatiques.<p>Enfin, dans un troisième temps, la dissertation thématise l’enseignement de Bourgeois. De ses premiers écrits, dans lesquels il défend les propositions de Victor Horta pour la réforme de l’Académie, jusqu’à sa retraite forcée de l’Institut d’Architecture La Cambre (quelques semaines avant sa mort), l’enseignement de l’architecture a été une préoccupation centrale pour Bourgeois. C’est ici que sa réflexion se manifeste le plus explicitement et qu’elle a été – comme il est souvent répété – la plus fertile. L’objectif est double :D’une part nous avons prêté attention à sa réflexion et au développement de sa carrière à l’ISAD-La Cambre ;d’autre part, nous proposons d’éclairer la complexité de sa figure à l’aide d’œuvres d’un certain nombre de ses ‘disciples’ qui revendiquent tous Bourgeois comme leur ‘père spirituel’, et qui ont chacun thématisé un aspect de sa ‘doctrine’ dans leur travail respectif.<p><p>La question en filigrane relève du domaine de la critique architecturale :Quelle est l’approche de Bourgeois? Comment s’est-elle incarnée dans ses projets (réalisés ou non réalisés)? Et enfin, quelles problématiques en constituent le fondement? Plus profondément, en dehors de l’évidente importance d’une documentation extensive et systématique du travail de cette figure majeure du modernisme Belge, ce questionnement a pour ambition d’évaluer le poids et l’importance du travail de Bourgeois. Pourquoi devrions-nous même en discuter encore aujourd’hui? Quelle est la pertinence de son approche au regard de la situation contemporaine?<p>La méthode de recherche utilisée est double. D’une part la thèse est basée sur l’histoire de la réception critique de l’œuvre construite et écrite de Bourgeois. Cette méthode permet d’isoler partiellement le travail (sous tous ses aspects) de l’accumulation d’interprétations dont il a fait l’objet jusqu’ici, et de nous faire prendre conscience de la trop grande simplicité des conclusions auxquelles elles ont souvent mené. D’autre part, la recherche est basée sur une étude comparative de la théorie et de la pratique :les écrits et les bâtiments. Quels effets concrets peut avoir une position théorique sur un projet, et vice versa, que peut nous transmettre un bâtiment des intentions de son créateur?<p>L’essai se propose donc de tracer un portrait complexe et nuancé de Victor Bourgeois. Il y est présenté comme un moderniste qui a cherché la continuité avec la tradition, un iconoclaste radical qui est toujours resté pragmatique. Dans le cas de Bourgeois, cette ambivalence résulte à la fois d’une attitude critique et d’une fascination vis-à-vis de la ville historique. Tout au long de sa carrière, la ville a été l’enjeu principal de son architecture, de sa pensée, de ses textes, de ses voyages et de son approche. Ainsi la thèse étudie Bourgeois en tant qu’éminent représentant d’une autre tradition moderniste qui a cherché, à l’encontre de la Charte d’Athènes, la continuité avec la morphologie de ville existante. <p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Habitat 67 dans la presse architecturale / Habitat 67 in the architectural press

Beringer, Hubert 25 September 2014 (has links)
Habitat 67 est un complexe résidentiel modulaire de 158 logements, conçu par Moshe Safdie, et construit à Montréal pour l’Exposition universelle de 1967. Sa médiatisation continue fut exceptionnelle par son intensité, son rayonnement et sa durée, en particulier dans la presse spécialisée. Nous avons étudié les publications d’Habitat 67 dans les périodiques d’architecture, une par une et comme un tout, car elles contenaient une énigme en forme de retournement médiatico-historiographique. En effet, Habitat 67 s’imposa d’abord, durant une décennie et sur le mode de l’hypermédiatisation, comme incarnation universelle d’un renouveau salvateur de l’architecture moderne progressiste, une « idée dont le temps est venu » selon la formule canonique de Peter Blake, rédacteur en chef de la revue new-yorkaise Architectural Forum. Puis, sans transition, Habitat 67 servit d’argument essentiel à l’enterrement express du même Mouvement moderne, à titre de fantasmagorie universitaire tardive et déliquescente, « projet de fin d’études construit » selon la sentence du critique et historien d’audience transatlantique Reyner Banham, qui reste prégnante jusqu’à nos jours. L’incohérence apparente laisse entrevoir l’existence d’un objet historique spécifique, Habitat 67 dans la presse architecturale, dans lequel le retournement trouverait origine et explication autonomes. D’où l’idée d’étudier cet objet pour lui-même, par lui-même, et dans son contexte propre. À la croisée des approches d’étude de la réception et d’esthétique de la réception telles que théorisées en histoire de l’art dans les années 1990, notamment par Dario Gamboni et Pierre Vaisse, nous partons à […]. / Habitat 67 is a residential complex of 158 modular apartments, designed by Moshe Safdie, and built in Montreal for the 1967 World Exhibition. Preliminary explorations of its unprecedentedly abundant, widespread and long-lasting coverage in the architectural press had revealed enigmatic synchronicity with the rise and fall of megastructure, ending in death and mourning of the whole Modern Movement. Taking advantage of theories of reception, this study is a methodical and exhaustive survey of the specialised mediatisation of Habitat 67, in itself and in its own context, aiming to establish the autonomy and critical historiographic impact of the phenomenon. After a methodological introduction, the report opens with a prologue unveiling early, academic related, self-training of Safdie as an analyst of editorial policies and their relationship to modern architecture. This portrait of a student pioneering in reception studies by militant commitment is giving brand new and much deeper understanding of the still historiographically vivid «student project that got built» diagnosis emitted in 1967 by critic Reyner Banham. The essay is then structured along the chronological succession of architectural projects and objects to which the media coverage is supposed to refer to, starting with thesis project of 1961. Safdie’s formerly published analysis of editorial policies appears to be fully integrated in the original design as well as in its mediatisation strategy, resulting in lasting and international diffusion as a highly relevant avant-garde feature, providing a progressive dimension to the capitalistic media-favourite «New Montreal Skyline», until 1963. [...]
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La promenade architecturale chez Le Corbusier : une méthode pour penser l'architecture : genèse, application et évolution (1907-1939) / The "promenade architecturale" of Le Corbusier : a method for thinking architecture : genesis, implementation and evolution (1907-1939)

Niu, Yanfang 05 December 2017 (has links)
La « promenade architecturale », expression inventée par Le Corbusier en 1929, à l’occasion de la publication du premier volume de l’Œuvre Complète, représente un concept clé corbuséen parmi les plus fréquemment évoqués. En suivant les pistes tracées par l’utilisation du terme «promenade architecturale» par l’architecte lui-même, sans s’y limiter toutefois, notre étude vise à clarifier la genèse, l’application et le développement de ce concept. Une méthodologie constituée de trois approches — historique, projectuelle et textuelle — est adoptée afin de mesurer son évolution de 1907 à 1939. La période de formation de l’architecte (1907-1915), constitue le champ d’observation de ses principales sources d’inspiration. Les débuts de la carrière de Charles-Édouard Jeanneret à La Chaux-de-Fonds depuis son retour du Voyage d’Orient en novembre 1911, son installation à Paris en janvier 1917, et la première décennie de la carrière de Le Corbusier (1920-1929), fournissent les pistes utiles à éclairer sa mise en place à l’échelle des maisons individuelles. L’«ère des grands travaux » (1929-1939) témoigne, enfin, de son développement et de sa mutation, particulièrement dans une suite d’études consacrées au musée. Cette dernière phase marque l’apogée de la promenade architecturale et présage de sa disparition textuelle dans la carrière corbuséenne de l’Après-guerre. Loin d’être une simple formule esthétique, la promenade architecturale se développe sur la base d’un croisement de diverses sources d’inspiration — peinture, art de bâtir les villes, littérature, cinéma et architecture — et à partir d’une fusion entre expériences de perception et de conception. Elle constitue ainsi une méthode fondamentale et spécifique de Le Corbusier pour penser l’architecture, qui le distingue des précurseurs et d’autres figures de proue du Mouvement moderne. / The promenade architecturale, an expression invented by Le Corbusier in 1929 when the first volume of L’Œuvre complète was published, represents one of the most frequently mentioned key concept of Le Corbusier. By following the paths traced by the uses of the term promenade architecturale by the architect himself, without limiting ourselves to them, our research aims to clarify the genesis, the implementation and the development of this concept. A methodology consisting of three approaches — historical, project-based and textual — has been adopted in order to evaluate how it evolved bet-ween 1907 and 1939. The formative years of the architect (1907-1915) constitutes a field to observe his main sources of inspiration. The early career of Charles-Edouard Jeanneret at La Chaux-de-Fonds, dating from the return of the young architect from the Voyage d’Orient to his departure for Paris in 1917, and the first decade of the career of Le Corbusier (1920-1929), provide helpful indices to understand how this concept was put into practice on private houses. At last, the ère des grands travaux (1929-1939) constitutes a testimony to the development of this concept, and is a witness of its mutation particularly along a series of studies that Le Corbusier devoted to museums. This last phase marks the peak of the promenade architecturale and announces its disappearing from Le Corbusier’s written work in his postwar career. Far from being a simple aesthetic formulation appeared accidentally, the promenade architecturale was developed on the basis of an action of crossing varied sources of inspiration — painting, art of building cities, literature, cinema and architecture —, and was deduced from a fusion of perceptive and conceptual experiences. Thus, it constitutes Le Corbusier’s fundamental and specific method for thinking architecture, which makes him stand out from his precursors and from other prominent characters of the Modern Movement.
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Pierre Dufau architecte (1908-1985) : un libéral discipliné : parcours, postures, produits / The architect Pierre Dufau (1908-1985) : a disciplined liberal : career, attitudes, products

Massire, Hugo 06 December 2017 (has links)
Actif de la fin des années 1930 jusqu'aux années 1980, Pierre Dufau (1908-1985) est, par l'importance quantitative de sa production bâtie, l'un des principaux acteurs de l'architecture française des Trente Glorieuses. Spécialisé dans la réalisation d'immeubles de bureaux, de bâtiments civils et d'équipements, il fait également oeuvre dans le domaine de l'urbanisme en concevant le plan de reconstruction d'Amiens puis en étant, trente ans plus tard, responsable du plan d'aménagement du Nouveau Créteil. Pierre Dufau est relativement peu présent dans l'historiographie de l'architecture contemporaine, au même titre que nombre d'architectes de sa génération, récipiendaires de la grande commande publique et souvent Prix de Rome. On s'interrogera sur la temporalité de sa réception critique à l'appui du dépouillement des archives de son agence, souvent inédites. Le détail de sa production révèle la complexité d'un parcours où, tant par stratégie commerciale que par conviction, l'architecte se convertit aux thèses modernistes après une jeunesse marquée par le respect des leçons du classicisme. Écrivain prolifique sans être théoricien ni enseignant, Pierre Dufau s'attachera dans ses mémoires, publiées à titre posthume, à donner un sens à un parcours professionnel donnant à voir en réduction les enjeux comme les impensés d'une époque. On proposera, dans cette thèse, de dépasser l'analyse plastique et technique des édifices pour étudier la rationalité de leurs circuits de production, et la cohérence des discours qui accompagnent une oeuvre jusqu'à présent essentiellement inscrite en creux dans l'histoire de l'art. / Active from the late 1930s to the 1980s, Pierre Dufau (1908-1985) is one of the leading performers in the French architecture during the ‘Trente Glorieuses’ period, due to the quantitative importance of his built production. Specialized in office buildings, public buildings and facilities, he was also involved in the field of urban planning by designing the reconstruction plan of the city of Amiens, and thirty years later by being responsible for the conception of the ‘Nouveau Créteil’ masterplan, in Paris suburbs. Pierre Dufau is relatively unnoticed in the historiography of contemporary architecture, similarly to many architects of his generation, although recipients of public work orders, and most of the time recipients of the ‘Prix de Rome’. The details of his production reveal the complexity of a professional career where, motivated by both commercial strategy and conviction, the architect ultimately converted to modernist theses after a youth marked by respect for the lessons of classicism. As a prolific writer but without being a theorist nor a teacher, Pierre Dufau strived to give through his posthumous memoirs a meaning to his professional path. In this thesis, we propose to go beyond the plastic and technical analysis of the buildings to focus on the rationality of their production cycle and the coherence of the discourse that accompanies a work essentially unnoticed in the history of art so far. We also study the temporality of Dufau's critical reception with the support of the inventory of his office’s unpublished archives, most of the time original.

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