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An Industrial Geography of CocaineALLEN, CHRISTIAN MICHAEL 15 September 2002 (has links)
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La relation entre le commerce international et les investissements directs étrangers : cas des principaux pays de l'OCDE / The relationship between International Trade and Foreign Direct Investment : the case of the main OECD countriesDihissou, Wasiu 20 October 2017 (has links)
Ce travail étudie la nature de la relation entre commerce et Ide sur le plan théorique et empirique. Théoriquement, il y a deux sortes de relations entre commerce et Ide: substitution et complémentarité. La nature de cette relation peut être la conséquence de facteurs exogènes, déterminant de la spécialisation des pays ou encore le résultat de la stratégie endogène des firmes multinationales dans l’organisation de leurs activités à l’échelle internationale. On parle de relation de complémentarité quand il y a un lien positif entre commerce et Ide, et de relation de substitution quand il y a un lien négatif entre commerce et Ide. Empiriquement, avec le modèle de gravité, on applique les techniques économétriques sur données annuelles de 2000 à 2014 sur les données bilatérales de 18 pays principaux investisseurs de l’OCDE, d’abord dans l’industrie manufacturière et ensuite selon les zones géographiques, avec un ensemble de 75 pays partenaires repartis dans ces différentes zones géographiques. Ces 75 pays sont constitués de, 17 autres pays de l’OCDE, 17 pays de l’Amérique Latine non OCDE, 3 pays de l’Europe de l’Est non OCDE et 38 pays de l’Asie non OCDE. Pour l’analyse du secteur manufacturier, on trouve en exportation comme en importation, une relation de complémentarité entre commerce et Ide. Pour l’analyse par zone géographique, on trouve en exportation comme en importation, une relation de substitution pour la zone OCDE et l’Amérique Latine non OCDE et une relation de complémentarité pour la zone Europe de l’Est non OCDE. Cependant pour la zone Asie non OCDE, on trouve une relation de substitution en exportation et une relation de complémentarité en importation. / This paper studies the nature of the relationship between international trade and foreign trade direct investment, both theoretically and empirically. Theoretically, there is in general two sorts of relations between international trade and direct foreign investment: substitution and complementarity. The nature of that relation may either be the consequence of exogenous factors, determinants of country specialization or the result of endogenous strategy of multinational firms in the organization of their activities internationally. We speak of complementarity relation when there is a positive link between international trade and investment, and substitution relation when there is a negative link between international trade and investment. Empirically, with the gravity model, we apply econometric technics on yearly data of the panel during 2000 and 2014 period on bilateral data of eighteen countries main investors of OECD, at first in manufacturer industry and then depending on geographical areas, with a set of seventy-five countries divided up in these geographical areas. The seventy-five partner countries consist of seventeen other countries of OECD, seventeen Latin America countries non-OECD, three eastern European countries non-OECD, and thirty-eight Asian countries non- OECD. Regarding the analysis of the geographical area, the estimations point out, in exportation as in importation, a substitution relation for the OECD area and Latin America non-OECD area and a complementarity relation for eastern European non-OECD area. However, for Asian non-OECD area, the estimations show, a substitution relation in exportation and a complementarity relation in importation.
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Adaption of Management Control Mechanisms for Swedish companies operating in AustraliaBergling, Julia, Tranefalk, Erica January 2021 (has links)
Successful companies that are founded and established in Sweden are likely to at some point look to expand outside of Sweden. When they do so they will need to adapt the company to the environment and circumstances that are present in the local market they are expanding to. The main purpose of this thesis is to investigate Swedish companies’ use of control mechanisms when running a subsidiary in Australia. Applying the theoretical framework by Malmi and Brown (2008), four Swedish companies operating in the Australian market were selected. Ikea using culture as an asset make them an interesting comparison to three highly reputable tech-companies that both differ from Ikea in age and size. It was found that cultural control mechanisms were heavily featured among the respondents' respective companies, and reward and compensation control mechanisms were altered the most when operating in Australia compared to Sweden. / Framgångsrika bolag grundade och etablerade i Sverige kommer sannolikt att någon gång expandera utanför Sverige. När de gör det kommer de att behöva anpassa företaget till den miljö och de omständigheter som råder på den lokala marknaden de expanderar till. Huvudsyftet med denna uppsats är att undersöka hur svenska bolag styr sina kontrollmekanismer när de driver en filial i Australien. Fyra svenska företag på den australienska marknaden har valts att studeras utifrån det teoretiska ramverket av Malmi and Brown (2008). Ikeas användning av svensk kultur som en tillgång gör det till en intressant jämförelse med tre välrenommerade teknikföretag, som både skiljer sig från Ikea när det gäller ålder och storlek. Det visade sig att kulturella kontrollmekanismer var flitigt förekommande bland respondenternas respektive företag, och belönings- och kompensations-kontrollmekanismerna förändrades mest när man verkade i Australien i jämförelse med Sverige.
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Commerce international et investissements directs étrangers : complémentarité ou substituabilité ? / International trade and foreign direct investments : complementarity or substitutability?Tayara, Saeed 29 January 2016 (has links)
Ce travail étudie, théoriquement et empiriquement, l'interaction entre le commerce international et l'investissement direct étranger (IDE), interaction qui a été un des principaux canaux de la mondialisation économique et de l'essor des chaînes de valeur mondiales dans la segmentation des activités de production. Les modèles théoriques montrent que le commerce international et les IDE peuvent se développer dans une relation de substituabilité ou de complémentarité. La nature de cette relation peut être la conséquence de facteurs exogènes, déterminants de la spécialisation des pays, ou le résultat de la stratégie endogène des firmes dans l'organisation de leurs activités à l'international. La validation empirique s'appuie sur une adaptation du modèle de gravité, en appliquant les techniques économétrique sur données de panel sur des données bilatérales pour la France au cours de la période de 1993 à 2012. Les estimations mettent en évidence une relation de complémentarité entre le commerce et l'IDE au niveau le plus agrégé. Cependant, une analyse comparative à un niveau plus désagrégé permet de trouver des indices de substituabilité et de complémentarité selon les groupes de pays partenaires. / This work investigates, theoretically and empirically, the relationship between international trade and foreign direct investment (FDI), which has been one of the key channels of economic globalization, and of the development of global value chains in the international segmentation of production. Theoretical models show that international and FDI may be substitutes or complements. The nature of this relationship may be the consequence of exogenous factors, determinants of country specialization, or the result of the endogenous strategy of firms in the organization of their international activities. The empirical validation relies on an adaptation of the gravity model, using panel econometrics with bilateral data for France during the 1993-2012 period. Estimates show a complementarity relationship between trade and FDI at the most aggregated level. However, a comparative analysis at a more disaggregated level reveals some signs of substitutability or complementarity according to the group of partner countries.
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Place des ERP dans le suivi de la performance des filiales par la maison-mère / The importance of ERP in evaluating the parent companies follow up of their subsidiaries performanceAmzil, Aimad 05 December 2016 (has links)
Nous étudions le rôle du progiciel de gestion intégré (l’ERP), comme outil de gestion des firmes multinationales, dans le suivi de la performance de la filiale par le siège. Nous avons opté pour un raisonnement hypothético-déductif exploitant les constats théoriques pour sortir des hypothèses que nous avons testées auprès de filiales installées au Maroc et dotées de solutions ERP. Nous avons observé les apports des ERP pour le suivi des types de performances des filiales dans le cadre d’une posture positiviste. Afin de mieux contextualiser et opérationnaliser les concepts de notre étude, nous nous sommes basés sur la complémentarité des approches qualitative/quantitative. Les résultats qualitatifs, générés de six entretiens semi-directifs auprès de responsables des filiales, nous ont permis de confirmer les items composant le questionnaire d’enquête, que nous avons soumis à 104 filiales, dans le cadre d’une étude quantitative. Bien que les filiales peuvent bénéficier d’une autonomie de gestion, les sièges appliquent leur pouvoir et imposent leur vision stratégique en intervenant dans l’exploitation de l’ERP. L’ERP agit sur la gestion de la relation siège-filiale en unifiant les données, en fluidifiant la coordination et la collaboration, en facilitant le contrôle du budget et le suivi des objectifs. Gain de temps, facilité d’utilisation, traçabilité, disponibilité et échange facile de données sont des qualités de l’ERP mises en avant. La qualité technique de l’ERP n’est pas totalement exploitée, vu l’adaptation difficile aux fonctionnalités de l’outil. Pour autant, afin de suivre la performance de leurs filiales, les sièges utilisent de manière assez importante les indicateurs financiers provenant de leur ERP pour le reporting concernant les fonctions vente, gestion des stocks et achat. En revanche, le suivi de la performance non financière est assez peu présent. / This study seeks to shed the light on the role of Enterprise Resource Planning (ERP) as a management tool adopted by multinational corporations in their monitoring of the headquarters/ subsidiary performance. We have opted for a deductive approach, focusing on multinational corporations whose subsidiaries are based in Morocco and which are endowed with the ERP tool. To meet this end, we have carried out both a qualitative and a quantitative study. Qualitatively, the six semi directive interviews conducted with the subsidiaries management fit in harmoniously with the items that figure in our questionnaire, submitted to 104 subsidiaries in the framework of a quantitative study. We have found out that even if subsidiaries benefit from autonomy as far as management is concerned, the headquarters still impose the strategic vision and intervene at how ERP must be implemented. Indeed, ERP acts positively on the headquarters/subsidiary relationship by rendering data even, making coordination fluid and facilitating budget control and goals follow- up. Other merits that the ERP tool offers include: time saving, ease of use, tracking, availability and easy data exchange. Nevertheless, ERP has not been fully utilized due to the difficulty of matching its features. Basically, head offices make use of ERP in evaluating financial performance, namely reporting sales and inventory management. Otherwise, it remains less operational.
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Transfert de connaissances dans les entreprises multinationales : efficacité et influence des facteurs contextuelsVolkov, Igor 11 1900 (has links)
Dans la présente recherche, nous nous sommes penchés sur le processus du transfert intra-organisationnel de connaissances au sein d’entreprises multinationales (EM). Partant du triple constat suivant : les connaissances organisationnelles constituent un avantage stratégique (Barney, 1991 ; Bartlett et Ghoshal, 1998), les transferts intra-organisationnels constituent la raison d’être des EM (Gupta et Govindarajan, 2000), lesquelles ont accès à un vaste bassin de connaissances disséminées à travers le monde par le biais de leurs filiales et les mécanismes organisationnels internes sont plus efficaces que ceux du marché (Williamson, 1987 ; Casson, 1976) pour transférer des connaissances entre unités organisationnelles; nous nous sommes intéressés aux facteurs pouvant affecter l’efficacité de ce processus de transfert. Ayant identifié, lors de notre revue des écrits théoriques, une multitude d’approches permettant d’appréhender ce phénomène, nous proposons, dans notre recherche, un modèle théorique intégrant les trois étapes propres au processus de transfert, soit : la détermination des connaissances à transférer, la sélection des mécanismes de transfert appropriés et, finalement, l’évaluation, d’une part, de l’efficacité des transferts et, d’autre part, de l’ensemble des facteurs contextuels ayant un impact sur l’efficacité de ce processus.
Sur le plan théorique, cette recherche oppose deux courants dominant ce champ disciplinaire. L’approche stratégique, exprimée par la théorie des ressources, met l’accent sur l’importance prépondérante des facteurs organisationnels internes sur l’efficacité de toute action organisationnelle (Bartlett et Ghoshal, 1998 ; Barney, 1991). Cette approche s’oppose au courant institutionnel, lequel considère plutôt que les choix et les actions organisationnels sont surtout conditionnés par les contraintes de l’environnement externe (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). Les résultats de notre recherche démontrent que, malgré l’existence de contraintes de nature institutionnelle et culturelle, l’efficacité du processus de transfert des connaissances associées à la gestion des ressources humaines relève davantage des conditions organisationnelles internes et, plus particulièrement, de l’implication de la haute direction, du rôle accordé à la fonction RH et de l’alignement entre la stratégie corporative, la stratégie RH et la culture organisationnelle.
Sur le plan méthodologique, il s’agit d’une recherche exploratoire qualitative menée auprès de trois EM (2 canadiennes et 1 française) oeuvrant dans les secteurs de la métallurgie et des télécommunications. Les données empiriques proviennent de 17 entrevues approfondies que nous ont accordées, au Canada, en France, en Allemagne et en Suisse des cadres responsables de la gestion des ressources humaines, affectés au siège social des EM en question ou œuvrant au sein de leurs filiales, et de sources documentaires secondaires. / The aim of this research is to investigate the process of transfer of intra-organizational knowledge within multinational corporations. Taking into consideration the following three postulates: that organizational knowledge represents a source of competitive advantage for a firm (Barney, 1991; Bartlett and Ghoshal, 1998); that access to a large pool of knowledge disseminated across the world and the transfer of this knowledge across the organization constitutes la raison d’être of MNC (Gupta and Govindarajan, 2000); and that internal organizational mechanisms are more efficient than the market (Williamson, 1987) for the transfer of this knowledge between organizational units, for the purpose of this study we were particularly interested in the factors that can affect the effectiveness of this process of transfers. Having identified in past research various theoretical approaches to study this phenomena, we proposed and tested the integrative theoretical model helping to analyse the impact of contextual factors on each of the following three stages of the process of transfer: the determination of knowledge to be transferred, the selection of mechanisms of knowledge transfer and finally, the evaluation of the effectiveness of transfer.
Our research confronts two theoretical perspectives currently dominating the field of knowledge transfer in multinational corporations. The strategic approach and the resource-based view of the firm emphasize the importance of internal organizational factors for the effectiveness of any organizational action (Bartlett and Ghoshal, 1998; Barney, 1991). On the other hand, the institutional approach considers rather that organizational choices and actions are conditioned by the external environment (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). The results of our research show that in spite of the existence of institutional and cultural constraints, the effectiveness of the entire process of transfer of knowledge related to HRM is determined by internal organizational conditions, such as the involvement of top management, the role of RH function and the alignment between corporative strategy, HR strategy and the organizational culture.
Our methodological approach is based on a qualitative case-study of three multinational companies (two Canadian and one French) working in metallurgical and telecommunications sectors. Our empirical data stems from seventeen semi-structured interviews conducted with the top HR managers of these companies, who are actively involved in the process of knowledge transfer at HQ or at its subsidiaries in Canada, France, Germany and Switzerland. We also used a large amount of publicly available information from these companies.
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Transfert de connaissances dans les entreprises multinationales : efficacité et influence des facteurs contextuelsVolkov, Igor 11 1900 (has links)
Dans la présente recherche, nous nous sommes penchés sur le processus du transfert intra-organisationnel de connaissances au sein d’entreprises multinationales (EM). Partant du triple constat suivant : les connaissances organisationnelles constituent un avantage stratégique (Barney, 1991 ; Bartlett et Ghoshal, 1998), les transferts intra-organisationnels constituent la raison d’être des EM (Gupta et Govindarajan, 2000), lesquelles ont accès à un vaste bassin de connaissances disséminées à travers le monde par le biais de leurs filiales et les mécanismes organisationnels internes sont plus efficaces que ceux du marché (Williamson, 1987 ; Casson, 1976) pour transférer des connaissances entre unités organisationnelles; nous nous sommes intéressés aux facteurs pouvant affecter l’efficacité de ce processus de transfert. Ayant identifié, lors de notre revue des écrits théoriques, une multitude d’approches permettant d’appréhender ce phénomène, nous proposons, dans notre recherche, un modèle théorique intégrant les trois étapes propres au processus de transfert, soit : la détermination des connaissances à transférer, la sélection des mécanismes de transfert appropriés et, finalement, l’évaluation, d’une part, de l’efficacité des transferts et, d’autre part, de l’ensemble des facteurs contextuels ayant un impact sur l’efficacité de ce processus.
Sur le plan théorique, cette recherche oppose deux courants dominant ce champ disciplinaire. L’approche stratégique, exprimée par la théorie des ressources, met l’accent sur l’importance prépondérante des facteurs organisationnels internes sur l’efficacité de toute action organisationnelle (Bartlett et Ghoshal, 1998 ; Barney, 1991). Cette approche s’oppose au courant institutionnel, lequel considère plutôt que les choix et les actions organisationnels sont surtout conditionnés par les contraintes de l’environnement externe (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). Les résultats de notre recherche démontrent que, malgré l’existence de contraintes de nature institutionnelle et culturelle, l’efficacité du processus de transfert des connaissances associées à la gestion des ressources humaines relève davantage des conditions organisationnelles internes et, plus particulièrement, de l’implication de la haute direction, du rôle accordé à la fonction RH et de l’alignement entre la stratégie corporative, la stratégie RH et la culture organisationnelle.
Sur le plan méthodologique, il s’agit d’une recherche exploratoire qualitative menée auprès de trois EM (2 canadiennes et 1 française) oeuvrant dans les secteurs de la métallurgie et des télécommunications. Les données empiriques proviennent de 17 entrevues approfondies que nous ont accordées, au Canada, en France, en Allemagne et en Suisse des cadres responsables de la gestion des ressources humaines, affectés au siège social des EM en question ou œuvrant au sein de leurs filiales, et de sources documentaires secondaires. / The aim of this research is to investigate the process of transfer of intra-organizational knowledge within multinational corporations. Taking into consideration the following three postulates: that organizational knowledge represents a source of competitive advantage for a firm (Barney, 1991; Bartlett and Ghoshal, 1998); that access to a large pool of knowledge disseminated across the world and the transfer of this knowledge across the organization constitutes la raison d’être of MNC (Gupta and Govindarajan, 2000); and that internal organizational mechanisms are more efficient than the market (Williamson, 1987) for the transfer of this knowledge between organizational units, for the purpose of this study we were particularly interested in the factors that can affect the effectiveness of this process of transfers. Having identified in past research various theoretical approaches to study this phenomena, we proposed and tested the integrative theoretical model helping to analyse the impact of contextual factors on each of the following three stages of the process of transfer: the determination of knowledge to be transferred, the selection of mechanisms of knowledge transfer and finally, the evaluation of the effectiveness of transfer.
Our research confronts two theoretical perspectives currently dominating the field of knowledge transfer in multinational corporations. The strategic approach and the resource-based view of the firm emphasize the importance of internal organizational factors for the effectiveness of any organizational action (Bartlett and Ghoshal, 1998; Barney, 1991). On the other hand, the institutional approach considers rather that organizational choices and actions are conditioned by the external environment (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). The results of our research show that in spite of the existence of institutional and cultural constraints, the effectiveness of the entire process of transfer of knowledge related to HRM is determined by internal organizational conditions, such as the involvement of top management, the role of RH function and the alignment between corporative strategy, HR strategy and the organizational culture.
Our methodological approach is based on a qualitative case-study of three multinational companies (two Canadian and one French) working in metallurgical and telecommunications sectors. Our empirical data stems from seventeen semi-structured interviews conducted with the top HR managers of these companies, who are actively involved in the process of knowledge transfer at HQ or at its subsidiaries in Canada, France, Germany and Switzerland. We also used a large amount of publicly available information from these companies.
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海外子公司技術來源對臺灣海外投資廠商研發配置之影響 / The Effects of Sources of Subsidiary Technology Acquisition on Research & Development Allocation in Taiwan FDI Manufacturing Industry鄭寶珠 Unknown Date (has links)
隨著經貿全球化與自由化,各項商業活動漸無國界概念,跨國企業遊走各國,善用全球生產要素,但資源有限,企業永續經營與成長,不能只靠有限的土地、勞動力與資本等傳統生產要素,創新研發與知識累積能力成為比傳統生產要素更重要的關鍵,研發國際化更是全球經貿發展不可逆的趨勢。
本研究以2007年臺灣1,770家製造業廠商為對象,運用Probit及Tobit二種模型,分別探討在不同技術來源下,海外投資廠商決定投入海外研發以及投入資源多寡的決定因素。研究結果發現,「廠商規模」、「行業別」、「進入模式」、「國際化深度」、「投資地區」、「市場考量」以及「母國提供技術」為臺灣對外投資廠商決定投入海外研發與否之重要影響因素。一旦決定投入海外研發後,研發資源投入多寡的決定因素則有所變化,廠商規模大小與投資行業、獨資或合夥、市場夠不夠大等重要性降低成不顯著,相對的盈利與否影響性提升,但卻是負向影響關係。同時,本研究參考社會心理學領域的「調節變數」概念,探討「技術來源」是否具有調節效果,實證結果也證實不同的技術來源,確實會影響解釋變數與被解釋變數(海外研發配置)之間的因果關係,具備調節效果,這也表示技術來源對於海外研發配置確實扮演重要的關鍵角色。 / Along with globalization and liberalization, the trade goes around the world borderlessly. In order to take advantage of relatively cheap land and labor, multinational corporations extend business worldwide. However, due to the limitation of natural endowments and human resource, Innovation becomes the key factor, which plays a more-important-than-ever role for business sustainable development.
This paper examines the determinants of overseas R&D of Taiwanese multinationals; including whether to invest in R&D and how to allocate. Our empirical results indicate that the firm size, IT industry, entry mode, internationalization level, investment location, market motivations and technology acquisition are the determinants of overseas R&D investment. Furthermore, whether above determinants remain significant when Dependent Variable turns to be overseas R&D allocation? The empirical results suggest that firm size, industry category, entry mode and market motivations are no more significant. Instead, profitability becomes significant with negative affect. Besides, we also found the strong effect of technology acquisition on overseas R&D investment and allocation. Different technology source acquired does play a moderating role in the relationship between independent variables and overseas R&D.
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Innovation, Collaboration, and the International FirmHargreaves, Michael January 2004 (has links)
In the lead up to the Year 2000 dot.com crash of publicly traded high-technology equities, Information Communication Technology (ICT) Companies proudly displayed inter-firm allegiances on their newly created websites. These collaborative relationships were in reality licensing agreements to develop or market new products internationally. Phenomena associated with ICT product development - collaboration, innovation, and internationalisation - are the core tenets of the accompanying dissertation. Leading scholars have suggested these phenomena challenge conventional economic theories of the firm. This study commences with tracing the evolution of trade and production theories from absolute advantage through to competitive advantage and introduces the concepts of non-adversarial collaborative advantage. Within the framework of the technology cycle, this dissertation then seeks to answer why firms engage in international collaborative innovation. The cycle of technological innovation is investigated and this leads to postulating a period of technological overlap and its implications for collaboration. One of the shortcomings acknowledged in the literature is the generic application of the term collaboration to cover a wide scope of inter-firm agreements. Within the literature this is referred to as a problem of multidimensionality. A model is developed in this dissertation that identifies the choices available to the firm and addresses the problem of defining collaboration. The choices provided in the developed model are more complex than simply choosing between external and internal intermediate markets. As a separable form of industry organisation, the success rates of alliance collaboration are compared to Mergers and Acquisitions (M&As) to validate issues of sustainability before examining the impact of location on innovation and collaboration. Again, theory is tested by recent events that require explanation. These events include the relocation of early stage foreign R&D to both developed and lesser-developed nations. The final chapter assesses the findings throughout this study and identifies separate and distinct roles for large and small firms in the international and collaborative commercialisation of new innovations. This central conclusion requires empirical validation and suggests the need investigate how firms shape the cycle of innovation from a reflected vantage point to the evolutionary perspective taken in this study. Further research is warranted because the literature on international innovation and collaboration is at an early stage and gaps in understanding remain.
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