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'L'organisation Du Mystère' Dans Le Théâtre De Cocteau

Thompson, William John 09 1900 (has links)
La plupart des critiques de l'oeuvre de Cocteau soulignent la variété dans son théâtre. Tout en utilisant le mot "mystère" pour caractériser certains éléments du théâtre de Cocteau, les critiques ne tentent pas de réunir les pièces autour de ce mystère qui se trouve dans toutes les parties du texte. En examinant chaque élément de l'oeuvre--les personnages, les paroles, le décor, les accessoires et l'action--il est possible de dévoiler les différentes formes sous lesquelles le mystère se manifeste chez Cocteau. Le but de cette thèse sera non seulement d'identifier le mystère dans le théâtre de Cocteau, mais aussi de déterminer son fonctionnement et son importance dans l'oeuvre de Cocteau. / Thesis / Master of Arts (MA)
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La confession dans le théâtre de la fin du Moyen Âge : farce, mystère, moralité / Confession in the late medieval franche theatre : farce, mystère, moralité

Simon-Walckenaer, Marie-Emmanuelle 08 January 2015 (has links)
Le sacrement de confession, dont l’obligation annuelle est décidée par le concile de Latran IV (1215), est une pratique religieuse qui marque profondément la civilisation du Moyen Âge finissant. Le motif remporte un succès franc dans le théâtre profane des XIIIe XVIe siècles. Les farces montrent des scènes de confessions burlesques, toujours déviantes, dans lesquelles les travers des pénitents et des confesseurs apparaissent et dont la mécanique formelle est utilisée à des fins dégradées. La moralité favorise l’exploitation des métaphores de ce sacrement ou son allégorisation divisée en de multiples personnages qui gravitent autour de ses trois grands moments : contrition, confession et satisfaction ou pénitence. La figuration imagée est mise au service du sens théologique du sacrement, la confession étant un moyen de salut, une étape capitale par rapport au devenir éternel de l’âme. Enfin, les mystères de la Passion font adopter aux saints antiques le langage du sacrement, manifestant l’identité, dans la civilisation médiévale, entre conversion et confession. Malgré des élaborations esthétiques différenciées selon le genre théâtral, les fortes convergences entre les pièces du corpus montrent des dramaturges attentifs aux mêmes aspects du sacrement : les difficultés qu’il y a à accepter cette démarche d’auto-accusation, l’effort pastoral déployé par les contemporains pour en persuader le bien-fondé et en expliquer le déroulement et enfin, quand ils se font jour au XVIe siècle, les affrontements doctrinaux avec les protestants. Le théâtre est en cela le témoin de la théologie moyenne des hommes de son temps. / Confessing sins is a yearly duty for all Christians since the council of Lateran IV (1215). The broad impact of this religious practice on late medieval civilization is patent through the French theatre of the xiiith – xvith centuries. Comic short plays (farces) show realistic scenes of confession: but, due to the confessor’s or the sinner’s attitude, none is right. The comical and critical distance allows the use of the ritual form, disconnected from the preoccupation of heaven and hell and applied to terrestrial purposes. On the contrary, the use of allegory in morality plays (moralités) aims at showing the signification of the sacrament: images emphasize the meaning of this sacrament which provides ways of salvation to the soul of the sinner. The moments of the rite, contrition, confession, and penance, are, like every other notion in connection with them, impersonated by allegorical characters who explain and perform the sacrament. Eventually, in the Passion plays (mystères), saint characters tell their conversion to the ritual forms of the sacrament, showing the equivalency, in that civilization, between conversion and confession. Despite esthetic differences depending on the theater genres, all plays show a similar interest on some aspects of the sacrament: the reluctance every man must overcome to formulate his self-accusation, the pastoral care with which the institution keeps explaining and convincing people of its use and finally, as it rises in the xvie Century, the protestant contestation of the sacrament. Theatre thus appears to be a testimony of the average late medieval theology.
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Mettre en scène le théâtre religieux traditionnel dans une démarche interculturelle

Sabouri, Nikta January 2016 (has links)
Ce projet de recherche, qui comporte un volet créatif, a pour objectif l’exploration des possibilités de mise en scène du mystère français, forme théâtrale qui n’est presque plus jouée, à partir d’éléments empruntés au code de représentation du ta'zieh, une forme théâtrale iranienne encore très vivante. Ce projet de création s’inscrit dans une démarche interculturelle qui vise à mettre en contact deux formes théâtrales religieuses relevant de traditions anciennes. À partir d’un modèle théorique proposé par Patrice Pavis et en nous inspirant de la démarche créatrice de quelques artistes, nous avons monté, dans le cadre d’un laboratoire, un extrait de la pièce de théâtre médiévale Le Mystère de la Passion d'Arnoul Gréban, afin non pas de reconstituer à l’identique les représentations médiévales du mystère français, mais de créer, par l’amalgame de deux formes théâtrales religieuses issues des cultures chrétienne et iranienne, une forme nouvelle.
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Logique du probable et épistémologie théologique dans les Essais de théodicée de Leibniz

Latour-Derrien, Annick January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Symbolique, mise en scène et dramaturgie des cérémonies des Jeux Olympiques / Olympics ceremonies : symbolic, esthetic, dramaturgy

Bouchet, Sylvain 12 February 2010 (has links)
Les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques modernes (1896-2008) se composent d’un rituel et d’un spectacle, inspirées des Jeux Olympiques de l’Antiquité, des conceptions de Pierre de Coubertin ainsi que du contexte dans lesquelles elles évoluent au cours du XX e siècle.Pour dégager le sens de ces spectacles populaires, trois niveaux d’analyses sont indispensables.Dans un premier temps nous nous interrogerons sur le sens de la liturgie olympique, c’est à dire la dimension symbolique du rituel olympique. L’apport de l’Antiquité est à ce sujet essentiel.Dans un second temps, nous nous questionnerons sur l’impact de l’esthétique et la manière de mettre en scène ces spectacles. Les conceptions de Pierre de Coubertin, véritable connaisseur des mises en scène, est ici l’élément déterminant. Nous verrons également l’apport de théoriciens et d’artistes comme Maurice Pottecher ou René Morax et John Ruskin dans l’esthétique souhaitée par Coubertin.Enfin, dans un dernier point et pour mettre en perspective les deux première thématiques, nous nous intéresserons à la dimension dramaturgique de ces cérémonies pour voir que deux thèmes traversent l’ensemble des spectacles ; le culte à mystère et la science. / Opening and closing ceremonies of the modern Olympic Games (1896-2008) are made up of a ritual and a show, inspired by the Olympic Games of antiquity, conception of Pierre de Coubertin as well as of context in which they evolve in the course of XXth century.To clear the sense of these popular shows, three levels of analyses are necessary.At first, we will think about the sense of Olympic liturgy, that is symbolic dimension of the Olympic ritual. The essential subject in this case is the contribution of antiquity.In a second point, we will be questioned on the impact of the aesthetics and the way to stage these shows. Pierre de Coubertin's conceptions, in this case, is conciderated as the decisive element of the true expert of productions. Endeed, We will see the contribution of theoreticians and artists Maurice Pottecher or René Morax and John Ruskin in the desired aesthetics by Coubertin.Finally,in a last point, in order to put in perspective two previous themes, we will be interested in the dramaturgic dimension of these formalities to see that two topics cross all shows; worship with mystery and science.
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La signification salvifique de la mort du Christ

Bigaouette, Francine 19 November 2021 (has links)
Dans ce mémoire, nous avons voulu répondre, en nous référant à K. Rahner, F.-X. Durrwell et H. U. von Balthasar, à la question suivante: Pourquoi le Christ devait-il faire l'expérience de la mort pour accomplir notre salut? L'analyse ainsi que la synthèse des interprétations de chacun de ces auteurs, ont été élaborées en trois étapes: 1- La mort du Christ considérée dans sa réalité existentielle; 2- La mort du Christ, traduction humaine ultime de son être filial divin; 3- La signification salvifique de la mort du Christ. Cette étude nous a permis d'élaborer la synthèse suivante: En assumant, dans son obéissance filiale, l'expérience de la mort entendue non seulement comme accomplissement de la vie humaine dans l'expérience du vide de la fin corporelle, mais aussi comme solidarité psychique avec le destin eschatologique des pécheurs non rachetés, le Christ a accompli pour nous en sa personne le jugement divin sur le péché du monde, qu'impliquait notre réconciliation avec Dieu. Désormais ressuscité d'entre les morts, il peut, dans l'acte d'amour absolu que fut sa mort - et en lequel il est fixé éternellement -, se communiquer à tous les êtres humains pour qu'ils puissent, en lui, échapper au jugement et avoir de nouveau accès à la vie de Dieu.
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Des secrets à l’œuvre : formes et enjeux romanesques du secret dans À la recherche du temps perdu de Marcel Proust / The work of secrets : forms and fiction stakes of the secret in Marcel Proust’s À la recherche du temps perdu

Lavault, Maya 02 December 2009 (has links)
Cette « enquête » sur le secret dans À la recherche du temps perdu s’attache à montrer que le secret, parce qu’il fonctionne comme une thématique romanesque engageant la structure même du récit, permet de saisir la tension, au sein de l’œuvre proustienne, entre une conception positiviste de la narration et du sens largement tributaire des modèles épistémologiques du XIXe siècle et sa mise en question, qui caractérise la production romanesque du XXe siècle. L’analyse des figures et des motifs récurrents du secret, en relation avec la fortune de la notion dans l’histoire des idées et des formes romanesques au tournant des XIXe et XXe siècles, montre que se développe dans la Recherche un imaginaire empreint à la fois d’une mythologie personnelle et de thématiques héritées du roman policier et du roman d’aventures. L’analyse des techniques narratives fournissant au roman sa structure énigmatique permet ensuite de dégager le « parcours herméneutique » proposé au lecteur sur les traces du héros-narrateur : sa dynamique, qui témoigne de l’émergence d’un paradigme indiciaire accompagnant le renouvellement des sciences humaines, est progressivement minée par l’émergence d’une autre logique, fondée sur l’indétermination du sens et la multiplicité des points de vue. Enfin, l’analyse de « l’entre-deux » générique et interprétatif montre que l’œuvre proustienne propose une expérience de lecture qui ouvre la voie à une conception de l’interprétation fondée sur la prise en compte des possibles mis en jeu par l’écriture fictionnelle. / This investigation about the secret in À la recherche du temps perdu attempts to show that the secret, as a fiction theme involving the very structure of the narrative, allows to seize the tense, within Proust’s work, between a positivist conception, both of the narration and of the meaning, broadly dependent upon the 19th century models of epistemology, and its questioning, which characterizes the fiction production of the 20th century. The analysis of figures and recurring patterns of the secret, related to the success of this notion in the history of ideas and novel writing forms at the turn of 19th and 20th centuries, shows that Proust’s imaginary world in la Recherche is marked by both his own myths and themes inherited from the detective and adventures novel. Then, the analysis of the narrative technique, which gives its enigmatic structure to the novel, makes it possible to identify the “hermeneutic journey” proposed to the reader in the footsteps of the hero-narrator: its dynamic, reflecting the emergence of an evidential paradigm accompanying the renewal of human sciences, is gradually undermined by the emergence of a different logic, based on the indeterminacy of meaning and the multiplicity of viewpoints. Lastly, the analysis of the generic and interpretative “entre-deux” shows that Proust’s work proposes an experience of reading which paves the way for a conception of interpretation based on the consideration of the textual virtualities involved by fictional writing.
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Les Avatars de la fée dans l'oeuvre romanesque de Barbey d'Aurevilly

Loubove, Nathanael 21 December 2012 (has links)
La fée, créature de synthèse sortie du fond des âges, héritière des figures de la mythologie gréco-romaine et des divinités païennes du Moyen Âge, se trouve au cœur de la création artistique chez les auteurs du XIXe siècle comme Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889). En effet, ce dernier met en scène d’étranges personnages féminins, dotés de grands pouvoirs et qui semblent, par leurs traits énigmatiques, s’apparenter à la fée médiévale, sœur par excellence de la Parque romaine et de la Moire grecque. Car, aussi bien dans L'Ensorcelée (1854), Un Prêtre marié (1864) que dans Une Vieille Maîtresse (1851), pour ne citer que ces trois exemples, la nature érotique des êtres féeriques paraît se combiner à leur essence prophétique et divinatoire. Ce travail,qui porte sur les aspects les plus significatifs de la fée dans les œuvres romanesques de Barbey à savoir l'érotisme et la divination, s’articule autour de trois parties : la première, intitulée peinture de la fée, dresse une typologie en se fondant sur les figures matricielles de la fée marraine et de la fée amante ; la deuxième, l'univers de la fée, se propose d’analyser l’espace ou l'univers sulfureux dans lequel se meut cet être énigmatique. Cette poétique des lieux vise à rendre perceptible l’illusion du surnaturel et du merveilleux savamment orchestrée par l’auteur, qui brouille le cadre spatio-temporel du récit en usant d’une technique polyphonique où se mêlent plusieurs points de vue ou une multitude d’instances narratives ; la dernière,la symbolique de la fée, met en exergue la finalité romanesque des avatars de la fée aussi bien dans l'imaginaire aurevillien que dans la fiction littéraire au XIXe siècle.Cette étude s’efforce de suivre une perspective qui tient compte à la fois de la richesse des procédés techniques et de la profondeur thématique de l’œuvre de Barbey. / The fairy, a hybrid creature sprung from the depths of time, from greco-roman mythology and the pagan divinities of the Middle Ages, takes center stage in the artistic creation of nineteenth-century authors such as Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889). Indeed, Barbey d’Aurevilly depicts unusual and powerful feminine characters, which seem, because of their enigmatic characteristics, to be related to the medieval fairy, herself a sister of the roman Parcae and greek Moirae. In L'Ensorcelée (1854), as in Un Prêtre marié (1864) and in Une Vieille Maîtresse (1851), among numerous other examples, the erotic nature of fairy-like beings combines with a prophetic and divinatory essence. This study thus addresses these two salient dimensions of the fairy in Barbey’s novels, eroticism and divination. The first section on “Depicting the fairy” establishes a typology based on the matricial figures of the fairy godmother and fairy mistress. Subsequently, the section titled « The universe of the fairy » focuses on space, or the sulfurous universe through which this enigmatic character moves. This analysis of the poetics of space attempts to elucidate Barbey’s orchestrated illusion of the supernatural and the marvelous. The writer blurs the spatio-temporal narrative frame of his novels by means of polyphony, introducing multiple points of view and narrative situations. The last section, « The symbolism of the fairy », points out the novelistic ends to which the avatars of this figure have been put, both in the aurevillian imaginary universe and more generally nineteenth-century literature. Our perspective endeavors to take into account both the wealth of aurevillian narrative technique and thematic depth of his work.
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Pour une typologie de la littérature du secret : mystère et sens dans l'oeuvre romanesque de Pierre Jean Jouve

Porcher, Titaua 09 October 2009 (has links) (PDF)
Ce travail se construit autour du mystère qui, comme un " nimbe permanent ", irradie l'œuvre romanesque jouvienne. Il s'appuie surtout sur les apports de la phénoménologie, qui replace le corps au centre de la connaissance, pour tenter de cerner les rapports entre mystère et sens. La première partie s'attache à établir une topologie du mystère. Chez Pierre Jean Jouve en effet, l'espace visible se double d'un invisible au statut ambigu : à la fois de l'ordre d'un sens, immanent au sensible, et d'une présence qui échappe au sens. La deuxième partie analyse les marques stylistiques fondant cette impression de mystère. Comme l'affirme Jean Paul Sartre, toute technique romanesque renvoie à la métaphysique de son romancier. Ainsi les divers procédés d'écriture reflètent-ils le regard particulier de Pierre Jean Jouve sur le monde et l'art de rendre compte d'un " nouveau réel ". La troisième partie se penche sur les diverses références mythiques en tant que voies d'accès au mystère du " continent intérieur " que constitue l'inconscient. Ces images, qui naissent dans le corps, sont issues d'une " structure archaïque " et agissent sur le mode de la révélation : elles offrent une figuration de l'irreprésentable et rendent compte du phénomène de visibilité. Elles nous éclairent sur les structures de l'imaginaire jouvien. Enfin, la quatrième et dernière partie de ce travail s'attache aux liens entre mystère et mystique. La mystique de Pierre Jean Jouve, qui réintègre le corps et les pulsions inconscientes, découle sur un art dans lequel toutes les hauteurs " agglutinées " convergent vers une figuration de l'absence.
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Pour une typologie de la littérature du secret : mystère et sens dans l'oeuvre romanesque de Pierre Jean Jouve / Mystery and sense in Pierre Jean Jouve’s novels

Porcher, Titaua 09 October 2009 (has links)
Ce travail se construit autour du mystère qui, comme un « nimbe permanent », irradie l’œuvre romanesque jouvienne. Il s’appuie surtout sur les apports de la phénoménologie, qui replace le corps au centre de la connaissance, pour tenter de cerner les rapports entre mystère et sens. La première partie s’attache à établir une topologie du mystère. Chez Pierre Jean Jouve en effet, l’espace visible se double d’un invisible au statut ambigu : à la fois de l’ordre d’un sens, immanent au sensible, et d’une présence qui échappe au sens. La deuxième partie analyse les marques stylistiques fondant cette impression de mystère. Comme l’affirme Jean Paul Sartre, toute technique romanesque renvoie à la métaphysique de son romancier. Ainsi les divers procédés d’écriture reflètent-ils le regard particulier de Pierre Jean Jouve sur le monde et l’art de rendre compte d’un « nouveau réel ». La troisième partie se penche sur les diverses références mythiques en tant que voies d’accès au mystère du « continent intérieur » que constitue l’inconscient. Ces images, qui naissent dans le corps, sont issues d’une « structure archaïque » et agissent sur le mode de la révélation : elles offrent une figuration de l’irreprésentable et rendent compte du phénomène de visibilité. Elles nous éclairent sur les structures de l’imaginaire jouvien. Enfin, la quatrième et dernière partie de ce travail s’attache aux liens entre mystère et mystique. La mystique de Pierre Jean Jouve, qui réintègre le corps et les pulsions inconscientes, découle sur un art dans lequel toutes les hauteurs « agglutinées » convergent vers une figuration de l’absence. / This work is built on the mystery that irradiates Pierre Jean Jouve’s novels « like a permanent nimbus ». We adopt here above all the phenomenological view, which considers the body as the center of consciousness, in order to analyse the links between mystery an meaning. The first part constitutes a topology of mystery. In Pierre Jean Jouve’s novels, indeed, the visible is doubled by an invisible with an ambiguous status : it is in the same time related to an immanent meaning and to a presence which escapes the meaning.The second part analyses the stylistic signs that generate the mysterious atmosphere. As Jean Paul Sartre says, a novelistic technique is a reflection of the novelist’s metaphysic. The third part studies the different occurrences of mythological references as accesses to the mystery of the « interior continent » : the unconscious. These images, that emerge in the body, come from an archaïc structure and proceed as revelations : they are pictures of what is impossible to show and they give an idea of P.J. Jouve’s psyche’s structures. Lastly, we study the links between mystery and mysticism.

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