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« Ma dambura ne ment pas » : musique et identité chez les Hazāra d’Afghanistan

Poitras, Mathieu January 2015 (has links)
Cette thèse porte sur l’articulation entre la dambura et l’identité Hazāra contemporaine. La dambura est un instrument de musique traditionnel présent dans le centre et le nord de l’Afghanistan. Les Hazāra sont une minorité ethno-culturelle et religieuse d’Afghanistan touchée historiquement par une stigmatisation multiforme qui persiste toujours jusqu’à ce jour. Ils forment aujourd’hui une communauté transnationale aux multiples diasporas. Dans le cadre d’un éveil identitaire transnational contemporain, l’affirmation identitaire hazāra a enfin libre cours. La dambura devient alors le médium d'une poésie non seulement traditionnelle mais aussi engagée, exprimant un discours identitaire qui aura contribué à la consolidation d’une conscience ethno-nationale. En cernant les pratiques, les discours et les significations reliés à la dambura pour les musiciens et les non-musiciens hazāra, et en examinant ce que révèle le corpus poétique du répertoire musical à la dambura, nous voyons comment la dambura se trouve élevée au statut de symbole identitaire.
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Place et rôle des langues et cultures de l'Antiquité dans l'enseignement du français à l'école primaire de 1882 à nos jours en France / Place and role of Classics in French learning at primary school from 1882 until nowadays in France

Iwaszko, Ida 04 December 2015 (has links)
L’enseignement du français a été et demeure la priorité de l’école primaire en France. Malgré cette volonté affichée, dans les faits, l’apprentissage de la langue nationale pose beaucoup de problèmes, de grandes disparités subsistent entre les élèves. Comme l’ont montré les enquêtes PISA (2012), notre système scolaire « excelle » à creuser les inégalités entre les élèves. Comment justifier un pareil décalage ? En outre, comment expliquer les difficultés liées à l’enseignement du français ? Afin de répondre à ces questions, le point de vue diachronique nous a semblé salutaire à plus d’un titre. Il convient en premier lieu de décrire et de comprendre comment s’est constituée notre école. En outre, la place des langues anciennes - latin et grec ancien - fut longtemps considérable, et leur quasi disparition n’a pas été sans conséquences sur l’enseignement du français. En effet, l’histoire de la langue et de la discipline nous montre que, pendant longtemps, le français n'a pas pu être envisagé sans les humanités classiques. Notre analyse nous conduit à interroger ces liens et à envisager d’introduire les langues et cultures de l’Antiquité dans l’enseignement du français à l’école primaire. Celles-ci se révèlent en effet de précieuses alliées pour la mise en place de postures - réflexive, métalinguistique et épistémique – nécessaires à la réussite. Elles permettent à tous élèves d’acquérir des stratégies d’apprentissage qui les aideront à développer une langue riche et donc une pensée riche. En outre, la culture antique est à la racine de tous les domaines du savoir, elle lie les matières entre elles et donne du sens aux apprentissages. / French language was and still remains the priority of French primary school. Despite this will, reality is a bit different: learning French remains complicated at school, there are big gaps between pupils. According to the results from PISA's survey (2012), our system of education is « very good » at creating even more inequalities between pupils. How can such difference be explained? Moreover, why is French so hard to teach and to learn? In order to answer these questions, a diachronic approach was salutary in many respects. At first, it is important to describe and to understand how our school was built. In addition, the place of Classics – Latin and Ancient Greek – was once great in our system, and their nearly disappearance had serious consequences on French learning. Indeed, the history of the language and the discipline shows us that French could not have been taught without classics for a long time. In our analysis, we question these links and we consider introducing classics in French learning at primary school. Classics reveal themselves to be very precious tools in order to create postures among pupils – reflexive, metalinguistic and epistemic – which allow them to succeed. They help all pupils to acquire strategies, which enable them to learn a rich language, therefore to develop a rich mind. Moreover, antic culture is at the basis of all fields of knowledge, it is a link between all disciplines and it makes them meaningful.
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La figure mythique de Prométhée dans la philosophie de Platon

Beaudin, Jean-Philippe A. 06 1900 (has links) (PDF)
Je m'intéresse au traitement fait de la mythologie traditionnelle chez Platon. Afin de comprendre le travail sur le mythe (selon l'expression de Hans Blumenberg) fait par Platon, je me penche particulièrement sur une figure mythique traditionnelle, celle de Prométhée. En un bref survol synthétique, j'étudie d'abord ce qu'on doit entendre par « figure mythique de Prométhée ». J'établis que cette figure est associée au don du feu aux hommes (don rendu possible par un vol du feu aux dieux), à un épisode de supplice résultant de ce vol, par son caractère de dieu à mētis et par un caractère philanthropique. J'étudie par la suite chacune des quatre occurrences du mythe dans le corpus platonicien. Dans le Protagoras, je remarque que le mythe sert plusieurs objectifs : divertissement des auditeurs, diversion afin d'exposer des idées pouvant choquer, procédé sophistique élaboré, etc. Prométhée joue alors un rôle curieux: non seulement il rend possible la civilisation, mais, dans le cadre du dialogue lui-même, il finit par être évoqué en une opposition entre philosophie et sophistique. C'est à une intention semblable que participe la figure prométhéenne dans le Gorgias, bien que de façon plus effacée, alors que Platon oppose la vie philosophique à celle des rhéteurs. Dans Le Politique, Prométhée joue le rôle semblable à celui du Protagoras, donateur du feu, don participant au règne de Zeus et de l'exercice de la raison par les hommes. Finalement, dans le Philèbe, Platon compare la dialectique au don du feu de Prométhée, en en faisant un don encore plus précieux. J'arrive à deux constats. D'une part, Platon reprend toujours la figure prométhéenne de façon relativement fidèle aux traditions mythiques déjà connues, non sans l'avoir épurée de ses certains traits pourtant constants dans la tradition mythique - son caractère de dieu à mētis, qui est significativement limité, et son supplice. D'autre part, je constate que la figure de Prométhée est employée à chaque fois que Platon traite d'epimeleia, du soin, et alors qu'il s'agit de faire la promotion de la philosophie, soit pour elle-même, soit encore en opposition avec la sophistique et la rhétorique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Platon, Prométhée, Mythologie, Mythe, Antiquité, Philosophie, Philosophie grecque
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Cynic hero and cynic king : studies in the cynic conception of man /

Höistad, Ragnar. January 1948 (has links)
Inaugural dissertation--Uppsala.
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Apollinaire et les mythologies antiques

Boisson, Madeleine. January 1900 (has links)
Thesis (D. Litt.)--Sorbonne, 1985. / Includes indexes. Includes bibliographical references (p. [737]-756).
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Vertumne et Pomone.Une fable et son décor dans quatre tentures tissées d'or

Paredes, Cecilia 24 March 2005 (has links)
Vertumne et Pomone. Une fable et son décor dans quatre tentures tissées d’or Résumé de la thèse L’étude porte sur quatre ensembles de tapisseries que se partagent actuellement le Kunsthistorisches Museum à Vienne, la Fondation Gulbenkian à Lisbonne et les collections du Patrimonio National à Madrid. Chaque série illustre la fable de Vertumne et Pomone issue des Métamorphoses d’Ovide dans un somptueux théâtre de pierre et de verdure. Tissées à Bruxelles vers 1545, les tapisseries racontent en neuf épisodes les transformations de Vertumne, le dieu des saisons, en vue d’approcher et de séduire Pomone, déesse des vergers. A travers l’exploration des composantes historiques, formelles et iconographiques des ensembles tissées, la thèse aborde l’art de tapisserie comme une forme d’expression qu’il s’agit de situer dans l’histoire artistique et culturelle des Pays-Bas méridionaux à l’aube de la seconde moitié du XVIe siècle. La thèse est divisée en quatre parties qui correspondent à quatre lectures complémentaires de l’œuvre. Dans la première partie, l’histoire des pièces dans les collections introduit la description et la présentation des quatre séries de tapisseries. La seconde partie étudie les circonstances de production et de création artistique. La troisième partie qui constitue le cœur de la thèse est dévolue à l’étude des thèmes et des formes, à l’exploration de l’imaginaire du jardin de Pomone et de ses décors. La dernière partie dégage les significations secondaires qui naissent de la rencontre de l’œuvre (de son contenu et de son expression formelle) et des circonstances liées à leur usage comme décor princier. La thèse se présente premièrement comme une contribution à l’histoire de la tapisserie. L’étude de la réception des formes mythologiques et architecturales dans ces chefs-d’œuvre textiles révèlent en outre l’existence d’un concept à la fois mental et formel qui inscrit dans l’œuvre, les rapports entre son destinataire et l’environnement social, idéologique et culturel de ce dernier.
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Recherches sur l'iconographie des fêtes de cour en France (1515-1589) / Survey of the iconography of French courts festivals (1515-1589)

Albert, Laure 09 January 2012 (has links)
Évoquer l'iconographie des fêtes à la Renaissance revient à travailler sur les humanistes et les courants de la pensée néoplatonicienne qui influencèrent les artistes de cette époque et aboutirent au syncrétisme des arts dans les divertissements royaux. Dans l'art éphémère de la fête - entrées, mascarades, bals et ballets - les costumes des figures mythologiques, antiques et bibliques remis au goût du jour sur un mode ludique, actualisés par les nouveaux thèmes issus des voyages d'exploration - exotisme américain et tradition du vieux monde - sont transposés dans le contexte du XVIe siècle. Pour accompagner ce langage, tout un decorum est déployé qui fait évoluer la notion de spectacle et de ses lieux de représentation, aidé par l'actualité socio-politique faite tantôt de paix et d'alliances tantôt de guerres (de religions). La fête est un moyen idéalisé d'affirmer le pouvoir royal. En cela, elle devient un vecteur de communication, voire de communion. Somptueuses et novatrices, elles sont les prémisses de la magnificence des fêtes des siècles suivants. / Dealing with the iconography of fetes in the Renaissance means investigating into humanism and the neo Platonist currents of thought which influenced the artists of the time and led to the syncretism of arts in court celebrations.In the ephemeral art of revels -entries, masquerades, balls and ballets- the costumes of mythical figures from the Bible or the Antiquity were then brought back to the fashion of the sixteenth century with a playful twist and updated through the new themes inspired by the Great Explorations, such as the contrast between the exoticism of the New World and the traditions of the Old World. Along with those codes, the establishment of a new decorum allowed the evolution of the notion of performance and of the places best suited for theatricals. Social and political issues of a time fraught with religious wars, alliances and peace, also contributed in paving the way for such changes.Celebrations thus proved the quintessential instrument of the assertion of royal power, which turned them into vectors of communication, not to say communion. Both sumptuous and innovative, they foreshadowed the magnificent fetes of the following centuries.
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Le fantastique dans l'oeuvre romanesque de Marcel Brion

Léonce, Thierry 18 March 2011 (has links) (PDF)
Les romans fantastiques de Marcel Brion sont aujourd'hui peu lus. Cet auteur a été globalement peu étudié par les universitaires français, peu pris en compte par les théoriciens du fantastique, ce qui place l'oeuvre en situation de marginalité. Cela tient peut-être à ce que Liliane Brion-Guerry appelle les " qualités particulières " du fantastique brionien. Quelles sont les caractéristiques de ce fantastique ? Ce travail a pour but d'étudier comment Marcel Brion, dans ses romans, écrits entre 1929 et 1984, interroge le réel, installe un" autre côté", propose au lecteur d'abandonner les conceptions habituelles et de se mettre à la recherches des dimensions cachées de 1 'homme et du monde. Proche des écrivains pour lesquels " la dimension métaphysique est englobée dans l'expérience fantastique ", Marcel Brion place ses personnages dans le jeu des métamorphoses et du voyage initiatique, les fait évoluer dans un univers où s'impose la mythologie des labyrinthes intérieurs et extérieurs. Dans les romans où l'esthétique prend une place considérable, se manifeste un esprit particulier que le lecteur peut situer sur les frontières du baroque et du romantisme, ces deux catégories n'étant pas prises dans leur dimension historique mais révélatrices d'un état de la conscience humaine.
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L'imaginisation du réel. Pour une politique des imaginaires singuliers

Miller, Richard 14 January 2011 (has links)
Un corps humain n’est pas le réceptacle passif d’impressions. Il n’est condamné à aucun « réel » qui s’imposerait à lui. Tout au contraire crée-t-il, continûment et spontanément, des images singulières de la réalité. Cette faculté d’imaginisation est le sujet de la présente thèse, ainsi que la conséquence qui s’ensuit, pour chaque individu, de ne pouvoir que croire en une réalité toujours déjà imaginisée. L’imaginisation sera envisagée selon une double visée : en tant que faculté (laquelle produit des effets concrets, historisants), et en tant que qualité originelle de l’être humain. Poser que l’imaginisation est la qualité qui définit l’appartenance à l’humanité induit entre autres que la raison est renvoyée à un statut second : elle est un choix possible à l’intérieur d’une création incessante d’images-réalités, par où se constitue singulièrement une fiction enveloppante de la vie. Notre objectif n’est pas de déprécier le choix en faveur de la raison en indiquant qu’il serait, à tout coup, contraint et réducteur. Mais ne plus être en mesure – parce que l’être humain est d’emblée appréhendé en tant qu’être de raison (ens rationis) – de penser que la raison requiert un choix et qu’elle ne « va » pas de soi, c’est se couper de tout accès à la question : « Qu’est-ce que l’homme ? ». Nous voulons considérer l’être humain en tant qu’il imaginise le réel en y adjoignant une part fictive qui, à la fois, précède, intègre et outrepasse la « simple » raison. Fiction enveloppante forcément ignorée par le rationalisme positiviste, alors qu’elle est attachée de façon indissoluble à la vie de chacune et de chacun ; tous étant les acteurs individuels d’une histoire personnelle et collective. Avant d’être un être de raison, l’homme est un être vivant qui imaginise singulièrement les choses, les situations, les évènements, ses semblables… Il en résulte une complexité telle qu’aucun échange, aucune relation, aucune cohabitation, ne peuvent à priori être déterminés rationnellement. Dès lors, si les présentes recherches ne portent pas directement sur le politique, celui-ci en constitue l’horizon, voire la finalité ultime. L’expérience nous apprend en effet que pour qu’une philosophie politique puisse être politiquement pertinente et utile, il faut qu’elle soit fondée non pas sur ce que l’on voudrait que les hommes soient, mais sur ce qu’ils sont. Non pas sur les hommes rationnels que la théorie souhaiterait qu’ils fussent, mais sur des êtres ayant un corps fait de mémoire, de peurs et de rêves. En ce sens, nous partageons le questionnement quant à la nécessité d’une approche qui prendrait en compte « la totalité des dimensions de la vie humaine, le mythe comme la raison, le religieux comme le juridique, non pour les confondre, mais pour les articuler ensemble » . Notre plaidoyer est double, mais non contradictoire : il s’agit de penser une plus grande complexification du politique que celle définie par la raison identitaire – héritée de l’ère moderne et des Lumières – et qui est factuellement dépassée par le monde/mondialisé qui constitue désormais le territoire de toute politique. Cela n’est possible qu’en affrontant le fait que les hommes ne sont pas que raison, mais sont avant tout des imaginaires singuliers. Fonder, en ce sens, une politique requiert préalablement la définition de ce que l’on entend par imaginaires singuliers, et impose d’en repérer les modes d’agir, non plus seulement au niveau de l’histoire, ni même d’une histoire culturelle, mais d’une génésie culturelle : tel est l’objectif des recherches que l’on va lire. Celles-ci sont illustrées principalement par deux exemples paradigmatiques : la mythologie chrétienne, et le cinéma en tant qu’art de l’univers mytho-technique.
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La Mètis d'Hermès

Côté, Valérie January 2008 (has links) (PDF)
Il ne fait aucun doute, en lisant l'Hymne homérique à Hermès, que ce fils de Zeus est une divinité à mètis. Méditant des ruses profondes, l'oeil perçant et l'esprit ingénieux, ami de la nuit noire, Prince des Brigands, ravageur et impudent, le rusé fils de Maïa ne laisse pas de doute sur la nature de ses dons extraordinaires. Hermès est la divinité à mètis par excellence. Cette intelligence rusée, qu'on définit comme un avantage sur la force, s'exerçant dans les situations incertaines et ambiguës, est pourtant trop souvent mise de côté dans les études le concernant. On s'intéresse plutôt au Psychopompe, au Berger, au dieu des passages, au Messager, à l'inventeur de la lyre, de l'écriture, à ses liens avec les autres divinités, parfois en s'appuyant très largement sur l'Hymne à Hermès, mais toujours en négligeant l'aspect du dieu qui en ressort le plus: sa mètis. Dans la continuité des recherches déjà entreprises par M. Detienne et J-P. Vernant, cette étude vise donc à combler les lacunes dans la connaissance concernant le dieu Hermès, principalement au niveau de cette qualité qu'elle estime être à la base de son identité. À partir de témoignages mythologiques, historiques et philosophiques, concernant autant Hermès que la mètis, elle analyse la mètis particulière à Hermès, pour trouver ce qu'on pourrait appeler sa « mètis protectrice ». L'analyse des fonctions d'Hermès et des usages qu'il fait de ses dons semble en effet pointer en direction d'une divinité à caractère principalement protecteur. Une orientation qui se serait répercutée jusque dans les fonctions plus tardives du dieu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grèce, Études classiques, Divinité, Mythologie, Ruse.

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