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Reflexe socialistické minulosti v umění zemí Střední Evropy / Reflections of the Socialist Past in the Art of Central European Countries

Rathouská Štroblová, Kateřina January 2021 (has links)
The dissertation thesis is focused on specific segment of contemporary visual artists from Poland, the Czech Republic, Hungary and the Slovak Republic, whose work reflects the recent past. The thesis maps and interprets artistic reflections of the past with emphasis on the era of socialism in the region of Central Europe, and defines the characteristic features of the generation of artists born in the 70s and their position in the post-socialist situation. These artistic approaches are categorized and anchored in the broad current of the so-called historiographical turn in contemporary art and put in a broader cultural and art historical context. Keywords contemporary art, Central Europe, historiographic turn, archive, socialist modernism, nostalgia
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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"Un vieux rêve intime" : histoire, mémoires et représentations des Juifs d'Odessa / "An Old Secret Dream" : history and memories of the Jewish community from Odessa

Némirovski, Isabelle 26 September 2016 (has links)
Depuis sa fondation en 1794 par Catherine II, Odessa, cité portuaire de la mer Noire, ne laisse personne indifférent. Conçue pour devenir une utopie urbaine au sein d’une Russie très contraignante, la ville nouvelle – libre de servage, tolérante et entreprenante – attire des populations venues des quatre coins de l’Europe. Les premiers migrants sont en majorité des déshérités, des infortunés et des Juifs persécutés de l’Empire en quête d’un refuge. La société juive naissante éprise de liberté saisit sa chance en s’impliquant activement dans la réalisation de ce chantier ambitieux. Dès les années 1860, premiers frémissements d’un « bonheur juif », des banquiers, des négociants, des intellectuels, des artistes, des bandits et des « Juifs ordinaires » écrivent pareillement le « modernisme » et les légendes colorées d’Odessa la Juive. Le XXe siècle pris entre guerres et révolutions, sonne le glas de l’âge d’or des Juifs d’Odessa avec le retour des pogromes et des massacres de masse. Bon nombre d’entre eux repartent sur les routes de l’exil à la recherche de ports d’attache : onze villes nord-américaines portent le nom d’Odessa. Les Odessites vouent à leur ancienne terre d’adoption un véritable culte, sous des formes plurielles, œuvres littéraires, musicales, picturales et cinématographiques. A la lumière de l’Histoire et de la micro-histoire, l’enjeu de cette recherche sur la communauté juive odessite est d’identifier l’« espace de vérité » de la ville d’Odessa entre mythe et réalité. / Since its creation by Catherine the IInd in 1794, Odessa, a harbour on the Black Sea, leaves no one indifferent. Designed to become an urban utopia within a very compelling Russia, the new town – tolerant, enterprising, and from its origins free from serfdom – has attracted populations from across Europe. The first migrants were mainly poor, hapless people and persecuted Jews from the Empire in search of a refuge. The emerging Jewish society, freedom-loving, seized the opportunity to build an ideal city, culminating in the birth of a “Jewish happiness”. From 1860 onwards, great bankers, merchants, intellectuals, artists, gangsters and labourers all contributed to the “modernism” and the colourful history of the Jewish Odessa. Caught between wars and revolutions, the 20th Century sounded the knell of the golden age for Odessa Jews, with the return of pogroms and mass slaughters. A number of Jews went back to the roads of exile, looking for a new home: eleven North American towns have taken the name of Odessa. “Odessity” worship Odessa-mama: music works, paintings and movies aim at celebrating the glory of the homeland. Considering both the historical and micro-historical legacy, the challenge of this research on the Jewish community from Odessa aims to identify and establish a “truth space” between the real and the imaginary city.
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DDR-Nostalgie : Dimensionen der Orientierungen der Ostdeutschen gegenüber der ehemaligen DDR, ihre Ursachen und politischen Konnotationen /

Neller, Katja. January 2006 (has links)
Zugl.: Stuttgart, Universiẗat, Diss., 2005.
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From the "death of literature" to the "new subjectivity" : examining the interaction of utopia and nostalgia in Peter Schneider's Lenz, Hans Magnus Enzensberger's Der kurze Sommer der Anarchie, and Bernward Vesper's Die Reise /

Krüger, Thomas J. A. January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--McGill University, 2008. / Written for the Dept. of German Studies. Includes bibliographical references.
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Le cinéphile à la découverte de sa nostalgie : une circumambulation sous le signe de Wong Kar Wai / A cinephile approaching his nostalgia : a circumambulation under the sign of Wong Kar Wai

Tsai, Wen-Sheng 04 July 2018 (has links)
Comment faire un travail scientifique si le chercheur est déjà trop obsédé par son objet d’étude et si, d’ailleurs, ce dernier n’est pas seulement un objet réifié mais doté d’une certaine réalité de l’âme ? La distance délicate entre le subjectif et l’objectif est ainsi l’enjeu principal de cette thèse, une recherche dont le chercheur est un cinéphage devenu cinéphile, qui est hanté par sa passion pour son objet bien vivant qu’est le cinéma de Wong Kar Wai mais qui a envie de vivre symboliquement cette passion. Il s’agit donc de l’équation personnelle d’après C. G. Jung et de cette distance ironique selon Antoine de Baecque. Vis-à-vis d’une telle difficulté méthodologique qui est en fait une occasion très généreuse, une approche empirique et une attitude religieuse se proposent. D’où le chercheur-cinéphile se lance dans un itinéraire homérique, à la recherche de son mythe du cinéma total qui n’est rien d’autre que son archétype du cinéma dont le symbole vivant se veut exactement Wong Kar Wai. Cette recherche devient, au fur et à mesure, une découverte, vu que la nostalgie n’est pas ailleurs, mais chez soi. Dans une telle circumambulation sous la forme d’une mise en abîme, le rapprochement entre une histoire du cinéma et une Histoire du cinéma n’est qu’inéluctable. Re-contextualisés sont les souvenirs personnels du chercheur du cinéaste hongkongais et plusieurs protagonistes rencontrés dans sa cinéphilie (Bresson, King Hu, Langlois, Bazin, Tarkovski, la bande de Truffaut, Dumont, etc.) sur la route et envisageable est une filiation toujours en devenir entre ce qui arrive avant et ce qui vient après. Que ces pages soient une scène de la création-critique et que la fonction cinéphile se manifeste à travers elle. / How to conduct a scientific work if the researcher is himself already incurably obsessed by his study material? This question fits in quite well for the present case, since the PhD student is an inveterate lover of Wong Kar Wai’s cinema. In other words, the situation is that of a cinephage-turned-cinephile — extremely conditioned by a living work inescapably defined by an amorous aura — who is trying to find a way out, in a relatively rational way, that is to say, symbolically, to deal with this entanglement as mise en abyme. Two methodological as well as deontological perspectives are thus drawn on, “the personal equation” adapted by C. G. Jung and “the ironic distance” coined by Antoine de Baecque. Hopefully, the writing of this dissertation could be regarded as a circumambulation whose goal is nothing more than its very process which is a nostalgic yearning for the cinema archetype, or, in terms of André Bazin’s idea(l): the myth of total cinema.
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De nostos à xenitia: recherches sur la nostalgie de l'exil dans la littérature grecque ancienne et byzantine

Grodent, Michel O.L. January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Produktová reklama 70. - 80. let v Československu a její návrat / Product Advertisement in Czechoslovakia in 70s - 80s and its comeback

Vomelová, Petra January 2017 (has links)
- the market through the campaign RETRO Týden comparing fifteen "retro" packages that were sold during socialistic era fifteen "present" s'
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Problematika salonních vlaků a studie uskutečnitelnosti v Evropě / Analysis of luxury trains and their feasibility study in Europe

Ťoková, Markéta January 2010 (has links)
The aim of the Master thesis is to analyse the functioning and operations of so-called luxury trains (trains of the Orient-Express-type) and to apply the findings to a concrete example of such a train. The theoretical part deals with the railway transport in the Czech Republic, with a special focus on irregular transport and specifics of the functioning and operations of luxury trains. An overview of the most known luxury trains of nowadays in Europe and all over the world is also a part of the theoretical background. The empirical part analyses the concrete example of a luxury train in a feasibility study. The thesis is based not only on theoretical literature and information from electronic sources, but also on personal consultation with experts on railway transport and luxury trains in the Czech Republic.

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