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Wege und Wegmetaphern bei Charles-Ferdinand Ramuz... /Belser, Niklaus. January 1974 (has links)
Inaug. _ Diss.: Philosophische Fakultät: Zurich: 1974. Bibliogr. p. 155-159.
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Mysterium Christi : Kirche bei Hans Asmussen seit 1945 /Pihkala, Juha. January 1978 (has links)
Th.--Théol.--Helsinki, 1978. / Bibliogr. pp. 188-204. Index.
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François Châtelet. Le philosophe enseignant : raison et scène publique / François Châtelet. The teaching philosopherPérin, Nathalie 24 February 2015 (has links)
Sans doute la première thèse de doctorat sur le philosophe François Châtelet (1925-1985), cette recherche interroge centralement la part collective de l'oeuvre qu'il a laissée. F. Châtelet a en effet défait une posture traditionnelle du geste créateur en philosophie visant la reconnaissance d'un seul nom propre, porteur unitaire de sens, et propriétaire d'idées, pour rendre manifeste une philosophie de la transmission des connaissances véritablement critique et ouverte car débarrassée d'une manière tout originale de la volonté de faire système. Parce que cette dimension collective a été étroitement liée chez F. Châtelet à une mise en question de la philosophie institutionnalisée, une place particulière a été faite à l'ouvrage-pivot La philosophie des professeurs (1970) dans lequel il a dévoilé l'idéologisation qui s'effectue de la philosophie à travers les programmes qui lui donnent forme enseignante. Pour F. Châtelet, la défense de la philosophie vivante s'accompagne à l'inverse d'une critique constante des images qui lui proposent de tenir un rôle à la fois supérieur et impuissant, et d'une réflexion politique sur les réalités de l'École et de la culture. Dans cette voie, il appartient à la philosophie d'entrer en résistance et de se séparer des fins voulues par le pragmatisme social, par les collusions entre pouvoirs et savoirs gestionnaires aussi bien que par ses identifications à des formes d' « Etat-Savant ». Cette recherche établit que l'oeuvre à la fois personnelle et collective de F. Châtelet aura eu pour l'un de ses fils directeurs, sous cet aspect, la dénonciation de la modélisation de la pensée, et qu'elle se sera employée à faire remonter concrètement cette modélisation à la naissance de la philosophie comme genre spécifique. / This doctoral dissertation, probably the first on the philosopher François Châtelet (1925-1985), focuses mainly on the collective aspect of the body of work he left behind. Châtelet did much to undermine the traditional attitude of the philosophical act of creation whose aim is the acknowledgment of a single proper name – seen as the lone bearer of sense and sole owner of ideas – in order to bring to light a philosophy of the transmission of knowledge, one that is truly critical and open as a result of being stripped, in a highly original way, of the will to systematize. Since this collective dimension was for Châtelet closely tied to a reassessment of institutionalized philosophy, particular attention has been paid here to the key work La philosophie des professeurs (1970) in which he exposed the ideologizing taking place within philosophy through the curricula giving it a teachable form. For Châtelet, the defense of philosophy as a living discipline is accompanied, conversely, by a relentless critique of the images encouraging it to maintain at once a superior yet powerless role, and by a political reflection on the realities of schooling and culture. In line with these positions, philosophy's role is to become a force of resistance, to distance itself from the ends intended both by social pragmatism as well as by the collusions between administrative authorities and those who manage their systems of knowledge, and to avoid association with any form of "knowledgeable State." The present study shows that Châtelet's work – an undertaking that was simultaneously personal and collective – consequently had as one of its guiding principles the denunciation of the standardization of thought, and that it applied itself in concrete terms to tracing that standardization back to the birth of philosophy as a specific genre.
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Hétérotopie : de l'in situ à l'in sociusDoyon, Hélène January 2007 (has links) (PDF)
C'est à partir du concept d'hétérotopie et à la lumière de mon expérience et de ma connaissance du domaine des arts visuels et médiatiques que cette thèse-création propose une investigation de l'espace et du lieu, et ce, en vue de considérer les espaces relationnels, les espaces sociaux et, singulièrement, les espaces autres. Cette recherche qui se situe en continuité idéologique avec des productions artistiques des années soixante, happenings et land art, contribue au développement des nouvelles pratiques artistiques qui émergent dans le contexte actuel de démocratie culturelle. De fait, l'idée d'une intégration de l'art à la vie tend à se répandre, favorisant la participation du plus grand nombre d'individus à des activités artistiques ou culturelles -et inversement, favorisant l'implication créative des artistes dans l'espace urbain ou rural et, au mieux, avec une communauté donnée. Ainsi, le concept d'hétérotopie sert de pivot à cet exercice d'interprétation, tant philosophique que sociologique, du phénomène des pratiques artistiques in socius, en lien avec les pratiques in situ qui se sont développées dans l'espace social. Ce dialogue herméneutique se veut donc une réflexion sur les lieux et espaces autres à partir desquels Michel Foucault élabora, en 1966, son concept d'hétérotopie. Les années passant, certains protagonistes des études culturelles de même que le philosophe Gianni Vattimo en ont fait un concept paradigmatique de la postmodernité, en référence à la pluralité des communautés exprimées dans des expériences esthétiques particularisées. Dans l'exploration des liens qui s'établissent entre la conception foucaldienne et la conception vattimonienne, mon analyse de l'hétérotopie s'intègre à un regard que je porte sur ma pratique artistique qui -du lieu autre à la micro-communauté à laquelle elle donne provisoirement lieu -se manifeste dans la création de situations auxquelles des citoyens sont appelés à participer volontairement. Cette façon de conjuguer hétérotopie foucaldienne et hétérotopie vattimonienne présente l'intérêt d'opérer un rapprochement conceptuel qui, à ce jour, n'a pas encore été exploré. Cette dissertation doctorale est donc l'occasion de proposer une conception originale de l'hétérotopie et, ce faisant, d'apporter une notion opératoire dans l'analyse des pratiques in socius. À l'appui de cette recherche doctorale, ma pratique artistique dispose d'un creuset créatif et réflexif dans l'invention du duo d'artistes Doyon/Demers. D'ailleurs, cette thèse-création se traduit également dans la conclusion d'un cycle de trois oeuvres de Doyon/Demers prenant assise sur l'autocaptation audiovisuelle d'un être-ensemble impliquant la réunion de cinq à huit personnes autour d'un repas et d'une composante socioculturelle qui les relie en une micro-communauté qui s'ignore, mais que ces mises en oeuvres actualisent. La trilogie débute avec Communauté d'auteurs dispersés en société et cie (2000), ensuite vint Veuves de chasse (2001) et, finalement, Hétérotopie panoptique produite, au printemps 2005, en collaboration avec l'Unité de recherche en arts visuels de l'Université du Québec à Trois-Rivières. La table s'y révèle à chaque occasion comme étant le lieu hétérotopique de l'oeuvre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arts actuels, Art et vie, In situ, In socius, Hétérotopie, Panoptisme, Démocratie culturelle, Micro-communauté, Indisciplinarité, Manœuvre.
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Échos wagnériens : musique et organicité dans Le jeu des perles de verre de Hermann Hess et Docteur Faustus de Thomas MannLamontagne, Véronique January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La lecture d’oeuvres littéraires complètes au collégial: des cas de pratiques d’enseignement dans le cours d’Écriture et LittératureBabin, Julie January 2016 (has links)
La recherche porte sur le premier cours obligatoire de français au collégial, Écriture et littérature, au cours duquel les étudiants – en majorité jugés faibles lecteurs par leurs professeurs – font face à des défis de lecture importants lorsqu’il s’agit de lire des œuvres littéraires complètes, dont le programme d’études impose la lecture. Lire une œuvre complète exige non seulement du temps, mais aussi la mise en relation complexe et constamment réévaluée de détails avec l’ensemble de l’œuvre. De plus, les titres imposés à l’entrée au cégep présentent aussi des différences notables avec les œuvres généralement lues au secondaire. Dans ce contexte, différents acteurs du milieu collégial questionnent les pratiques d’enseignement mises en œuvre, mais ils infèrent surtout ces pratiques au départ de leur expérience professionnelle; notre recension des écrits montre que l’enseignement de l’o.c. au collégial n’est pas documenté sur le plan scientifique, en dehors des résultats obtenus par l’équipe de Dezutter et al. (2009-2012), qui a mené une recherche sur la place de cette œuvre complète dans les trois cours de français confondus. Nous avons ainsi opté pour l’exploitation secondaire des données collectées spécifiquement dans le cours Écriture et littérature pour décrire les pratiques d’enseignement mises en œuvre par trois professeurs autour de la lecture d’une œuvre littéraire complète choisie par eux.
Notre étude multicas, descriptive et exploratoire, est centrée sur le registre épistémique des pratiques d’enseignement, que Vinatier (2007) définit comme « ce qui s’enseigne et comment ». À partir de trois séquences d’enseignements filmées, une analyse thématique a été réalisée. Les angles d’entrée dans l’œuvre, la place laissée à celle-ci et quatre formes de savoirs (sur la littérature, sur la langue, sur les processus de lecture et sur le monde) ont été examinés afin de déterminer ce qui s’enseigne. La notion de rôles, croisée ultérieurement avec les savoirs convoqués, a permis de décrire comment cela s’enseigne.
Les résultats obtenus montrent que la proportion de l’œuvre exploitée est très variable et que les trois professeurs adoptent surtout un rôle d’expert de savoirs sur le monde pour la traiter. Les savoirs sur les processus cognitifs ne sont presque jamais convoqués, et nous n’avons pu observer aucune manifestation évidente de rôles soutenant le développement de la lecture comme activité cognitive. La place laissée à la subjectivité des lecteurs s’avère ténue, et la lecture implicitement convoquée s’éloigne largement de celle susceptible d’être mise en œuvre en contexte extrascolaire, bien que certains liens soient plus souvent établis par l’un des professeurs avec la culture première des étudiants. En conformité avec le programme d’études, les activités entourant l’œuvre littéraire complète semblent au final souvent au service de l’évaluation de l’écriture, ce qui fait plutôt de la lecture de l’œuvre littéraire complète un prétexte à d’autres apprentissages.
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Le droit d'auteur sur la mise en scèneRoy, Véronyque 08 1900 (has links)
À la lecture de la Loi sur le droit d'auteur, il n'est pas clair que la mise en scène y soit protégée. C'est pourquoi nous nous questionnons sur la qualification juridique la plus adéquate pour la mise en scène. Le metteur en scène est-il un artiste-interprète ou un auteur? Après avoir étudié les caractéristiques artistiques des mises en scène, par types de productions et à la lumière de facteurs faisant varier la latitude du metteur en scène, nous étudions les différentes possibilités de qualification juridique de la mise en scène. Les possibilités sont vastes, car le metteur en scène évolue dans un cadre comprenant plusieurs intervenants. De plus, la mise en scène rencontre deux obstacles caractéristiques à sa qualification juridique en droit d'auteur: la fixation et l'originalité. Nous en venons à la conclusion que le metteur en scène est un auteur, car chacun des aspects de la mise en scène serait protégeable sous différentes qualifications juridiques. / Stage directions are not c1early protected under the current wording of the Copyright Law. This is why we wonder which legal qualification would be most appropriate. Is the stage director a performer or an author? We study the possibilities of legal qualification for stage direction, according to its artistic characteristics by production types, and considering the different factors which influence the Stage Director's liberty as well. The possibilities are vast since the Stage Director works in collaboration with several other intervening parties. Also, the Stage Director meets two typical obstacles: fixation and originality. We conclude that the Stage Director is an author because each and every aspect of the stage directions are copyrightable, under different legal qualifications.
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Analyse de la structure participative de la compréhension chez Gadamer sous la conduite de l'oeuvre d'artMathieu, Olivier January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le rôle de la création dans la construction du sujetVerdier, Véronique 10 December 2008 (has links)
La réflexion sur la création, aussi féconde soit-elle, porte le plus souvent soit sur les oeuvres, soit sur l'attitude créatrice, mais la passerelle est rarement établie entre ces deux axes de questionnement. Notre tâche consiste précisément à réfléchir au lieu qui unit un créateur à son oeuvre. Nous souhaitons montrer que créer une oeuvre peut avoir une incidence existentielle. Nous nous demanderons à quelles conditions la création permet précisément à un sujet de se construire et nous dirons en quoi peut consister cette construction du sujet.
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L'esthétique relationnelle : une étude de cas : les actions artistiques de Sylvie CottonFullum-Locat, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche propose une enquête sur cinq oeuvres de Sylvie Cotton réalisées à Montréal entre 1998 et 2006. Cette recherche démontre que ces dernières relèvent de la théorie de l'« esthétique relationnelle », une pratique artistique en arts visuels où la rencontre fait office d'oeuvre; théorie formulée en 1998 par le théoricien de l'art Nicolas Bourriaud et rééditée en 2002 dans l'ouvrage Esthétique relationnelle. Cette enquête met de l'avant le thème de la communauté dans trois actions artistiques et, le thème de la relation interpersonnelle, dans deux autres. Elle définit, pour chacune des cinq actions, le « modèle de socialité » en relevant les notions de collaboration et de proximité. Pour ce faire, elle exhibe le caractère social et communicatif de la rencontre entre l'artiste et le participant comme faisant indéniablement partie du tissu de l'oeuvre. Elle relève les attraits tactiles et kinesthésiques de la rencontre. De plus, cette recherche établit un rapprochement entre l'art et la vie comme principe fondamental du processus artistique en démontrant comment s'opère le modelage de l'oeuvre par l'entremise du participant. Cette recherche fut élaborée par une enquête exhaustive recueillant le témoignage de l'artiste, son intention, et celui de 16 participants. Nous les avons interrogés sur la façon dont ceux-ci on perçu leur collaboration et proximité au projet artistique. Ce travail d'enquête demeure la trace conservée de ces actions qui, sans ça, seraient vouées à l'oubli à cause de leur caractère éphémère. En définitive, cette recherche démontre que le caractère participatif de l'oeuvre constitue le lien social par lequel se construit l'oeuvre. Ces expériences artistiques qui véhiculent le « modèle de socialité » émettent une limite envers l'élaboration d'une possible communauté, car celles-ci exigent la collaboration soutenue entre les participants et l'intention de l'artiste. Puisque ces actions laissent beaucoup de place à la spontanéité et à l'imprévu, l'intention initiale de l'artiste devient arbitraire dans le jeu des rencontres. En contrepartie, la relation interpersonnelle agit, elle, comme principe même du lien social car, c'est grâce à ce lien que l'oeuvre prend réellement forme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sylvie Cotton, Esthétique relationnelle, Art et public.
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