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De l’envol à la première reproduction : aspects écologiques et évolutifs des traits d’histoire de vie de jeunes oiseaux marins longévifs / From fledgling to the first reproduction : ecological and evolutionary aspect of life-history traits of young long-lived seabird

Fay, Rémi 21 February 2017 (has links)
Jusqu’à aujourd’hui, les traits démographiques du début de vie ont été peu étudiés relativement aux traits adultes chez une grande majorité d’espèces animales. Les jeunes individus sont généralement plus difficiles à étudier en milieu naturel du fait de leur taille plus petite, de leur comportement plus mobile et des forts taux de mortalité qu’ils subissent. Cependant, la bonne compréhension des processus démographiques requiert la prise en compte de l’ensemble des stades de vie. Le manque de connaissance concernant les plus jeunes individus est particulièrement préjudiciable pour les espèces longévives. En effet chez ces espèces, les individus immatures représentent une partie importante de la valeur reproductive totale et ont ainsi une forte influence sur l’ensemble de la dynamique de la population. Ainsi, ces lacunes affectent notre capacité à effectuer des projections démographiques réalistes dans un contexte de changements globaux et plus généralement limitent notre compréhension de l’évolution des traits d’histoire de vie. Afin de pallier à ce manque, cette thèse porte sur l’étude des traits d’histoire de vie en début de vie chez une espèce d’oiseau marin : l’albatros hurleur Diomedea exulans. Chez cette espèce particulièrement longévive, la période d’immaturité peut durer une dizaine d’années. En se basant sur un suivi individuel à long terme et des analyses de type capture-marquage-recapture, nous avons estimé la survie en début de vie ainsi que l’accès à la première reproduction en fonction de l’âge et du sexe. Nous avons également étudié les effets potentiels de facteurs extrinsèques (climat, pêcherie) et intrinsèques (densité dépendance, âge parental) sur ces paramètres. De nombreuses relations entre les taux vitaux de ces jeunes individus et leur environnement ont été décrites. Sur un plan plus théorique, nous avons également pu tester différentes prédictions comme la canalisation des traits d’histoire de vie ou l’existence de différentes stratégies d’histoire de vie au sein d’une même population. Au cours de ce travail, une attention particulière a été portée aux variations des traits démographiques à l’échelle individuelle. Notre étude montre que les taux vitaux d’individus de même âge et de même sexe peuvent être très variables. Nous avons pu associer les traits démographiques en début de vie aux performances futures au stade adulte et révéler certaines causes de ces variations interindividuelles. / To date, early life demographic traits have been poorly studied compare to adult traits in the vast majority of animal species. Young individuals are usually more difficult to study due to their small size, their mobile behavior and the high mortality rate that characterizes their life stage. However, the full understanding of the demographic processes requires the integration of all life stages. This lack of knowledge toward early-life stages is particularly detrimental for long lived species. Indeed for these species, the immature component represents a substantial part of the total reproductive value, having a high influence on the whole population dynamics. Hence, such limitations affect the accuracy of population projections in the context of global change and more generally our understanding of life history trait evolution. In order to fill in this gap, this PhD project focuses on early life demographic traits in a seabird species : the wandering albatross Diomedea exulans. In this very long-lived species, the immature period lasts around 10 years. Based on long-term individual monitoring and capture-recapture analyses, we estimated early-life survival and the access to reproduction according to age and sex. We also investigates the respective effects of extrinsic (e.g. climate, fisheries) and intrinsic factors (e.g. density dependence, parental effects) on these parameters. Many relationships between early-life vital rates and environmental variables have been described. From a theoretical perspective, we tested several predictions such as the canalization of life-history traits and the existence of different life-history strategies within a population. In this work, special attention was paid to demographic variations at the individual scale. Our study showed that vital rates of individuals of the same age and sex could be very different. We have linked early-life demographic traits with subsequent adult performances and identified some causes of these individual variations.
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Political ecology des engrillagements de Sologne - Tentative de défragmentation du paysage écologique, politique et disciplinaire / The Political Ecology of fencing in the Sologne region in France - An attempt to re-unify the ecological, political and disciplinary landscape

Baltzinger, Marie 23 March 2016 (has links)
Quoi de plus naturel qu’une clôture ? Parmi les images d’Epinal qui nous viennent spontanément à l’esprit, le bocage avec ses haies bien ordonnées, évoque une relation apaisée, rationnelle, arcadienne avec une nature nourricière et bienveillante. Pourtant, la prolifération des clôtures en milieu rural depuis un siècle a suscité la curiosité de nombreux chercheurs dans des disciplines variées. Qu’il s’agisse de protéger la nature de dégradations engendrées par les populations humaines - dans le cas d’espaces protégés -, ou à l’inverse de protéger les humains contre des dangers « naturels » - comme dans le cas de la prévention routière, ces clôtures semblent répondre à une nécessité absolue de ségrégation spatiale entre les hommes et la nature : Quoi de moins naturel qu’une clôture ? Vu sous cet angle, le conflit politico-environnemental engendré par la propagation récente des engrillagements forestiers en Sologne reflète assez bien l’ambiguïté de nos perceptions vis-à-vis du caractère naturel ou non de ces clôtures. La Sologne est une région naturelle Française couvrant près de 500 000 hectares délimitée au nord par la vallée de la Loire et au sud par la vallée du Cher. Fruit d’une occupation humaine attestée depuis le XIe siècle, conjuguée à des contraintes écologiques spécifiques, le paysage Solognot est aujourd’hui caractérisé par son couvert boisé important (environ 50% de la surface) et ses populations importantes de grand gibier, qui entretiennent la longue réputation cynégétique de cette région ; la propriété privée y est largement majoritaire (plus de 90% de la surface forestière). En 2012, une agitation médiatique (film, articles de presse, sites internet) cristallisent un conflit environnemental latente, faisant intervenir des éléments écologiques – les effets supposés bénéfiques ou néfastes de ces engrillagements sur la grande faune, mais aussi politiques – la nécessité de réglementer les engrillagements, et culturels - la sauvegarde du « paysage Solognot ». Afin d’analyser ce conflit, une approche interdisciplinaire de type Political Ecology a été menée, mêlant travail d’enquête auprès de la population et étude du fonctionnement écologique des espaces engrillagés. Ces travaux ont montré que les engrillagements modifient la répartition spatiale des cerfs. La recherche d’effets cascades sur les oiseaux forestiers - résultants des surdensités locales de cerfs en espace engrillagé - n’a cependant pas mis en évidence d’effet négatif. A partir des enquêtes, il apparaît que le conflit est pluridimensionnel et que l’aspect écologique – bien réel – ne suffit pas à lui seul pour comprendre l’enjeu de ce débat au sujet des engrillagements. Ces résultats génèrent une réflexion sur la complexité des conflits environnementaux, et la nécessité d’envisager ces conflits sous des angles différents. Cela implique d’utiliser des outils et des approches issues de plusieurs disciplines, mais aussi et surtout de parvenir à mettre en résonance le matériel hétérogène ainsi obtenu, afin de proposer une approche multifacette mais cohérente. Dans ce cas d’étude, les résultats sur les effets cascades se sont par exemple révélés extrêmement marginaux, alors qu’une étude parallèle sur le comportement du sanglier en milieu engrillagé aurait probablement été très pertinente. Cela amène plus largement à réfléchir sur le « cadrage » des problèmes environnementaux, et sur les choix conscients ou non que nous faisons lorsque nous décrivons une situation comme problématique pour « la nature ». Plus généralement, ces résultats incitent à (re)placer le politique au cœur de nos réflexions sur ce qu’est la « nature », y compris dans la façon dont nous écologues posons nos questions de recherches. / What could be more natural than a fence? Among the traditional images in our collective heritage, a pastoral landscape with well maintained hedges evokes a calm, rational, Arcadian relationship between man and a benevolent, sustaining ature. Yet the century-long proliferation of fences in our rural landscapes has attracted the curiosity of numerous researchers from a variety of disciplines. Whether the goal is to protect nature from the degradations caused by human populations - as in the case of natural protected areas, or inversely, to protect humans from “natural” dangers – as in the case of accident prevention and road safety, fences seem to respond to a primordial necessity to segregate man and nature in space: What could be less natural than a fence? With this in mind, the political/environmental conflict over the recent propagation of forest fences in Sologne reflects quite well the ambiguity of how we perceive such fences – or they “natural” or not? The Sologne is an officially designated “natural region” in France. It extends over nearly 500,000 hectares bordered on the North by the Loire valley and on the South by the Cher valley. The Sologne landscape is the fruit of human occupation, certain since the XI century, combined with specific ecological constraints. Today, Sologne is characterized by extensive forest cover (around 50% of the surface area) and by large populations of big game animals, maintaining the region’s a long history of hunting. Furthermore, land ownership in Sologne is mainly private and more than 90% of the forested area is in private holdings. In 2012, some media excitement (film, newspaper articles, internet sites) crystallized an environmental conflict calling on ecological arguments – the supposed beneficial or detrimental effects of the fencing networks on big game, but also on political arguments – the need to regulate these networks, and on cultural arguments – preserving the Sologne landscape. In order to disentangle the structural lines of this conflict, we applied an interdisciplinary, Political Ecology approach; we combined opinion polls among the inhabitants with the study of ecological functions within the fenced zones. We observed that fences induced modifications of deer habitat use. However, our investigations into a possible cascade effect on forest birds resulting from localized deer over-population in fenced areas revealed no evidence of any negative impact. From our opinion polls, we found that the conflict seems to be multi-dimensional and that the ecological aspect – whose existence is indeed supported by fact – is not sufficient alone to understand what is at stake in this fencing dispute. Our results highlight the complexity of environmental conflicts, and the importance of viewing these conflicts from many different angles. Apprehending this complexity implies using tools and approaches from several different disciplines, but also – and above all – making the heterogeneous results obtained resonate together, in order to propose a coherent, multi-facetted approach. In this study for example, the results obtained for potential cascade effects on birds were extremely marginal, whereas a parallel study on wild boar behavior patterns in an environment with a fencing network would probably have been very pertinent. This leads us to the broader question of the “framework” of environmental problems and to the question of the choices we make – whether consciously or not – when we describe a situation as detrimental to “Nature”. More generally, the results from this study encourage us to put politics (back) into the center of our reflections surrounding the question: What is nature? – and to keep this in mind when we as ecologists define our research hypotheses.
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Entre biodiversité et pratiques cynégétiques patrimoniales : étude comparée des chasses traditionnelles aux gibiers migrateurs terrestres dans le Sud-Ouest de la France et au Québec : le cas du pigeon ramier (France) et de l'oie blanche (Québec)

Difilippo, Gabriel 31 May 2022 (has links)
Ce mémoire est le fruit d'une recherche de Master, effectué dans le cadre de la formation « TEMA+ : European Territories: Heritage and Development program» et de la maitrise en Ethnologie et Patrimoine de l'Université de Laval à Québec. L'art cynégétique est un art de prédilection pour ce qui s'agit de modifier et d'influer directement sur la nature. L'Homme se doit d'ajuster et de maitriser le terrain afin de mettre en place des pièges efficaces, rendant ainsi possible la capture de proies jusque-là inatteignables. Les techniques de chasse, se transmettent et se perfectionnent ainsi de génération en génération à travers le temps et l'espace. C'est dans ce cadre que se situe l'essence de ce projet, il s'agit, en effet, d'effectuer une étude comparée entre des techniques traditionnelles de chasses au gibier migrateur terrestre dans le Sud-Ouest de la France et au Québec. L'objectif premier du projet est la confrontation transdisciplinaire de la notion de "nature" à celle de "culture". Plus précisément il s'agit de démontrer les interactions de l'Homme sur son milieu et des milieux sur l'Homme pour des pratiques sociales et culturelles données. En effet, l'observation de différentes pratiques cynégétiques fait émerger la relation particulière entre technique et sociabilité ainsi que le lien logique entre pratique traditionnelle et espaces naturels. Pour cela, le choix des cas d'études s'est porté sur la palombe pour l'exemple français et sur l'oie blanche pour l'exemple canadien, deux entités qui se révèlent d'abord fortement similaires puis porteuses d'identités fortes qui dévoilent tout un pan patrimonial et culturel sur les territoires concernés. Ce mémoire se propose d'apporter quelques éléments de réponses à la problématique suivante : « Comment des pratiques culturelles liées à la chasse de migrateurs terrestres, marqueurs d'identités et de patrimoines en France et au Québec, autorisent la création de zones biologiquement transformées avec potentiellement la mise en place d'écosystèmes complexes ? ». Par l'application d'une méthodologie exploratoire, d'observations participantes et in situ, et par la comparaison de données récoltées à l'occasion d'entretiens semi-dirigés, tenter de répondre à cette question a permis la mise en évidence d'archétypes foncièrement marqués malgré une distance géographique évidente. Fort des rémanences révélées entre les deux cas d'étude, une limite s'est établie au carrefour de l'histoire législative respective des deux univers cynégétiques mis en parallèle.
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Réaction des micromammifères et des oiseaux à différentes intensités de coupe en forêt boréale irrégulière

Le Blanc, Mélanie-Louise 16 April 2018 (has links)
L'objectif de cette étude était d'évaluer la réaction des micromammifères et des oiseaux à quatre traitements sylvicoles différant dans leur intensité de récolte de bois dans la forêt boréale irrégulière, soit deux coupes de jardinage (60 et 73 % de rétention d' arbres), une coupe avec protection des petites tiges marchandes (CPPTM, 17-23 % de rétention d' arbres) et une coupe avec protection de la régénération et des sols (CPRS, <10 % de rétention d' arbres). Les communautés de micromammifères et d' oiseaux retrouvées dans les CPRS et les CPPTM étaient composées majoritairement d' espèces de milieux ouverts. Au contraire, les deux coupes de jardinage ont pu maintenir la plupart des espèces associées aux vieilles forêts, de sorte que les communautés retrouvées dans les peuplements ainsi traités -ressemblaient aux communautés animales des peuplements non coupés. Les coupes de jardinage représentent donc une avenue prometteuse pour maintenir, au moins à court terme, les communautés fauniques associées aux peuplements mûrs et surannés de la forêt boréale irrégulière.

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