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Opinions, croyances et connaissances des diététistes et des médecins généralistes du Québec sur les aliments fonctionnels et les nutraceutiques /

Marsolais, Jean-François. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2009. / Bibliogr.: f. [140]-157. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Modélisation de la construction identitaire professionnelle de jeunes médecins généralistes diplômés de l'Université fédérale du Pernambouco, au Brésil

Franco de Sà, Ronice Maria Pereira. January 2005 (has links)
Thèses (Ph.D.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2005. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Opinions, croyances et connaissances des diététistes et des médecins généralistes du Québec sur les aliments fonctionnels et les nutraceutiques

Marsolais, Jean-François 16 April 2018 (has links)
Cette enquête postale a permis d'explorer les opinions, les croyances et les connaissances des diététistes et des médecins généralistes du Québec sur les aliments fonctionnels et les nutraceutiques (AFN). Quatre cent cinquante-neuf diététistes et 275 médecins ont répondu à notre questionnaire. L'enquête démontre que les diététistes et les médecins ont une attitude positive envers les AFN mais que des différences existent entre les deux corps professionnels. Les diététistes sont davantage intéressées, ont une opinion plus positive et de meilleures connaissances des AFN que les médecins. Les diététistes recommandent plus souvent des aliments fonctionnels que les médecins mais ceux-ci recommandent légèrement plus souvent des nutraceutiques. Pour les diététistes et les médecins, le fait de recommander ou non des AFN à leurs patients est influencé par leur intention d'en recommander et leur perception de contrôle sur ce comportement. La majorité des répondants avait recommandé des AFN à leurs patients dans l'année précédant l'enquête.
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Évaluation de l'intention des médecins de famille enseignants et des résidents en médecine familiale de prescrire et d'interpréter la spirométrie : une étude descriptive transversale

Desjardins, Audrey 27 February 2019 (has links)
Résumé Problématique. La spirométrie permet d’objectiver l'obstruction des voies aériennes, mais reste sous-utilisée en soins primaires. Objectifs. Nous avons évalué, chez des médecins de famille enseignants et des résidents en médecine familiale, leur intention de prescrire la spirométrie chez des patients chez qui ils suspectent une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) et celle d’en interpréter le résultat. Cette évaluation est fondée sur le cadre théorique proposé par Godin et al. pour l'étude des facteurs influençant le comportement des professionnels de la santé. Méthodes. Les participants à cette étude descriptive transversale ont été recrutés dans huit Unités de médecine familiale (UMFs) du réseau de l’Université Laval. Ils ont rempli un questionnaire autoadministré de 23 items mesurant leur intention de prescrire et d’interpréter les tests de spirométrie ainsi que certains déterminants de cette intention (croyances en ses capacités, croyances concernant les conséquences, influence sociale et norme morale). Les réponses à chacun des items du questionnaire ont été notées sur une échelle de Likert (score de 1 à 7) où un score plus élevé indiquait un plus grand accord avec l’énoncé. Résultats. Parmi les 284 médecins éligibles, 104 ont été inclus. Le score moyen ± écart type de l'intention des médecins de prescrire la spirométrie (6,6 ± 0,7) était plus élevé que celui d’en interpréter les résultats (5,8 ± 1,5). Les scores moyens de tous les déterminants de l’intention mesurés étaient également plus élevés pour la prescription que pour l’interprétation de la spirométrie. Conclusion. Les résultats suggèrent que les participants ont une très forte intention de prescrire la spirométrie. Même si l’intention d’en interpréter les résultats est positive, elle est plus faible que celle de prescrire le test. Des études supplémentaires seront nécessaires pour évaluer les barrières à l’interprétation des résultats de la spirométrie. / Background: Spirometry is the best test to demonstrate airway obstruction, but remains underused in primary care. Objectives: We assessed, among family medicine physician teachers and residents, their intention to prescribe spirometry in patients suspected of chronic obstructive pulmonary disease (COPD) and their intention to interpret spirometry results. This evaluation is based on the theoretical framework proposed by Godin et al. for the study of factors influencing healthcare professionals’ behaviors. Methods. Participants of this descriptive cross-sectional study were recruited in eight Family medicine units (FMUs) of Laval University’s net. They completed a 23-item self-administered questionnaire measuring their intention to prescribe and to interpret spirometry as well as some determinants of this intention (beliefs about capabilities, beliefs about consequences, social influence and moral norm). Answers to each of the items in the questionnaire were scored on a Likert scale (score 1 to 7) where a higher score indicated a greater agreement with the statement. Results. Of the 284 eligible physicians, 104 were included. The mean score ± standard deviation of physicians' intention to prescribe spirometry (6.6 ± 0.7) was higher than to interpret the results (5.8 ± 1.5). Mean scores for all determinants of intention measured were also higher for prescription than for interpretation of spirometry. Conclusion. The results suggest that participants have a very strong intention to prescribe spirometry. Although the intention to interpret the results is positive, it is weaker than for the prescription of the test. Further studies will be needed to assess the barriers of spirometry interpretation.
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Intégration et bureaucratie professionnelle : le cas de la psychiatrie à l'hôpital psychiatrique et à l'hôpital général

Wallot, Hubert, Wallot, Hubert 29 March 2024 (has links)
« La présente recherche se veut une recherche exploratoire dont le but est de mieux comprendre les processus d'intégration au sein de certains groupements de professionnels travaillant dans divers types d'organisations bureaucratiques professionnelles, décrites plus loin sous l'appellation "organisations bureaucratiques professionnelles à réseau". Dans ces dernières, on retrouve divers types de professionnels qui seront appelés plus loin "professionnels de pratiques similaires", "professionnels de pratiques connexes" et "professionnels de pratiques différentes". L'objectif de la recherche est poursuivi au moyen d'une comparaison, sous l'angle de la collaboration entre professionnels, de deux situations de groupement d'un ensemble d'activités professionnelles (la psychiatrie). Pour diverses raisons historiques, les services psychiatriques offrent en effet l'avantage de la coexistence de deux modes de rattachement au réseau des services de santé, en somme d'une quasi "expérience naturelle". »--Pages 3-4
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Le rôle du médecin de famille dans le suivi de patients atteints de cancer du poumon

Aubin, Michèle 17 April 2018 (has links)
Cette étude longitudinale documente l'implication du médecin de famille dans le suivi des personnes atteintes de cancer du poumon à différentes phases de leur maladie et compare les attentes des patients, des oncologues et des médecins de famille face au rôle que devraient tenir ces derniers dans le suivi. Elle explore également l'influence du niveau d'implication du médecin de famille sur l'adaptation des patients à leur maladie. Un total de 395 patients ont été suivis aux 3 à 6 mois selon la présence ou non de métastases, pendant un maximum de 18 mois. Les médecins de famille (n=232) de ces patients et leurs oncologues (n=45) ont aussi participé à l'étude. Une proportion de 92% des patients avaient un médecin de famille mais seulement 60% avaient été référés en spécialité par celui-ci ou un collègue pour le diagnostic du cancer. Le suivi offert par le médecin de famille était le plus souvent de type parallèle, sauf en phase avancée. La fréquence de suivi conjoint effectué par le médecin de famille et l'équipe spécialisée a augmenté avec la progression du cancer. Les différents acteurs ont des attentes divergentes quant au rôle du médecin de famille dans la coordination des soins et la transmission d'informations reliées au cancer. En phase avancée, les spécialistes accordent un rôle prédominant au médecin de famille dans tous les aspects du suivi, alors que ces derniers se perçoivent impliqués à toutes les phases du cancer. La majorité des participants reconnaissent un rôle au médecin de famille dans le soutien émotionnel des patients. L'implication du médecin de famille semble influencer positivement la détresse et la qualité de vie des patients. En phase avancée, les patients sans médecin de famille seraient plus en détresse et auraient une moins bonne qualité de vie. L'implication actuelle du médecin de famille semble modeste, en particulier pendant la phase de traitement des patients. Des stratégies visant à assurer la communication et la collaboration interprofessionnelle doivent être mises en place afin de maintenir le lien entre le médecin de famille et son patient à toutes les phases de la maladie. / This longitudinal study reports family physician involvement in the follow-up of lung cancer patients at different phases of their disease and it compares patient, family physician and specialist expectations regarding the role of family physician in cancer care. This research also explores the association between family physician involvement and cancer patient adjustment to their disease. A total of 395 patients were followed every 3 to 6 months whether they had metastases or not, for a maximum of 18 months. Family physicians (n=232) involved in these patients' care and their oncologists (n=45) have also participated to the study. A proportion of 92% of patients had a regular family physician, but only 60% had been referred to a specialist by him/her or a colleague for the diagnosis of their lung cancer. Patients perceived that parallel care was the most frequent pattern of care adopted by their family physician at all phases of cancer, except at the advanced/terminal phase where they identified shared care more often. Patients, family physicians and oncologists have divergent expectations regarding family physician involvement in coordination of care and information transmission. At the advanced/terminal phase, oncologists expect a major role of family physicians in all aspects of care, but these health professionals expect to be involved at all phases of cancer. The majority of patients and physicians recognize a role for family physicians in emotional support. Family physician involvement seems to positively influence patient distress and quality of life. At the advanced/terminal phase, patients without a regular family physician report higher levels of distress and a lower quality of life. The actual family physician involvement in cancer care appears modest, particularly at the treatment phase. Strategies to ensure communication and interprofessional collaboration should be developed to keep family physicians in the loop at all phases of cancer.
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Étude sur les perspectives des omnipraticiens du Québec quant à leur rôle-conseil concernant l'utilisation des médecines alternatives et complémentaires (MAC)

O'Connor, Daniel January 2008 (has links)
Les médecines alternatives et complémentaires (MAC) sont de plus en plus populaires en Occident et au Canada. Certaines MAC reposent sur des données probantes, mais bien des MAC se prêtent mal aux exigences de la démarche scientifique et demeurent des traitements non reconnus, parfois même néfastes ou pratiquées par des charlatans. Or, les usagers ont recours à ces formes de traitement sans nécessairement posséder les connaissances requises pour faire un choix éclairé et sécuritaire. Il faudrait donc, pour contribuer à assurer leur sécurité, voir à ce qu'ils soient suffisamment informés pour faire un choix éclairé.Les omnipraticiens, en raison de leur formation et importance dans la prestation des soins de santé, semblent bien placés pour remplir ce rôle (prévu par leurs obligations déontologiques) et aider les usagers à choisir judicieusement leurs traitements. Cependant, plusieurs auteurs ont relevé l'embarras des médecins à discuter des MAC avec leurs patients ou à les conseiller à ce sujet, ainsi que les besoins des médecins en matière de formation sur les MAC. Cela nous a amené à nous demander si les omnipraticiens se sentent en mesure de conseiller leurs patients sur l'utilisation des MAC. Pour atteindre notre objectif, nous avons effectué une recherche exploratoire descriptive avec méthodologie quantitative (enquête). Nous avons fait parvenir un questionnaire d'auto-perception à un échantillon aléatoire représentatif de 1000 omnipraticiens, constitué à partir d'une liste générée par un programme en lien avec la base de données du Collège des médecins du Québec et fournie par le Centre de formation continue de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke, avec l'autorisation de son directeur. Nous avons fait trois envois : le questionnaire avec texte d'introduction à l'étude, une carte de rappel deux semaines plus tard et de nouveau le questionnaire deux semaines après l'envoi de la carte de rappel. Le texte d'introduction à l'étude précisait que la participation était anonyme et que le fait de compléter le questionnaire serait interprété comme un consentement à l'étude.Les analyses statistiques ont été faites à l'aide du logiciel SPSS, version 17.0. Nous avons obtenu un taux de réponse de 19,5 %. Nous avons constaté que 47,3 % des omnipraticiens interrogés considéraient qu'ils n'étaient généralement pas en mesure de conseiller leurs patients sur l'utilisation des MAC et que 50,3 % des répondants ne se sentaient pas à l'aise de répondre aux questions de leurs patients sur une MAC spécifique. De plus, moins du quart des omnipraticiens sondés (23,6 %) ont confirmé savoir où trouver des données probantes sur l'efficacité ou l'innocuité de MAC spécifiques. L'embarras que semblaient éprouver les répondants quant à leur rôle-conseil concernant l'utilisation des MAC et leur connaissance limitée des sources de données probantes pour ces approches font clairement ressortir d'importants besoins en matière de formation. C'est pourquoi nous croyons qu'une intensification des efforts de formation relatifs aux obligations déontologiques des médecins (pour les aider à définir leur rôle-conseil concernant l'utilisation des MAC) et aux sources de données probantes sur les MAC (pour appuyer leur jugement clinique) pourrait aider les omnipraticiens du Québec à se sentir plus à l'aise dans leur rôle auprès des patients qui envisagent ou choisissent d'utiliser une MAC, afin, espérons-nous, de favoriser la communication avec ces patients à ce sujet et contribuer à assurer leur sécurité en réduisant le risque d'effets secondaires et d'interactions nocives.
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Facteurs influençant la participation des médecins à un programme de développement professionnel continu en prise de décision partagée

Allaire, Anne-Sophie 18 April 2018 (has links)
Cette étude a évalué les facteurs influençant la participation des médecins de famille à un programme de développement professionnel continu (DPC) en prise de décision partagée (PDP). Cinq groupes de médecine de famille ayant participé à une étude pilote en 2007 furent contactés en 2010 pour participer à un groupe de discussion et compléter un questionnaire. Divers documents provenant du projet pilote et des groupes de discussion ont permis d'identifier les facteurs influençant la participation des médecins à un programme de DPC en PDP tels que le lieu de la formation, le plaisir à l'apprentissage, l'amélioration de la pratique professionnelle et l'interactivité des cours. L'intention de participer à un programme de DPC est forte (2.57 ± 0.48 sur -3 à +3). Cette étude suggère que les producteurs de DPC en PDP pourraient faire la promotion de ces programmes auprès des médecins en soulignant que ceux-ci sont amusants, ont un impact favorable sur la pratique et qu'ils comprennent un mode actif d'apprentissage tout en étant offerts avec une grande flexibilité sur le plan des horaires et du lieu géographique.
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Travailler avec un interprète : représentations sociales de médecins de famille

Laforest, Karine 19 April 2018 (has links)
Cette étude vise à explorer les représentations sociales des médecins au sujet du travail avec un interprète. Des entrevues ont été conduites avec des médecins expérimentés (n=17), des résidents (n=15) et des étudiants (n=8) et des vignettes vidéo leur ont été présentées. Les données ont fait l'objet d'une analyse métaphorique et thématique afin d'en dégager les représentations sociales et de les comparer entre les catégories. Il semble que la perception des médecins du travail avec un interprète est une vision objectivante de l'interprète qu'ils voient comme neutre et détaché. Alors qu'il se dégage des ressemblances dans leur discours, leur perception semble se cristalliser au fil de leur cheminement autour d'un rapport de force où ils ont l'impression de perdre leur pouvoir. Les médecins pourraient bénéficier d'améliorer par le biais d'une formation leur capacité à travailler avec un interprète, ce qui risquerait d'améliorer la qualité des soins prodigués.
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Impact de l'expérience professionnelle sur la productivité des médecins omnipraticiens au Québec

Soule, Ichola 23 April 2018 (has links)
La population québécoise est vieillissante. Ce vieillissement entraîne plusieurs conséquences, dont la hausse croissante des dépenses en matière de santé. De plus, les évolutions récentes dans la profession médicale au Québec sont caractérisées par une féminisation croissante. Ces indicateurs appellent à des réformes pour améliorer l’efficacité des services de santé. L’étude de la productivité des omnipraticiens à travers leur carrière permet de contribuer à éclairer les politiques sur des réformes appropriées à mener. Nous disposons d’une base de données de panel, combinant un sondage et des données administratives. L’estimation par maximum de vraisemblance montre que la productivité des omnipraticiens est fonction de leurs expériences, évolue approximativement selon une courbe en cloche avec un plateau entre les tranches d’âge de 35 à 65 ans. Les hommes sont en moyenne plus productifs que les femmes avec un écart de productivité de 15% à 49%. Mots clés : productivité, expérience professionnelle, médecins omnipraticiens. / Quebec's population is aging. This aging causes many consequences such as growing rise in health spending. In addition, recent developments in the medical profession in Quebec are characterized by increasing feminization. These indicators are calling for reforms to improve the efficiency of health services. The study on general practitioners’ productivity through their careers can help inform policy on appropriate reforms. We have a panel data combining survey and administrative data on Quebec practitioner physicians. The maximum likelihood estimation shows that general practitioners’ productivity is based on their experiences, evolves approximately as a bell curve with a plateau between the slice’s ages of 35 and 65. Men are on average more productive than women with a difference ranging from 15 to 49%. Keywords: productivity, work experience, general practitioners.

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