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Modélisation biomécanique du visage : étude du contrôle des gestes orofaciaux en production de la parole / Biomechanical face modelling : Control of orofacial gestures for speech productionNazari, Mohammad 30 September 2011 (has links)
Un modèle tridimensionnel du visage a été élaboré, dans la perspective de contribuer à l'étude de questions importantes sur le contrôle moteur de la production de la parole. Ce modèle est construit sur un maillage constitué d'éléments hexahédraux et de clavettes, qui comporte 3 couches distinctes et est symétrique par rapport au plan medio-sagittal. Les muscles faciaux sont représentés dans le maillage par un sous-ensemble d'éléments contigus. Les propriétés élastiques des éléments du maillage sont décrites par une loi de comportement de type isotrope quasi incompressible et hyperélastique. Dans une première phase de ce travail, pour étudier les conséquences globales de l'activation des muscles oro-faciaux sur les mimiques faciales et les gestes labiaux, et plus particulièrement sur les gestes labiaux en parole, un modèle linéaire de muscle a été élaboré. L'influence des variations de la raideur des tissus mous sur les gestes faciaux a été étudiée. En effet, l'activation des muscles entraîne un raidissement des tissus mous musculaires concernés. Cet effet est pris en compte dans le modèle de muscle par un changement de la loi de comportement hyperélastique avec l'activation musculaire. Une attention particulière a été portée dans cette étude à la production du geste de protrusion/arrondissement des lèvres qui est un geste fondamental dans la production des voyelles arrondies, en particulier en Français. Nous montrons que le raidissement des tissus mous musculaires facilite la production précise de ce geste grâce à l'existence d'un effet de saturation dans la relation entre les activations musculaires et les paramètres géométriques des lèvres qui sont pertinents acoustiquement. Ce résultat souligne l'importance des propriétés dynamiques des articulateurs dans la production des gestes de la parole, et il nous a incités à améliorer encore la modélisation de la source principale de force en production de la parole, c'est-à-dire les muscles. C'est pourquoi, un modèle de muscles plus réaliste a été élaboré qui se fonde sur une loi de comportement transversalement isotrope quasi incompressible et hyperélastique et sur un modèle de muscle de type Hill. Ce modèle a été implémenté dans le logiciel éléments finis ANSYS® grâce à sa fonction de programmation USERMAT. La prise en compte supplémentaire d'une loi caractéristique force-vitesse a permis la modélisation complète d'un modèle de muscle de type Hill. Ceci a été fait sous ANSYS® grâce à sa fonction de programmation USERELEM. Cette loi caractéristique force-vitesse introduit un effet d'amortissement dans le mouvement du muscle du fait d'une atténuation croissante de la force musculaire lorsque la vitesse de compression du muscle augmente. Ce nouvel élément de type muscle a été conçu de manière telle qu'il est possible d'implémenter d'autres modèles de muscles que le modèle de type Hill. C'est pourquoi nous avons aussi implémenté le modèle de Feldman, qui a été utilisé de manière importante à Gipsa-lab dans les dernières années. L'intégration du modèle de Feldman dans une structure à éléments finis a nécessité une reformulation de façon à le rendre compatible avec une modélisation distribuée. Les modèles de Hill et de Feldman ont ensuite été incorporés dans le modèle de visage pour remplacer le modèle linéaire initial. Dans ces conditions les premières simulations du geste de protrusion/arrondissement labial ont donné des résultats réalistes. Finalement une comparaison des résultats obtenus avec le modèle de Hill avec ceux qui génère le modèle de Feldman montrent que les formes labiales finales sont très similaires pour les deux modèles. / Un modèle tridimensionnel du visage a été élaboré, dans la perspective de contribuer à l'étude de questions importantes sur le contrôle moteur de la production de la parole. Ce modèle est construit sur un maillage constitué d'éléments hexahédraux et de clavettes, qui comporte 3 couches distinctes et est symétrique par rapport au plan medio-sagittal. Les muscles faciaux sont représentés dans le maillage par un sous-ensemble d'éléments contigus. Les propriétés élastiques des éléments du maillage sont décrites par une loi de comportement de type isotrope quasi incompressible et hyperélastique. Dans une première phase de ce travail, pour étudier les conséquences globales de l'activation des muscles oro-faciaux sur les mimiques faciales et les gestes labiaux, et plus particulièrement sur les gestes labiaux en parole, un modèle linéaire de muscle a été élaboré. L'influence des variations de la raideur des tissus mous sur les gestes faciaux a été étudiée. En effet, l'activation des muscles entraîne un raidissement des tissus mous musculaires concernés. Cet effet est pris en compte dans le modèle de muscle par un changement de la loi de comportement hyperélastique avec l'activation musculaire. Une attention particulière a été portée dans cette étude à la production du geste de protrusion/arrondissement des lèvres qui est un geste fondamental dans la production des voyelles arrondies, en particulier en Français. Nous montrons que le raidissement des tissus mous musculaires facilite la production précise de ce geste grâce à l'existence d'un effet de saturation dans la relation entre les activations musculaires et les paramètres géométriques des lèvres qui sont pertinents acoustiquement. Ce résultat souligne l'importance des propriétés dynamiques des articulateurs dans la production des gestes de la parole, et il nous a incités à améliorer encore la modélisation de la source principale de force en production de la parole, c'est-à-dire les muscles. C'est pourquoi, un modèle de muscles plus réaliste a été élaboré qui se fonde sur une loi de comportement transversalement isotrope quasi incompressible et hyperélastique et sur un modèle de muscle de type Hill. Ce modèle a été implémenté dans le logiciel éléments finis ANSYS® grâce à sa fonction de programmation USERMAT. La prise en compte supplémentaire d'une loi caractéristique force-vitesse a permis la modélisation complète d'un modèle de muscle de type Hill. Ceci a été fait sous ANSYS® grâce à sa fonction de programmation USERELEM. Cette loi caractéristique force-vitesse introduit un effet d'amortissement dans le mouvement du muscle du fait d'une atténuation croissante de la force musculaire lorsque la vitesse de compression du muscle augmente. Ce nouvel élément de type muscle a été conçu de manière telle qu'il est possible d'implémenter d'autres modèles de muscles que le modèle de type Hill. C'est pourquoi nous avons aussi implémenté le modèle de Feldman, qui a été utilisé de manière importante à Gipsa-lab dans les dernières années. L'intégration du modèle de Feldman dans une structure à éléments finis a nécessité une reformulation de façon à le rendre compatible avec une modélisation distribuée. Les modèles de Hill et de Feldman ont ensuite été incorporés dans le modèle de visage pour remplacer le modèle linéaire initial. Dans ces conditions les premières simulations du geste de protrusion/arrondissement labial ont donné des résultats réalistes. Finalement une comparaison des résultats obtenus avec le modèle de Hill avec ceux qui génère le modèle de Feldman montrent que les formes labiales finales sont très similaires pour les deux modèles.
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Temporomandibular disorders : incidence, course, and risk factors / Käkfunktionsstörning : förlopp och riskfaktorerMarklund, Susanna January 2009 (has links)
Temporomandibular disorders (TMD) embrace pain and dysfunction in the temporomandibular joint (TMJ) and jaw muscles. TMD is a prevalent condition in the population and constitutes a significant health problem. Knowledge of factors influencing the onset and course of TMD is important in preventive care and development of treatment strategies as well as in clinical decision making. The aim of this thesis was to gain knowledge of whether variations in dental occlusion, bruxism, spinal pain and gender predicted the development and course of TMD. The study population comprised 371 undergraduate dental students. A questionnaire was used to obtain case histories. Clinical examination included the function of the TMJ, jaw muscles, maximal jaw mobility, the morphological occlusion, and contact patterns in centric and eccentric positions. The examinations were performed at start, and after 12 and 24 months. In total, 280 subjects were examined at all three occasions. The incidence of TMJ pain and dysfunction was high among both males and females. The course composed onset, recovery and maintenance resulting in a fluctuating pattern. Females were more likely to have persistent TMJ pain and dysfunction than males. The incidence and persistence of jaw muscle signs and symptoms was high and significantly more common in females. A similar fluctuating pattern as for TMJ pain and dysfunction was found. Crossbite predicted onset and persistence of TMJ pain and dysfunction; mandibular instability in centric positions predicted persistent TMJ pain and dysfunction, as well as persistent jaw muscle signs or symptoms. Reported bruxism increased the risk for TMJ pain and dysfunction but did not significantly affect the course of jaw muscle signs and symptoms. Spinal pain at baseline predicted the onset of jaw pain, headaches, and TMD pain. Signs of TMD at baseline predicted the onset of non-pain symptoms of TMD, jaw pain, headaches, and spinal pain. In conclusion, the results in this thesis show high incidence rates for TMD, headaches, and spinal pain among dental students. Crossbite, mandibular instability, reported bruxism, as well as female gender were identified as contributing risk factors. Spinal pain and TMD mutually predicted each other, indicating common pathophysiological mechanisms and individual vulnerability. The findings support a multidisciplinary approach, and it is recommended that the status and function of the jaw system be considered in patients with spinal pain.
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Estudo sobre a validade diagnóstica e prognóstica dos critérios de diagnóstico para pesquisa das desordens temporomandibulares (RDC/TMD)Walber, Luiz Fernando January 2008 (has links)
O primeiro objetivo deste estudo foi determinar, no nosso meio, a validade dos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares RDC/TMD como fator de diagnóstico em pacientes com desordens temporomandibulares. Sessenta e nove pacientes com DTM e 70 pessoas do grupo-controle, todas do gênero feminino, foram submetidas aos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares (RDC/TMD) e comparados em um estudo caso-controle. O segundo objetivo foi o de verificar a validade prognóstica do RDC/TMD através de um estudo longitudinal tipo resultado de tratamento. As pacientes com DTM foram submetidas a tratamento por meio de dispositivos - placas de mordida e/ou ajuste oclusal, etc., da maneira que o clínico responsável julgou necessário, o qual foi “cego” a todos os resultados do RDC/TMD. Estas pacientes foram chamadas seis meses após o tratamento realizado para a reavaliação da intensidade de dor orofacial. O critério de melhora clínica para que as pacientes com DTM pudessem ser incluídas no grupo de respondentes ao tratamento (rDTM), foi uma redução de 30% na intensidade da dor sobre a avaliação de dor em repouso no início do tratamento, utilizando-se escalas visuais análogas (VAS). Os resultados foram comparados com a auto-avaliação da paciente (melhor/igual/pior) para determinar o grau de confiabilidade dos resultados. As pacientes que melhoraram foram incluídas no Grupo 1a (rDTM). Aquelas que não melhoraram fizeram parte do Grupo 1b (nrDTM) e os assintomáticos foram incluídos no Grupo 2. A base de dados e a análise estatística foram realizadas no programa SPSS versão 11.5 para Windows®. As variáveis foram ambas categóricas/recodificadas e contínuas; portanto, tanto testes não-paramétricos (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) quanto paramétricos (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) foram empregados. Os resultados comparativos entre pacientes com DTM e controle mostraram que 57,1 % das pacientes do grupo-teste foram diagnosticadas com desordem miofascial. O deslocamento de disco com redução ocorreu em 24,3 % das articulações do lado esquerdo e em 18,6 % das articulações no lado direito. O diagnóstico de artralgia foi estabelecido em 61,4% nas articulações do lado esquerdo e em 62,9 % nas articulações do direito. O grau de dor crônica foi de média intensidade para 60,9 %, a incapacidade por dor crônica foi em média de 66,9 para o grupoteste e de 0,01 para o grupo-controle. A incapacidade foi moderada para 20 % do grupo-teste. A depressão média foi de 1,02 no grupo-teste e de 0,56 no grupo-controle. A depressão foi moderada para 40 % das pacientes do grupo-teste e para 22,9 % no grupo-controle. A somatização com dor foi em média de 1,25 no grupo-teste e de 0,44% no grupo-controle. Ela foi moderada para 30 % das pacientes do grupo-teste e 27,5 % no grupo-controle. A somatização sem dor foi em média de 1,12 no grupo-teste e de 0,35 no grupo-controle. A somatização moderada ocorreu em 25,7 % das pacientes do grupo-teste e em 24,3 % no grupo-controle. Os resultados apresentaram diferenças estatísticamente significativas entre os grupos teste e controle. Ao comparar as pacientes respondentes e não respondentes ao tratamento da DTM não foram evidenciadas diferenças estatísticamente significantes para qualquer um dos ítens estudados. Portanto, concluiu-se que a validade de diagnóstico foi positiva, mas a validade prognostica foi negativa. / The primary objective of this study was to determine, in our cultural background, the validity of the RDC/TMD (Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders) as a diagnostic tool for patients with temporomandibular disorders. Sixty nine patients with TMD and 70 subjects from the control group, all females, underwent the RDC/TMD and were compared in a case-control study. The second objective was to verify the prognostic validity of the RDC/TMD in a longitudinal treatment outcome study. Patients with TMD underwent conservative treatments (bite-splints and occlusal adjustment, etc.) according to the treating clinician, who was blind to all RDC/TMD results. These patients were recalled after six months for a re-evaluation of orofacial pain intensity. The improvement criteria for patients to be included in the responding group (rTMD) was a 30% reduction in pain intensity at rest as compared to baseline using Visual Analogue Scales (VAS). The results were also compared to a patient’s self-assessment scale (better/same/worse) to determine the degree of reliability. Patients who improved were included in Group I (rTMD). Those who did not improve (nonresponding TMD) were part of Group II (nrTMD). Asymptomatic controls were included in Group III. The database and statistical analyses were made in the SPSS version 11.5 for Windows. The variables were both categorical/recoded as well as continuous; therefore, both parametric (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) and non-parametric (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) tests were used. The results comparing TMD patients versus controls have shown that 57.1 % of patients in the test group were diagnosed with miofascial pain. Disk intereference with reduction was observed in 24.3 % of temporomandibular joints on the left side and in 18.6 % of those on the right side. The diagnosis of arthralgia was identified in 61.4% of joints on the left side as well as in 62,9 % of those on the right side. The Chronic Pain Grade was of mild intensity for 60.9% of patients, and the Chronic Pain Intensity was 66.9 on average for the test group and 0.01 for controls. The Disability Points was moderate for 20% of the test group. The average depression score was 1.02 in the test group and 0.56 in the control one. Depression was moderate for 40% of patients as well as for 22.9% in controls. Somatization with pain was 1.25 on average for TMD patients and 0.44 in controls. Moderate somatization with pain was found in 30% of TMD patients and 27.5% in controls. Somatization without pain was 1.12 on average for the test group and 0.35 in the control group. Moderate somatization without pain was observed in 25.7 % in patients and 24.3 % in controls. The results have shown statistically significant difference between TMD patients and controls. However, when we compare responding versus non-responding TMD patients, no significant difference was observed for any of the items studied. Therefore, it is concluded that the diagnostic validity was positive, but not the prognostic one.
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Avaliação das habilidades de praxia não verbal e verbal em pacientes com diagnóstico de Doença de ParkinsonPresotto, Monia January 2014 (has links)
Introdução: A articulação da fala é um dos aspectos fonoaudiológicos mais comprometidos na doença de Parkinson (DP). Pacientes com DP apresentam risco de manifestar apraxia não verbal e verbal. A apraxia não verbal ocorre quando há um déficit na habilidade de sequencialização dos movimentos voluntários não verbais da língua, lábios, mandíbula e outras estruturas orofaciais associadas, e a apraxia verbal é definida como um déficit na habilidade de sequencializar os controles motores necessários para o posicionamento correto dos articuladores durante a produção voluntária da fala. A prevalência com que apraxia da fala ocorre na DP não está bem estabelecida, sendo um distúrbio pouco explorado nesses pacientes. É um estudo inédito, até onde temos conhecimento, quanto à identificação dos erros práxicos verbais na DP. Objetivo: avaliar a prevalência da praxia não verbal e verbal em pacientes com doença de Parkinson, correlacionandoas com idade, escolaridade, tempo de doença e estadiamento da DP (Hoehn e Yahr), assim como correlacionar a apraxia não verbal com a apraxia verbal e identificar os erros práxicos verbais. Método: Estudo quantitativo, observacional, descritivo e de prevalência. Foram avaliados 45 pacientes acometidos pela DP, que realizaram seguimento clínico no ambulatório de Distúrbios do Movimento do Hospital de Clínicas de Porto Alegre, Brasil, através da aplicação do Protocolo de Avaliação da Apraxia da Fala, e o estadiamento da DP foi controlado através da escala de Hoehn e Yahr (H&Y). Resultados: A prevalência de apraxia não verbal e verbal nos pacientes com DP foi de 24,4%. Não houve significância entre apraxia não verbal com idade, escolaridade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. A correlação entre apraxia verbal e escolaridade foi significante (p≤0,05), mas não houve significância com idade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. Os tipos de erros práxicos verbais mais frequentes foram as omissões (70,8%). Quanto ao ponto e modo articulatório os fonemas mais alterados foram os dentoalveolares (92%) e os vibrantes (57,7%), consecutivamente. Conclusão: Os pacientes com DP apresentaram apraxia não verbal e verbal com manifestação de muitos erros práxicos verbais, estando a apraxia verbal correlacionada com a escolaridade. / Introduction: The speech articulation is one of the aspects most impaired in Parkinson's disease (PD). Patients PD present risk of expressing nonverbal and verbal apraxia. The nonverbal apraxia occurs when there is a deficit in the sequencing ability of nonverbal voluntary movements of the tongue, lips, jaw and other associated orofacial structures, while the verbal apraxia is defined as a deficit in the ability of sequencing the necessary motor controls in order to place the articulators correctly during the voluntary speech production. The predominance with which apraxia of speech occurs in PD is not well established and rarely explored in these patients. As far as we know, it is an unprecedented study regarding the identification of verbal praxic errors in PD. Objective: To assess the prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with Parkinson's disease, correlating them with age, education, duration of disease and PD stage (Hoehn e Yahr), as well as to correlate nonverbal with verbal apraxia and identify the verbal praxic errors. Method: Quantitative, observational, descriptive and prevalence study. Forty-five patients with PD were evaluated. They were submitted to the clinical follow-up in the Movement Disorders Clinic of the Cinical Hospital of Porto Alegre, Brazil, through the application of the Speech Apraxia Assessment Protocol. Additionally, the PD stage was controlled through the Hoehn and Yahr scale (H&Y). Results: The prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with PD was 24.4%. There was no significance between the nonverbal apraxia with age, education, duration of disease, PD stage (H&Y), and genre. The correlation between verbal apraxia and education was significant (p ≤ 0.05), but there was no significance with age, duration of disease, PD stage (H&Y) and genre. Omissions were the most frequent kinds of verbal praxic errors with (70.8 percent). Regarding the place and mode of articulation, the most changed phonemes were the dentoalveolar (92%)and the vibrants (57.7%), consecutively. Conclusion: Patients with PD presented nonverbal and verbal apraxia with manifestation of many verbal praxic errors and verbal apraxia correlated with education levels.
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Estudo sobre a validade diagnóstica e prognóstica dos critérios de diagnóstico para pesquisa das desordens temporomandibulares (RDC/TMD)Walber, Luiz Fernando January 2008 (has links)
O primeiro objetivo deste estudo foi determinar, no nosso meio, a validade dos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares RDC/TMD como fator de diagnóstico em pacientes com desordens temporomandibulares. Sessenta e nove pacientes com DTM e 70 pessoas do grupo-controle, todas do gênero feminino, foram submetidas aos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares (RDC/TMD) e comparados em um estudo caso-controle. O segundo objetivo foi o de verificar a validade prognóstica do RDC/TMD através de um estudo longitudinal tipo resultado de tratamento. As pacientes com DTM foram submetidas a tratamento por meio de dispositivos - placas de mordida e/ou ajuste oclusal, etc., da maneira que o clínico responsável julgou necessário, o qual foi “cego” a todos os resultados do RDC/TMD. Estas pacientes foram chamadas seis meses após o tratamento realizado para a reavaliação da intensidade de dor orofacial. O critério de melhora clínica para que as pacientes com DTM pudessem ser incluídas no grupo de respondentes ao tratamento (rDTM), foi uma redução de 30% na intensidade da dor sobre a avaliação de dor em repouso no início do tratamento, utilizando-se escalas visuais análogas (VAS). Os resultados foram comparados com a auto-avaliação da paciente (melhor/igual/pior) para determinar o grau de confiabilidade dos resultados. As pacientes que melhoraram foram incluídas no Grupo 1a (rDTM). Aquelas que não melhoraram fizeram parte do Grupo 1b (nrDTM) e os assintomáticos foram incluídos no Grupo 2. A base de dados e a análise estatística foram realizadas no programa SPSS versão 11.5 para Windows®. As variáveis foram ambas categóricas/recodificadas e contínuas; portanto, tanto testes não-paramétricos (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) quanto paramétricos (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) foram empregados. Os resultados comparativos entre pacientes com DTM e controle mostraram que 57,1 % das pacientes do grupo-teste foram diagnosticadas com desordem miofascial. O deslocamento de disco com redução ocorreu em 24,3 % das articulações do lado esquerdo e em 18,6 % das articulações no lado direito. O diagnóstico de artralgia foi estabelecido em 61,4% nas articulações do lado esquerdo e em 62,9 % nas articulações do direito. O grau de dor crônica foi de média intensidade para 60,9 %, a incapacidade por dor crônica foi em média de 66,9 para o grupoteste e de 0,01 para o grupo-controle. A incapacidade foi moderada para 20 % do grupo-teste. A depressão média foi de 1,02 no grupo-teste e de 0,56 no grupo-controle. A depressão foi moderada para 40 % das pacientes do grupo-teste e para 22,9 % no grupo-controle. A somatização com dor foi em média de 1,25 no grupo-teste e de 0,44% no grupo-controle. Ela foi moderada para 30 % das pacientes do grupo-teste e 27,5 % no grupo-controle. A somatização sem dor foi em média de 1,12 no grupo-teste e de 0,35 no grupo-controle. A somatização moderada ocorreu em 25,7 % das pacientes do grupo-teste e em 24,3 % no grupo-controle. Os resultados apresentaram diferenças estatísticamente significativas entre os grupos teste e controle. Ao comparar as pacientes respondentes e não respondentes ao tratamento da DTM não foram evidenciadas diferenças estatísticamente significantes para qualquer um dos ítens estudados. Portanto, concluiu-se que a validade de diagnóstico foi positiva, mas a validade prognostica foi negativa. / The primary objective of this study was to determine, in our cultural background, the validity of the RDC/TMD (Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders) as a diagnostic tool for patients with temporomandibular disorders. Sixty nine patients with TMD and 70 subjects from the control group, all females, underwent the RDC/TMD and were compared in a case-control study. The second objective was to verify the prognostic validity of the RDC/TMD in a longitudinal treatment outcome study. Patients with TMD underwent conservative treatments (bite-splints and occlusal adjustment, etc.) according to the treating clinician, who was blind to all RDC/TMD results. These patients were recalled after six months for a re-evaluation of orofacial pain intensity. The improvement criteria for patients to be included in the responding group (rTMD) was a 30% reduction in pain intensity at rest as compared to baseline using Visual Analogue Scales (VAS). The results were also compared to a patient’s self-assessment scale (better/same/worse) to determine the degree of reliability. Patients who improved were included in Group I (rTMD). Those who did not improve (nonresponding TMD) were part of Group II (nrTMD). Asymptomatic controls were included in Group III. The database and statistical analyses were made in the SPSS version 11.5 for Windows. The variables were both categorical/recoded as well as continuous; therefore, both parametric (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) and non-parametric (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) tests were used. The results comparing TMD patients versus controls have shown that 57.1 % of patients in the test group were diagnosed with miofascial pain. Disk intereference with reduction was observed in 24.3 % of temporomandibular joints on the left side and in 18.6 % of those on the right side. The diagnosis of arthralgia was identified in 61.4% of joints on the left side as well as in 62,9 % of those on the right side. The Chronic Pain Grade was of mild intensity for 60.9% of patients, and the Chronic Pain Intensity was 66.9 on average for the test group and 0.01 for controls. The Disability Points was moderate for 20% of the test group. The average depression score was 1.02 in the test group and 0.56 in the control one. Depression was moderate for 40% of patients as well as for 22.9% in controls. Somatization with pain was 1.25 on average for TMD patients and 0.44 in controls. Moderate somatization with pain was found in 30% of TMD patients and 27.5% in controls. Somatization without pain was 1.12 on average for the test group and 0.35 in the control group. Moderate somatization without pain was observed in 25.7 % in patients and 24.3 % in controls. The results have shown statistically significant difference between TMD patients and controls. However, when we compare responding versus non-responding TMD patients, no significant difference was observed for any of the items studied. Therefore, it is concluded that the diagnostic validity was positive, but not the prognostic one.
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Avaliação das habilidades de praxia não verbal e verbal em pacientes com diagnóstico de Doença de ParkinsonPresotto, Monia January 2014 (has links)
Introdução: A articulação da fala é um dos aspectos fonoaudiológicos mais comprometidos na doença de Parkinson (DP). Pacientes com DP apresentam risco de manifestar apraxia não verbal e verbal. A apraxia não verbal ocorre quando há um déficit na habilidade de sequencialização dos movimentos voluntários não verbais da língua, lábios, mandíbula e outras estruturas orofaciais associadas, e a apraxia verbal é definida como um déficit na habilidade de sequencializar os controles motores necessários para o posicionamento correto dos articuladores durante a produção voluntária da fala. A prevalência com que apraxia da fala ocorre na DP não está bem estabelecida, sendo um distúrbio pouco explorado nesses pacientes. É um estudo inédito, até onde temos conhecimento, quanto à identificação dos erros práxicos verbais na DP. Objetivo: avaliar a prevalência da praxia não verbal e verbal em pacientes com doença de Parkinson, correlacionandoas com idade, escolaridade, tempo de doença e estadiamento da DP (Hoehn e Yahr), assim como correlacionar a apraxia não verbal com a apraxia verbal e identificar os erros práxicos verbais. Método: Estudo quantitativo, observacional, descritivo e de prevalência. Foram avaliados 45 pacientes acometidos pela DP, que realizaram seguimento clínico no ambulatório de Distúrbios do Movimento do Hospital de Clínicas de Porto Alegre, Brasil, através da aplicação do Protocolo de Avaliação da Apraxia da Fala, e o estadiamento da DP foi controlado através da escala de Hoehn e Yahr (H&Y). Resultados: A prevalência de apraxia não verbal e verbal nos pacientes com DP foi de 24,4%. Não houve significância entre apraxia não verbal com idade, escolaridade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. A correlação entre apraxia verbal e escolaridade foi significante (p≤0,05), mas não houve significância com idade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. Os tipos de erros práxicos verbais mais frequentes foram as omissões (70,8%). Quanto ao ponto e modo articulatório os fonemas mais alterados foram os dentoalveolares (92%) e os vibrantes (57,7%), consecutivamente. Conclusão: Os pacientes com DP apresentaram apraxia não verbal e verbal com manifestação de muitos erros práxicos verbais, estando a apraxia verbal correlacionada com a escolaridade. / Introduction: The speech articulation is one of the aspects most impaired in Parkinson's disease (PD). Patients PD present risk of expressing nonverbal and verbal apraxia. The nonverbal apraxia occurs when there is a deficit in the sequencing ability of nonverbal voluntary movements of the tongue, lips, jaw and other associated orofacial structures, while the verbal apraxia is defined as a deficit in the ability of sequencing the necessary motor controls in order to place the articulators correctly during the voluntary speech production. The predominance with which apraxia of speech occurs in PD is not well established and rarely explored in these patients. As far as we know, it is an unprecedented study regarding the identification of verbal praxic errors in PD. Objective: To assess the prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with Parkinson's disease, correlating them with age, education, duration of disease and PD stage (Hoehn e Yahr), as well as to correlate nonverbal with verbal apraxia and identify the verbal praxic errors. Method: Quantitative, observational, descriptive and prevalence study. Forty-five patients with PD were evaluated. They were submitted to the clinical follow-up in the Movement Disorders Clinic of the Cinical Hospital of Porto Alegre, Brazil, through the application of the Speech Apraxia Assessment Protocol. Additionally, the PD stage was controlled through the Hoehn and Yahr scale (H&Y). Results: The prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with PD was 24.4%. There was no significance between the nonverbal apraxia with age, education, duration of disease, PD stage (H&Y), and genre. The correlation between verbal apraxia and education was significant (p ≤ 0.05), but there was no significance with age, duration of disease, PD stage (H&Y) and genre. Omissions were the most frequent kinds of verbal praxic errors with (70.8 percent). Regarding the place and mode of articulation, the most changed phonemes were the dentoalveolar (92%)and the vibrants (57.7%), consecutively. Conclusion: Patients with PD presented nonverbal and verbal apraxia with manifestation of many verbal praxic errors and verbal apraxia correlated with education levels.
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Avaliação da amplitude dos movimentos mandibulares por um sistema de ultrassom 3D no pré e pós tratamento de indivíduos com disfunção temporomandibular / Amplitude of mandibular movements evaluation by 3D ultrasound system in pre and post treatment of subjects with temporomandibular disordersMateus Aparecido Anacleto 26 June 2015 (has links)
Disfunções Temporomandibulares e Dor Orofacial ou DTM, referem-se a um conjunto de alterações funcionais e/ou estruturais que se manifestam nas articulações temporomandibulares (ATMs), nos músculos da mastigação e nas estruturas associadas que compõem o aparelho mastigatório (Okeson, 2013). A DTM tem o potencial de não só interferir nas atividades funcionais do sistema estomatognático, mas também de afetar o comportamento social e psicológico do indivíduo. Este trabalho avaliou a amplitude dos movimentos mandibulares e a dor a palpação muscular no pré e pós-tratamento de participantes com DTM. Os participantes incluídos na pesquisa responderam ao Research Diagnostic for Temporomandibular Dysfunction (RDC/TMD) para viabilizar a formulação do diagnóstico de DTM e qualificar a dor a palpação dos músculos faciais, e submetidos à análise dos movimentos através de uma análise 3D, o JMA que avalia os movimentos mandibulares por vias ultrassônicas, no pré e póstratamento com placa estabilizadora por 30 e 60 dias. Os participantes foram reavaliados, com o objetivo de saber se haverá uma melhora na amplitude dos movimentos mandibulares pela abertura, lateralidades e protrusão e da movimentação condilar dentro da cavidade articular no plano sagital e frontal. Os resultados demonstraram não ter diferenças estatísticas na maior parte dos movimentos excursivos mandibulares (abertura, lateralidade e protrusão) avaliados tanto pelo sistema de ultrassom JMA quanto pelo exame do RDC/TMD. Na análise descritiva dos resultados obtidos através da palpação dos músculos na aplicação do RDC/TMD observamos uma grande melhora no quadro clinico de dor a palpação após 60 dias de uso da Placa Oclusal estabilizadora. Também não observamos diferenças estatisticamente significantes entre os dados coletados de amplitude dos movimentos pelo sistema informatizado JMA e pelo questionário RDC/TMD, ou seja, podemos afirmar que a avaliação pelo JMA é precisa e confiável. / Temporomandibular Disorders and Orofacial Pain or TMD, refer to a set of functional and / or structural changes that are manifested in the temporomandibular joints (TMJ) in the masticatory muscles and associated structures that make up the masticatory system (Okeson, 2013). The TMD has the potential to not only interfere with the functional activities of the stomatognathic system, but also affect the social and psychological behavior of the individual. This study evaluated the range of mandibular movements and muscle palpation pain in the pre and post-treatment of participants with TMD. Participants included in the study responded to the Research Diagnostic for Temporomandibular Dysfunction (RDC / TMD) to allow the formulation of a diagnosis of TMD and qualify pain palpation of the facial muscles, and subjected to analysis of movement through 3D JMA assessing movements mandibular by ultrasonic means, before and after treatment with stabilizing plate for 30 and 60 days. Participants were reassessed in order to know if there will be an improvement in the range of mandibular movements for opening, laterality and protrusion and condyle movement within the joint cavity in the sagittal and frontal plane. The results showed no statistical differences have in most excursive mandibular movements (opening, lateral and protrusive) assessed both by JMA ultrasound system as the examination of the RDC / TMD. In the descriptive analysis of the results obtained by palpation of the muscles in the application of the RDC / TMD noticed a great improvement in the clinical picture of pain palpation after 60 days of use board stabilizing occlusal. We did not observe statistically significant differences between the data collected from the range of motion by the computerized system JMA and the questionnaire RDC / TMD, other words, we can say that the evaluation by the JMA is accurate and reliable.
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Estudo sobre a validade diagnóstica e prognóstica dos critérios de diagnóstico para pesquisa das desordens temporomandibulares (RDC/TMD)Walber, Luiz Fernando January 2008 (has links)
O primeiro objetivo deste estudo foi determinar, no nosso meio, a validade dos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares RDC/TMD como fator de diagnóstico em pacientes com desordens temporomandibulares. Sessenta e nove pacientes com DTM e 70 pessoas do grupo-controle, todas do gênero feminino, foram submetidas aos Critérios de Diagnóstico de Pesquisa das Desordens Temporomandibulares (RDC/TMD) e comparados em um estudo caso-controle. O segundo objetivo foi o de verificar a validade prognóstica do RDC/TMD através de um estudo longitudinal tipo resultado de tratamento. As pacientes com DTM foram submetidas a tratamento por meio de dispositivos - placas de mordida e/ou ajuste oclusal, etc., da maneira que o clínico responsável julgou necessário, o qual foi “cego” a todos os resultados do RDC/TMD. Estas pacientes foram chamadas seis meses após o tratamento realizado para a reavaliação da intensidade de dor orofacial. O critério de melhora clínica para que as pacientes com DTM pudessem ser incluídas no grupo de respondentes ao tratamento (rDTM), foi uma redução de 30% na intensidade da dor sobre a avaliação de dor em repouso no início do tratamento, utilizando-se escalas visuais análogas (VAS). Os resultados foram comparados com a auto-avaliação da paciente (melhor/igual/pior) para determinar o grau de confiabilidade dos resultados. As pacientes que melhoraram foram incluídas no Grupo 1a (rDTM). Aquelas que não melhoraram fizeram parte do Grupo 1b (nrDTM) e os assintomáticos foram incluídos no Grupo 2. A base de dados e a análise estatística foram realizadas no programa SPSS versão 11.5 para Windows®. As variáveis foram ambas categóricas/recodificadas e contínuas; portanto, tanto testes não-paramétricos (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) quanto paramétricos (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) foram empregados. Os resultados comparativos entre pacientes com DTM e controle mostraram que 57,1 % das pacientes do grupo-teste foram diagnosticadas com desordem miofascial. O deslocamento de disco com redução ocorreu em 24,3 % das articulações do lado esquerdo e em 18,6 % das articulações no lado direito. O diagnóstico de artralgia foi estabelecido em 61,4% nas articulações do lado esquerdo e em 62,9 % nas articulações do direito. O grau de dor crônica foi de média intensidade para 60,9 %, a incapacidade por dor crônica foi em média de 66,9 para o grupoteste e de 0,01 para o grupo-controle. A incapacidade foi moderada para 20 % do grupo-teste. A depressão média foi de 1,02 no grupo-teste e de 0,56 no grupo-controle. A depressão foi moderada para 40 % das pacientes do grupo-teste e para 22,9 % no grupo-controle. A somatização com dor foi em média de 1,25 no grupo-teste e de 0,44% no grupo-controle. Ela foi moderada para 30 % das pacientes do grupo-teste e 27,5 % no grupo-controle. A somatização sem dor foi em média de 1,12 no grupo-teste e de 0,35 no grupo-controle. A somatização moderada ocorreu em 25,7 % das pacientes do grupo-teste e em 24,3 % no grupo-controle. Os resultados apresentaram diferenças estatísticamente significativas entre os grupos teste e controle. Ao comparar as pacientes respondentes e não respondentes ao tratamento da DTM não foram evidenciadas diferenças estatísticamente significantes para qualquer um dos ítens estudados. Portanto, concluiu-se que a validade de diagnóstico foi positiva, mas a validade prognostica foi negativa. / The primary objective of this study was to determine, in our cultural background, the validity of the RDC/TMD (Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders) as a diagnostic tool for patients with temporomandibular disorders. Sixty nine patients with TMD and 70 subjects from the control group, all females, underwent the RDC/TMD and were compared in a case-control study. The second objective was to verify the prognostic validity of the RDC/TMD in a longitudinal treatment outcome study. Patients with TMD underwent conservative treatments (bite-splints and occlusal adjustment, etc.) according to the treating clinician, who was blind to all RDC/TMD results. These patients were recalled after six months for a re-evaluation of orofacial pain intensity. The improvement criteria for patients to be included in the responding group (rTMD) was a 30% reduction in pain intensity at rest as compared to baseline using Visual Analogue Scales (VAS). The results were also compared to a patient’s self-assessment scale (better/same/worse) to determine the degree of reliability. Patients who improved were included in Group I (rTMD). Those who did not improve (nonresponding TMD) were part of Group II (nrTMD). Asymptomatic controls were included in Group III. The database and statistical analyses were made in the SPSS version 11.5 for Windows. The variables were both categorical/recoded as well as continuous; therefore, both parametric (Student’s t test, two-sided test, ANOVA, P<0.05) and non-parametric (Pearson’s Chi-Square, Fisher’s exact test, two-sided test, P<0.05) tests were used. The results comparing TMD patients versus controls have shown that 57.1 % of patients in the test group were diagnosed with miofascial pain. Disk intereference with reduction was observed in 24.3 % of temporomandibular joints on the left side and in 18.6 % of those on the right side. The diagnosis of arthralgia was identified in 61.4% of joints on the left side as well as in 62,9 % of those on the right side. The Chronic Pain Grade was of mild intensity for 60.9% of patients, and the Chronic Pain Intensity was 66.9 on average for the test group and 0.01 for controls. The Disability Points was moderate for 20% of the test group. The average depression score was 1.02 in the test group and 0.56 in the control one. Depression was moderate for 40% of patients as well as for 22.9% in controls. Somatization with pain was 1.25 on average for TMD patients and 0.44 in controls. Moderate somatization with pain was found in 30% of TMD patients and 27.5% in controls. Somatization without pain was 1.12 on average for the test group and 0.35 in the control group. Moderate somatization without pain was observed in 25.7 % in patients and 24.3 % in controls. The results have shown statistically significant difference between TMD patients and controls. However, when we compare responding versus non-responding TMD patients, no significant difference was observed for any of the items studied. Therefore, it is concluded that the diagnostic validity was positive, but not the prognostic one.
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Avaliação das habilidades de praxia não verbal e verbal em pacientes com diagnóstico de Doença de ParkinsonPresotto, Monia January 2014 (has links)
Introdução: A articulação da fala é um dos aspectos fonoaudiológicos mais comprometidos na doença de Parkinson (DP). Pacientes com DP apresentam risco de manifestar apraxia não verbal e verbal. A apraxia não verbal ocorre quando há um déficit na habilidade de sequencialização dos movimentos voluntários não verbais da língua, lábios, mandíbula e outras estruturas orofaciais associadas, e a apraxia verbal é definida como um déficit na habilidade de sequencializar os controles motores necessários para o posicionamento correto dos articuladores durante a produção voluntária da fala. A prevalência com que apraxia da fala ocorre na DP não está bem estabelecida, sendo um distúrbio pouco explorado nesses pacientes. É um estudo inédito, até onde temos conhecimento, quanto à identificação dos erros práxicos verbais na DP. Objetivo: avaliar a prevalência da praxia não verbal e verbal em pacientes com doença de Parkinson, correlacionandoas com idade, escolaridade, tempo de doença e estadiamento da DP (Hoehn e Yahr), assim como correlacionar a apraxia não verbal com a apraxia verbal e identificar os erros práxicos verbais. Método: Estudo quantitativo, observacional, descritivo e de prevalência. Foram avaliados 45 pacientes acometidos pela DP, que realizaram seguimento clínico no ambulatório de Distúrbios do Movimento do Hospital de Clínicas de Porto Alegre, Brasil, através da aplicação do Protocolo de Avaliação da Apraxia da Fala, e o estadiamento da DP foi controlado através da escala de Hoehn e Yahr (H&Y). Resultados: A prevalência de apraxia não verbal e verbal nos pacientes com DP foi de 24,4%. Não houve significância entre apraxia não verbal com idade, escolaridade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. A correlação entre apraxia verbal e escolaridade foi significante (p≤0,05), mas não houve significância com idade, tempo de doença, estadiamento da DP (H&Y) e gênero. Os tipos de erros práxicos verbais mais frequentes foram as omissões (70,8%). Quanto ao ponto e modo articulatório os fonemas mais alterados foram os dentoalveolares (92%) e os vibrantes (57,7%), consecutivamente. Conclusão: Os pacientes com DP apresentaram apraxia não verbal e verbal com manifestação de muitos erros práxicos verbais, estando a apraxia verbal correlacionada com a escolaridade. / Introduction: The speech articulation is one of the aspects most impaired in Parkinson's disease (PD). Patients PD present risk of expressing nonverbal and verbal apraxia. The nonverbal apraxia occurs when there is a deficit in the sequencing ability of nonverbal voluntary movements of the tongue, lips, jaw and other associated orofacial structures, while the verbal apraxia is defined as a deficit in the ability of sequencing the necessary motor controls in order to place the articulators correctly during the voluntary speech production. The predominance with which apraxia of speech occurs in PD is not well established and rarely explored in these patients. As far as we know, it is an unprecedented study regarding the identification of verbal praxic errors in PD. Objective: To assess the prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with Parkinson's disease, correlating them with age, education, duration of disease and PD stage (Hoehn e Yahr), as well as to correlate nonverbal with verbal apraxia and identify the verbal praxic errors. Method: Quantitative, observational, descriptive and prevalence study. Forty-five patients with PD were evaluated. They were submitted to the clinical follow-up in the Movement Disorders Clinic of the Cinical Hospital of Porto Alegre, Brazil, through the application of the Speech Apraxia Assessment Protocol. Additionally, the PD stage was controlled through the Hoehn and Yahr scale (H&Y). Results: The prevalence of nonverbal and verbal apraxia in patients with PD was 24.4%. There was no significance between the nonverbal apraxia with age, education, duration of disease, PD stage (H&Y), and genre. The correlation between verbal apraxia and education was significant (p ≤ 0.05), but there was no significance with age, duration of disease, PD stage (H&Y) and genre. Omissions were the most frequent kinds of verbal praxic errors with (70.8 percent). Regarding the place and mode of articulation, the most changed phonemes were the dentoalveolar (92%)and the vibrants (57.7%), consecutively. Conclusion: Patients with PD presented nonverbal and verbal apraxia with manifestation of many verbal praxic errors and verbal apraxia correlated with education levels.
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How does changes in symptom severity index relate to patients’ global impression of change?Vestlund, Sandra, Nykvist, Linn January 2021 (has links)
Background: The treatment outcome of temporomandibular disorders (TMD) can be assessed with Symptom Severity Index (SSI). In addition to this self-report measure, Patients’ Global Impression of Change (PGIC) provides information about the overall impression of change. The use of SSI and PGIC when assessing treatment outcome in the field of TMD, and their correlation, has not previously been reviewed. Aim: The aims of this study were to investigate the correlation between the scales SSI and PGIC, to gain knowledge about which factors that contribute to the impression of change and to identify the diagnoses that have the most improvement. Methods: Data from 193 patients was analyzed. The percentage change in symptoms between baseline and follow up was compared to PGIC. The patients were divided into three groups based on main diagnoses, for further analysis. PGIC categories “much improved” and “very much improved” were set as successful treatment outcome. Different factors impact on PGIC were analyzed. Results: Majority of the patients had a successful treatment outcome. A higher mean percentage change correlated with a better PGIC value. Patients with articular related diagnoses needed a greater reduction in SSI to rate the impression of change as improved. According to the regression analysis, diagnosis group, age, number of treatment visits and SSI-baseline were associated with treatment outcome. Conclusions: The present study supports the use of both SSI and PGIC for assessment of the treatment outcome when treating TMD. However, a possible discrepancy between the scales addresses the need for further examination and change of treatment approach.
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