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Développement de la perception de la parole et du traitement auditif des modulations spectro-temporelles : études comportementales chez le nourrisson / Development of speech perception and spectro-temporal modulation processing : behavioral studies in infants

Cabrera, Laurianne 22 November 2013 (has links)
Cette thèse vise à caractériser le traitement auditif des informations spectro-temporelles impliquées dans la perception de la parole au cours du développement précoce. Dans ce but, les capacités de discrimination de contrastes phonétiques sont évaluées à l’aide de deux méthodes comportementales chez des enfants âgés de 6 et 10 mois. Les sons de parole sont dégradés par des « vocodeurs » conçus pour réduire sélectivement les modulations spectrales et/ou temporelles des stimuli phonétiquement contrastés.Les trois premières études de cette thèse montrent que les informations spectro-temporelles fines de la parole (les indices de modulation de fréquence et détails spectraux) ne sont pas nécessaires aux enfants français de 6 mois pour percevoir le trait phonétique de voisement et de lieu d’articulation. Comme pour les adultes français, les informations de modulation d’amplitude les plus lentes semblent suffire pour percevoir ces traits phonétiques. Les deux dernières études montrent cependant que les informations spectro-temporelles fines sont requises pour la discrimination de tons lexicaux (variations de hauteur liée au sens de mots monosyllabiques) chez les enfants français et taiwanais de 6 mois. De plus, ces études montrent l’influence de l’expérience linguistique sur le poids perceptif de ces informations de modulations dans la discrimination de la parole chez les jeunes adultes et les enfants français et taiwanais de 10 mois.Ces études montrent que les mécanismes auditifs spectro-temporels sous-tendant la perception de la parole sont efficaces dès l’âge de 6 mois, mais que ceux-ci vont être influencés par l’exposition à l’environnement linguistique dans les mois suivants. Enfin, cette thèse discute les implications de ces résultats vis-à-vis de l’implantation précoce des enfants sourds profonds qui reçoivent des informations de modulations dégradées. / The goal of this doctoral research was to characterize the auditory processing of the spectro-temporal cues involved in speech perception during development. The ability to discriminate phonetic contrasts was evaluated in 6- and 10-month-old infants using two behavioral methods. The speech sounds were processed by “vocoders” designed to reduce selectively the spectro-temporal modulation content of the phonetically contrasting stimuli. The first three studies showed that fine spectro-temporal modulation cues (the frequency-modulation cues and spectral details) are not required for the discrimination of voicing and place of articulation in French-learning 6-month-old infants. As for French adults, 6-month-old infants can discriminate those phonetic features on the sole basis of the slowest amplitude-modulation cues. The last two studies revealed that the fine modulation cues are required for lexical-tone (pitch variations related to the meaning of one-syllable word) discrimination in French- and Mandarin-learning 6-month-old infants. Furthermore, the results showed the influence of linguistic experience on the perceptual weight of these modulation cues in both young adults and 10-month-old infants learning either French or Mandarin.This doctoral research showed that the spectro-temporal auditory mechanisms involved in speech perception are efficient at 6 months of age, but will be influenced by the linguistic environment during the following months. Finally, the present research discusses the implications of these findings for cochlear implantation in profoundly deaf infants who have only access to impoverished speech modulation cues.
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Le e variable dans le double doublage francophone : à la recherche des normes et usages des doubleurs québécois

Carpentier, Émilie 27 November 2020 (has links)
Le double doublage francophone donne lieu à deux doublages différents pour un même film américain : un doublage français et un doublage québécois. Issue de la législation des deux aires géographiques, cette pratique donne l'occasion inégalable d'analyser les deux doublages produits d'un point de vue sociolinguistique. Au Québec, la langue du doublage est souvent nommée « français international », mais en vérité, il n'existe pas de source décrivant officiellement les normes prescriptives ou objectives de ce français, qui est davantage une idéologie (Sanders, 1996, p. 113) qui découle des représentations que les doubleurs ont de la langue française. Il a déjà été démontré que la langue du doublage québécois est particulière en raison du désir des doubleurs d'employer un français à la fois ancré au Québec et délocalisé, qui sont deux objectifs difficilement conciliables (Reinke et Ostiguy, 2012, Reinke et al.,2017 et 2019). En effet, il semble avoir dans le doublage québécois peu de traits de la variété québécoise, et ce, même si plusieurs de ces traits sont aujourd'hui acceptés en variété soutenue. Afin de connaître quel type de norme est suivi par les doubleurs, endogène ou exogène, l'étude du e variable est pertinente, principalement à cause de sa variation diatopique (Côté, 2012, p. 260) et diaphasique (Lucci, 1978, p. 46). Afin de nous éclairer sur les normes objectives suivies par les doubleurs, nous analyserons les usages des doubleurs quant à cette variable linguistique dans un corpus de transcriptions de 11 films et séries télévisées. La réalisation du e variable sera analysée selon la provenance géographique du doublage, la formalité de la situation de communication et le genre cinématographique. / The French language "double dubbing" phenomen on gives rise to two different dubbing tracks for the same American movie: a French dubbed version from France and one from Québec. As a result of legislation in the two geographical regions, this practice provides an unparalleled opportunity to study the two dubbings from a sociolinguistic point of view. In Québec, the language of dubbing is often called "international French", but in reality, there exists no source officially describing the prescriptive or objective norms of this particular French, which is more of an ideology (Sanders, 1996: 113) originating from the dubber's representations of the French language. It has already been shown that the language of the Quebec dubbing is peculiar, due to the dubbers' desire to use a language both rooted in Québec and delocalized, which are two objectives that are difficult to reconcile (Reinke et Ostiguy, 2012, Reinke et al., 2017 et 2019). Indeed, Québec's dubbing seems to offer few features typical of Québec's French, even if several of these traits are now accepted in formal speech. In order to elucidate what type of norm is followed by the dubbers, endogenous orexogenous, the study of variable e is relevant, mainly because of its diatopic (Côté, 2012,p.260) and diaphasic variation (Lucci, 1978, p. 46). In order to shed light on the objective norms followed by dubbers, we will study how they use the variable e in a corpus composed of the transcriptions of 11 films and television series. The usage of the variable e will be analyzed according to geographical origin of the dubbing, register and film genre.
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Testing equivalence classification : the acquisition of French L2 phones by St. Lucian Creole French and St. Lucian Creole English speakers

Cadette-Blasse, Antheia 11 April 2018 (has links)
Cette étude a évalué la classification par équivalence (CE) de Flege (1987b, 1991), auprès de 49 participants: deux groupes de locuteurs natifs du créole saint-lucien à base lexicale française (CSLF) et deux groupes du créole saint-lucien à base lexicale anglaise (CSLA) qui étaient des apprenants de français langue étrangère. Cette étude a aussi inclus un groupe contrôle de 11 locuteurs natifs du français (NF). La CE postule qu'un apprenant d'une langue seconde ou étrangère (L2) a plus de difficultés à produire les phones de la L2 qui sont similaires (i.e. ceux ayant un phone équivalent en Ll) que ceux qui sont nouveaux (i.e. ceux n'ayant pas d'équivalent dans la Ll). A travers une tâche de lecture, nous avons comparé la prononciation des phones français [u], [y] et [â] de ces deux groupes. Selon la CE, les locuteurs du CSLF et du CSLA devraient avoir plus de difficultés à produire le [u] français (phone similaire) que le [y] (nouveau phone). Par ailleurs, le groupe CSLA devrait avoir plus de facilité à produire le nouveau phone [à] que le groupe CSLF. Aucune de ces hypothèses n'a toutefois été confirmée. La prononciation des participants a été évaluée par trois locuteurs natifs du français de la Martinique, qui ont accordé plus de scores natifs au groupe CSLF qu'au groupe CLSA pour leur production des trois phones. La différence entre ces deux groupes a été significative pour [u] et [y] mais pas pour [â]. Nous avons aussi mené des analyses acoustiques de productions de certains mots, en vue de comparer la prononciation des groupes expérimentaux à celle du groupe contrôle et de vérifier les évaluations des juges. Pour ces analyses, les participants des groupes CLSF et CLSA ont été sélectionnés de façon aléatoire. Les résultats des analyses acoustiques ont révélé que pour le phone [u], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSA se rapprochait davantage de celle du groupe contrôle que celle du groupe CLSF. Quant aux phones [â] et [y], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSF se rapprochait plus de celle du groupe NF que celle du groupe CLSA. La différence entre les groupes expérimentaux et le group NF n'était significative que pour le phone [y]. / This study tested Flege's (1987b, 1991) equivalence classification (EC) with 49 participants; two groups of St. Lucian Créole French (SLCF) speakers, and two of St. Lucian Créole English (SLCE) speakers, ail of whom were learning French as a foreign language. It also included a native control group of 11 Martiniquan French speakers (NF). According to the EC, in learning a second or foreign language (L2), "new" sounds are more easily mastered than those that are deemed to be "similar". We compared the two language groups on their pronunciation mastery of the French sounds [u], [y] and [à], via a reading task. On the basis of the EC, we hypothesized that both SLCF and SLCE speakers would have more difficulty in producing the sound [u] as compared to [y]; both groups would produce the French phone [y] with more ease. With regard to the phone [à], a similar phone to SLCF speakers, but a new one to SLCE speakers, SLCE speakers would have more difficulty than SLCF speakers. In no cases are the predictions of the EC borne out. In a blind scoring task, 3 native (Martiniquan) French speaker judges awarded nativelike scores to more SLCF speakers than SLCE speakers on ail three sounds. The differences between the 2 groups were significant for [u] and [y], but not [à]. We also carried out acoustic measurements of the productions of randomly selected participants, in order to compare the formant frequencies of the two experimental groups to those of the NF group, and to verify the native speaker judges' evaluations. For the sound [u], both groups produced formant frequencies that fell within native speaker range, with the F2 mean frequency of the SLCE group being closer to that of the NF group, than did that of the SLCF group. In the case of [à], the F2 values of both experimental groups fell within the NF range, with the mean F2 frequency of SLCF more closely approximating that of the NF group than did the SLCE group. For the phone [y], the mean F2 value of the SLCF group approximated NF values, more closely than did that of the SLCE group. Only in the case of [y] was the difference in mean F2 values between the experimental groups and the NF group significant.
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Schwa initial en français laurentien : distribution et nature

Picard, Marie-Pier 25 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / En français laurentien (FL), il existe un phénomène d’apparente interversion du schwa et de la consonne qui le précède. On le retrouve dans certains clitiques et en syllabe initiale de certains mots. À titre d’exemple, on peut entendre le prononcé [œl], je [œʒ] ou regarde [œʁgard]. L’absence de schwa à l’initiale absolue du mot est une généralisation classique de la distribution du schwa en français de référence (Dell 1973 ; Martinet 1960), mais celle-ci est indéniablement contredite en FL. Si le schwa initial laurentien a été remarqué par les linguistes au moins depuis La Follette (1960), il n’a encore jamais fait l’objet d’études spécifiques, notamment quantitatives. À première vue, le schwa à l’initiale absolue semble provenir d’une métathèse, qui consiste en une interversion de phonèmes, et certains linguistes l’ont déjà expliqué comme telle. Toutefois, d’autres linguistes analysent ce phénomène comme étant l’épenthèse d’un schwa prothétique. Par l’étude des productions de 48 locuteurs québécois, ce travail vise à établir la distribution du SI laurentien au regard de facteurs internes et externes pertinents ainsi qu’à en comprendre la nature phonologique. Nous verrons que le SI apparait principalement dans le pronom je, le pronom le et le préfixe re- et qu’il est sensible à la nature des contextes segmental, lexical et prosodique. Il s’avèrera aussi que le lieu d’origine des locuteurs a une influence considérable sur sa production. Pour ce qui est de la nature phonologique, il apparaitra que certains SI sont prothétiques, alors que d’autres sont lexicalisés.
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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Les quadriconsonantiques dans le lexique de l'arabe

Bachmar, Karim 25 November 2011 (has links) (PDF)
La thèse se répartit en deux tomes. Les quadriconsonantiques forment deux groupes de radicaux distincts, à savoir : les radicaux de forme ABAB et les radicaux de forme ABCD. L'analyse de ces radicaux, en appliquant la TME (Théorie, Matrice, Etymon) élaborée par G. Bohas, permet de définir leur fonctionnement aux plans sémantique, sémantico phonétique et structurel. La première partie Tome 1 analyse les quadriconsonantiques de forme ABAB. La deuxième partie Tome 2 est consacrée aux quadriconsonantiques de forme ABCD.Concernant les radicaux ABAB, dont la structure est issue d'un redoublement de l'unique étymon AB, le travail d'analyse va plus s'orienter sur la sémantique. Il est démontré que le redoublement ne s'accompagne pas d'une modification sémantique systématique, contrairement à ce que l'on observe dans les parlers d'orient et d'occident.La deuxième partie de la thèse, Tome 2, dans les mêmes conditions que précédemment, étudie les radicaux ABCD dans le cadre de la TME en prenant en compte la contrainte phonétique formulée par Angoujard (1997), notée : CPA. L'objectif est de déterminer leur mode de fonctionnement tant sur le plan structurel que sur le plan sémantico phonétique. L'étude de ces radicaux ABCD ne se limite pas uniquement à montrer le fonctionnement structurel des radicaux mais établit une relation entre la TME de Bohas et la CPA d'Angoujard.
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Les quadriconsonantiques dans le lexique de l'arabe / Quadri-consonant groups in the lexicon of Arabic

Bachmar, Karim 25 November 2011 (has links)
La thèse se répartit en deux tomes. Les quadriconsonantiques forment deux groupes de radicaux distincts, à savoir : les radicaux de forme ABAB et les radicaux de forme ABCD. L’analyse de ces radicaux, en appliquant la TME (Théorie, Matrice, Etymon) élaborée par G. Bohas, permet de définir leur fonctionnement aux plans sémantique, sémantico phonétique et structurel. La première partie Tome 1 analyse les quadriconsonantiques de forme ABAB. La deuxième partie Tome 2 est consacrée aux quadriconsonantiques de forme ABCD.Concernant les radicaux ABAB, dont la structure est issue d’un redoublement de l’unique étymon AB, le travail d’analyse va plus s’orienter sur la sémantique. Il est démontré que le redoublement ne s’accompagne pas d’une modification sémantique systématique, contrairement à ce que l’on observe dans les parlers d’orient et d’occident.La deuxième partie de la thèse, Tome 2, dans les mêmes conditions que précédemment, étudie les radicaux ABCD dans le cadre de la TME en prenant en compte la contrainte phonétique formulée par Angoujard (1997), notée : CPA. L’objectif est de déterminer leur mode de fonctionnement tant sur le plan structurel que sur le plan sémantico phonétique. L’étude de ces radicaux ABCD ne se limite pas uniquement à montrer le fonctionnement structurel des radicaux mais établit une relation entre la TME de Bohas et la CPA d’Angoujard. / The thesis is divided into two volumes. Quadri-consonant groups form two distinct sets of radicals: ABAB and ABCD pattern radicals. Applying the Theory of Matrices and Etymons (TME) elaborated by Georges Bohas to the analysis of these radicals enables their functioning at the semantic, semantic-phonetic and structural levels to be defined.The first part which constitutes Volume 1 consists in the analysis of ABAB pattern quadric-consonant groups while the second part contained in Volume 2 is devoted to ABCD pattern quadric-consonant groups. In the study of the ABAB pattern radicals, the structure of which is the result of a reduplication of the single AB etymon, the analytical work focuses more on semantics. The analysis demonstrates that reduplication is not accompanied by a systematic semantic modification, contrary to what may be observed in eastern and western dialects.Under the same conditions, the second part of the thesis, Volume 2, consists in a study of ABCD pattern radicals which employs the framework of TME while also taking into consideration the phonetic constraints formulated by Angoujard (1997): CPA. The objective is to determine the modes of functioning of the ABCD pattern radicals on both the structural and semantic-phonetic levels. The study of these ABCD pattern radicals is not merely restricted to demonstrating the structural functioning of these radicals but also establishes a relationship between TME elaborated by Bohas and Angoujard’s CPA.
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La consonne /R/ comme indice de la variation lectale : cas du français en contact avec le créole guadeloupéen / /R/ consonant as indication of lectal variation : case of French language in contact with Guadeloupean Creole

Akpossan, Johanne 20 January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif de définir l’apport de la phonétique expérimentale dans l’identification d’une variété lectale, en prenant pour exemple les langues parlées en Guadeloupe. En Guadeloupe, deux langues cohabitent : le français et le créole. Mais, dans les faits, il y a une diversité de variétés de français d’une part, et de créole d’autre part. Chacune de ces variétés va de l’acrolecte au basilecte en passant par le mésolecte : il y a donc un continuum français et un continuum créole. La situation sociolinguistique de la Guadeloupe peut être ainsi représentée par un double continuum.Ces différentes variétés de français peuvent-elles se distinguer par des caractéristiques (1) acoustiques, (2) phonétiques, (3) phonologiques et (4) perceptives de la consonne /R/? La durée du contact avec le créole, a t-elle une influence sur la variété de français parlée par un locuteur ?Nos résultats montrent que plus la variété de français est basilectale, (1) plus la diffusion de l’énergie spectrale du /R/ est faible avec un taux de bruit réduit et une hauteur moyenne des fréquences basse ; (2) plus la variante fricatisée du /R/ est rare et plus la variante approximante est fréquente ; (3) plus le taux d’élision du /R/ en coda de syllabe augmente ainsi que le taux de réalisation de /R/ en tant que [w] en contexte labial; (4) plus la variété est perçue comme ayant un faible degré d’accent français. Généralement, plus la durée du contact entre le français et le créole est longue, plus cette variété est basilectale.Si les caractéristiques de la consonne /R/ permettent de discriminer la variété acrolectale de la variété basilectale (variétés extrêmes), il apparait plus difficile d’établir une liste d’indices (ou « lectomètres ») qui permettraient d’identifier les variétés se trouvant dans la zone intermédiaire : le mésolecte est doté d’une certaine imprévisibilité. / The goal of this thesis is to determine the contribution of experimental phonetics in the identification of a lectal variety, in taking for example languages spoken in Guadeloupe. In Guadeloupe, two languages coexist : French and Creole. But in fact, there is a diversity of varieties of French on the one hand, and of Creole on the other hand. Each of these varieties goes from acrolect to basilect through mesolect : so there are a French continuum and a Creole continuum. Thus, the sociolinguistic situation of Guadeloupe can be represented by a double continuum.These different varieties of French can they be distinguished by (1) acoustic, (2) phonetic, (3) phonological (4) and perceptual characteristics of /R/ consonant? Does the contact duration with Creole have an influence on the variety of French spoken by a speaker?Our results show that the more basilectal the variety of French is, (1) the lower spectral diffusion of /R/ energy is, with a reduced rate noise and a low frequency mean; (2) the more infrequent /R/ constrictive variants are and the more common /R/ approximant variants are ; (3) the greater rates of /R/ elision in coda of syllable and /R/ realization as [w] in labial context increase ;(4) and the more the variety is perceived as having a low degree of French accent. Usually, the longer duration of the contact between French and Creole is, the more basilectal the variety of French is.If characteristics of /R/ consonant can distinguish acrolect and basilect (extreme varieties), it’s not so easy to establish a list of indications (or « lectomètres ») in order to identify varieties in the intermediate zone: mesolect has a certain unpredictability.
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Perception des voyelles nasales du français québécois : aspects acoustiques et perceptifs

Desmeules-Trudel, Félix 19 April 2018 (has links)
Nous effectuons une description acoustique des voyelles nasales (VN) du français québécois (FQ) et du portugais brésilien (PB), langues qui possèdent des VN dans leurs systèmes phonologiques. Nous montrons que les VN du FQ et du PB ont des timbres différents : celles du FQ sont plus dispersées, possèdent un contraste moins important (VN correspondantes) et une plus grande amplitude de mouvement formantique. Nous évaluons également la perception des VN du FQ chez des locutrices du PB. Nous montrons que [œ̃] est difficilement perçue car cette voyelle ne possède pas d’équivalent en PB; le timbre variable et la grande dispersion de [ẽ] rend difficile sa discrimination, mais le mouvement formantique contribue à son identification correcte; [ã] et [ɔ̃] sont plus facilement discriminées, mais [ã] est légèrement moins bien identifiée probablement parce qu’elle chevauche plusieurs catégories, et [ɔ̃] est bien identifiée étant donné ses similarités avec [õ] du PB. / We present an acoustic description of nasal vowels (NV) in Quebec French (QF) and Brazilian Portuguese (BP), languages that possess phonological NV in their inventories. We show that QF and BP NV have different vowel qualities: QF NV are more dispersed than BP’s, smaller contrast (for corresponding NV), and greater amplitude of formantic movement. We also assess discrimination and identification abilities of BP speakers for QF NV. We show that [œ̃] is difficult to perceive because it has no equivalent in Portuguese; variability of [ẽ]’s quality and its important dispersion makes it difficult to discriminate, while its formant movement contributes to its correct identification; [ã] and [ɔ̃] are more easily discriminated, but [ã] is misidentified in a greater proportion because it overlaps several categories, while [ɔ̃] is more easily identified because of its similarities with BP’s [õ].

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