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Le Paradigme dans la dialectique platonicienne.

Goldschmidt, Victor. January 1947 (has links)
Thèse. Lettres compl. Paris. 1947.
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L' unité du discours psychiatrique une critique de la notion de "paradigme" dans l'histoire de la psychiatrie /

Deloro, Cyrille Pommier, Gérard. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Psychopathologie : Strasbourg 1 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 229-236.
3

Zeit und Logik /

Müller, Albrecht A.C. von. Unknown Date (has links)
Diss. : Philosophische Fakultät : München : 1981-1982. - Bibliogr. p. 477-484. -
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Paradigmes et pragmatisme en relations internationales

Pâquet, Sylvain 03 1900 (has links) (PDF)
Le point de départ, c'est le constat dudit problème d'incommensurabilité paradigmatique en Relations internationales. Il appert que c'est plutôt un problème d'incompatibilité théorique à cause des présupposés de recherche. La différence de diagnostique change considérablement la prescription : il ne suffit pas de stimuler le dialogue inter-théorique, il faut plutôt réconcilier les incompatibilités logiques avec un cadre de pensée rigoureux. Cette recherche vise à évaluer la compétence de la méthode pragmatique en Relations internationales pour régler ce problème. Après avoir étudié par induction le schéma conceptuel autour des concepts de paradigme et d'incommensurabilité, l'état des débats métathéoriques en Relations internationales, le pragmatisme philosophique et la méthode pragmatique adaptée à la discipline des Relations internationales, nous procèderons à un examen par abduction de la méthode pragmatique. Nous constaterons que la théorie pragmatique de la vérité et la méthode pluraliste pragmatique sont des pistes intéressantes, mais qu'elles tendent vers l'arbitraire parce qu'elles ne sont pas assez encadrées. En accordant trop de liberté à l'interprète, on lui permet accidentellement de prétendre presque n'importe quoi, bien que ça ne soit pas l'intention. Le pluralisme pragmatique sert à stimuler le dialogue, mais il ne règle pas les incompatibilités logiques et il en crée d'autres en suggérant d'ignorer les contradictions épistémologiques. Autrement dit, le pragmatisme ne semble pas pertinent en science et il peut occasionner des résultats contraires à sa mission, à moins qu'on trouve le moyen de limiter le champ de l'interprétation acceptable et qu'on règle ses problèmes logiques. Le pragmatisme est utile pour guider des actions concrètes grâce aux croyances, mais il semble inutile pour connaître des vérités dont nous avons besoin pour que la discipline des Relations internationales devienne une science crédible. Il faut donc trouver une meilleure solution pour régler les problèmes logiques qui fondent l'incompatibilité entre les théories des relations internationales. Le mieux, ce serait probablement de s'attaquer à la concordance entre les présupposés et la réalité, afin de déterminer si une théorie est applicable ou non. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pragmatisme, paradigme, incommensurabilité, conception du monde, rationalité.
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La notion d'incommensurabilité chez Thomas Kuhn

Leduc, Pierre January 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur la notion d'incommensurabilité que Thomas Kuhn a introduite dans son oeuvre la plus connue, la structure des révolutions scientifiques, pour caractériser la relation entre paradigmes successifs. Selon Kuhn, dans la SRS, le passage d'un paradigme à un autre implique une rupture qui se manifeste sur trois plans, le plan méthodologique, le plan sémantique et le plan ontologique qu'il exprime par l'idée que les scientifiques postrévolutionnaires travaillent dans un monde différent. De ce point de vue, l'incommensurabilité est une relation complexe entre paradigmes successifs, que Kuhn ne définit pas de façon systématique, mais qui semble impliquer une rupture radicale entre traditions successives. Kuhn s'appuie sur la métaphore visuelle du renversement de gestalt pour rendre compte du passage révolutionnaire d'un paradigme à un autre. Si les sociologues ont bien accueilli les thèses de Kuhn, il n'en a pas été de même des philosophes des sciences qui lui ont reproché de proposer une vision à la fois irrationnelle, relativiste et idéaliste du développement des sciences. Puisque Kuhn a toujours prétendu que ces critiques reposaient en grande partie sur l'incompréhension, il a entrepris de clarifier ses positions pour répondre aux objections. Il entreprit, en particulier, de préciser la notion d'incommensurabilité qui est au coeur de son argumentation. Ce travail retrace, dans un premier temps, l'évolution de la pensée de Kuhn relativement à cette notion et aux conséquences de l'incommensurabilité sur sa conception de la science et du progrès scientifique. Pour répondre aux objections des philosophes, il amorce son tournant linguistique qui lui permet d'interpréter l'incommensurabilité en termes de rupture de la communication entre scientifiques qui défendent des paradigmes différents. La rupture de communication repose, de ce point de vue, sur l'impossibilité de traduire le langage théorique propre à une communauté scientifique dans celui du groupe révolutionnaire. Il substitue donc une approche sémantique à la métaphore visuelle de la SRS. Ensuite pour répondre aux objections de Putnam et, surtout de Davidson, selon qui, la notion d'incommensurabilité, entendue comme intraduisibilité entre langages théoriques est incohérente, Kuhn introduit la distinction entre traduction et interprétation. Il introduit, aussi, la notion d'incommensurabilité locale, qui ne touche que quelques termes interreliés. Cette approche le conduit à la solution taxinomique, selon laquelle les langages commensurables partagent une même structure lexicale. De ce point de vue, chaque lexique détermine un ensemble de mondes possibles qui ne sont descriptibles, et donc accessibles à l'expérience, que dans le cadre de ce lexique particulier. Deux lexiques successifs, constituent des mondes différents. Le chapitre six, expose le point de vue de Feyerabend sur l'incommensurabilité et ses conséquences, principalement pour mettre en perspective les idées de Kuhn. Les chapitres suivants abordent les thèses de Kuhn d'un point de vue critique. Le chapitre sept montre, à l'encontre des critiques de Putnam et de Davidson, que la notion d'incommensurabilité locale, complétée par la distinction entre interprétation et traduction, n'est pas incohérente. Si l'idée que deux langages puissent être radicalement intraduisibles semble impensable, il n'en va pas de même si deux langages ne diffèrent structuralement que pour un nombre restreint de termes théoriques centraux. Finalement, le chapitre VIII examine la thèse controversée selon laquelle des lexiques différents déterminent des mondes phénoménaux différents. Ce chapitre critique la forme de constructivisme néo-kantien que défend Kuhn en s'appuyant sur le fait que cette thèse repose sur une théorie descriptiviste de la référence, alors que le recours à une théorie causale de la référence permettrait d'accepter l'idée que les paradigmes successifs puissent être incommensurables sans devoir renoncer à une interprétation réaliste de la science. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Incommensurabilité, Paradigme, Épistémologie, Histoire des sciences, Sémantique, Théorie descriptiviste de la référence, Théorie causale de la référence.
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Les paradoxes du travail social en regard de la théorie de la complexité : comment recréer le travail social au-delà de ses aberrations

Boily, Pierre-Yves January 2014 (has links)
Cette thèse a pour objet la philosophie du Travail Social, ses paradigmes et ses valeurs contradictoires. La mise en perspective des prémisses souvent implicites des praticiens avec les défis éthiques et les contraintes organisationnelles auxquels ils se disent confrontés ouvre un champ important de réflexion sur la définition même du Travail Social. Peut-on reconnaître un sens (une intelligence de la situation) aux contradictions et paradoxes contenus dans les valeurs, les définitions et les pratiques du Travail Social? Ou doit-on se contenter de les déplorer ou de les assumer comme le lot quotidien de la mission des travailleurs sociaux? Un constat: le Travail Social, comme profession et comme discipline, est en déficit d'une lecture permettant de faire des liens entre ses praxis, ses discours éthiques et ses paradigmes. Une éthique désincarnée, un éclectisme des cadres théoriques, une instrumentalisation des pratiques font partie des manifestations de ce déficit. La praxis locale, nationale et internationale explore de nombreuses directions sans réussir jusqu'ici à cerner un paradigme commun susceptible d'opérer une synthèse des pratiques et des valeurs. Notre présomption: la théorie de la complexité offre une épistémologie permettant la compréhension, l'intégration et le dépassement des contradictions et paradoxes éthiques et paradigmatiques du Travail Social. À partir de la proposition de définition de Richard Ramsay, la théorie de la complexité est mise à l'épreuve dans la compréhension, l'intégration et le dépassement des paradoxes en Travail Social. Dans une discussion trialectique entre les types de praxis, les discours éthiques et les paradigmes évoqués en Travail Social, la théorie de la complexité transfigure les paradoxes du Travail Social en en faisant une de ses forces essentielles plutôt qu'une de ses limites. Cette proposition contribuera au débat sur la formulation de la définition du Travail Social. Mots-clés: Travail social, paradoxes, complexité, définition, éthique, cadres théoriques, paradigme. / The object of this thesis is to examine the philosophy of Social Work, its paradigms and contradictory values. Shedding new light on the premises put forth by practitioners, often too implicitly, along with the day-to-day ethical struggles and organisational constraints which they face has allowed for a new dimension of thought on the very definition of Social Work. Do the contradictions and paradoxes reflected in the values, practices, and definitions of Social Work make any sense? Are there any other options than to denounce or even assume such double-binds as the expected load of social workers? Our observation: Social Work as a profession and as a discipline lacks a framework that would allow interactions to take place between interventions, ethics, and paradigms. Disembodied ethics, theoretical frameworks lost in the shuffle as well as an instrumentation of practices are but a few of the examples showing how such deficit manifests. Local, national, and international definitions and praxis have made several unsuccessful attempts to establish a common paradigm that would be conducive to the full integration of practices and values. We submit that the Complexity Theory offers an epistemology that allows understanding, integrating, and going beyond the ethical and practical contradictions and paradoxes specific to Social Work. In light of the definition put forward by Richard Ramsay, the Complexity Theory is further tested in understanding, integrating, and transcending the paradoxes arising from Social Work practices and praxis. In a discussion involving the various types of practices, ethical discourses, and paradigms addressed in Social Work, the Complexity Theory takes paradoxes that could limit the scope of Social Work and transforms them into an essential professional force. This is our contribution to the debate on the definition of Social Work. Keywords: Social Work, paradoxes, Complexity, definition, ethics, paradigms, theoretical frameworks.
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État-providence et paradigme de politique macroéconomique : une étude de l'émergence et des réformes de l'assurance-chômage au Canada

Carreau, Simon January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur l'évolution du régime canadien d'assurance-chômage (AC), devenu en 1996, « régime d'assurance-emploi ». Entre les explications puisant dans le langage des évidences économiques objectives ou, au contraire, de la détermination politique et de l'idéologie, nous avons voulu étudier la trajectoire historique du régime d'AC à partir d'une perspective problématisant la frontière entre le réel objectif et l'idéologie, entre l'économique et le politique. Pour ce faire, nous abordons l'histoire de l'AC à partir du concept de paradigme de politique et de l'évolution de la politique macroéconomique de l'État canadien. Le concept de paradigme de politique, tel que développé par Peter Hall, permet de saisir la politique macroéconomique par les idées et la compréhension de l'économie qui la guide. Un changement de paradigme bouleverse les objectifs qui guident la politique et transforme conséquemment le type d'instruments de politique utilisés et leur niveau d'ajustement. La première partie est consacrée au passage du paradigme de politique gladstonien au paradigme keynésien dans la foulée de la crise économique des années 1930 tandis que la seconde partie étudie la période de remise en question du paradigme keynésien et son remplacement par le paradigme de politique néolibéral durant la période 1975-1995. En donnant une productivité économique aux mesures de soutien au revenu, le keynésianisme a rendu possible une expansion considérable du régime d'AC. Inversement, le néolibéralisme, en discréditant la gestion de la demande comme politique macroéconomique, a rendu obsolète le rôle de stabilisateur automatique du régime. Dans chacune de ces deux jonctions critiques, non seulement la politique de l'État à l'égard du chômage a été substantiellement réformée, mais l'interprétation du problème du chômage a été au coeur des débats qui ont présidé aux transformations de la politique macroéconomique. Ainsi, la réforme de 1994-1996 est saisie comme ayant participé d'un changement de paradigme qui a transformé la politique du gouvernement à l'égard du chômage, bouleversant ainsi la structure de ses objectifs, révisant en conséquence la nature de ses instruments, ainsi que leur niveau d'ajustement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Assurance-chômage, Assurance-emploi, Politique macroéconomique, Paradigme de politique, Idées, Keynésianisme, Néolibéralisme, État-providence, Chômage, Inflation, Changement de politique.

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